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Les nuages s'accumulent et le ciel gronde, l'horizon s'assombrit

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Une fois passée la période quelque peu agitée de la campagne électorale des municipales, nous pensions reprendre, avec toute la sérénité qu’impose l’analyse des faits sociaux, la publication de notre Lettre. Le déclenchement de la pandémie a surpris notre élan. D’autant que les innombrables déclarations contradictoires des uns et des autres sur les origines ou le traitement du virus, compliquées par les hésitations gouvernementales sur lesquelles il faudra bien revenir, ainsi que les craintes d’une grave crise économique n’ont pas favorisé  une réflexion sereine. Mais pour nous aussi c'est la reprise.

Nous constatons par ailleurs que l’ensemble des médias, écrites ou audio-visuelles sont peu bavardes sur le reste de l’actualité. Le menu politique préparé dans l’arrière cuisine, ne sera vraisemblablement pas du gout de tout le monde et pourrait provoquer une dyspepsie douloureuse.

Ce blog reprend donc du service, décidé à poursuivre l’analyse des événements et en tirer les leçons à l’aune de l’expérience, de la raison et de l’histoire. Tout au moins nous nous y efforcerons comme nous l'avons toujours fait. À cet égard nous pouvons d’ores et déjà relever que de manière constante, les crises économiques sont le terreau des crises sociales, elles-mêmes matrices des crises politiques. Le souci actuel est là. Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets.  Comment notre régime politique partisan, prisonnier d’une opinion formatée par une presse aux ordres d’une finance apatride, sans possibilité de vision à long terme pourra-t-il ne s’intéresser qu’à notre bien commun sans arrière-pensée électorale ? 

Quand on constate comment a été préparée cette crise par le gouvernement actuel et les précédents, la logorrhée stérile du président, les mensonges maladroits des ministres soutenus par quelques "scientifiques" aux ordres, l'avenir s'annonce difficile. L'horizon s'assombrit.

Henri Bec

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