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L'hésitation ou l'abstention ne sont plus de mise !

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Ce sera notre dernière contribution avant l’échéance de dimanche, 30 juin. Une échéance dont l’importance est inversement proportionnelle à l’état de la France.

Depuis plusieurs dizaines d’années, des gouvernements irresponsables, avec une accélération brutale donnée par E. Macron, ont fait glisser le pays vers une catastrophe dont nous avons du mal à imaginer les conséquences. En 1972, le Président Pompidou annonçait que la France n’avait plus de dette. Elle est aujourd’hui de trois mille milliards d’euros ! Les enchaînements ne peuvent qu’être sévères ; la réalité est impitoyable.

Inutile de développer en outre le danger imminent de l’immigration, le niveau désastreux de l’éducation, la liquidation volontaire de nos trésors industriels, les folies de la politique extérieure avec le risque assumé d’une guerre contre la Russie (!), la remorque aux intérêts allemands et américains dans tous les domaines, tout cela au service exclusif d’une ambition personnelle démesurée, accompagnée, comme le reconnaissent maintenant plusieurs spécialistes, d’un dérèglement psychiatrique évident.

Au risque de se perdre douloureusement, on ne peut poursuivre cette descente plus longtemps. Ce ne sont plus les médiocres « jeux » politiciens qui doivent nous occuper, comme on se rend à un spectacle de cirque, oubliés dès le rideau tombé. Au-delà des préférences superficielles ou de raidissements d’amour propre, force est de constater que se présente aujourd’hui l’étonnante hypothèse d’une modification majeure des orientations mortifères actuelles. Nous n’avons pas le droit, pour nous et nos successeurs de la laisser passer !

Gabarron-2 copie.jpgIl en est ainsi à Béziers. Certains peuvent encore rester sur le mythe Ménard qui n’était, nous le réalisons tous désormais, qu’une tromperie comme une autre, fondée sur l’état de l’opinion et donc susceptible de permettre une élection. Depuis tout a changé, les yeux se sont ouverts et nous avons vu. Emmanuelle Ménard n’est plus qu’une classique candidate macroniemnne sans relief. Ses positions à l’Assemblée ne trompent pas, comme le refus de voter une seule des motions de censure, même déposée par le RN qui l’avait faite élire… Tout est à l’avenant. Il faudrait des pages pour lister les votes favorables au gouvernement, au mépris des engagements pris, une succession de renoncements pitoyables, pour ne pas dire de piètres trahisons.

La déambulation permanente et inutile dans les rues de Béziers, un sourire peu naturel toujours figé, cachent la seule motivation non avouée, parce que non avouable, de conservation d’une place confortable, sans être gênée par un appareil, et de tenter de décrocher un strapontin à Paris. Autrement dit, voter pour une députée sans appui, sans projet, uniquement accompagnée et pénétrée d’un ego démesuré, n’aurait, dans la situation dramatique actuelle strictement aucune utilité, si ce n’est de continuer à servir de ridicule supplétif à un pouvoir désavoué et de risquer l’échec de la politique qui s’impose.

À Béziers, comme ailleurs, c’est donc un enjeu national qui se présente. Ne risquons pas de subir la gênante question de nos enfants ou petits enfants lorsque les drames arriveront : qu’avez-vous fait pour éviter ça ? Il nous faut envoyer à l’Assemblée un député RN. N’omettons pas de voter pour Julien Gabarron, au risque de nous en mordre les doigts, toujours trop tard. 

Henri Bec

Commentaires

  • Mettons le mythe MÉNARD aux oubliettes ! Place à la jeunesse et aux réelles convictions ! Votons Julien GABARRON.

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