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Béziers

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    Lors d’une récente cérémonie aux monuments aux morts de Béziers, on a pu voir le spectacle ahurissant de l’ancienne députée, Emmanuelle Ménard, monter les nombreuses marches du monument pour accompagner son mari déposer la gerbe du jour. Elle voulait par cet acte incongru,FB_IMG_1721670003980 copie.jpg certainement démontrer que rien ne s’était passé quelques jours auparavant… D’aucuns ont craint même de la voir remettre l’écharpe !

    Après un événement sortant de l’ordinaire, certaines personnes – le clan Ménard par exemple – ont parfois du mal à retomber sur terre et permettre à une réflexion empirique de se frayer un chemin jusqu’à la zone du cortex cérébral où elles devraient normalement se poser.

    Il est à craindre, comme l’avaient diagnostiqué certains spécialistes de la psychologie politique que, depuis le 7 juillet, le clan Ménard ne se mure dans un inquiétant déni de réalité. Processus toutefois très classique de défense inconsciente, à l’effet de se protéger et finalement se débarrasser des péripéties et mésaventures de la vie. En l’espèce la déception est d’autant plus sérieuse que le clan envisageait, en raison du rôle qu’il s’était désormais assigné de seigneur éternel du biterrois, régnant en maître absolu sur la vie politique locale, de s’attribuer des armoiries que l’on aurait blasonnées « Parti d’azur au semis d’autruches d’or », couleurs de l’Ukraine bien entendu. Autant de vanités remises aux calendes grecques, comme on s’en doute…

    Nous connaissons tous l’événement venu contrarier ce projet, événement somme toute prévisible, compte tenu de la baisse sensible et régulière de l’aura très artificielle, pour tout dire progressivement frelatée, de cette camarilla de passage. Peut-être certains, parmi les quelques badauds désœuvrés ayant assisté à la cérémonie de l’érection ridicule de la statue de Raimond Trencavel, ont pu y voir un substitut à la grandeur désormais ternie.

    Mais cette propension au rejet de la réalité, si, comme nous l’avons vu, est un signe préoccupant, est aussi une des caractéristiques essentielles de l’idéologie gauchisée. En permanence plongés dans des nuées plus ou moins fumeuses, ces songe-creux finissent par les croire possibles ou tout au moins à réaliser de gré ou de force, la thèse inverse étant alors interdite et considérée comme indécente. À la mairie de Béziers on connait bien la situation : toute contestation est hors-la-loi. L’origine très gauchiste de l’un, s’intitulant maintenant "divers droite" (on n’est plus à une étiquette près !), et de l’autre, issue d’une organisation internationale des plus sectaires, explique le phénomène. L’histoire démontre qu’avec ce type d’utopiste déconnecté, on est vite à la veille des plus sombres folies. Les révolutions sanglantes mondiales, à commencer par la nôtre, qui a d’ailleurs donné les théories et l’exemple, sont directement issues de ces mirages hallucinogènes. Et chez les Ménard il y a longtemps qu’on a fait sienne la formule : « si les événements sont contre nous, ce sont les événements qui auront tort ».

    Les curieuses foucades du type de celle que nous venons d’évoquer sont la parfaite illustration de ces phantasmes. C’est pourquoi ne nous étonnons pas des futures excentricités qui ne vont pas manquer de se renouveler.

    Henri Bec

  • L'image du jour

    Ça, c'était avant, quand l'ego démesuré du clan lui donnait l'impression de régner sur le biterrois.

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    Ça, c'est après, quand la réalité a brusquement surgi, et que le biterrois lui a fait savoir qu'il n'était plus persona grata.

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  • Biterrois, nous avons compris !

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    C’est un sentiment de honte, si ce n’est de colère qui s’est emparé d’une grande majorité de Français devant le spectacle indigne que nous donne la macronie et tout le monde politicien actuellement au pouvoir. Après avoir prétendu redonner la parole aux Français, voilà qu’ils tentent de la lui retirer, par des manœuvres dont l'indignité a rarement atteint ce niveau. Il est fort probable que dimanche, le résultat des urnes provoque une saine et plaisante réaction contre cette tambouille nauséabonde. 

    Loin du terrain, loin de la réalité quotidienne, ils s’imaginent encore disposer d’un crédit illimité pour continuer à nous tromper. Même devant l’évidence des urnes, ils persistent dans leur cécité. Le pays réel (notre blog n'a jamais aussi bien porté son nom) va leur montrer la mesure de son exaspération. 

    En réalité, ce n’est rien d’autre qu’une tentative désespérée des uns et des autres pour conserver les places qu’ils se sont partagées depuis des années. Tout le cirque des manifestations de ces dernières années, amplifié par les médias, les spectacles indignes de l’Assemblée nationale, n’étaient que pures comédies destinées à nous faire accroire à l’existence d’une opposition qui, nous le voyons aujourd’hui, n’était que façade. Des larrons en foire ! C’est ainsi que l’ex-présidente de l’Assemblée, qui a plusieurs fois sanctionné LFI pour ses débordements, soutient désormais un candidat de cette mouvance… Il n'est en outre pas exclu que Macron craigne l'exhumation des placards de dossiers embarrassants. Tout cela est pitoyable ! Quelle image donne à l'étranger notre belle France autrefois "mère des arts, des armes et des lois".

    Mais tous ces escrocs, ayant un profond mépris pour ceux qui ne sont pas eux, ont oublié que lorsque la colère déborde, le peuple peut avoir des réactions inattendues. Aujourd’hui il l’a montré dans les urnes. Faisons en sorte que l’exaspération n’aille pas au-delà. On sait alors quand ça commence, jamais quand ça finit.

    Les faiseurs de révolution , les Macron, Mélanchon et autres Bertrand, sont au pouvoir. Dimanche, nous avons l’occasion de les déloger. Ne nous en privons pas.

    Emmanuelle Ménard est de ceux-là. Elle nous l’a démontré pendant son mandat avec une insolence et un cynisme indécents, en soutenant E. Macron, dans toutes les phases de la mandature, pour tenter de se raccrocher encore plus à cette clique peu recommandable, et décrocher, on ne sait jamais, le strapontin de la fourberie, n’hésitant pas à trahir ceux qui l’avaient soutenu et fait élire. À titre d’exemple, elle n’a voté AUCUNE motion de censure.

    Montrons-lui qu’elle a été démasquée. Sur notre circonscription nous avons finalement le choix entre un candidat LFI, une candidate macronisée et Julien GABARRON. Les Biterrois ont montré qu'ils avaient compris. Dimanche, enfonçons le clou.

    VOTONS JULIEN GABARRON !

    Henri Bec

  • L'hésitation ou l'abstention ne sont plus de mise !

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    Ce sera notre dernière contribution avant l’échéance de dimanche, 30 juin. Une échéance dont l’importance est inversement proportionnelle à l’état de la France.

    Depuis plusieurs dizaines d’années, des gouvernements irresponsables, avec une accélération brutale donnée par E. Macron, ont fait glisser le pays vers une catastrophe dont nous avons du mal à imaginer les conséquences. En 1972, le Président Pompidou annonçait que la France n’avait plus de dette. Elle est aujourd’hui de trois mille milliards d’euros ! Les enchaînements ne peuvent qu’être sévères ; la réalité est impitoyable.

    Inutile de développer en outre le danger imminent de l’immigration, le niveau désastreux de l’éducation, la liquidation volontaire de nos trésors industriels, les folies de la politique extérieure avec le risque assumé d’une guerre contre la Russie (!), la remorque aux intérêts allemands et américains dans tous les domaines, tout cela au service exclusif d’une ambition personnelle démesurée, accompagnée, comme le reconnaissent maintenant plusieurs spécialistes, d’un dérèglement psychiatrique évident.

    Au risque de se perdre douloureusement, on ne peut poursuivre cette descente plus longtemps. Ce ne sont plus les médiocres « jeux » politiciens qui doivent nous occuper, comme on se rend à un spectacle de cirque, oubliés dès le rideau tombé. Au-delà des préférences superficielles ou de raidissements d’amour propre, force est de constater que se présente aujourd’hui l’étonnante hypothèse d’une modification majeure des orientations mortifères actuelles. Nous n’avons pas le droit, pour nous et nos successeurs de la laisser passer !

    Gabarron-2 copie.jpgIl en est ainsi à Béziers. Certains peuvent encore rester sur le mythe Ménard qui n’était, nous le réalisons tous désormais, qu’une tromperie comme une autre, fondée sur l’état de l’opinion et donc susceptible de permettre une élection. Depuis tout a changé, les yeux se sont ouverts et nous avons vu. Emmanuelle Ménard n’est plus qu’une classique candidate macroniemnne sans relief. Ses positions à l’Assemblée ne trompent pas, comme le refus de voter une seule des motions de censure, même déposée par le RN qui l’avait faite élire… Tout est à l’avenant. Il faudrait des pages pour lister les votes favorables au gouvernement, au mépris des engagements pris, une succession de renoncements pitoyables, pour ne pas dire de piètres trahisons.

    La déambulation permanente et inutile dans les rues de Béziers, un sourire peu naturel toujours figé, cachent la seule motivation non avouée, parce que non avouable, de conservation d’une place confortable, sans être gênée par un appareil, et de tenter de décrocher un strapontin à Paris. Autrement dit, voter pour une députée sans appui, sans projet, uniquement accompagnée et pénétrée d’un ego démesuré, n’aurait, dans la situation dramatique actuelle strictement aucune utilité, si ce n’est de continuer à servir de ridicule supplétif à un pouvoir désavoué et de risquer l’échec de la politique qui s’impose.

    À Béziers, comme ailleurs, c’est donc un enjeu national qui se présente. Ne risquons pas de subir la gênante question de nos enfants ou petits enfants lorsque les drames arriveront : qu’avez-vous fait pour éviter ça ? Il nous faut envoyer à l’Assemblée un député RN. N’omettons pas de voter pour Julien Gabarron, au risque de nous en mordre les doigts, toujours trop tard. 

    Henri Bec

  • La politique du citron pressé

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    En rachetant à la holding « Passion Ovalie » la majorité des actions de l’ASBH, la municipalité de Béziers est devenue l’unique propriétaire du club, une première dans le rugby professionnel. La Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) « Béziers Sports » fut créée pour permettre l’opération. En 2021 le maire de Béziers affirmait que ce ne serait qu’une transition. Justifiée par des motifs de gestion, cette OPA n’était en réalité qu’une nouvelle opération de communication.

    Jean-Michel Vidal est alors devenu président du club.

    Puis sont venues les élections législatives de 2022 où Emmanuelle Ménard a pris Jérémie Vidal, également conseiller municipal, fils de Jean-Michel, en qualité de suppléant, après Jacques Nain, remercié sans explication. Jérémie Vidal n’a, également, en rien démérité.

    C’était sans compter sur la politique du citron pressé, tradition ménardienne par excellence. Elle consiste à extraire les avantages, les qualités ou les relations de ceux qui peuvent avoir une quelconque utilité, puis à s’en séparer du jour au lendemain, lorsque cet intérêt disparaît. On presse le bon jus, puis on jette la peau !

    Sans aucune explication, la transparence n’étant pas le fort de l’ex député, Jérémie Vidal, qui aurait dû poursuivre normalement son rôle de suppléant, est remplacé par N. Zénon, épouse de Luc Zénon, adjoint au maire. Un entre soi évocateur de l’isolement qui s’est créé.

    Rien de mieux pour intensifier les mauvaises relations entre l’ASBH et le clan Ménard :

    - On se souvient que lors de la demi-finale qui s’est jouée à Vannes la municipalité n’a pu ou voulu affréter de bus pour transporter les supporters. C’est Hérault Transport qui, en catastrophe, s’en est chargé. Bon nombre de supporters ne sont pas près de l’oublier !

    - Aujourd’hui le président Jean-Michel Vidal claque la porte sans raison majeure, conséquence directe, bien sûr, de la mise à l’écart de son fils par Emmanuelle Ménard. La démission a été annoncée le lendemain du choix d'un nouveau suppléant. Jean-Michel Vidal qui s’était en effet consacré avec toute l’abnégation qu’on lui connait à la marche du club, n’a pas apprécié ce coup de poignard dans le dos.

    En même temps, comme dirait celui qui fait leur admiration, on ne se prive pas de donner des leçons à tout le monde !

    Henri Bec

  • C'est le chemin vers une véritable Union nationale

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    La situation de notre pays, au bord de la faillite, dépossédé de son capital industriel, d’un niveau scolaire catastrophique, dernier élève dans bien des domaines, moqué du monde entier, impose désormais un redressement urgent.

    Une immense majorité de Français a pris conscience de l’impérieuse nécessité d’avoir enfin des structures étatiques responsables et efficaces, disposant des moyens nécessaires pour mettre en œuvre la politique que les Français attendent. Partout en France, nos concitoyens ont réalisé le besoin d’oublier de prétendues et mesquines différences, dont se sont toujours servi les ennemis de la France, pour permettre la réalisation de l’Union nationale tant espérée.

    C’est ce qui a été fait à Béziers. Toute la structure de Reconquête, par son responsable Franck Manogil s’est ralliée au Rassemblement national dès le résultat des élections européennes connu. Son candidat aux précédentes élections législatives, Henri Fabre-Luce, qui avait réalisé le meilleur score de l’Occitanie s’est, avec un beau sens du devoir, désisté en faveur de Julien Gabarron. Les LR, par la voix d’un de ses anciens responsables, Henri Gas, avec le sens politique qu'on lui connait, a, dans un très clair communiqué pris la hauteur nécessaire, à l’instar du jeune Carayon, président national des jeunes LR, et a demandé à ses amis de se rallier à la candidature de Julien Gabarron (voir ses déclarations ICI) Et d’ailleurs, aucun candidat LR n’est présent à Béziers. La décision de Ciotti fait tache d’huile.  

    Nous comprenons tous qu’une majorité relative à l’Assemblée ne permettrait aucune mesure salvatrice. Elle créerait un désordre tel que les conséquences sont difficiles à imaginer à ce jour. On entrerait alors dans une confusion totale, rendant le pays ingouvernable.

    Outre l’exaspération que suscitent les fantaisies incohérentes et finalement malsaines du clan Ménard, qui ont, en leur temps amusé certains, la reconduction de l’ex-député ne serait d’aucune utilité. Et que dirions-nous, quelle serait notre responsabilité si la majorité absolue serait manquée d’un député, celui de Béziers ?

    Alors désormais, finis les déclarations croquignolesques, les retournements intempestifs, les entrechats embrouillés, les pirouettes ridicules, les reniements divers et variés. Nous n’avons plus les moyens de nous disperser dans des solutions sans avenir.

    Nous devons porter à l’Assemblée Julien GABARRON. C’est ce qu’on appelle couramment et et ici à Béziers, comme ailleurs, « le vote utile ».

    Henri Bec

  • ÉMMANUELLE MÉNARD OU L'IMPOSTURE

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    LISEZ JUSQU'À LA FIN - C'EST ÉDIFIANT !!!

     

    On sait que le clan Ménard ne cesse d’intervenir dans la presse. La com., la com., il n'y a que ça de vrai …

    La liberté d’expression est leur thème favori. Il leur permet de faire valoir ce que l'un et l'autre considèrent comme une sublime ouverture d’esprit avec la phrase maintes fois entendue : « je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai… » que le clan attribue à Voltaire alors que celui-ci ne l’a jamais prononcée (mais l’inculture ménardienne est un sujet bien connu des Biterrois).

    SAUF QUE 

    Nous connaissons tous l’affaire Assange. Journaliste renommé, il a, au travers de sa plateforme WikiLeaks fondée en 2006, publié de nombreux documents critiques : des preuves de corruption et d’abus des droits de l’homme au Kenya, les rapports incriminants des banques islandaises et de leur rôle dans le krach bancaire de 2008, les manuels de scientologie, la liste de comptes off-shore de la banque suisse Julius Bär, etc. Mais ce n’est qu’au moment de la publication des documents fournis par Chelsea Manning que l’organisation acquiert sa notoriété en s’attaquant à un ennemi de taille : les États-Unis. Assange dénonce en effet, en 2010, les dessous de la guerre en Irak au travers de 400 000 documents révélant les tortures, crimes de guerre et massacres (109 032 morts dont 60% de civils) alors que les États-Unis vendaient aux médias des « frappes chirurgicales » et affirmaient ne pas disposer de bilan chiffré. Bien d'autres scandales seront alors dévoilés.

    Depuis, Julien Assange est poursuivi par la vindicte américaine. Il serait trop long de détailler les détails des procédures (voir article suivant). Résumons : il est détenu en Angleterre dont la Haute cour a ouvert les voies de son extradition vers les USA où il risque la prison à vie. Au pays de la "Liberté" et de la "Démocratie", on ne badine pas avec la liberté d'expression trop librement utilisée. La décision définitive est très proche. D'innombrables soutiens à travers le monde se mobilisent en sa faveur.

    Alors, les champions de la liberté d’expression, l’ex président de Reporters sans frontières et la député, ancienne responsable de la très gauchiste Fédération internationale des droits de l’homme, où sont-ils passés ? Ont-ils émis une quelconque protestation ? Rien. Depuis plus de 10 ans Assange est soumis à l'isolement et ILS N'ONT PAS EU UN MOT de compassion et de soutien.

    MAIS CE N’EST PAS TOUT…

    Le 4 février 2022 à l’Assemblée nationale, une proposition de résolution est déposée, invitant le gouvernement français à accorder l’asile politique à Julian Assange et à faciliter l’accès au statut de réfugié pour les lanceurs d’alerte étrangers (article 34-1 de la Constitution).

    EMMANUELLE MÉNARD

    N'A PAS VOTÉ CETTE RÉSOLUTION !

    Pas mal pour quelqu'un se recommandant de la défense des journalistes…

    Nous avons avec cette prise de position l'illustration désormais définitive :

    - de l'allégeance du clan Ménard aux intérêts américains dont ils ne sont que les serviles marionnettes. Ceci avait déjà été démontré dans un livre « Le dossier Ménard » (Lancelot Éditeur – 2004) qu’ils se sont bien gardés de diffuser dans Béziers !

    - de l’imposture que représente les prises de position d'Emmanuelle Ménard à Béziers comparées à ses actes à l'Assemblée dont la discrétion (qui en attend parler à Béziers ?) établi la manœuvre engagée. Véritable tromperie à usage purement personnel, démontrant, s'il en était encore besoin, sa parfaite soumission au clan macronien dans l'espoir de décrocher un strapontin. 

    Mais cette affaire Assange est extrêmement grave : elle est la preuve manifeste de la docilité envers des intérêts étrangers. Comment pourrait-on continuer à admettre dans les rangs du Parlement français une député aussi étrangère aux intérêts français? La confiance des Biterrois ne peut que lui être désormais refusée.

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    Emmanuelle Ménard s'est bien sûr ralliée à la position du gouvernement, opposé à cette proposition pour ne pas fâcher ses amis américains auxquels il est totalement inféodé.

    Lisez ICI la belle déclaration de Jean Lassale qui s'est honoré par cette intervention. Elle montre l'importance qu'a ce dossier et l'honneur de la France qui est en jeu. Honte à ceux qui s'y sont opposés !

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    Pris sur le site de l'Assemblée :

    Analyse du scrutin n° 4381
    Troisième séance du 04/02/2022

    Scrutin public sur la proposition de résolution invitant le Gouvernement à accorder l'asile politique à Julian Assange et à faciliter l'accès au statut de réfugié pour les lanceurs d'alerte étrangers (article 34-1 de la Constitution).

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    Résultat du vote : Suffrages exprimés 48 - 17 pour, 31 contre.

  • Historique de l'affaire Assange

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    Cet article est paru sur le site Boulevard Voltaire le 22 juillet 2022, dont Emmanuelle Ménard a été rédactrice en cher pendant plusieurs années. Il est vrai que depuis la nouvelle rédaction a précisé qu'elle n'avait plus rien avoir avec elle. 

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    Aux États-Unis, la liberté de la presse est garantie par le premier amendement. Certes. Mais certaines libertés sont moins libres que d’autres.

    175 ans de prison: c’est ce que risque Julian Assange s’il est extradé vers les États-Unis. En mars 2020, j’appelais déjà l’attention des lecteurs sur la situation de ce dissident, car il s’agit bien là d’un dissident en tout point comparable à ceux que le communisme liquidait.

    Julian Assange, qui n’est pas américain mais australien, a fondé en 2006 WikiLeaks. La subversion de WikiLeaks, c’est d’abord son cryptage. Inviolable, il protège les sources qui l’abondent en documents classifiés énonçant au grand jour les actions tordues. En juillet 2010, WikiLeaks diffuse plus de 750.000 documents confidentiels démontrant la corruption, la tromperie et les crimes de guerre généralisés des autorités américaines et britanniques ainsi que de leurs alliés israéliens ou saoudiens au Moyen-Orient. Assange dénonce également ce système techno-algorithmique généralisé, de surveillance et de manipulations, qui organise un espionnage domestique massif et ambitionne la généralisation au monde entier de la morale et des valeurs nord-américaines.

    Les États-Unis vont vouloir la peau de Julian Assange. L’accusation n’est rien de plus que celle de piratage informatique. Insuffisant. Pour trouver un motif d’extradition, ils tentent d’abord une inculpation pour agression sexuelle avec la complicité de la Suède. Mais ça ne marche pas.

    Les États-Unis ont alors l’audace, le 23 mai 2019, d’inculper Assange, journaliste australien d’investigation, pour… espionnage ! Ils ressortent du placard un outil : l'« Espionage Act » de 1917. À l’origine, il criminalisait l’opposition à la décision de Wilson d’impliquer les États-Unis dans la Première Guerre mondiale.

    Assange sollicite l’asile politique en Suisse, mais les États-Unis menacent la Suisse de représailles si la demande était acceptée et obtiennent son interdiction bancaire. Comme pour les amendes exorbitantes imposées de manière discrétionnaire aux entreprises étrangères qui ne se plient pas à leurs exigences (on se souvient des 90 millions de dollars infligés en 2018 à la BNP), les États-Unis jouent de leur force pour considérer légitime l’extraterritorialité de leurs lois qui rendent possible l’inculpation d’un citoyen non américain agissant en dehors du territoire américain.

    Assange se réfugie, le 19 juin 2012, à l’ambassade de l’Équateur à Londres où il obtient l’asile politique. Il y restera littéralement assiégé pendant sept ans. Mais en avril 2019, le nouveau président équatorien, Lenin Moreno, sous la pression américaine, met fin à son asile politique. Immédiatement coffré par les Britanniques, Assange est incarcéré à la prison de haute sécurité de Belmarsh, normalement dévolue aux criminels les plus violents et dont les conditions sont dénoncées par Amnesty International. Ipso facto,les États-Unis demandent son extradition. Le 4 janvier 2021, au grand dam des États-Unis et du gouvernement anglais, la Justice britannique la refuse. Le motif tient à la santé mentale d’Assange fragilisée par le traitement infligé à Belmarsh. Mais il reste en prison.

    Les États-Unis font immédiatement appel de la décision et redemandent l’extradition. Le 10 décembre 2021, revirement : la Justice britannique accepte l’extradition, mais certains magistrats toussent tout de même un peu et, le 24 janvier 2022, la Haute Cour de Londres autorise Julian Assange à contester cette décision. Vain espoir : le 14 mars 2022, la Cour suprême du Royaume-Uni saisie entre-temps suspend cette possibilité. Le 17 juin 2022, le ministre de l’Intérieur britannique Priti Patel approuve la demande d’extradition de Julian Assange. Nous en sommes là.

    Comme le souligne Glenn Greenwald, écrivain politique et avocat : « La persécution d’Assange met en évidence l’imposture totale des sermons américains et britanniques sur la liberté, la démocratie et la presse libre. »

    Philippe Joutier

    Boulevard Voltaire

  • Vers une belle Union nationale

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    Il n'a pas fallu longtemps pour que les vrais patriotes amoureux de la France se rejoignent. Dès l'annonce de la dissolution, Julien GABARRON, candidat RN sur la 6è circonscription et Franck MANOGIL, en bonne place sur la liste de Marion Maréchal aux élections européennes, ont décidé d'unir leurs forces. Conscients du gravissime enjeu que présente ce scrutin, ils n'ont pas hésité.

    Nous sommes loin des multiples trahisons auxquelles nous a habitué Emmanuelle Ménard à l'Assemblée et qui semble d'ailleurs actuellement ne plus trop savoir comment passer entre les gouttes des flots de critiques qui envahissent la presse sous toutes ses formes.

  • Ils se foutent vraiment de nous !

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    Le clan Ménard est fébrile. La sanction de leurs multiples revirements et reniements, marque indélébile de leur préférence de carrière à celle du bien commun, se rapproche. Difficile, avec une telle accumulation de tromperies, de trouver un échappatoire. 

    448636709_1466109754278678_2134781777678473320_n copie.jpgAlors ils n'ont rien trouvé de mieux que de tenter un énième coup de com. En pleine campagne législative, ils essaient de  municipaliser les discussions en revenant sur un engagement pris de multiples fois. Emmanuelle Ménard était annoncée comme devant se présenter aux prochaines élections municipales. Un échec deux ans avant serait évidemment du plus mauvais effet. Alors, désormais, et pour l'instant, ce n'est donc plus elle. Mais ne nous leurrons pas : les saltimbanques changent facilement de rôle !

    C'est une pitoyable et médiocre manœuvre qui ne trompera personne. Elle a même un intérêt certain, celui de nous faire voir, une nouvelle fois, à quoi peut être réduite une candidate grandement menacée, incapable de se hisser à un minimum de décence.  SAUVE QUI PEUT !

  • C'est l'unanimité !

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    Un florilège de commentaires repris des réseaux sociaux

     

    ATTENTION À L’INTOX !

    Ce matin 18 juin, sur France Bleu Hérault, #Ménard n’a pas donné de consigne de vote pour l’élection législative. Dans la 6e circonscription ne soyons pas dupes. Attention à l'intoxication de ce spécialiste de la propagande tortueuse : il suit toujours la direction des vents ! En sous-main, il bataille ferme pour faire élire son épouse et son faux-semblant ne doit pas nous tromper même s’il laisse croire qu’il ne veut pas s’associer à la défaite électorale de sa candidate préférée.

    Électrices, électeurs du Biterrois, dès le premier tour du 30 juin, ne vous laissez pas gruger : votez pour le RN, votez pour Jordan BARDELLA et sans aucune hésitation votez Julien GABARRON !

    Jacques Nain

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    Bonsoir, quand Mr. Ménard participait aux débats, surtout sur BFM, on se demandait qu'y il soutenait vraiment il y avait de quoi perdre son latin.

    Pinjon Michel

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    Dans le Biterrois, sur la 6e circonscription, Emmanuelle MÉNARD a engagé une démarche strictement personnelle, sans véritable programme et sans perspective sérieuse pour l’avenir de la France. Inféodée à la Macronie, elle n'est plus crédible ! Il faut un grand gouvernement d’Union Nationale en vue de redresser le pays.

    Jean-Paul Radut

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    Pour Emmanuelle MÉNARD, suppléante Nicole ZÉNON, conseillère départementale dont l'époux est adjoint au maire de Béziers et conseiller communautaire de la Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée. L'entre-soi dans sa splendeur ! Cela tend à prouver que les candidats ne se sont pas bousculés pour soutenir le clan des opportunistes Biterrois !

    Paul Grignon

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    Dans le Biterrois, sur la 6e circonscription la candidature d’Emmanuelle MÉNARD est une démarche strictement personnelle, sans véritable programme et sans perspective sérieuse pour l’avenir de la France.

    Michèle Merlot

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    Sur la 6e circonscription de l'Hérault, l'UNION DE LA DROITE soutenue par le Rassemblement National est représentée par Julien Gabarron, le responsable départemental du RN comme candidat titulaire, et par Olivier Stroobants, comme candidat suppléant.

    Les 30 juin et 7 juillet, nous avons une opportunité historique d’élire une véritable majorité de députés patriotes et républicains à l’Assemblée nationale .

    La France a besoin de vous !

    Emmanuelle Ménard n'a servi à rien. À l'Assemblée Nationale, Emmanuelle Ménard a toujours voté avec la Macronie et les LR sans jamais joindre son vote sur les amendements, propositions de lois et censures déposés par les élus du Rassemblement National. Pourquoi les électeurs du RN, de Reconquête, du CNIP, de Debout la France, etc. lui donneraient-ils leurs suffrages ? Pourquoi a-t-elle été députée ? Pour son confort personnel et celui de son mari ; en effet il a pu ainsi bénéficier d'un "point de chute parisien" payé à la Députée par l'Assemblée Nationale pour venir déblatérer chaque semaine contre le RN sur les plateaux de télévision ! Si Madame n'est pas élue, nous conseillons à Monsieur d'aller "loger" sur la péniche de l'Armée du Salut, sous le Pont d'Austerlitz, après le Waterloo électoral qu'ils auront eu à subir !

    Canal Telegram

    Son élection a été une arnaque

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    Olivier Ventura

    Donc un candidat du RN face à la Députée Sortante Emmanuelle Ménard ? Voici venu le temps de vérité et de la clarification !

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    Robert MÉNARD TENTE UNE NOUVELLE FOIS DE RETOURNER LA VESTE À SON PROFIT ! Non, monsieur le maire, vous avez filtré avec la Macronie et vous avez appelé à voter dans tous les médias pour François-Xavier Bellamy des LR en dénigrant systématiquement le Rassemblement National. CE N'EST PAS VOTRE VICTOIRE, mais bien celle de votre opposition, CELLE DES MILITANTS DU RASSEMBLMENT NATIONAL. Quant à votre épouse, elle a toujours voté à l'Assemblée Nationale avec la Macronie et les LR et elle n'a jamais soutenu les textes, les amendements et les motions de censure présentés par le Groupe du Rassemblement National dirigé par Marine Le Pen. Cette fois, à Béziers, nous ne nous laisserons berner !

    Jacques Nain

    Ménard le courageux vient de supprimer son post dans lequel il évoquait "notre victoire". C'est vraiment un dangereux manipulateur qui n'assume aucune de ses multiples erreurs !

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    Il radote le pépère ! Il répète toujours les mêmes choses ! Il défend Macron et son Gouvernement ! Il tape sur le Rassemblement National ! "Putain", "bordel, etc. ! Le donneur de leçon est un grossier personnage ! C'est le Grand Guignol de l'Info !

    Thibault Parnault

    La campagne dans l’urgence va paraître longue aux Menard. De jour comme de nuit, ils savent désormais qu’ils sont dans l’impasse. Le macroniste est fini, le clan Menard compte et les jours, et les heures, au bord du précipice où ils se sont conduits seuls…. C’est Mme Zenon la suppléante de Menard… ils ne trouvent même plus de candidats pour les rejoindre alors ils recyclent. C’est la mort de l’espèce qui se déroule sous nos yeux.

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    Depuis dimanche soir, Robert Ménard passe son temps sur les plateaux télés parisiens et les interviews. Jamais un maire de ville moyenne avec un bilan aussi médiocre n’aura eu cette projection médiatique.

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    Thibault Parnault

    Coup de tonnerre à Béziers : l’affiche de la féria 2024 ne sera pas a priori le fameux dessin de Jean Moulin qui a cristallisé les passions et… les vives critiques. C’est le conseiller municipal Thierry Antoine qui avait soulevé des questionnements légitimes début mai.

    Pourtant Robert Ménard déclarait encore hier dans un article du Parisien : « Dans cette affaire, il n’y a même pas le début d’une polémique puisque vous pensez bien que nous utilisons ce croquis avec l’autorisation de la famille de Jean Moulin obtenue en dix minutes et sans aucune animosité ». Robert Ménard soutient d’ailleurs que Jean Moulin adorait la corrida provoquant alors l’indignation de la famille.

    Une communication habituelle du Maire de Béziers, toujours dans l’excès et dans un certain mépris des autres, un autocrate dont le pouvoir se veut absolu. Ce n’est pas l’avis de Gilbert Benoit, lui-même membre de la famille de Jean Moulin : « Tous les membres de la famille que j’ai interrogés sont farouchement opposés aux pratiques de la tauromachie sanglante que Jean Moulin n’a certainement jamais adorée ».

    Après l’épisode des bus pour l’ASBH concernant la demi-finale contre Vannes que Ménard n’a pu fournir à hauteur de ce que les supporters réclamaient , le problème du logo de l’ASBH où une forme d’amateurisme s’est révélée, le fiasco du soutien à la liste aux élections européennes « Alliance rurale » et la retirada de Ménard qui s’en est suivi, les multiples trahisons politiques dont le maire de Béziers est coutumier (qui n’a t’il pas trahi d’ailleurs?), voilà une autre séquence négative qui raconte beaucoup : la stratégie que mène Robert Ménard s’essouffle désormais mais gonfle beaucoup, beaucoup de monde et pas que des biterrois.

    Il est fort possible que les erreurs continuent de s’accumuler pour lui dans le temps… n’oublions pas que les caisses de la ville et de l’agglomération sont vides et que les agents des collectivités grondent secrètement.

    Quand on sait ce que pèsent par leur attraction l’ASBH et la féria pour le territoire biterrois et le traitement qui confine au minimum à de la légèreté par Robert Ménard et les services de la ville, on a de quoi s’interroger…

  • Le RN a fini par comprendre la supercherie !

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    C'est en effet le moment de clarifier la situation. Depuis son élection au Parlement, E. Ménard, en total accord avec son mari ("le clan", comme on les nomme depuis longtemps), n'a cessé de se distinguer par son opposition au RN et ses manœuvres de séduction auprès de la clique macronienne. Mais quelques semaines avant chaque scrutin local, il laissait croire à un rapprochement "imminent", de manière à empêcher une candidature RN, pour reprendre quelques semaines après l'élection, en guise de remerciements, ses critiques, souvent violentes . Malgré les mises en garde, avertissements, conseils et explications qui ont été donnés aux cadres du RN, celui-ci persistait à croire aux promesses avec un angélisme qui frisait la naïveté. 

    Déjà, dans son édition du 1er septembre 2017, le Figaro avait titré :

     

    Robert et Emmanuelle Ménard,

    le couple d'ambitieux qui veut dynamiter le FN

     

    C'était on ne peut plus clair, et d'ailleurs cette affirmation n'a jamais été démentie. Mais à ce jour, c'est plutôt raté !

    Aujourd'hui le clan se plaint de la présence, sur le territoire dont il estimait être sa chasse réservée, d'un candidat RN. C'est un étonnement qui ne manque pas de nous étonner ! Soyons assurés d'avoir jusqu'au 30 juin des séances de colères bruyantes, relayées par les copains de la presse, des périodes d'abattements  à nous briser le cœur ou des airs martiaux sur les dangers de ne pas voter correctement, bref le théâtre habituel…

    Les yeux se sont désormais ouverts et c'est tant mieux : l'imposture avait assez duré !

    Henri Bec

  • FERIA de Béziers 2024 : un partenariat avec "Qui veut gagner des millions" ? (LA REDACTION IMAGINAIRE)

     

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    Dessin de Mathieu

     

    Par Jean-Pierre Pélaez

    Pélaez1.jpgLa Féria 2023 de Béziers a connu un succès planétaire avec, selon la municipalité, un chiffre historique d’un million de participants, toutes catégories confondues, biterrois mais aussi touristes et vacanciers, pilotes de caisses à savon, aficionados fervents, simples badauds, amateurs de bon vin, buveurs d’eau et de limonade, gens d’église, propriétaires de chiens en possession de leur test ADN, pédagogues ivres, automobilistes ayant fait leur alcootest dans les centres prévus à cet effet et autres, tous réunis dans les bodegas, et venus voir la Petite Culotte ou écouter les chansons de Ricoune. 

    Hélas, le succès claironné de cette grande fête populaire s’est trouvé gâché par une vive polémique, le chiffre de la municipalité se trouvant contesté par certains. Comment a-t-il été établi ? A-t-il été arrêté, depuis le balcon de l’hôtel de ville, par un policier municipal, comptant les têtes qui passaient sur l’avenue, ou bien a-t-il été relevé grâce aux nombreux horodateurs installés sur les avenues ou par les enregistreurs automatiques de forfaits post-stationnement à 30 euros les cinq minutes ? On ne sait pas. 

    Les responsables écologistes locaux, encore plus verts qu’à l’ordinaire, ont également tenu à faire la différence entre les spectateurs des corridas, à peine quelques milliers, et les simples chercheurs de convivialité. 

    Enfin le journal Midi-Libre a refusé de publier dans ses pages un encart publicitaire payé par un contribuable ravi de célébrer ce succès, avant de revenir sur sa décision, face à des affiches exprimant l’indignation municipale contre une censure digne d’une médiathèque hiérarchisée, porteuse de différenciation.

     Cependant, en présence du sous-préfet, du chef de la police, du curé de Cucugnan et du capitaine des pompiers, le maire de Béziers s’est déclaré heureux de ce chiffre qualifié d’historique et confiant pour la suite ; et il le peut car déjà plusieurs rumeurs font état pour 2024 d’éléments susceptibles de l’augmenter encore.

    Ainsi, et même si rien n’est confirmé à ce jour, le pape François, confondant la future Féria avec une nouvelle Journée Mondiale de la Jeunesse, aurait prévu en août prochain de venir à Béziers et d’y célébrer dans les arènes la messe de compassion dédiée aux taureaux qui vont périr courageusement, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Même si, dit-on, à l’issue de la cérémonie, et en hommage aux chrétiens morts jadis de la même façon dans les arènes romaines, il appellerait à ce qu’ils soient tous graciés, au nom du vivre-ensemble, et qu‘après avoir fait un tour de piste sous les applaudissements, ils soient reconduits vers leurs prairies originelles où ils pourraient continuer, avec leurs vaches et leurs veaux, à couler des jours heureux.

    Par ailleurs, mais pour l’instant la rumeur n’a pas été confirmé par l’Élysée, le Président Macron en personne, accompagné de Gérald Darmanin et d’un bataillon de CRS, viendrait annoncer pendant la Féria 2024 un nouvel allongement de l’âge de départ à la retraite, qui serait porté à soixante-six ans au lieu de soixante-quatre. Il compte en effet sur l’ambiance festive et joyeuse pour faire passer une mesure qui reste, de l’avis de tous, très impopulaire. Reste que cette annonce devrait attirer, outre un renfort important de policiers, un nombre record de manifestants en colère, munis de casseroles, et qui seraient assimilés à des participants, exprimant leur joie de vivre et leur créativité.

    Mais surtout, côté médiatique, dit-on, un événement de la plus haute importance se prépare. Il est question en effet d’inviter le maire de Béziers, grand habitué des plateaux TV, à l’émission Qui veut gagner des millions ? animée par le célèbre Jean-Pierre Foucault. Il s’agirait là d’une nouvelle formule inventée pour la circonstance : à chaque réponse exacte du candidat maire, il engrangerait un million de participants supplémentaire pour son chiffre record de la Féria. Exemple de questions prévues : Qui est l’actuel(le) président(e) de la région Occitanie ? Réponse A Jean-Pierre Pelaez. Réponse B Carole Delga. Réponse C Louis XIV. Réponse D Jean Michel Du Plaa. Viendraient s’ajouter en prime quelques millions, mais d’euros, pour renflouer la supérette culturelle de la ville, dont les rayonnages sont aujourd’hui quasiment vides, entre quatre boîtes de sardines, une dizaine de paquets de pâtes et trois bocaux de petits-pois.

     On attend donc avec impatience la confirmation de toutes ces rumeurs, et notamment celle d’un futur partenariat entre la municipalité de Béziers et Qui veut gagner des millions ? Il devrait en être question lors du prochain conseil municipal. Mais l’on parie déjà sur un nombre bien supérieur de participants en 2024, au moins plusieurs millions, ce qui placerait Béziers, devant Miami et Las Vegas, en tête des villes de fiestas les plus festoyantes du monde.

  • Un appel de la fédération des clubs taurins du biterrois - Mobilisation !

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    TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI LIBERTICIDE

    Voici donc la proposition de loi en intégralité du vegan A. Caron. La plupart des paragraphes (sinon tous) montre une méconnaissance totale de la Tauromachie et particulièrement de la Corrida. L'exposé des motifs releve davantage d'un mauvais tract anti-corrida que d'un texte parlementaire... il est vrai que les associations animalistes l'ont largement aidé (elles s'en vantent) à rédiger ; finalement c'est mieux ainsi. Cela montre le niveau intellectuel des rédacteurs. Les députés signataires devraient avoir honte de présenter un tel texte liberticide.

    (PPL signée par LFI : 74 - écolo-Nupes :19 - Liberté, Indépendants, outremer : 1)

    assemble-7-groupes-parlementaires

    ASSEMBLÉE NATIONALE - CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 - SEIZIÈME LÉGISLATURE
    Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 20 septembre 2022.

    PROPOSITION DE LOI
    visant à l’abolition de la corrida

    (Renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.),

    présentée par Mesdames et Messieurs

    Aymeric CARON, Anne STAMBACH‑TERRENOIR, Bastien LACHAUD, Nadège ABOMANGOLI, Laurent ALEXANDRE, Gabriel AMARD, Ségolène AMIOT, Farida AMRANI, Rodrigo ARENAS, Christine ARRIGHI, Clémentine AUTAIN, Julien BAYOU, Lisa BELLUCO, Karim BEN CHEIKH, Ugo BERNALICIS, Christophe BEX, Carlos Martens BILONGO, Manuel BOMPARD, Idir BOUMERTIT, Louis BOYARD, Guy BRICOUT, Sylvain CARRIÈRE, Cyrielle CHATELAIN, Florian CHAUCHE, Sophia CHIKIROU, Hadrien CLOUET, Éric COQUEREL, Alexis CORBIÈRE, Jean‑François COULOMME, Catherine COUTURIER, Hendrik DAVI, Sébastien DELOGU, Alma DUFOUR, Karen ERODI, Martine ETIENNE, Emmanuel FERNANDES, Sylvie FERRER, Caroline FIAT, Charles FOURNIER, Perceval GAILLARD, Marie-Charlotte GARIN, Raquel GARRIDO, Clémence GUETTÉ, David GUIRAUD, Mathilde HIGNET, Hubert JULIEN‑LAFERRIÈRE, Rachel KEKE, Andy KERBRAT, Julie LAERNOES, Maxime LAISNEY, Arnaud LE GALL, Antoine LÉAUMENT, Élise LEBOUCHER, Charlotte LEDUC, Jérôme LEGAVRE, Sarah LEGRAIN, Murielle LEPVRAUD, Benjamin LUCAS, Élisa MARTIN, Pascale MARTIN, William MARTINET, Frédéric MATHIEU, Damien MAUDET, Marianne MAXIMI, Manon MEUNIER, Jean‑Philippe NILOR, Danièle OBONO, Nathalie OZIOL, Mathilde PANOT, Francesca PASQUINI, Sébastien PEYTAVIE, François PIQUEMAL, Marie POCHON, Thomas PORTES, Loïc PRUD’HOMME, Adrien QUATENNENS, Jean‑Hugues RATENON, Jean-Claude RAUX, Sandra REGOL, Sébastien ROME, Sandrine ROUSSEAU, François RUFFIN, Aurélien SAINTOUL, Michel SALA, Eva SAS, Sabrina SEBAIHI, Danielle SIMONNET, Ersilia SOUDAIS, Sophie TAILLÉ‑POLIAN, Bénédicte TAURINE, Andrée TAURINYA, Matthias TAVEL, Nicolas THIERRY, Aurélie TROUVÉ, Paul VANNIER, Léo WALTER,

    députés.

     

    EXPOSÉ DES MOTIFS

    Mesdames, Messieurs,

    « Sentir le sable
    Sous ma tête, c’est fou comme ça peut faire du bien
    J’ai prié pour que tout s’arrête
    Andalousie, je me souviens
    Je les entends rire comme je râle et je les vois
    Danser comme je succombe
    Je pensais pas qu’on puisse autant
    S’amuser autour d’une tombeEst‑ce que ce monde est sérieux ? »

    Francis Cabrel, La corrida, 1994

    Mesdames, Messieurs,

    « La corrida davantage qu’un spectacle est un art » estimaient en 2019 quarante personnalités françaises du monde de la culture, inquiètes de l’interdiction possible des corridas aux moins de 18 ans. L’argument est bien connu : l’arène serait un théâtre mettant en scène une lutte métaphorique, celle de la vie contre la mort.

    La corrida, un art ? Ceux qui l’affirment se fourvoient : il s’agit en réalité d’un acte sanglant, dont la finalité est la mort de taureaux préalablement torturés en public. A contrario, parmi les œuvres d’art, on compte la chanson de Francis Cabrel qui décrit l’incompréhension, la lutte et les souffrances d’un taureau qui vit ses derniers instants dans l’arène. « Je ne pensais pas qu’on puisse autant s’amuser autour d’une tombe », s’étonne‑t‑il avant d’expirer.

    D’après l’article 521‑1 du code pénal, les sévices graves ou les actes de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, s’ils entraînent la mort de l’animal, sont punis de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Qui oserait soutenir que les traitements infligés à un taureau pendant une corrida n’entrent pas dans cette catégorie ?

    *

    Une corrida dure deux heures. Elle comprend six combats de vingt minutes chacun, opposant un taureau à trois matadors. Chacun des combats se déroule en trois phases appelées « tercios »

    Le premier tercio est celui des picadors, qui manient des piques destinées à sectionner ou cisailler les muscles releveurs de la tête du taureau. L’animal souffre, évidemment, mais commence aussi à perdre tous ses repères, ce qui le rend d’autant plus vulnérable.

    Le deuxième tercio est celui des banderillos, qui manient des bâtons terminés par un harpon de 4 cm de long. Plantés dans la masse musculaire proéminente située à la base du cou du taureau, ils déclenchent des hémorragies internes accrues par les déplacements brusques et saccadés du taureau, stimulé par le jeu de cape du torero. Les nerfs sont eux aussi atteints, portant la douleur à son paroxysme.

    Le troisième tercio est celui de la mise à mort qui commence par l’estocade, au cours de laquelle l’épée est plongée au niveau du sommet de l’omoplate droite pour atteindre la cage thoracique.

    Après l’estocade, le coup de grâce est donné par un poignard à lame courte et large, planté entre la base du crâne et le début de la colonne vertébrale pour détruire le cervelet et le début de la moelle épinière. Le temps imparti au torero (ou « matador ») pour tuer le taureau est d’un quart d’heure. S’il ne réussit pas à l’achever dans ce délai, l’animal est conduit au toril où il est abattu. En trophées, le torero recevra les oreilles coupées, voire la queue du taureau massacré.

    Tout cela relève‑t‑il de l’art ou de la torture ?

    *

    L’ordre national des vétérinaires a tranché. En 2016 il affirmait : « Dans les spectacles taurins sanglants, la douleur infligée aux animaux n’est pas contestée. Dans la pratique de la corrida, c’est précisément cette douleur qui augmente les réactions défensives des animaux, leur stress psychologique et physique et donc leur agressivité. Elle conditionne ainsi le succès du spectacle. La courte durée du spectacle (20 minutes) et la sélection d’animaux agressifs et génétiquement prédisposés à combattre paraissent une atténuation peu significative de l’intensité des souffrances physiques forcément ressenties par les animaux.
    Les spectacles taurins sanglants, entraînant, par des plaies profondes sciemment provoquées, des souffrances animales foncièrement évitables et conduisant à la mise à mort d’animaux tenus dans un espace clos et sans possibilité de fuite, dans le seul but d’un divertissement, ne sont aucunement compatibles avec le respect du bien‑être animal ».

    La législation française suit logiquement l’avis de l’ordre des vétérinaires : en vertu de l’article 521‑1 du code pénal, la corrida est interdite dans notre pays.

    *

    Plusieurs départements français bénéficient pourtant encore aujourd’hui d’une exception à la loi, au nom d’une « tradition locale ininterrompue ». Dans le Gard, les Pyrénées Atlantiques ou les Bouches du Rhône est donc admis ce qui est considéré comme une barbarie répréhensible dans la Sarthe ou dans les Vosges. Dans les départements dits « taurins », l’acte de cruauté sur les taureaux n’est pas nié, il n’est simplement pas condamné.

    La justification d’un tel dispositif au nom d’une « tradition locale ininterrompue » est factice. La corrida n’est en rien une tradition française, mais espagnole. Elle n’est arrivée en France qu’en 1853, pour faire plaisir à Eugénie de Montijo, l’épouse andalouse de Napoléon III. Et elle n’a d’ailleurs bénéficié d’une exception aux peines prévues pour les actes de cruauté qu’en 1951. De plus, cette corrida espagnole ne peut se prévaloir d’appartenir au patrimoine culturel immatériel de la France, ce qu’a confirmé le Conseil d’État en 2016, appuyant la décision de la cour administrative de Paris prise un an plus tôt.

    Par ailleurs, ce « spectacle » qui bénéficie de fonds européens, par le biais de la Politique agricole commune (PAC), et de subventions locales, soulève l’opposition et l’indignation d’une majorité de Français et Françaises. D’après un sondage Ifop de février 2022, 87 % des Français et Françaises se déclarent favorables à ce que tout acte de cruauté volontaire ayant entraîné la mort d’un animal soit puni, sans exception pour les corridas. En 2017, un autre sondage Ifop avait montré que 75 % des habitants et habitantes des départements où sont autorisées les corridas sont opposés aux corridas avec pique, banderille et mise à mort.

    Le Chili, l’Argentine, Cuba et l’Uruguay ont fait le choix d’interdire les corridas. En Europe, le Danemark, l’Italie et le Royaume‑Uni ont formellement interdit cette pratique, tout comme la Catalogne. Les Français et Françaises expriment très fortement le souhait que notre pays suive l’exemple. En tant qu’élu.e.s de la Nation, il nous revient d’agir dans l’intérêt général, en tenant compte de l’attente sociétale. Nous avons le devoir de suivre le sens de l’Histoire et d’abolir les corridas. Cette proposition de loi vise donc à interdire les corridas, sans affecter les autres activités taurines.

    En affirmant solennellement que la torture et la mort d’un animal ne peuvent légalement constituer un divertissement digne de l’éthique contemporaine, nous ferons un pas historique en faveur des droits des animaux et par là‑même en faveur de notre humanité.

    L’article unique prévoit l’abolition de la corrida sur tout le territoire français.

    proposition de loi
    Article unique
    Le titre II du livre V du code pénal est ainsi modifié :

    1° Au onzième alinéa de l’article 521‑1, les mots : « aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables » sont supprimés ;
    2° Au second alinéa de l’article 522‑1, les mots : « aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Il n’est pas non plus applicable » sont supprimés.

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  • Béziers : bienvenue aux nouveaux conseillers municipaux !

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    Le 15 mars l'équipe de Choisir Béziers était élu pour la deuxième fois avec un résultat qui n'est rien d'autre qu'un magnifique remerciement des biterrois pour le travail accompli pendant six ans.

    Mais au-delà, il est plus que réjouissant de constater que les diffamations, injures, fausses nouvelles et autres insinuations malveillantes, n'ont plus aucune incidence sur les esprits. Les efforts désespérés déployés par une gauche en fin de règne et une pseudo droite sans idées et donc sans avenir, sont désormais sans effet. Les souverainistes dont parle Éric Zemmour, ou pour être plus précis, ceux qui ont encore conscience des irremplaçables bienfaits d'une nation fière d'elle-même, prennent la relève pour remettre ce pays malmené sur les rails du redressement.

    La nouvelle municipalité comporte un grand nombre de nouveaux venus et de représentants d'une jeune génération décidée et volontaire. C'est à eux d'abord que vont nos vœux de réussite. Nous savons par expérience qu'ils pourront compter sur les plus anciens et plus expérimentés, qui viennent de faire la preuve de leur compétence et de leur détermination.

    Le conseillers départementaux, qui  sont, depuis cinq ans, en totale symbiose avec la municipalité et ont le même désir de libérer le territoire de ses pesanteurs, sont heureux de pouvoir continuer à travailler avec des élus de cette qualité.

    Henri Bec

    _______________________________________

     

    Robert Ménard

    MAIRE 

    Élisabeth Pissarro

    1er adjoint : Adjointe chargée de la culture et du patrimoine

    Benoît d’Abbadie

    2ème adjoint : Adjoint chargé du commerce, des activités agricoles, de de la Féria et des spectacles taurins

    Alberte Frey

    3ème adjoint : Adjointe chargée de la famille, de la jeunesse, de la petite enfance et de l’école

    Michel Moulin

    4ème adjoint : Adjoint chargé de la citoyenneté, des relations avec les associations, des comités de quartier et des anciens combattants

    Bénédicte Firmin

    5ème adjoint : Adjointe chargée de la santé, de l’écologie, du handicap, de la solidarité et des aînés

    Michel Hérail

    6ème adjoint : Adjoint chargé du personnel, des moyens généraux, de l’état civil, des élections et des cimetières

    Laurence Rul

    7ème adjoint : Adjointe chargée des finances, du budget, des affaires juridiques et du mécénat

    Luc Zénon

    8ème adjoint : Adjoint chargé de l’urbanisme, des marchés publics, des achats et des bâtiments communaux

    Perrine Pelaez

    9ème adjoint : Adjointe chargée du logement et de la lutte contre l’habitat indigne

    Yvon Martinez

    10ème adjoint : Adjoint chargé de la voirie, du stationnement, des espaces verts, de la propreté et de la gestion des déchets

    Gérard Angeli

    11ème adjoint : Adjoint chargé du sport, des relations avec les clubs et des équipements sportifs

    Nourredine Abid

    1er conseiller municipal : Conseiller délégué au handicap

    Georgia de Saint-Pierre

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux comités de quartier et aux aînés

    Alexandra Fuchs

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la salubrité publique

    Henri Fabre-Luce

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux activités viticoles

    Emmanuelle Ménard

    Conseillère municipale

    Mélanie Saysset

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la petite enfance et à la jeunesse

    Jean-Louis Aycart

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la voirie et à la signalétique

    Laetitia Lafare

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à l’état civil, aux intégrations républicaines, aux élections et aux cimetières

    Oscar Bonamy

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux espaces verts, à la propreté et la gestion des déchets

    Aina-Marie Pech

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au logement

    Sébastien Saez

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux commerces

    Stéphanie Navarro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au stationnement

    Najah Alami

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux animations

    Marine Jaoul

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux équipements sportifs

    Christophe Spina

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la culture et aux archives

    Fabienne Bertrand

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux maisons de quartier

    Émile Fort

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux anciens combattants

    Marjorie Gomez

    Conseillère municipale

    Marc Andrieu

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à l’écologie

    Monique Agugliaro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux associations

    Marc Valette

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux associations sportives

    Aurélie Jené

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au bien-être animal

    Sarah Rahni

    Conseillère déléguée aux relations avec les citoyens

    Jérémie Vidal

    Conseiller municipal

    Delphine Azais

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux bâtiments communaux et à la pollution visuelle

    Christian Sarkis

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux moyens généraux

    Mathilde Goulliart

    Conseillère municipale

    Veysel Yildirim

    Conseiller municipal

    Meltem Adtakan

    Conseillère municipale

    Victor Alzingre

    Conseiller municipal

    Nadine Besse

    Conseillère municipale

    Jean-Pierre Galtier

    Conseiller municipal

    Pascal Resplandy

    Conseiller municipal d'opposition

    Véronique Vidal-Laur

    Conseillère municipale d'opposition

    Christophe Huc

    Conseiller municipal d'opposition

    Nicolas Cossange

    Conseiller municipal d'opposition

    Thierry Antoine

    Conseiller municipal d'opposition

     

  • "Le procès de Simon de Monfort" - Rétrospective

    Le procès de Simon de Montfort-2.jpgIl y a 10 ans, le 23 juillet 2009, des avocats et magistrats du Tribunal de grande instance de Béziers interprétaient en l'église de la Madeleine, devant une salle comble, une pièce écrite et mise en scène par l'historien biterrois Robert Cavalié, "Le procès de Simon de Monfort", à l'occasion du 800ème anniversaire des événements liés à la Croisade contre les Albigeois.

    Pièce originale qui traitait, non pas du sac de Béziers en 1209, dont on connait un des moments tragiques situé précisément à l'église de la Madeleine, mais des usurpations de terres commises par Simon de Monfort, pour les juristes un procès civil et non pénal.

    Quelques jours auparavant le journal "L'Hérault de l'économie et des affaires" avait demandé à Henri Bec, qui pour l'occasion tenait le rôle du Procureur du Roi, une note sur cette partie de l'histoire de France qui a si profondément marqué notre Midi.

    C'est ce texte que nous reproduisons.

    2009-07-09-Article l'Hérault de l'Economie-2.jpg

     

     

  • V-Défense et illustration de notre patrimoine

    Pour cette rentrée, revenons à notre patrimoine. Il nous rappelle constamment que nous sommes une nation à l'histoire ancienne et glorieuse, et que nous avons le devoir de le préserver. Tous les jours les signes de sa disparition sont de plus en plus précis.

    Nous poursuivons ainsi l'étude archéologique réalisée par notre ami Jean-Paul Wiegant, ancien responsable du service archéologique de la mairie de Béziers. Il s'agit de la quatrième publication relative aux arènes romaines.

    (Cliquez sur les photos et images afin de les consulter plus facilement.)

     

    Les anciennes arènes romaines - 5

    Réhabilitation du site et archéologie (1987à 2005)

     

    Photo 21 - Fondation de la façade extérieure ouest de l'amphithéâtre

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    Photo 22 - Observation de l'assise de l'arcade ogivale médiévale

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    Images 21 et 22 : Au niveau des sous sols de ce secteur de la terrasse de l’îlot médiéval les vestiges antiques les plus significatifs se résumeront principalement par la mise à jour du soutènement d'une courte section de la fondation, en gros appareil, de l'ancienne façade externe de l'amphithéâtre antique sur laquelle s'appuie une double arcature ogivale médiévale en cours de dégagement pour une compréhension des méthodes employées par les bâtisseurs médiévaux.

    Photo 23 - Observation de l'assise de l'arcade ogivale médiévale

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    Photo 23 : Vue d'ensemble des zones de sondages et de recherches effectuées, en 1999, entre les immeubles médiévaux conservés en élévation et en cours de réhabilitation dans le respect de leurs constructions et allures d'origines sous le contrôle de plusieurs architectes spécialisés.


    De rares indices de constructions antiques, essentiellement enfouis au dessous d'humbles restes d'habitations ou d'enclos médiévaux, parsemant les alentours, seront observés dans cette zone lors des fouilles et des sondages archéologiques.


    **Notes : La rareté des éléments architecturaux antiques observés dans l'ensemble de ce secteur de la colline Saint Jacques témoignent, ici encore, d'une longue durée de pillage des matériaux pouvant être réemployés ou vendus pour bâtir ou entretenir les remparts, bâtiments civils ou religieux, notamment pendant les diverses poussées d'extensions économiques qu'a connu la cité fortifiée du moyen-âge.

    Photo 24 - Fin de la première phase de sondages sur l’Îlot Médiéval

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    Photo 24 : Cliché des premiers sondages et fouilles archéologiques exécutés dans la zone de la terrasse de Îlot médiéval, localisée entre le niveau supérieur de la bordure des gradins surplombant l'arène elle même et deux arcades ogivales, toujours en élévation, derniers témoignages d'un ancien grand immeuble médiéval.
    Ces interventions vont nous apprendre qu'une occupation humaine de la préhistoire n'est que très peu représentée sur cette partie de la colline St Jacques, jusqu'à l'arrivée, aux alentours du Véme siècle avant J.C., d'une population inconnue ou indigène qui occupera ce secteur pendant un temps indéterminé.

    Photo 25 - Observations des traces d'habitats protohistoriques

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    Photo 25 : La fouille méticuleuse entreprise sur l'espace laissé par la démolition des bâtiments parasites et vétustes apporte les premières preuves attestant la présence d'un peuplement protohistorique, à cet endroit précis, par la trouvaille de divers fragments de céramiques attestés du Véme siècle avant J.C. et mêlés de déchets culinaires étalés parmi les nombreuses traces d'habitations et de silos affleurant le centre d'un large fossé elliptique.


    **Notes : Il sera également encore confirmé que les indices d'habitations antiques autres que les ruines de l'amphithéâtre, sont généralement étonnamment absents de ce secteur.

    Photo 26 - Finalisation des relevés archéologiques sur l'Îlot Médiéval

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    Photo 26 :   Relevés et mesures effectués par l'équipe des archéologues après un nettoyage méticuleux afin de mettre plus clairement en évidence et en relation l'ensemble des structures et indices mis à jour.  
    En raison de la complexité des enchevêtrements chronologiques des vestiges et indices existants au milieu des bouleversements successifs du terrain, l'opération sera longue et délicate pour établir une interprétation fiable de l'ensemble des découvertes.

    Photo 27 - État des sondages en cours en septembre 1999

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    Photo 27 : Cliché du 22 septembre 1999 rassemblant, sur un même niveau de l'îlot médiéval, un amalgame d'empreintes et de diverses fondations de murs, d'enclos, de silos, de foyers et fosses de déchets culinaires échelonnés sur plusieurs siècles incluant la protohistoire, l'antiquité, le moyen-âge ainsi que le XIXéme siècle

    Photo 28 - Vue panoramique de l'arène antique et du jardin en 2006

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    Photo 28 :  Cliché de 2006 exposant la partie basse du coté ouest de l'ambulacre elliptique de l'amphithéâtre formant l'assise des immeubles médiévaux qui bordent l'ouest de l'arène et qui, à ce moment, est encore momentanément inaccessible car en attente d'une consolidation avant une réhabilitation interne permettant une future ouverture sécurisée au public en relation avec le musée du Bitterrois et l'Office du Tourisme qui, nous l'espérons, devrait être effective d'ici quelques mois.

     

    Récapitulatif des interventions majeures

    sur les arènes romaines et l'Îlot Médiéval

     

    - 1841, E. Sabatier entreprend les premières fouilles fournissant une base sérieuse pour les  études postérieures des vestiges de l'ambulacre.


    - 1952, J. Gondard fait réaliser des tranchées de sondage sous la partie basse des gradins.


    - 1984, C. Martinez, procède à une enquête minutieuse des sous sols alentours et propose un premier plan de masse ovulaire des structures de l'amphithéâtre


    - 1987, Suivi de travaux Place du Cirque, par J-P Wiegant, responsable de la Mission Archéologique de la ville de Béziers, et découverte de portions ruinées de la galerie principale dont une base de pilastre angulaire monolithe en calcaire finement agencé.


    - 1991, C. Olive, ingénieur archéologue D.R.A.C-S.R.A du Languedoc-Roussillon, réalise un sondage rue du Moulin à l'Huile sur la parcelle LX 320 située à l'est de l'assiette déjà repérée de l'amphithéâtre ou des ruines de démolitions sont atteintes vers 3,50 m de profondeur.


    La D.R.A.C-S.R.A, fait réaliser une série de sondages électromagnétiques laissant apparaître des portions de structures encore non répertoriées, C. Olive et J.-L Massy, direction du S.R.A, effectuent des investigations dans les caves et les rez-de-chaussées des immeubles médiévaux ceinturant le centre de l'arène et situent ou confirment l'existence de structures antiques. A. Levin, élève géomètre et C. Olive (S.R.A), réalisent un relevé topographique des structures visibles.

    - 1992/1993, O. Ginouvez archéologue, (Responsable scientifique d'opération pour l'A.F.A.N) et son équipe réalisent une série de sondages archéologiques pour repérer l'impact et le niveau d'enfouissement des vestiges éventuels. Devenue propriétaire, la Municipalité de Béziers fait démolir les garages modernes présents au sud-ouest de l'arène et au devant de l'ambulacre.


    - 1993/1994, O. Ginouvez (A.F.A.N) et son équipe entreprennent le relevé et la vérification de la stabilité des parties hautes des gradins (Cavea) surmontant la paroi de l'ambulacre.  

     
    - 1997/1998, O. Ginouvez (A.F.A.N) et son équipe dégagent les fondations des gradins (Cavea) situés au dessus de la paroi sud de l'ambulacre restée en élévation en limite de la terrasse en surplomb regroupant plusieurs immeubles du moyen-âge. Intervention suivie d'une série de fouilles et de sondages archéologiques préalables à l'aménagement du jardin destiné au public depuis la partie sud de l'arène centrale, elle même, jusqu'à la base de la paroi du mur intérieur sud-ouest en élévation de l'ambulacre.


    - 1999, Une équipe d'archéologues dirigée par C. Olive, (S.R.A.) réunissant D. Ugolini (C.N.R.S.) spécialiste des céramiques protohistoriques, O. Ginouvez et des agents de l'A.F.A.N., J-Paul Wiegant de la Mission Archéologique de la Ville de Béziers, appuyé  d'emplois jeunes en collaboration amicale avec plusieurs collègues des Services Techniques Municipaux de la Ville de Béziers, entreprend les sondages sur les parcelles LX 274, 283 et 286 libérées suite au curetage des immeubles vétustes par la S.E.B.L.I.


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    Documents réalisés d'après des archives rassemblées par J-Paul Wiegant (2017)