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La nouvelle victoire d’Orban a un sens simple, évident : il existe des peuples qui refusent de mourir

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Les Français qui font l’essai de l’expatriation dans les pays d’Europe centrale ou de l’est n’en reviennent pas : on peut donc vivre en Europe, pas trop loin de la France, dans des pays paisibles, agréables, où les relations entre l’Église et l’État sont normales, respectueuses, où un homme est un homme et une femme une femme, où l’on ne bourre pas le crâne aux enfants avec des déviances élevées au rang de religion, etc.

Oui, il est possible de vivre en Europe comme l’on vivait en France jusqu’au 10 mai 1981.

Il y a plusieurs manières d’approcher la chose. Il est des pays comme la Roumanie qui prétendent jouer le jeu européen, donnent des gages tout d’apparence, mais en réalité ne suivent que très peu les diktats de Bruxelles, pour continuer tranquillement leur vie et leurs pratiques…

Et puis il y a ceux, comme la Hongrie, qui y vont plus fort, en résistant avec force aux coups de boutoir des post-modernes, menés par l’horrible Soros, lui-même né Hongrois.

La Hongrie en paie le prix : la presse bien-pensante (et subventionnée) de l’occident lui vomit dessus à longueur d’articles, et les commissaires européens ne rêvent à son encontre que de sanctions, humiliations, etc. Comment, la Hongrie refuse d’accueillir les « réfugiés » hommes seuls et musulmans ? Comment… ? etc.

On voit même ici et là fleurir des accusations d’élections truquées, alors qu’il n’en est rien.

Il est très difficile pour les « élites » traitresses bruxelloises de faire face à une réalité qu’elle juge surannée et insupportable : des peuples qui ont une furieuse envie de garder leur mode de vie, de préserver la paix civile, de continuer à se promener sans danger le soir dans leurs villes, et de laisser seuls les clochers – ou les bulbes dorés – dessiner l’horizon du paysage national, à perte de vue.

C’est insupportable pour Bruxelles. Et rien que pour ça, cette nouvelle victoire de Viktor Orban doit nous faire chaud au cœur.

Julien Michel

C'est une leçon dont nous devrions nous souvenir dimanche...

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