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Quand le maire de Béziers fait l’apologie de la baffe !

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Cet article ne manque pas de sel ! Outre la touche d'humour bien vue, il résume ce que beaucoup réalisent désormais. Nous ne sommes même plus dans le tripatouillage politique mais dans le médiocre spectacle de saltimbanques "qui se voyaient déjà en haut de l'affiche", en vain !

 

Par Jacques Nain

Nain.jpgMercredi 7 septembre, en fin d’après-midi nous avons regardé sur LCI David PUJADAS qui anime l’émission éponyme « 24HEURES PUJADAS ». Le journaliste nous a présenté Robert MÉNARD comme étant le nec plus extra de l’union des droites, un influenceur d’idées à partir de son expérience de maire de Béziers. Comme ne cesse de le dire ce dernier à chacun de ses passages dans les divers médias – au moins quatre fois par semaine - nous aussi, comme lui, nous pouvons affirmer : « Nous sommes sidérés, nous sommes consternés ! »

En effet, depuis des mois, on constate que le maire de Béziers et son épouse Député n’œuvrent que dans le seul intérêt de leur couple. De l’union des droites, ils n’ont que faire : c’est une simple façade électoraliste. Si, de façon trompeuse, ils ont défendu cette idée dans les médias et sur les chaînes nationales, en vérité localement, ils ont fait et font l’inverse. Depuis des années, ils ont phagocyté les divers responsables des droites afin, une fois aux responsabilités publiques, de les éliminer progressivement de la scène biterroise.

À titre d’exemple, depuis 2014, le couple n’a jamais participé à une Commémoration officielle de l’Appel du 18 juin du Général de Gaulle. Pourtant, chaque année, au cimetière neuf de Béziers, ils se recueillent et déposent des gerbes au monument aux morts sur lequel est inscrit le nom de l’organisateur de l’attentat du Petit-Clamart le 22 août 1962 contre le président de la République de cette époque. Est-ce avec de telles postures que l’on peut bâtir l’union de toutes les droites ?

Ce sectarisme et cet antigaullisme primaire sont dignes des apparatchiks de l’extrême-gauche : le sieur Robert MÉNARD n’a-t-il pas été militant de cette cause pendant des années au début de sa carrière politique ? Son épouse n’est-elle pas issue d’associations mondialistes du style France Liberté chère à Danielle Mitterrand ?

Et puis, à l’évidence, depuis le mardi 16 novembre 2021, date à laquelle le Président Emmanuel Macron est venu visiter à Béziers la Cameron, où est implantée l’entreprise GENVIA (CEA/Schlumberger) spécialisée dans la production d’hydrogène vert et la fabrique des électrolyseurs haute température, le masque est tombé ! L’accueil du maire au président allait bien au-delà d’un acte républicain, il était un sérieux appel du pied à Macron ! Qui d’Emmanuelle ou de Robert intégrera un ministère ? Là est la véritable question : que ne feraient-ils pas ces « gens-là » pour un maroquin !

Quant à l’influenceur d’idées que serait l’intéressé avec son épouse – certains mal intentionnés les désignent comme étant Les Balkany bis de la politique – on se gausse ! Sans prendre en compte les non-votants, les abstentions, les votes blancs et les opposants que représentent réellement les 46 458 biterrois inscrits sur la liste électorale de la ville de Béziers en regard de la totalité nationale des 48,7 millions citoyens français. Avec moins de 1% peut-on évoquer la notion d’influenceur d’idées ?

C’est tant mieux ! En effet dans l’émission en question, avec sa grossièreté et sa vulgarité habituelle quand le maire de Béziers évoque les faits du 29 août dernier sur l’agression à Cannes d’une vieille-dame de quatre-vingt-neuf  ans par trois adolescents, c’est du délire : l’homme public ne propose comme seule solution que de mettre des « baffes ! » Pourquoi supporterions-nous de telles aberrations, démagogies et inepties ? À l’heure où les violences familiales monopolisent la sphère médiatique et publique selon MÉNARD il faudrait pour éduquer notre jeunesse avoir la pédagogie de la gifle, du soufflet, de la beigne, de la calotte, de la claque, de la mandale, de la taloche, de la tarte, de la torgnole, etc. Et le maire de Béziers de rajouter sans vergogne « Si un mec me touche les fesses, je me retourne et je lui en colle une ». Avec un tel niveau d’intervention philosophique, les mercredis, nous changeront de chaîne télévisée !

 

Jacques Nain est également l'auteur de plusieurs ouvrages dont La guerre de l'ombre dont nous avons déjà parlé, à retrouver ICI.

Ou Jacques Mesrine, avec une préface du commissaire divisionnaire Charles Pellegrini. Un témoignage direct, Jacques Nain ayant activement participé à la traque de l'ennemi public n°1. ICI

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