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Islam - Page 3

  • Bernard Lugan : « L’Afrique va continuer à se déverser inéluctablement en Europe … »

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    Parmi les spécialistes francophones de l’Afrique se trouve Bernard Lugan, directeur de la revue L’Afrique réelle, qui vient de publier son 100e numéro. Une revue lue attentivement chaque mois par de nombreux militaires, officiers et personnalités français qui s’intéressent de près au continent africain.

    L’actualité de ce continent étant chargée, et lourde de conséquence pour l’avenir de l’Europe, nous l’avons sollicité pour une interview, dans laquelle nous évoquons sa revue, la situation au Mali, le sort des  Blancs en Afrique du Sud, la démographie, l’immigration en Europe.

    Avant de conclure par une allusion sur son dernier ouvrage, « Mai 68 vu d’en face », qui devrait faire grincer les dents (il leur en reste sûrement quelques-unes) des gauchistes que Bernard Lugan a affrontés en mai 68.

    Entretien accordé au site Breizh-info.com

    Breizh-info.com : L’Afrique réelle sort son centième numéro. Quel bilan tirez-vous jusqu’ici de votre revue, unique en son genre, et de son lectorat ?

    Bernard Lugan : Le bilan est particulièrement positif, notamment en raison du grand nombre et de la fidélité des lecteurs (80 % de réabonnement). Un public de très haute qualité, qui demande des informations précises. Moi je ne donne pas des informations de première main, pour cela il y’a les agences, les journaux… Moi ce que je donne ce sont des éclairages. Je donne des explications qui ne vont pas dans le sens de la doxa. Des explications qui parlent du réel, de la géographie, des ethnies, et des véritables rapports humains.

    Breizh-info.com : La situation au Mali — thème de votre 100e numéro — est elle inquiétante ? Quelles répercussions possibles dans toute la région ?

    Bernard Lugan : Oui c’est un gros numéro d’une quarantaine de pages uniquement consacrées au Mali. Je ne me contente pas d’expliquer la situation actuelle, comme dans tous les numéros de l’Afrique Réelle. Je pars de très loin. Je pars de quasiment la préhistoire, je remonte à travers le temps long africain, je montre que les phénomènes que nous observons aujourd’hui sont la résultante de constantes historiques présentes depuis 2000/2500 ans. Avec notamment la question du rapport entre les populations du Nord, prédatrices, et les populations du Sud, souvent victimes.

    Je montre que la colonisation avait mis entre parenthèses ces rapports conflictuels et que depuis la fin de la colonisation, les grandes constantes (les marxistes auraient dit les lignes de force) historiques reviennent.

    Je montre surtout que le djihadisme n’est qu’un aspect totalement secondaire de la question. Selon une formule que j’utilise régulièrement, je dis que le djihadisme n’est que la surinfection d’une plaie ethnoraciale.

    Imaginons que nous puissions détruire tous les groupes islamistes, cela ne résoudra absolument pas la question du Mali, car la question du Mali n’est pas une question djihadiste. Elle réside dans l’impossibilité de faire vivre dans le même État des nordistes qui ont une tradition prédatrice et des sudistes qui ont une tradition victimaire. À partir de ce moment là, même si les djihadistes étaient éliminés, le problème touareg continuerait de se poser.

    Breizh-info.com : Quid de la situation des fermiers blancs en Afrique du Sud ? Il semblerait que contrairement à l’Australie, l’Europe ne jette même pas un coup d’œil dans le pays de Nelson Mandela ?

    Bernard Lugan : L’Afrique du Sud est sortie de l’histoire, elle n’intéresse plus personne. Le pays n’est plus un pays stratégique et ne se trouve plus pour le moment sur un axe stratégique sauf si bien sûr demain les rapports devenaient conflictuels avec la Russie et la Chine et que le contrôle des mers soit de nouveau important. Quant aux Blancs ils sont sortis totalement de l’histoire.

    Mais les Blancs d’Afrique du Sud sont responsables de ce qui leur arrive. Dans les années qui ont précédé la remise du pouvoir à l’ANC, le président De Klerk, qui a trahi son peuple, avait donné une dernière chance à son peuple de s’exprimer à l’époque où seuls les blancs pouvaient voter. Il avait organisé un référendum en demandant aux blancs d’Afrique du Sud : « Voulez-vous que je continue le processus de discussion avec l’ANC — qui aboutira à leur prise du pouvoir — ou alors êtes-vous opposé à cela ? » Si les blancs avaient voté non, le processus aurait été différent de celui qui s’est produit. Ils ont voté majoritairement pour que De Klerk continue à négocier. Ils ont mathématiquement aujourd’hui les résultats qui se produisent.

    Il était évident qu’un jour ou l’autre, l’ANC dont le programme contenait la reprise des terres allait reprendre les terres. C’était inéluctable. Je l’ai annoncé depuis 1985.

    Breizh-info.com : Mais qu’est-ce qui explique que les Pays-Bas, l’Angleterre, ferment les yeux sur le sort de ceux qui, génétiquement, appartiennent à leurs peuples ?

    Bernard Lugan : Nous vivons dans le monde de la repentance, de la culpabilité. Ce terme génétique, pour les Européens, ne veut rien dire. L’Afrique du Sud est un nouveau paradis par définition. C’est le pays arc-en-ciel, celui de Mandela, nouveau Dieu vivant, nouveau Gandhi, donc rien ne peut arriver. Nous vivons dans un monde d’aveugles, d’idéologues et d’ethnomasochistes.

    Breizh-info.com : La démographie de l’Afrique est un des enjeux majeurs du 21e siècle. Est-ce que cela vous inquiète ? Quelles solutions pour éviter l’explosion démographique qui pourrait conduire à la ruée vers l’Europe ?

    Bernard Lugan : Il n’y a pas de solution. Absolument aucune. Les résultats de la médecine coloniale et de la coopération ont fait que la démographie africaine a bondi. La planète entière a fait sa mutation démographique sauf l’Afrique. L’Afrique continue à faire des enfants comme dans les conceptions que l’on pourrait qualifier d’Ancien Régime d’un point de vue démographique.

    Elle avait par le passé des enfants pour compenser une mortalité très importante. Aujourd’hui la mortalité infantile a diminué, les Africains continuent à faire des enfants. La situation va aller en s’aggravant à partir du moment où le vaccin contre la Malaria va être répandu. L’Afrique va doubler sa population. À l’heure actuelle, le seul frein à la surpopulation africaine, c’est la Malaria qui tue, malheureusement des jeunes enfants. Mais le vaccin est quasiment prêt à sortir, et mis dans les 10 années qui viennent sur le marché et distribué par les ONG, ce qui fait que l’Afrique va encore doubler sa population.

    Donc il n’y a pas de solution, car l’Afrique est partagée entre deux grandes religions, l’Islam et le Christianisme, qui sont deux religions contre les politiques de natalité, de contrôle.

    Breizh-info.com : Mais justement, est-ce qu’écologiquement parlant, puisqu’il s’agit d’écologie humaine mondiale, une politique de l’enfant unique imposée à l’Afrique ne pourrait pas être envisageable en persuadant les gouvernants africains ?

    Bernard Lugan : C’est impossible, car il n’y a pas un État africain, mais 52 États. Chacun a sa politique. Dans les pays musulmans par ailleurs, le poids de la religion est tel que ce n’est même pas envisageable. Dans les zones chrétiennes idem.

    Nous sommes enfin dans des sociétés africaines d’ethnomathématique électorales, donc il est bien évident qu’aucune ethnie ne va accepter de diminuer sa population, ce qui la mettrait en faiblesse par rapport aux ethnies qui ne la contrôleraient pas. Donc tout concourt pour la course à la démographie.

    Ajoutez à cela les catastrophes écologiques, il n’y a pas de solution. Un pays comme le Niger, qui est un désert total, avait moins de 500 000 habitants en 1900, moins de 800 000 à l’indépendance, et bientôt 40 millions d’habitants. Et c’est un désert, sans production ni rien. Où vont aller ces gens ? Pas vers le sud, forcément vers le Nord. Donc la seule solution, et nous n’avons qu’une seule marge de manœuvre, c’est d’établir des partenariats avec les pays d’Afrique du Nord, qui eux, sont en première ligne. Ce n’est pas l’Europe qui est en première ligne, mais bien eux.

    Ces pays sont des pays que nous devons renforcer au maximum. C’est pour cela que la guerre déclarée par Sarkozy et Bernard Henry Levy contre la Libye est une entreprise profondément criminelle, car la seule lucarne d’émigration qui soit véritablement généralisée en Afrique du Nord, c’est la Libye. Alors que du temps de Khadafi, cette émigration était contrôlée. L’Afrique va continuer à se déverser inéluctablement en Europe avec la complicité des autorités européennes.

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    Breizh-info.com : Vous avez évoqué la Libye, mais ne doit-on pas s’inquiéter également de l’Algérie à la chute de Bouteflika ?

    Bernard Lugan : Oui et non. Il n’est pas sûr que le pire arrive en Algérie. Il y’a un an je vous aurai dit que le pire allait arriver, maintenant je suis à 50/50. Parce que les oligarques qui tiennent le pays n’ont pas intérêt à ce qu’il y’ait anarchie, ce serait mauvais pour leurs affaires, pour leurs trafics. Il est possible que la situation — bien que ce pays s’enfonce dans le néant — ne soit pas dans le futur apocalyptique comme elle l’est en Libye.

    En plus, l’Algérie sort d’une guerre civile, je la vois mal replonger dedans.

    En revanche, le danger serait une guerre avec le Maroc. On sent à l’heure actuelle une crispation très forte sur la frontière à propos du Sahara occidental et il ne serait pas impossible que l’Algérie ait besoin d’un dérivatif guerrier pour ressouder sa population. Il y’a ce danger qui est latent, qu’il ne faut pas grossir, mais qu’il faut avoir à l’esprit. L’Algérie se surarme. Et pas avec du matériel pour lutter contre sa guérilla islamiste résiduelle. Elle s’arme avec des armes lourdes. Du blindé, de l’aviation… C’est forcément pour lutter contre le Maroc.

    Breizh-info.com : Ce n’est pas réjouissant pour l’Europe à moyen terme tout cela.

    Bernard Lugan : Non d’autant plus que nous n’avons plus de Marine. La priorité des priorités à l’heure actuelle c’est d’en recréer une. C’est fondamental, car tout va se passer sur la Méditerranée. Nous allons devoir défendre nos positions avancées dessus. Ce n’est pas avec le Charles de Gaulle qui est en réparation six mois par an que nous allons faire quelque chose. Il nous faudrait plusieurs porte-avions, une Marine puissante pour pouvoir aider éventuellement tel ou tel point d’appui sur le littoral nord-africain.

    Il y’a une véritable politique méditerranéenne à avoir, et nous ne l’avons pas.

    Breizh-info.com : Un peu plus positif, et pour sortir de l’Afrique, vous revenez du colloque de l’Iliade, qui a attiré plus de 1000 personnes, vos impressions ?

    Bernard Lugan : C’est remarquable. On sent un immense courant d’air, un grand nettoyage intellectuel. Nous sortons de la vieille politique, des vieux combats obsolètes. Moi qui ai une grande expérience de ce genre de chose, j’ai eu l’impression d’avoir l’élite de notre famille qui était là. Une élite qui comprit le problème, qui réfléchit. La qualité des interventions était remarquable, le sérieux du public, tout était étonnant. C’est monté en puissance par rapport à il y a deux années quand je m’y étais rendu.

    Breizh-info.com : Vous sortez par ailleurs un ouvrage sur Mai 68, « vu d’en face ». Parlez-nous de votre livre et de votre expérience de mai 68 ?

    Bernard Lugan : Oui c’est un ouvrage différent de ceux que j’écris d’habitude. Rédigé, car nous arrivons à l’anniversaire de ce stupide mai 68 qu’on nous présente comme un évènement considérable. Il a eu des conséquences considérables, mais l’évènement en lui même était d’une nullité, d’une platitude, c’était une révolte de petits bourgeois nantis. Je savais qu’il y aurait des dizaines de bouquins écrits et évoquant la même chose, donc ce que j’ai voulu faire, c’est raconter des souvenirs montrant qu’il y a eu une guérilla, menée par des groupes minoritaires — j’étais responsable de l’un d’entre eux. Je raconte comment nous avons essayé de mener notre petite guerre face à la marée montante du conformisme et de la moutonnerie de tout ce mouvement.

    Je raconte mai 68 à travers une dizaine d’anecdotes, d’épisodes assez décalés. Ce n’est pas du tout un livre d’ancien combattant. Je montre surtout à quel point ce mouvement n’a rien représenté sur le terrain. Si le gouvernement avait voulu le stopper, il l’aurait fait immédiatement. Il n’y a jamais eu d’affrontements directs entre la police et les manifestants, ils se battaient à distance — pavés contre gaz lacrymogène — il n’y a pas eu de prise d’assaut de barricades, il y a eu la volonté du gouvernement de ne pas intervenir en force contre ces gauchistes.

    Au bout de quelques semaines, les syndicats et les partis de gauche ont voulu eux tenter la prise de pouvoir, mais ça, c’est une autre histoire.

    Propos recueillis par Yann Vallerie

  • L'Afrique continue à se déverser sur la France

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    Mais, curieusement, les médias français préférant ignorer les sujets qui fâchent, ne parlent plus des dizaines de milliers de ces clandestins qui continuent d’arriver sur les côtes européennes.

    Pourtant, ce ne sont pas nos proches voisins italiens ou espagnols qui s’en plaindraient. Parce que ces deux pays, situés à quelques encablures des côtes nord-africaines, subissent, journellement, les assauts des « migrants ».

    Dans un article du 20 novembre, Le Figaro révèle que ces nouveaux arrivants ne viennent pas de l’Afrique subsaharienne, mais directement d’Algérie. Et ce ne sont pas les meilleurs puisqu’il s’agirait de repris de justice renvoyés de leur pays et qui refusent catégoriquement toute inspection ou vérification d’identité.

    Ainsi donc, l’Algérie se met également à suppurer du clandestin pendant que le gouvernement français multiplie les visas pour les demandeurs de ce pays dont plus de six cent mille ont été délivrés pour la seule année 2017.

    Mais les Algériens n’entrent pas seulement par la porte italienne. L’Espagne, à portée des côtes algériennes, voit depuis quelques mois une hémorragie de clandestins se déverser sur les plages de Murcie.

    Selon un article de tsa-algerie.com, plus de 13.533 harraga sont arrivés en Espagne depuis janvier dont un millier pour le seul mois d’octobre, à bord de 824 bateaux. Le 19 novembre, sur le site espagnol ABC opinion, le journaliste Hermann Tertsch se dit horrifié par le silence des médias espagnols qui commentent ce qu’il appelle le débarquement algérien comme un vulgaire événement.

    Ce sont en effet 44 bateaux qui ont abordé, en 24 heures, vendredi dernier, déversant quelque 500 hommes, tous de jeunes arabes, sur les côtes de Murcie.

    Non. Ils n’ont plus le droit de nous taire la vérité. La Libye et son marché aux esclaves ne doivent pas cacher la réalité de l’intensification de l’invasion arabe que nous subissons.

    Et cette nouvelle invasion nous vient des pays anciennement français, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc. Que ce soient les présidents des deux premiers ou le roi du troisième, aucun d’eux n’a la volonté réelle d’empêcher ces hommes de partir de leur pays. Au contraire, nous dirons qu’ils les encouragent à émigrer dans la clandestinité sachant que les pays européens les garderont.

    Mais, alors, que font les dirigeants européens ? Que fait la France ?

    Ils sont les complices des dirigeants africains et nord-africains. Ils sont les complices de tous ces clandestins qui débarquent chez nous. Mais ils ne veulent pas l’avouer. Ainsi, nous devrons nous laisser envahir par ces hordes de Maghrébins et Africains dont nous savons tous, pour les avoir depuis plus de 40 ans chez nous, qu’ils sont inassimilables dans notre société.

    Des dizaines de millions de ces gens-là y vivent déjà. Le chômage est toujours en hausse. Nous n’avons quasiment plus d’industrie. Nous ne pouvons pas leur offrir du travail. Le ministère de l’Immigration (et de l’Intégration !) voit son budget 2018, réduit de 1,4%.

    Qui financera et avec quoi ces charges supplémentaires ? Parce qu’il faudra les nourrir, les loger et… les subir. Nous devons nous rendre à l’évidence. Les dirigeants européens sont décidés à remplacer la race blanche par une race indéfinie, un peu africaine, un peu arabe, un peu de tout mélangé.

    Et, finalement, nous n’aurons plus de pays. Donc, plus d’identité. Rien.

    Seulement des gens pauvres et des gens riches. Les riches sont et resteront les décideurs d’aujourd’hui. Les pauvres seront plus pauvres encore parce qu’ils ne seront rien que des sujets malléables à souhait puisqu’ils seront sans race, sans identité, sans origine.

    Comment en sommes-nous arrivés à ce stade-là ? Comment avons-nous pu accepter cette déchéance ? Nous avons manqué de courage.

    Dans l’état actuel de sa situation, la France est vouée à disparaître en tant que Nation. Elle a été détruite par ceux qui ont eu la charge de la diriger. Le dernier n’étant pas le moindre artisan, elle lui devra sa disparition inexorable dans les quelques années à venir.

    © Danièle Lopez pour Dreuz.info.

  • Livre : notre sélection

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    Connaître l’Islam

    C’est un traité simple et profond : l’Islam pour tous ceux qui veulent en parler, mais ne le connaissent pas vraiment. Il est devenu difficile de tenir sur l’Islam un discours clair et conforme à la réalité. Le conformisme ambiant, la peur d’être accusé de racisme ou d’islamophobie, concept forgé précisément afin d’en interdire toute critique et analyse, une vision erronée de la tolérance, une ignorance abyssale ont contribué, ces dernières décennies, tandis que l’implantation musulmane s’accroissait, à en présenter une image apaisée, « en phase avec la laïcité et la modernité », mais fausse. L’actualité ne cesse d’ailleurs de rappeler combien le discours officiel sur la question est mensonger et absurde, ce qui suscite, chez un nombre croissant de Français, interrogations et angoisses.

    C’est à ces gens ignorants, désinformés, inquiets, à raison, que s’adresse ce nouveau livre d’Annie Laurent, spécialiste incontestée du Proche-Orient et des rapports difficiles entre musulmans et chrétiens.

    À l’origine, il y a les Petites feuilles vertes publiées par l’association Clarifier, qui présentent, de manière synthétique et accessible mais très sérieuse et complète, l’histoire de l’Islam, ses courants, sa pensée, ses croyances, ses divisions internes, son droit, sa conception de la place de la femme dans la société, ses ambitions de domination mondiale, son recours à la violence institutionalisée, l’idée qu’il se fait de ses rapports avec les autres religions.

    Dans ces dossiers, enfin regroupés et mis à la portée de tous, Annie Laurent n’emploie pas la langue de bois. Jamais elle ne prétendra, comme il est de bon ton de le dire, que l’Islam est une « religion de paix, de tolérance et d’amour ». Elle sait qu’entretenir de tels mensonges désarme des populations d’accueil, rendues déjà vulnérables par la déchristianisation ambiante, le relativisme, la perte du sentiment national, et empêche l’assimilation des arrivants.

    Dire la vérité est une nécessité vitale, une question de survie pour nos nations. Cela ne signifie pas manquer à la charité envers les musulmans, au demeurant souvent les premières victimes d’une croyance qui a refusé, une fois pour toutes, d’évoluer ou se réformer.

    Cette prise de conscience nécessaire et urgente s’accompagne d’un appel vibrant à aimer, même s’ils se donnent parfois beaucoup de mal pour ne pas l’être, les disciples de Mahomet, c’est-à-dire à leur offrir les moyens de découvrir le Christ et son amour. C’est à l’Église, aux évêques, au clergé, tout aussi prisonniers de leurs idées fausses que le sont journalistes et politiciens, que s’adresse Annie Laurent, pas dupe d’un « dialogue interreligieux » à sens unique, dans un remarquable développement consacré aux erreurs et naïvetés trop répandues parmi les catholiques au sujet des prétendues convergences entre les monothéismes.

    Ce n’est qu’en apprenant à connaître vraiment l’Islam qu’il sera possible d’assurer notre avenir. Lire Annie Laurent est un excellent moyen de le faire.

    L’Islam, Annie Laurent, Editions Artège, 285 p., 19,90 €

    Anne Bernet

    Historienne et journaliste

     

     

    Sévilla.jpgLes appréciations de Jean Sévilla

    Consacré à islam — conçu à la fois comme religion, civilisation et donnée politique et sociale — et portant un sous-titre qui annonce son objet Pour tous ceux qui veulent en parler (mais ne le connaissent pas encore), le livre d'Annie Laurent, spécialiste du Proche-Orient, des chrétiens d'Orient et de leurs relations avec les musulmans, est un chef-d'oeuvre de pédagogie.

    Du Coran aux différentes familles de cette confession (sunnisme, chiisme, alaouitisme...), du djihad à la conception islamique de l'Etat, du statut de la femme en islam aux rapports des musulmans avec les autres religions, l'auteur décrypte tout dans un langage très clair.

    Un guide très sûr pour aborder un sujet brûlant en mariant lucidité sur la réalité et respect pour les personnes.

  • Jean Raspail le prophète

     

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    (Jean Raspail, écrivain, auteur du Camp des Saints)

     

    J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé.

    Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile.

    C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité.

    D’autant plus qu’en 1973, en publiant "Le Camp des saints", j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites. Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’"ils sont chez eux chez moi" (Mitterrand), au sein d’une "Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes" (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les Français de souche se compter seulement la moitié - la plus âgée - de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

    TOUTE L’EUROPE MARCHE À LA MORT

    La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas - rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation.

    Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque.

    Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme. Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050.

    LA PREMIÈRE HYPOTHÈSE : LES ISOLATS RÉSISTANTS

    Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français - et pas nécessairement tous de race blanche - qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération.

    Cela ne leur sera pas facile.

    Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte - je cherche un terme approprié - d’une communauté de la pérennité française.

    Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.

    Cela ne plaira pas.

    Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés.

    Et ensuite ?

    Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom.

    Ce processus est déjà amorcé.

    LA SECONDE HYPOTHÈSE : LA « RECONQUISTA »

    Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de « Reconquista » (lire « De la Reconquête Française» - de Marc Noé) sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus.

    Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr.

    Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’«éternelle» qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé.

    Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’État (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces "intelligents" qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

    LES RENÉGATS DE LA FRANCE

    Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot "renégat", mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République.

    Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure.

    Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde. Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour- là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République. »

    Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure:

    "Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie". (Président Boumediene, mars 1974.)

    Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : "Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée"

    Jean Raspail

  • Allemagne: 75% des migrants seront chômeurs de longue durée et allocataires sociaux à vie

     

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    L’idée que la Hijrah (immigration musulmane) résoudrait le problème de main d’œuvre en Europe est aussi absurde, que la politique du multiculturalisme et la politique de tolérance (conforme à la charia) de l’UE face à l’intolérance islamique.

     

    90% des demandeurs d’asile en Autriche finissent à l’aide sociale.

    60% des 50 millions de musulmans en Europe vivent de prestations sociales financées par nos impôts. Et cela est aussi reconnu par le Cheikh Khalid Yasin, que l’on ne saurait traiter d’islamophobe :

    En Allemagne, le nombre de migrants au chômage atteint un chiffre record. Le rêve de Merkel de voir les “réfugiés” remplacer la main d’œuvre vieillissante allemande s’évanouit en fumée.

    Souvenez-vous de cette phrase magique: les « réfugiés » sont une chance pour l’Europe.

    « Ce que nous apportent les réfugiés est plus précieux que l’or » avait assuré Martin Schulz à ses compatriotes, assistant médusés à l’invasion de leur pays.

    Angela Merkel à son tour rassura le Allemands de plus en plus anxieux en leur promettant que le boum sur le marché du travail était juste au coin de la rue.

    “L’Allemagne a besoin de solutions viables pour intégrer les réfugiés sur le marché du travail » avait déclaré Angela Merkel l’année dernière , à la Deutsche Welle

    « De nombreux réfugiés suivent des cours d’intégration ou sont sur la liste d’attente. Nous devons tous être patients, mais nous devons être toujours prêts à développer des solutions viables. »

    Non seulement les politiciens allemands, mais aussi les médias officiels des deux côtés de l’Atlantique continuaient à colporter de fausses narrations.

    « La Société allemande voit les réfugiés comme une opportunité » écrivait Der Spiegel, quelques semaines avant l’ordre de Merkel d’ouvrir les frontières du pays à plus d’un million de migrants.

    « Les migrants apportent leurs compétences, leurs qualifications, leur savoir faire et peuvent les transmettre à leurs collègues allemands. » affirmait avec autorité le Huffington Post en 2015. Et la diversité sur les lieux du travail peut « booster » la productivité » !!! Les travailleurs allemands devaient apprécier !

    « Les migrants, un espoir pour la main d’œuvre vieillissante allemande!  » Wall Street Journal

    « La vague de migrants affluant en Allemagne pourrait être exactement ce dont la plus grande économie européenne aurait besoin pour rajeunir sa main d’œuvre grisonnante » US Business Daily

    Mais après l’euphorie, retour à la réalité, et c’est loin d’être un joli rêve bleu.

    Plus de deux ans après la fatidique décision de Merkel d’ouvrir les frontières de son pays à des centaines de milliers de migrants illégaux, l’Allemagne a toujours une main d’œuvre vieillissante et les « réfugiés » supposés répondre aux offres d’emploi restent invisibles. Les migrants – majoritairement des hommes jeunes, en âge de combattre, arabo-musulmans – au lieu de répondre à l’appel des Teutons se sont réfugiés dans le généreux système social allemand. Les statistiques de l’Agence fédérale pour l’emploi (Bundesagentur für Arbeit – BA) révèlent que le taux d’emploi parmi les réfugiés plafonne à 17%.

    Selon le Bild Zeitung de plus en plus de réfugiés dépendent de l’État allemand. L’an dernier, le nombre d’étrangers à la recherche de prestations sociales avait augmenté de 25%. Si vivre aux crochets de l’État à vie est une façon de « booster » l’économie, c’est une théorie nouvelle, à laquelle seuls les idéalistes d’une politique migratoire débridée peuvent encore y croire.

    D’après les dernières statistique publiées par l’Agence fédérale pour l’Emploi, le nombre de migrants bénéficiaires d’allocations de chômage a atteint des niveaux records : 1.997.519 étrangers pointaient au chômage fin juin, soit 25.6% de plus qu’en 2016 à la même période.

    Cerise amère sur le gâteau, l’intégration de ces populations risque d’être très dure et très longue. L’exemple de l’immigration turque, la plus proche culturellement parlant, ne prête pas à l’optimisme, puisque de tous les immigrés présents sur le sol allemand, ce sont ceux qui s’intègrent le plus difficilement sur le marché du travail, contrairement aux immigrés originaires des pays slaves. Ils se bercent d’illusions ces politiciens, qui s’imaginent pouvoir intégrer une communauté, dont la mission sacrée est d’islamiser les mécréants. Le musulman appartient avant tout à l’Oumma, la communauté des croyants et n’obéit qu’à Allah.

    S’imaginer compenser la pénurie de main d’œuvre et le vieillissement démographique de la population par un accueil massif de réfugiés du Moyen – Orient et d’Afrique est une erreur monumentale, qui va s’avérer dramatique pour les peuples européens. Pour résoudre ces problèmes, il ne suffit pas de faire venir des centaines de milliers de gens de pays du tiers monde, aux cultures, valeurs et traditions diamétralement opposées aux nôtres, leur demander de se former et de s’intégrer et croire que le pari est gagné. Non ! Pour qu’ils puissent s’intégrer facilement et remplacer les Occidentaux qui partent à la retraite, les migrants doivent avoir les mêmes valeurs, le même niveau d’éducation, de qualification, de maîtrise de la langue que les futurs retraités. Or c’est loin d’être la cas.

    Aydan Özoguz, ministre de l’intégration, d’origine turque, a déclaré au Financial Times:  "moins d’un quart des réfugiés intègreront le marché du travail au cours des 5 prochaines années et pour beaucoup d’autres, peut-être dans 10 ans. Le pays est confronté à un défi énorme face au problème d’intégration d’un nombre aussi énorme de migrants".

    L’Institut pour la Rechercher sur l’Emploi, (IAB) a dévoilé que seulement 45% des réfugiés syriens en Allemagne possèdent un certificat scolaire et 23% un diplôme de l’Enseignement secondaire.

    L’immigration de masse a été présentée par la classe politique et les médias comme une chance inouïe pour l’Europe vieillissante. Dans la réalité, ce ne fut qu’un tas de mensonges. Les statistiques publiées par l’Agence fédérale pour l’Emploi lèvent le voile sur le désastre en cours. Mais ne vous attendez pas à ce que les « élites » ou les médias corrigent leurs hypothèses à la lumière de la nouvelle accablante réalité.

    Ce que l’Allemagne importe avant tout, c’est l’extrémisme islamique, l’antisémitisme arabo-musulman, les conflits ethniques de gens venus d’ailleurs, une compréhension différente de nos Sociétés et de nos lois, la déstabilisation de nos pays et du continent européen.

    Concerts, festivals, marchés de Noël, célébrations du Nouvel An, fêtes populaires traditionnelles disparaîtront peu à peu de la vie publique dans le but très louable de prévenir les risques d’attentats, d’attaques meurtrières, d’agressions sexuelles… sans toutefois préciser l’origine ethnique et la « religion » des fauteurs de troubles, à savoir les membres d’une certaine communauté, soi-disant importée pour « enrichir » nos pays et payer nos futures retraites.

    A leur place, sous le faux prétexte de respecter l’islam, nous aurons l’immense joie d’assister aux rituels et traditions « culturelles » musulmanes.

    Au pays d’Angela, deux ans après la décision fatidique de Mutti Merkel d’ouvrir les portes de son pays à plus d’un million de « réfugiés » les jeunes migrants, l’avenir de l’Allemagne, manifestent leur gratitude à leur façon.

     Fellbach2.jpgUn exemple parmi d’autres rapporté par le Stuttgarter Nachrichten : une soixantaine de jeunes migrants, âgés entre 15 et 19 ans, ont créé des émeutes et perturbé une fête populaire allemande à Fellbach, petite ville viticole au pied de la Kapelberg près de Stuttgart.

    C’est la manière islamique de montrer de la « reconnaissance » à ces cafards de mécréants pour leur généreux accueil en Germanie ou « Germoney » et un avant-goût de ce que ces « richesses » réservent à leurs hôtes à l’avenir.

    Fellbach3.jpg La « Fellbacher Herbst » est à la fois une fête d’action de grâce pour la récolte d’automne et la fête du vin, qui se déroule le deuxième week-end d’octobre.

    Les citoyens de Fellbach, tout comme les femmes de Cologne avant eux, ont eu l’occasion d’expérimenter les joies de cet « enrichissement » culturel prophétisé par Merkel & Co .

    Si l’Europe échoue à endiguer cette vague de migrants au plus vite , ces incidents ne seront que le prélude de futurs conflits, qui s’amoncellent déjà à l’horizon, tels de gros nuages noirs .

    La période bénie, au cours de laquelle l’Allemagne et les autres pays occidentaux jouissaient de la paix, de la sécurité , de la prospérité et du respect international, est maintenant révolue. Cet âge d’or, cette période heureuse, où les Européens se sentaient libres chez eux ne sont plus que de beaux souvenirs.

    © Rosaly pour Dreuz.info.

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  • Réservez votre soirée

    Les chrétiens d'Orient ont besoin de notre soutien. Ils sont depuis des années victimes de persécutions menaçant directement leur existence. Beaucoup vivent entassés dans des camps de réfugiés, fuyant la terreur islamiste.

    La ville de Béziers est jumelée avec le village de Maaloula, particulièrement éprouvé.

    Soyez nombreux à lui apporter votre aide.

    2017-10-19-Son et lumière.jpg

  • 50.000 musulmans radicalisés en Europe : l'avis de M. terrorisme

    DREUZ INFO

    Interview-vérité de « Monsieur terrorisme »,

    Gilles de Kerckhove : effrayant

     

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    Dans son interview dans le Morgen, relayée dans plusieurs quotidiens et magazines, le « Monsieur Terrorisme » de l’Union européenne, le belge Gilles de Kerckhove, ancien chef de Cabinet e Melchior Wathelet senior, met les points sur l’ « i » du mot Islam, et c’est une douche froide :

    – il y a au moins 50.000 musulmans radicalisés en Europe, soit l’équivalent de 100 bataillons, de 500 compagnies, de 5.000 commandos terroristes en puissance.

    – En Belgique, il y a approximativement 2.000 radicalisés. En proportion de la population belge, c’est 2,7 fois la moyenne européenne! Il est vrai qu’elle prend en compte, cette moyenne, les pays d’Europe centrale (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie,..) qui ont intelligemment fermé leurs portes à l’immigration musulmane voulue par Charles Michel ou Angela Merkel…

    Encore une fois, la Belgique se distingue, comme c’est le cas dans la proportion de terroristes musulmans ayant rejoint les rangs de l’Etat islamique en Syrie et en Irak (500 personnes). Gilles de Kerckhove ne peut donner qu’un ordre de grandeur approximatif. Cela signifie que de facto, cette « population » n’est pas monitorée correctement. La Sûreté de l’Etat navigue au sonar

    C’est la même impuissance qu’ailleurs en Europe: en Espagne, mis à part le gourou Es Satty, le commando terroriste de Barcelone n’était pas connu des services de police et encore moins de la Sûreté espagnole (voir notre article sur les manquements espagnols… et belges). Idem en Finlande, au Royaume-Uni, Allemagne, France ….

    Pour Gilles de Kerckhove, la déradicalisation n’est pas « la » solution. « Je ne crois pas que l’on puisse déradicaliser quelqu’un » déclare-t-il. Cela signifie que les budgets dégagés en Belgique dans la déradicalisation (missions out-sourcées à des « ASBL » composées d’amateurs) le sont à fonds perdus.

    L’expert auto-proclamé Montasser Alde’emeh (sous le coup d’une prévention de faux et usage de faux) a d’ailleurs jeté l’éponge.

    Il n’y a pas de solution. Les spécialistes s’accordent à penser que le “dénouement” au moins partiel de ce casse-tête – le désembrigadement des ouailles de l’EI – ne pourra être atteint, ou plutôt effleuré, que via des méthodes complexes, progressives et lentes. Il ne pourra s’opérer qu’à l’aide de volontés individuelles, du concours de citoyens, de policiers, d’éducateurs, de professeurs, d’imams. Et là encore bien sûr, sans garantie de succès. Gilles de Kerckhove a le courage de le reconnaître.

    Mais sa proposition de création d’un Islam « européen » relève du délire, d’une naïveté de boy-scout attardé. Le moye, serait la formation des imams par un cursus universitaire belge.


    C’est une utopie … Le Ministre de la Justice et des Cultes l’a reconnu : il ne peut rien imposer. Idem pour l’Exécutif des Musulmans de Belgique. Nombre d’imams prêchant dans les mosquées belges reconnues et non reconnues sont « invités » et n’ont pas d’assises fixes en Belgique. Impossible de placer des observateurs de la Sûreté pendant les prêches. De plus, notre Sûreté, débordée par les tâches confiées à la légère par les politiciens du type de Charles Bizounours Michel, ne dispose pas d’assez d’experts qui parlent l’arabe. Il n’y a pas assez de personnel …

    Et quand bien même : il faudrait des générations pour changer le cours de cette idéologie politico-religieuse. Quant à un « Islam » européen … Commençons par ne plus accepter des Tariq Ramadan et autres prêcheurs haineux sur le territoire belge. Muselons ces « Foires musulmanes » que le PS laisse s’installer avec complaisance. Il est utopique de croire que par la grâce d’Allah, les sectes musulmanes sunnites, wahhabites, salafistes, chiites, soufiste, kémalistes, kharijites, ismaéliennes, qarmates, fâtimides, nosaïristes, … vont se mettre d’accord pour ne plus s’entretuer et s’accorder sur un Islam respectueux de la séparation entre l’Etat et la religion ; un Islam qui soit conforme aux Droits de l’Homme et de la Femme. Il y a de plus la Sharia, que tout bon musulman doit appliquer. Et la Sharia est TOTALEMENT IMBUVABLE dans nos démocraties.

    Pour Gilles de Kerckhove, le coordinateur européen de la lutte contre le terrorisme, les métastases de l’Islam radical sont bien implantées en Belgique et en Europe. Il reconnait le lien clair entre Islam et terrorisme. Et des solutions qu’il préconise (l’Islam d’Europe) on peut conclure que l’éradication du cancer islamiste est impossible.

    Le Monsieur Terrorisme de l’UE est en place depuis 10 ans et son aveu d’impuissance aujourd’hui est effrayant. La menace n’a cessé de monter en 10 ans et les bombes en puissance que sont l’Algérie et dans une moindre mesure le Maroc, derniers havres de paix relative dans le monde musulman sont en train de devenir des casseroles à pression qui vont nous éclater à la figure… Pauvres de nous.

    Source : Lepeuple.be

  • Catalogne – La tentation de tous les dangers

    L’alliance des indépendantistes catalans,

    de l’extrême gauche espagnole

    et des islamistes

    pour briser la nation

     

     Catalogne-Islam-2.jpg

    Quel est le point commun entre Younès Abouyaaqoub, le tueur islamiste des Ramblas, Arnaldo Otegi, le marxiste et ancien membre de l’ETA à la tête du parti séparatiste d’extrême gauche basque EH Bildu, Nicolás Maduro, le président-dictateur, également marxiste, du Venezuela, Pablo Iglesias, le chef du parti espagnol d’extrême gauche (financé à l’origine par Chávez puis Maduro) et les indépendantistes catalans ? Leur engagement, à des degrés divers, en faveur d’un référendum d’autodétermination en Catalogne. A cette coalition des gaucho-libertaires, des marxistes et des séparatistes, il faut ajouter, comme dans les années 1930, les nationalistes basques de centre droit (PNV).
     
    D’après la mère du terroriste islamiste des Ramblas qui a parlé au journal italien Corriere della Serra, Younès Abouyaaqoub se sentait catalan et était favorable à l’indépendance de la Catalogne. Il avait même fait du travail bénévole en faveur du « Oui » au référendum illégal prévu pour le 1er octobre. Surprenant ? Pas du tout, cela fait des années que les séparatistes catalans encouragent l’immigration musulmane, font obstacle à la lutte contre l’immigration illégale menée par la police espagnole dans leur région et ferment les yeux sur l’activité des très nombreuses mosquées salafistes.
     
    On ne rappellera jamais assez les mots prononcés en 2010 par Abdelwalhab Houizi, imam de la mosquée Ibn Hazn de Lérida, devant des fidèles musulmans (l’enregistrement avait été diffusé sur Internet) : « Ils [les indépendantistes catalans] cherchent notre soutien pour obtenir des votes, mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que quand ils nous laisseront voter, nous voterons tous pour les partis islamiques, car nous ne raisonnons pas en termes de gauche et de droite. Ceci nous fera gagner les mairies, et à partir de là, avec les compétences étendues des collectivités territoriales, l’islam commencera à s’implanter. » Lors de la « Consultation populaire » de 2014, les séparatistes catalans avaient encouragé – avec succès – les musulmans à voter et ils avaient même autorisé les résidents sans nationalité espagnole à se prononcer eux aussi sur la séparation de la Catalogne du reste de l’Espagne.
     

    L’extrême gauche en faveur de l’autodétermination de la Catalogne

     
    Pour le président vénézuélien Maduro, dont on connaît l’attachement à la démocratie et à l’État de droit, le Premier ministre espagnol, en refusant un référendum aux Catalans, agit en dictateur. Son allié et ami en Espagne, Pablo Iglesias, du parti d’extrême gauche Podemos, considère que les hauts fonctionnaires arrêtés la semaine dernière par la Garde civile dans le cadre de perquisitions du gouvernement de la Généralité de Catalogne sont des prisonniers politiques.
     
    Iglesias ne reconnaît pas en revanche la qualité de prisonniers politiques aux opposants de Maduro emprisonnés au Venezuela. S’il ne soutient pas directement le référendum illégal du 1er octobre (contrairement à sa branche catalane Podem), le parti Podemos se prononce en faveur d’un référendum d’autodétermination convenu avec Madrid en Catalogne et dans toute région d’Espagne qui pourrait vouloir se prononcer sur la question de son appartenance à une nation commune. Même chose pour la très gauchiste Ada Colau qui dirige la mairie de Barcelone. La non moins gauchiste maire de Madrid, l’ancien juge Manuela Carmena, va encore plus loin en soutenant ouvertement la tenue du référendum illégal. Et au sein même du camp séparatiste catalan, il y a bien sûr le parti d’extrême gauche CUP, et ses milices violentes.
     

    Les islamistes, favorisés par les indépendantistes catalans, voient dans la décomposition de l’Espagne une chance pour restaurer Al-Andalus

    Catalogne-Islam-1.jpgLes séparatistes basques voient bien sûr dans ce référendum  une chance pour leur propre programme d’autodétermination. Si le gouvernement espagnol laisse faire la Catalogne, d’autres régions pourront suivre, car avec le développement de l’individualisme et du libéralisme libéral-libertaire – qui s’accommode si bien du socialisme, à moins que ce ne soit l’inverse – depu

    is le retour de la démocratie dans les années 70, la nation n’est plus rien face aux « désirs » des communautés qui la composent. L’instauration d’un « mariage gay » par le gouvernement Zapatero en 2005 et la montée du séparatisme catalan ne sont que les deux facettes d’un même effort révolutionnaire de décomposition-recomposition de la société dont comptent bien profiter les islamistes pour faire avancer leur propre projet pour Al-Andalus.
     

    Olivier Bault

    reinformation.tv

  • Il y a un an, le Père Hamel était égorgé par des islamistes…

     

    2017-07-26-Père Hamel.jpg

    Allocution de M. Robert Ménard, maire de Béziers

    Le 26 juillet dernier, il y a tout juste un an, le Père Jacques Hamel était assassiné alors qu’il célébrait la messe. Egorgé par deux islamistes, aux cris d’Allah Akbar.

    Réunis, regroupés au pied de notre cathédrale, sur cette petite promenade qui porte son nom, résonnent encore, dans nos têtes, dans nos âmes, les derniers mots de ce vieux prêtre, de ce vieil homme, frêle, fragile, sans aucune défense. Sur le point de mourir, c’est en s’écriant « Satan, va-t-en ! Va-t-en Satan ! » qu’il s’est effondré, revêtu de son étole rouge, celle des martyrs justement.

    D’un côté un cri de haine, de l’autre le rejet de cette haine. D’un côté, ce qu’il faut bien appeler le mal ; de l’autre, une supplique pour y échapper, pour s’en défendre, pour le chasser.

    Mais échappe-t-on au mal ? On peut toujours, lâchement, refuser de le voir, de le désigner, de le combattre – qui, parmi nous, parle encore de Satan ? – il n’en reste pas moins présent au cœur de l’homme, au cœur des hommes.

    Le drame de Saint-Etienne-du-Rouvray nous dit, dans sa nudité, que certains ont fait allégeance au mal, ont juré notre perte, qu’ils sont prêts à perdre leur vie pour s’emparer de notre mort.

    Béatifier le Père Hamel, bien sûr. C’est l’affaire de l’Église et du Pape François qui entend saluer un martyre, un homme qui accepte – je cite le Saint Père – « une mort certaine et à court terme (…) par un don total, radical et sans retour de soi pour les autres ».

    Ce qui est en revanche notre affaire, c’est d’avoir le courage de dire, de donner un visage à ce mal qui, mois après mois, depuis des années maintenant, terrifie, ensanglante notre pays, gangrène notre monde.

    Les assassins du père Hamel ne visaient pas seulement un homme, un homme d’église, ils visaient à travers lui ce que nous sommes, cette civilisation vieille de 2000 ans, ce regard, fait de respect, que nous portons les uns sur les autres, les hommes sur les femmes, les croyants sur les non croyants. Ils visaient cette histoire et cette culture partagées, cet apprentissage d’une liberté qui se nourrit de celle des autres.

    C’est tout cela que ces deux islamistes ont tenté d’égorger un mardi, au matin, juste après l’homélie, dans une église, petite, humble, sans faste, où s’était retrouvée une poignée de fidèles.

    C’est cela que nous voulons défendre, que nous devons défendre. Sans esprit de vengeance mais avec fermeté. Une fermeté qui se nourrit du sentiment, de la conviction que nous sommes dans notre droit, qu’il en va du monde que nous laisserons à nos enfants, d’un monde que nous ne voulons pas voir menacé par de nouveaux Saint-Etienne-du-Rouvray. C’est inacceptable, c’est intolérable. Nous ne l’accepterons pas, nous ne le tolèrerons pas.

    Pour le Père Hamel, martyre de l’Eglise. Pour toutes les victimes de cet islamisme qui tue. Pour ne plus se contenter de fleurs et de couronnes. Pour l’obligation qui est la nôtre, non pas de pardonner, encore moins d’oublier mais de refuser cette culture de mort. Pour la vie, nous allons, ensemble, respecter une minute de silence.

  • Ecole d'ingénieurs de Brest. Incroyable !

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    Incroyable, la France leur apprend à fabriquer des bombes et sûrement à s'en servir.

    Le pire est que c'est du haut niveau d’études !

    France : École d'ingénieurs de Brest  : ... Mères en nikab et élèves prêtant serment sur le Coran. Et cela n'inquiète PERSONNE ????

    Nous lancions un cri d’alarme il y a quelques mois à propos des jeunes Qataris qui se lancent à l’assaut de la France et de ses écoles de la Marine :

    À présent nous apprenons que de jeunes Saoudiens fréquentent l’ENSTA-Bretagne, une école d’ingénieurs dépendant et de la Direction générale de l’armement et du Ministère de la Défense.

    Une cérémonie de passage au grade d’officiers a eu lieu et de nombreuses familles saoudiennes avaient fait le déplacement.

    Au vu de la photo, on peut non seulement s’interroger sur le nombre important de jeunes Saoudiens qui reçoivent une formation d’excellence, formation que nombre de nos jeunes patriotes méritants ne reçoivent pas, mais, en sus, les femmes sont restées voilées, ennikabées en contravention avec la loi française. La direction de l’école n’y a pas vu maldonne prétendant qu’il s’agissait d’une « cérémonie traditionnelle saoudienne ».

    Étrange argumentation quand on lit le compte-rendu du Télégramme ci-dessous :

    Le passage au grade d’officier dans une école française serait donc une cérémonie traditionnelle saoudienne  ???

    Je dois avouer que j’y perds mon latin et que, sur le coup, Bel Kacem n’y est pour rien !

    Puisque fêter le grade d’officier serait typiquement saoudien (mais qui sont donc des dizaines de jeunes qui n’ont pas le facies saoudien sur la photo ?) alors, l’ENSTA-Bretagne serait devenu, comme une mosquée ou une ambassade, un état dans l’État ?

    Tout cela parce que des Saoudiens viendraient y faire leurs études ?

    Il va falloir que nos ambassadeurs nous expliquent ce qui se passe, les dirigeants de l’école justifient sans état d’âme cette exception à la loi qui interdit, depuis octobre 2010, de dissimuler son visage dans l’espace public français.

    Or, si je ne m’abuse, récemment, le Ministre de l’Éducation nationale français affirmait que chaque pays était maître chez lui (notamment en matière d’enseignement) justifiant ainsi la censure effectuée dans les livres d’Histoire et de littérature du lycée français du Koweït ?

    Mais ce n’est pas tout :

    Mieux encore, les Saoudiens, dans NOTRE école française, laïque, PRETENT SERMENT SUR LE CORAN !

    « Il s’agit d’un temps particulier, d’une cérémonie qui est propre aux Saoudiens », justifie le directeur de l’Ensta, Patrick Puyhabilier.

    Les élèves prêtent serment sur le Coran, comme ils le font en Arabie Saoudite, au cours d’une cérémonie appelée « Al Qasam ».

    Il est vrai que l’Arabie Saoudite est une  « nation amie ».

    Elle peut condamner à mort à tour de bras, les pétrodollars lui donnent tous les droits, y compris celui d’appliquer en France sa propre loi, c’est-à-dire la charia.

    Le Préfet en personne le reconnaît :

    Et pourtant, le journaliste du télégramme a enquêté, il est formel, les mères ennikabées auraient dû être verbalisées…Vraiment ?

    La charia n’est pas encore tout à fait installée en France ?

    L’Arabie Saoudite et le Qatar ne font pas encore tout à fait la loi chez nous ?

    Complément de Béatrice Bontemps

    On rappellera que l’ENSTA Bretagne fait partie des 4 établissements supérieurs et de recherche qui sont sous tutelle de la DGA et du Ministère de la Défense (les 3 autres écoles sont l’École Polytechnique, l’ISAE  Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace et ENSTA Paris Tech), et tous reçoivent des étudiants du Moyen-Orient, organisent-ils aussi ce genre « cérémonie traditionnelle » ?  Est-ce que le simple « principe de précaution » ne voudrait pas plutôt que l’on fasse tout pour éviter que des citoyens d’états terroristes comme l’Arabie Saoudite et le Qatar aient accès aux enseignements très pointus délivrés par ces écoles ?

    Alors que le directeur de l’IUT de Saint-Denis fait face à des menaces de mort pour s’être opposé à l’emprise de l’islam dans son établissement, il est inquiétant de constater que les directions d’établissements prestigieux se soumettent à l’islam.

    Volontaires pour la France

  • On ne pourra pas dire que nous n'étions pas prévenus !

     

    Il y a eu « la marche des Beurs », SOS Racisme, « Touche pas à mon pote ». Il y a eu l’arsenal des lois destinées à réprimer « la xénophobie » des Français et réduire au silence quiconque s’aviserait de mettre en garde contre une politique migratoire devenue folle.

    Il y a eu l’affaire du voile à l’école, et celle des menus hallal, et les prières de rue, et le port du niqab, et tant et tant d’autres signes avant-coureurs d’un désastre qu’il ne fallait pas être grand prophète pour prévoir.

    Et, aujourd’hui, il y a la « France djihadiste » : ces milliers de musulmans, ou de convertis à l’Islam, emplis d’une haine farouche envers notre pays, nos racines chrétiennes, nos mœurs dégénérées et qui n’ont plus qu’une envie : livrer une guerre impitoyable aux « mécréants » que nous sommes à leurs yeux. En partant combattre aux côtés de DAESH. Ou en restant ici pour semer la terreur et la mort chez nous.

    Pourquoi a-t-on laissé s’enclencher ce processus ? Pourquoi, alors que la gravité du mal est patente, médias et hommes politiques continuent-ils à nier l’évidence, s’accrochant au mythe d’un « vivre ensemble » qui n’a jamais fonctionné, le communautarisme des nouveaux arrivants l’emportant sur leur désir d’intégration, et s’obstinant à voir dans ceux qui nous ont déclaré une guerre sans merci les « déséquilibrés » qu’ils ne sont pas ?

    Loin des discours convenus, Alexandre Mendel est parti à la découverte de ces quartiers, ou ces villes, de France et de Belgique, où l’Islam a déjà imposé ses mœurs.

    Il est allé à la rencontre des imams salafistes, toujours plus influents, – alors que le discours des mosquées « républicaines » abandonnées par les fidèles, est devenu inaudible-, qui ne condamnent jamais les terroristes, au nom de la solidarité de l’Oumma. Il a parlé à ces jeunes partis faire le djihad et qui rêvent, ouvertement, de revenir se faire sauter sur notre territoire, ou d’y trancher gorges et têtes pour la plus grande gloire d’Allah.

    À des édiles locaux dépassés, lâches, ou déjà acquis à la collaboration à venir ; aux idiots utiles qui continueront, tandis qu’ils se feront égorger, à dénoncer « l’extrême droite » comme responsable de leur mort ; aux policiers, aux hommes des services de renseignement qui annoncent l’apocalypse mais sont privés de moyens pour l’empêcher.

    Certes, nous le savions déjà mais voir dessiner ainsi sans aucune complaisance le tableau d’ensemble de la situation donne froid dans le dos. Et plus encore les pronostics d’un avenir noir, très noir, et sanglant.

    Alexandre Mendel a publié son livre avant l’assassinat du couple de policiers en région parisienne, avant la tuerie de Nice, avant le martyre de l’abbé Hamel … On ne pourra pas dire que nous n’étions pas prévenus.

    Anne Bernet, historienne

    Politique magazine

    Alexandre Mendel, La France djihadiste, Ring, 400 p, 18 €.