La gauche crée des drames humains pour ses expérimentations dont les citoyens subissent les douloureuses conséquences.
À cause de leurs « bonnes intentions » mal pensées, mal préparées parce qu’ils ont perdu tout sens commun, tout contact avec la réalité, et toute capacité à bien réfléchir parce qu’ils regardent le monde en idéologues, les socialistes, communistes et progressistes mènent des tests contre nature, contraires à la nature de l’homme, qui font le malheur de leurs compatriotes que de toute façon ils méprisent.
Délire migratoire
Au nom de cette stupide idée que les frontières doivent disparaître alors qu’eux se barricadent dans leurs riches propriétés fermées, gardées par des postes de contrôle, ils ont fait entrer des millions d’immigrés de pays arriérés musulmans. Pas dans leurs quartiers, pas dans les écoles privées de leurs enfants. Pas dans leurs country clubs ni dans leurs piscines non.
Avec cette migration, c’est le tiers monde qui est arrivé avec ses valises pleines de son vide civilisationnel, de son néant économique, de son tissu social rétrograde où les femmes ne sont pas libres de s’habiller comme elles veulent, où l’égalité entre les sexes, la tolérance, la liberté d’expression, la liberté religieuse, la liberté de penser n’existent pas. Au nom de ce multiculturalisme qui est l’apposition d’une culture avancée à une culture attardée, la gauche a appauvri les populations parce qu’elles doivent subvenir aux besoins de ces immigrés, qui sur place étaient déjà incapables de se prendre en charge financièrement, et sont partis vers un monde occidental compétitif et hautement éduqué, où ils ont encore moins de chance d’y parvenir.
Et avec ces migrants, ils ont importé le terrorisme, la haine du blanc, la haine des juifs, des chrétiens, et du mode de vie occidental et laïc.
Délire des écarts de salaire
Croyant aider les plus pauvres, la gauche qui n’a jamais travaillé dans une entreprise a imposé aux entreprises de nombreuses contraintes, dont le salaire minimum. Cela fait tellement longtemps que ce délire existe en France qu’il n’est plus possible d’en mesurer les effets pervers, mais une étude toute récente vient de jeter la lumière sur le sujet.
Le résultat est celui que toute personne qui sait réfléchir pouvait prévoir.
Seattle, une ville très à gauche des États-Unis, a été la première ville américaine à imposer un salaire minimum de 15 dollars de l’heure que réclament les démocrates pour l’ensemble du pays.
Le salaire minimum concerne les emplois les plus bas de l’échelle sociale qui ne demandent aucune qualification, aucune étude, et où le salarié ne peut pas apporter sa valeur ajoutée rémunératrice. Ce sont des emplois pour jeunes, pour étudiants, pour migrants qui ne parlent pas la langue et n’ont aucune formation, et pour ceux qui n’ont fait aucune étude, n’ont appris aucun métier, bref n’ont rien fait pour gravir les échelons de la société.
A Seattle donc, les plus modestes travailleurs gagnent maintenant 15 dollars de l’heure. Mais l’étude montre qu’à la fin du mois, ils rentrent chez eux avec un salaire plus faible en poche.
L’étude de l’Université de Washington démontre que le salaire minimum à 15 dollars a fait progresser la masse salariale de 3%, et dans le même temps, a réduit de 9% le nombre d’heures travaillées, et fait baisser les chèques de salaire de 125 dollars par mois.
Et la mesure a supprimé 5 000 emplois à salaire minimum, alors que l’économie de la ville est en pleine forme, que le taux de chômage est faible, et que l’emploi a progressé de 13% l’an dernier, mais pour les salariés qui touchent 19 dollars et plus de l’heure.
Le salaire minimum de Seattle a été voté en 2014 comme un moyen de réduire les inégalités salariales, et aider ceux qui ont du mal à joindre les deux bouts tout en bas de l’échelle sociale.
« C’est une lame à double tranchant, » a expliqué Jacob Vigdor, l’un des chercheurs de l’Université qui a travaillé sur l’étude du cas Seattle, « car si vous augmentez le salaire minimum, vous risquez d’appauvrir ceux que vous voulez aider. »
Ce qui s’est passé est très simple et n’importe quel imbécile aurait pu le comprendre – mais pas un idéologue, même le plus diplômé : les entreprises qui emploient des salariés non qualifiés – on peut penser aux fast foods par exemple – travaillent sur un modèle économique basé sur des prix bas et des bénéfices faibles. Lorsqu’ils ont été contraints de relever les salaires, l’équilibre financier les a contraints à réduire le nombre de salariés, et le nombre d’heures travaillées. Simple logique.
Délire anti-riche
À force de punir les riches, que ce soit fiscalement ou socialement (l’ex-président Hollande déclarait qu’il n’aimait pas les riches), ils ont quitté le navire vers des horizons moins hostiles, et ont emporté avec eux leur vraie richesse : pas celle de leur patrimoine et de leurs comptes en banque, mais leur capacité d’investir, de créer, d’entreprendre et de créer la richesse, ce dont le pays manque cruellement.
- L’année dernière, 12.000 Français détenant un million ou plus ont encore quitté la France.
- De tous les pays du monde, la France est celui qui a perdu le plus de contribuables riches en 2016.
- Entre 2000 et 2016, la France a perdu 60 000 millionnaires.
- La situation s’est fortement aggravée à la fin du quinquennat de François Hollande : les seules années 2015/2016 représentent le tiers des départs sur cette période.
Quand les riches s’en vont, le pays s’appauvrit encore plus, au lieu de remonter la pente. Qui sont les victimes ? Les plus fragiles.
Délire du droit à l’enfant pour tous
En permettant aux couples homosexuels d’adopter des enfants, les progressistes se sont assis sur le principe de précaution qu’ils ont lutté pour imposer. Ils ont sacrifié une génération entière au délire du gender selon lequel un homme et une femme sont identiques et interchangeables – ils ne le sont pas et de loin. Des drames psychologiques, des déséquilibres profonds et permanents, des suicides, des cas sociaux, vont être fabriqués pour satisfaire leur hypothèse infondée, non démontrée, non prouvée, mais que toute l’histoire de l’homme contredit, qu’un enfant n’a pas besoin d’un père et d’une mère pour se construire.
Je pourrais poursuivre avec le délire égalitaire, qui est une forme de racisme et de sexisme puisqu’il part du postulat que certaines catégories de personnes doivent être protégées par des lois, car elles ne sont pas capables, seules, de lutter à égalité avec les autres.
Je pourrais ajouter le délire contre la mondialisation, comme s’il n’était pas bon pour la France de vendre ses parfums, son industrie du luxe, ses alcools, son vin, partout dans le monde, ou le délire des inégalités sociales, comme s’il existait une logique à l’égalité sociale, comme s’il n’y avait pas des balayeurs et des footballeurs, des ordures à ramasser et des marchés à signer, des stars du cinéma qui ramassent des millions et des millions qui dorment sous les étoiles, des députés qui se votent des hausses de salaire et vous votent des hausses d’impôts… pour payer leurs hausses de salaire, des Eurodéputés qui infligent des amendes aux pays qui dépassent les 3% de déficit et augmentent leur budget de fonctionnement de 9% – financé par les pays qui ne doivent pas augmenter leur déficit, ou encore des députés qui se votent un système de retraite différent parce que celui qu’ils ont voté pour vous et vous ont imposé n’est pas bon.
© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.