C’est cela que vous voulez après le 26 mai ?
Le viol des captives et esclaves est autorisé par le Coran et la Sunna. Pendant le jihâd, la femme de l’ennemi fait partie du butin. A ce titre, le musulman dispose de son corps une fois qu’il l’a réduite en esclavage. Le rite malékite, officiel au Maroc et en Algérie, choisi par l’Institut de théologie de la Grande mosquée de Paris, se base sur un ouvrage fondamental : Al-Muwatta’ appelé communément « l’imam des imams ». Al-Muwatta’ est tellement populaire chez les musulmans qu’il s’en vend à la Fnac et au Virgin Mégastore ! (Bande de vendus, c’est tellement énorme qu’il faudrait tous les boycotter !)
Ou ceci ?
2500 jeunes filles britanniques victimes d’un gang de violeurs islamistes implanté nationalement. Selon le directeur du Conseil Islamique de Oxford, Taj Hargey, ces crimes sont promus par des imams qui encouragent les fidèles à croire que les femmes blanches méritent d’être « punies ». Il écrit que « les musulmans en Grande-Bretagne ont été nourris au goutte à goutte pendant des années avec une doctrine qui dénigre toutes les femmes, et traite les blanches avec un mépris particulier. Dans l’orthodoxie erronée qui prévaut dans de nombreuses mosquées, on enseigne aux hommes que les femmes sont des citoyennes de seconde classe, à traiter comme des biens meubles ou leur propriété sur lesquelles ils ont autorité absolue «
Mais la tradition, c’est aussi le couplet d’Yûsuf `Abd Allâh Al-Qaradâwî : Louanges à Dieu et paix et bénédiction sur le Messager de Dieu. Au sujet de la relation sensuelle, Dieu a révélé le verset suivant : « Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. Craignez Dieu et sachez que vous le rencontrerez. Et fais gracieuses annonces aux croyants ! »
Ou ceci, peut-être?
Une fatwa émise par Yasser al-Ajlawni – salafiste jordanien résident à Damas – a été postée sur un réseau social, qui déclare légale pour les opposants au régime de Bachar al-Assad le viol commis contre toute femme syrienne non sunnite. Selon le cheikh, la capture et le viol de femmes alaouites ou chrétiennes ne sont pas contraires aux préceptes de l’islam.
Pour les tortionnaires, c’est l’occasion de tirer un coup à plusieurs avec une « salope » qui l’avait bien cherché. Pour les filles, un traumatisme qui se vit dans la honte et la solitude. Chez les ‘jeunes’ des cités, on appelle ce jeu, ce passe-temps, cette tradition, une « tournante ». Le scénario est presque à chaque fois le même. La fille sort avec un garçon qui décide d’en faire profiter les copains. Les barbares peuvent avoir quatorze-quinze ans, la fille est souvent encore plus jeune. Bien entendu, les médias font l’impasse. Les viols collectifs sont monnaie courante dans les cités d’immigrés, en France. Dans l’absolu l’islam n’interdit nullement le viol: le viol des infidèles, le viol des captives. Quand ni la religion ni la morale n’interdit le viol, il reste la loi, et sa sanction. Cela amuse les jeunes musulmans. Quand est-ce qu’on ‘tourne’?
A16 ans, Nina était une jolie fille, de longs cheveux noirs, de beaux yeux bruns en amande. Elle ne peut dire combien de bourreaux l’ont violée. La justice en a retrouvé dix-huit. Nina se souvient que certains soirs, dans les caves ou les cages d’escalier de Fontenay-sous-Bois, il y en avait au moins 25. Des témoins ont vu une cinquantaine de gamins dépravés «faire la queue» dans la cour de l’école où Nina «se faisait passer dessus». Un de ses violeurs a expliqué qu’«il y avait parfois tellement de monde que tout le monde ne pouvait pas passer».
France. On cache les noms des violeurs musulmans: Pour éviter au populisme de se réveiller les médias français donnent des prénoms chrétiens à la place de prénoms musulmans, pour dissimuler la part beaucoup trop importante des personnes issues de l’immigration dans les viols. C’est ce qu’avait révélé Jean Quatremer, au cours de l’émission28 minutes sur Arte, suite aux viols collectifs qui ont eu lieu lors du passage au nouvel an à Cologne et dans de nombreuses autres villes d’Europe occidentale en 2016.
Le phénomène connaît une recrudescence inquiétante (tiens, comme les chiffres de l’invasion migratoire !): on dénombre entre quatre et cinq viols collectifs, en moyenne, chaque semaine en Belgique, le petit pays. Plus d’un tiers des dossiers sont classés sans suite.
Près de Liège, sept ‘jeunes’ (Je traduis, ou vous savez ?), dont plusieurs mineurs, ont été interpellés après la diffusion sur les réseaux sociaux d’images d’un viol collectif. Vidéos parfaitement explicites et profondément choquantes. Ils sont tellement débiles, ces ‘jeunes’ dont on tait soigneusement les noms, qu’ils se filment en pleine action. Faut le faire ! Sordide affaire de viol collectif diffusé sur Snapchat. Les faits s’étaient produits à Chaudfontaine (Belgique) dans la nuit du 30 au 31 mars. La victime de ce viol est une toute jeune fille. Elle a été agressée par 7 jeunes. 7 contre un, c’est cela que vous voulez, les hurleurs ? « Welcome refugees » ?
Les faits ont été filmées par un des violeurs, encore plus godiche que les autres. De courts extraits ont été diffusés via Snapchat et ensuite partagées à plus large échelle, notamment sur le compte d’un ‘jeune’, qui souhaitait faire le buzz. La pauvre petite était droguée par ses agresseurs. Et si c’était votre fille ? Votre sœur ? Votre petite fille ?
Les extraits sont courts, mais suffisamment explicites. La jeune fille est dénudée, totalement inerte, probablement sous influence de GHB (drogue du viol). Ses agresseurs, facilement identifiables sur les vidéos, plaisantent autour de la jeune victime. Ils lui placent des coussins sous le bassin, pour un meilleur confort personnel. Ils rigolent et s’ovationnent mutuellement. La police judiciaire a mis la main sur la vidéo complète du viol qui a duré plusieurs heures. Elle a pu remonter jusqu’aux auteurs, ils étaient à visage découvert sur les vidéos. Ils n’ont pas pu nier les faits. Les deux vermines majeures ont été placées sous mandat d’arrêt. Les mineurs, eux, ont été renvoyés à oumma qui les a surement privés de cornes de gazelles, les pauvres.
Selon le premier substitut du procureur du Roi au micro de RTL INFO: « Les auteurs ont été arrêtés mardi et jeudi. Cinq mineurs et deux majeurs. Les cinq mineurs ont été placés en IPPJ (Ce sont ces institutions publiques de protection de la jeunesse gérées par la Communauté française et investies de la prise en charge pédagogique, le tout aux frais du contribuable). Les deux majeurs ont été placés sous mandat d’arrêt par le juge d’instruction ». Ces deux ‘jeunes’ (surtout ne pas évoquer les noms à consonance maghrébine) ont été inculpés de viol. « La victime a porté plainte suite aux faits. Des faits graves. Ceux qui ont diffusé les images les ont partagées (viol d’une mineure). Ce sont des images à caractère pédopornographique.
Ou plutôt ceci ?
Affaire des viols collectifs d’Oxford (2013). Si vous aviez pensé que les misérables étaient anglais, voire danois ou suédois, vous vous êtes fourré le doigt dans l’œil. Parmi les sept hommes condamnés figurent : Mohammed Karrar (38), Bassam Karrar (33), Akhtar Dogar (32), Anjum Dogar (31), Kamar Jamil (27), Hussain al-Assad (32) et Zeeshan Ahmed (27)12. Cinq sont britanniques (ce que se sont empressés les médias de diffuser bruyamment !) d’origine pakistanaise et deux d’Afrique de l’Est3.
Mais l’affaire la plus retentissante a eu lieu en Allemagne
Durant les célébrations du Nouvel An le 31 décembre 2015, une vague d’agressions sexuelles collectives, de vols, de braquages et de viol — tous dirigés contre des femmes — est rapportée à travers l’Allemagne, principalement à Cologne, mais aussi en Finlande, en Suède, en Suisse et en Autriche.
En Allemagne, outre Cologne, onze villes sont touchées : Hambourg, Stuttgart, Bielefeld et Düsseldorf. Le nombre d’agresseurs est estimé à 1.500 rien que pour Cologne. Les agressions sont coordonnées (parfaitement organisées !) et commises par des groupes de 2 à 40 hommes, décrits comme nord-africains ou arabes. Principalement des demandeurs d’asile et des immigrés en situation illégale. J’ai eu l’occasion de visionner un documentaire sur une chaîne allemande à l’époque, il faut vous imaginer 5 ou 6 charognes empoignant une jeune fille par derrière, pendant que 4 ou 5 autres attendent leur tour devant. Grâce à Merkel et à ses médias résolument assujettis, qui ont répandu des fausses informations, aucun de ces criminels n’a fait de prison. Je me rappelle même de l’interview de l’un d’eux, rendu à sa famille et posant hypocritement sur une terrasse au soleil, ses enfants sur les genoux. Sa fatma souriante, empaquetée, approuvait stupidement de la tête.
Et je lis ce matin qu’en Allemagne, ce week-end, des milliers d’ahuris ont manifesté, contre le nationalisme dans plusieurs villes.
Je vais voter dimanche, et je sais pour qui. Les femmes se sont battues pour ce fameux droit de vote. Certaines y ont laissé leur vie. Une chance pour nous, je vais en profiter.
Anne Schubert
Riposte Laïque