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  • Ménard sacré "Judas de Béziers"

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    Par Mitrophane Crapoussin - Riposte laïque

    Voilà plus de deux ans que nous observons les gesticulations verbales du nouveau Ménard, régulièrement convié dans les médias pour débiter des banalités et surtout déverser sa hargne jalouse.

    Récemment invité sur le plateau de Christine Kelly pour parler de son dernier livre, Je n’ai pas dit mon dernier mot, Éric Zemmour est revenu sur le cas du petit édile biterrois, parfaite illustration du traître à retournements de veste multiples et variés.

    Ce soi-disant ami l’avait très longtemps exhorté à se présenter à la présidence… Puis avait passé la campagne à le démolir et à le fracasser.

    « C’est le Judas de Béziers qui a empêché de parler des vrais problèmes. Il m’a diabolisé pour délégitimer mes idées. »

    Consécutivement à ce Face à l’info, dans son émission, Pascal Praud est revenu sur le sujet. Chroniqueur régulier de ce talk show, Gilles-William Goldnadel, avocat et ami de Bob, a déclaré qu’il n’était pas un traître mais un « esprit critique très acéré », « personne ne trouve grâce à ses yeux ».

    Goldnadel devait penser s’adresser à des téléspectateurs amnésiques…

    Nul n’aura oublié que de juillet 2021 à maintenant, Ménard n’a cessé de tarir d’éloges quant à Macron, auparavant honni.

    De sa gestion du Covid jusqu’à la crise ukrainienne, selon lui, Foutriquet multiplie les sans-faute, atteignant parfois même la perfection. Ménard était devenu si carpette que d’aucuns pensaient qu’il briguait une récompense. Cependant, aucun strapontin ne lui fut offert… Mais tenace, il persévère. Et nous ne comptons plus ses reniements spectaculaires dont celui sur l’immigration et les migrants…

    Faute de maroquin, Bob vient tout de même d’obtenir un titre de gloire bien mérité, Zemmour l’a sacré Judas de Béziers !

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  • Lui aussi est à géométrie variable - Mais ce n'est pas la première fois qu'il dit la même chose

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    Manuel Valls : « La France ne peut plus accueillir d’immigrés »

    L’ancien Premier ministre a répondu à quelques questions du Point. Extraits.

    Mitterrand disait en matière d’immigration qu’un « seuil de tolérance » avait été franchi. Le pensez-vous également s’agissant de notre époque ?

    Soyons francs : notre échec à intégrer et à assimiler – ce qui ne signifie pas qu’il n’y ait pas de réussites – est évident. Cette réalité nous explose au visage depuis des années. Nous subissons un détournement du droit d’asile, une hausse de l’immigration familiale, une homogénéité des zones d’origine, une concentration géographique des populations immigrées pauvres qui ne peut conduire qu’à renforcer des ghettos gangrenés par la violence et le trafic. Il faut une autre politique de peuplement, avec pas plus de 40 % de logements sociaux dans les villes et pas plus de 30 % d’étrangers dans un quartier. Par ailleurs, nous n’avons pas besoin d’immigration économique…

    Même en considérant les emplois non pourvus et le vieillissement de la population ?

    Alors, il faudra des quotas très ponctuels dans des secteurs qui ont du mal à recruter, avec des règles simples. Il faut également une plus grande fermeté aux frontières de l’Europe pour dire vraiment stop à l’immigration illégale.

    Vous parleriez d’« immigration zéro » ?

    C’est un slogan. Il y aura toujours des flux migratoires que nous devons maîtriser et choisir. Mais nous devons privilégier l’assimilation et la reconstruction des quartiers populaires. Et l’Europe doit investir massivement en Afrique, dont la population aura doublé en 2050.

    Vous avez été ministre de l’Intérieur. Vous n’ignorez pas la complexité de la maîtrise des flux migratoires…

    Évidemment, et personne ne peut rester indifférent aux drames qui se produisent en Méditerranée. Mais il faut sortir du discours général sur « une politique ferme mais humaine ». La France ne peut plus accueillir d’immigrés. Et, si le cadre européen ne le permet pas, il faudra reprendre des éléments de notre souveraineté.

  • La journée des droits de la femme à Béziers ! Vive le hidjab pendant que les Iraniennes meurent pour ne pas le porter

    Les réseaux sociaux n'ont pas manqué de relayer cette photo et de se scandaliser. On le serait à moins. Malheureusement elle est une illustration de ce qu'est devenue la politique biterroise : un mélange très homogène de démagogie et de trahison.

    Merci pour celles qui subissent partout dans le monde, et maintenant en France, la dictature de la charia ! Honteux !

    Comment des Français qui, jusqu'hier critiquaient la politique immigrationiste mise en place et la subversion qui nous envahit, accompagnée d'une religion qui est là pour tuer notre civilisation, peuvent-ils poser avec des femmes représentant cette même religion, vêtues du voile, une de leurs armes de conquête ?

    Comment des pieds noirs, et il y en a plusieurs sur cette photo, victimes et oh! combien de la barbarie musulmane, peuvent-ils s'abaisser à ce point ?

    Le clan Ménard et tous ses affidés s'enfoncent toujours un peu plus dans le déshonneur. 

    Tout cela n'est vraiment pas bien beau !

    Henri Bec

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    2-1.jpgLa France de demain c’est Roubaix, Marseille Nord, Trappes, Mantes-la-Jolie, la Paillade, Château d’eau, Villeneuve Saint-Georges, les Mureaux, Château Rouge, Grigny, Corbeil, Sarcelles, et… Béziers.

    Pas besoin de vivre encore plus longtemps pour la découvrir, on la croise à tous les coins des rues des villes, elle commence à montrer le bout de son nez dans les villages. Elle se fait de plus en plus visible.

    Nous ne serons pas là pour dire il fut un temps où l’on pouvait manger son sandwich jambon- beurre et boire sa cannette de bière dans ses parcs et jardins en toute sécurité et pouvoir manger un morceau pendant le Ramadan dans la journée, car désormais les restos et les bistrots ont porte close comme n’importe quelle ville musulmane dans les pays d’Allah.

    On entendra les appels à la prière 5 fois par jour diffusés par des haut-4.jpgparleurs aux décibels de la puissance d’un avion en décollage. Comme si la France n’avait jamais existé en tant que France, peut-être qu’elle prendra le nom de Francestan. Ses églises et ses cathédrales subiront le même sort que Sainte-Sophie.

    La justice sera rendue au nom de leur satané Allah, ses codes juridiques et sa constitution disparaîtront au profit des lois naturelles prétendument d’essence divine, c’est-à-dire la Charia de malheur.

    Voltaire, La Boétie, Molière, Montesquieu, Rousseau, Diderot, Corneille, etc.. passeront dans les oubliettes et leurs livres seront brûlés comme les livres de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie au VIIe siècle. De son héritage grandiose et mémorable, il ne restera plus grand-chose. On enseignera dans ses écoles une autre histoire que la sienne, celle de ses nouveaux colons. Sa mort culturelle semble inéluctable ainsi qu’en tant qu’entité humaine

    6-1.jpgLa faute à ses dirigeants politiques laxistes, irresponsables, sourds et aveugles, eux qui n’ont jamais voulu entendre les mises en garde de tous les patriotes sincères, voire de Georges Marchais et prendre conscience de la gravité du danger en laissant entrer dans la bergerie le loup qui la convoite depuis Charles Martel.

    Ils ont creusé leur propre tombe en faisant venir des femmes et des hommes avec lesquels ils savaient pourtant, pour les avoir colonisés, que la cohabitation est impossible et que leur mode de vie est antinomique au notre, nonobstant leur dessein cosmogonique de coloniser la terre tout entière et la soumettre à la dure loi de leur religion.

    Salem Benammar

     

    le voile islamique, symbole de la trahison5-1.jpg de la gauche féministe

    Comme le signale l’excellent site Fdesouche, à l’occasion du 8 mars, Journée internationale du droit des femmes, de nombreuses structures françaises, municipalités, préfectures, osent mettre en avant le voile islamique pour célébrer cette date.

    Pourtant, en 1989, à l’occasion de la première offensive du voile dans nos écoles, à Creil, même Arlette Laguillier décrivait le voile islamique comme le symbole de l’oppression des femmes.

    Depuis, de l’eau a passé sous les ponts. Encore plus grave, des militants de gauche, souvent Insoumis, réclament des conseillères municipales voilées, des députés voilées et se battent pour abolir la loi du 15 mars 2004 interdisant le voile à l’école.

    Pendant ce temps-là, en Iran, des femmes meurent pour retrouver leur liberté.

    Ces deux articles sont tirés de

    Riposte laïque 

  • Oui, il faut y revenir. La gauche s'est déchaînée : il doit y avoir du bon !

    Vaincre ou mourrir-Affiche.JPG

    Écoutez la belle chanson de Jean-Pax Méfret en cliquant ICI

     

    La gauche s’est déchaînée contre ce film en en critiquant méthodiquement tous ses aspects : mal pensé, mal joué, mal filmé, mal financé, mensonger, Vaincre ou mourir est-il vraiment un condensé d’infamie ou le révélateur du fanatisme rance des républicains nostalgiques de la Terreur ? 

     

    Par François La Choüe

    Politique magazine

    Vaincre ou Mourir, le premier film produit par le Puy du Fou, donne manifestement des sueurs froides à Libération, le journal de Sartre ayant eu la bonne idée de lui consacrer sa Une fin janvier. Faut-il y voir une énième illustration du fameux effet Streisand ? L’hallali sonné par la bonne presse a visiblement stimulé les spectateurs qui, en nombre, ont passé le pas des salles obscures pour contempler cet OVNI cinématographique. Car, après trois semaines à peine de diffusion dans un nombre réduit de cinémas de France et de Navarre, le film dépasse déjà les 200 000 entrées. Bien sûr, les esprits chafouins objecteront qu’il s’agit là d’un public de niche, taillé sur mesure pour le film, ce dernier trouvant d’abord son public en Vendée, au Cyrano de Versailles ou dans le XVe arrondissement. Soit. Toujours est-il que les très démocratiques notes laissées par le quidam sur le site Allociné sont majoritairement excellentes. Enfin, par contraste avec les quolibets de Libération, notre salle de cinéma, pleine à craquer, a applaudi à tout rompre. Alors, puisque des profs d’histoire au collège de Stalingrad-sur-Oise sont capables de donner leur avis éclairé sur le film, nous nous hasardons, cinéphile du dimanche, à livrer le nôtre.

    Navet cinématographique ?

    Pas vraiment. Certes, on peut juger que le début du film est un peu rapide :Femme-Vendée-2.jpg une mise en abime eut été la bienvenue : pourquoi pas en évoquant les aventures de Charette en Amérique ? Les premières batailles sont techniquement réussies grâce aux prouesses des cascadeurs professionnels du Puy du Fou, mais l’ensemble des scènes de guerre s’avère globalement décevant : les plans sont trop rapprochés, les mêlées indistinctes et trop ressemblantes d’un choc à l’autre. Pour autant, l’histoire prend corps progressivement, avec ses ombres et ses lumières, et le spectateur plonge peu à peu dans l’épopée des gars du Bocage. Ombres et lumières : il y a là comme une signature esthétique du film, où chaque scène est un tableau. De ce point de vue, l’œuvre offre de petites merveilles photographiques. Et, par certains côtés, il y a du Caravage dans les nombreuses scènes en clair-obscur où, par-delà les paysages et les scènes d’actions, les doutes et angoisses de Charette s’expriment à la lueur tremblante d’une bougie. Partant, le film, bien plus complexe que ne l’ont vu les journalistes de Libé, offre une dimension psychologique fort intéressante.

    Vaincre ou Mourir a été tourné presque intégralement au Puy du Fou. Cet enracinement est une qualité (talents d’escrime, profusion de chevaux, figurants en costumes, lieux de tournage coïncidant peu ou prou avec ceux de l’Histoire avec un grand H). Mais c’est aussi un défaut : au bout d’un moment, le spectateur attentif finit par remarquer que les scènes sont tournées peu ou prou au même endroit : les mêmes plaines pour de nombreux chocs (y compris l’échec de Nantes), les mêmes rues dans un village bas-poitevin ou place Viarme. Les scènes nantaises auraient pu être tournées dans de petites villes de l’Anjou ou du Poitou, devant de belles façades de pierre blanche faisant écho à la grande cité ligérienne. De même, lorsque Charette et Pfeiffer discutent, aux alentours de la signature du traité de La Jaunaye, on distingue clairement que la scène est tournée… au Fort de l’An Mil, au Puy du Fou. Les aficionados des Herbiers ne s’y tromperont guère ! Heureusement, il y a de belles bouffées d’oxygène avec les scènes littorales, lors du débarquement manqué du comte d’Artois. On respire, on prend enfin du champ : une nécessité, pour un film consacré à un ancien officier de marine.

    Un mauvais Braveheart du Bocage ?

    Après quelques dizaines de minutes, le film prend une belle consistance. Les personnages ont une vraie épaisseur. Libé nous peint un film univoque exaltant Charette, un film sans nuances quant au héros. Il n’en est rien. LRDLV JOUR 10-105.jpgL’exaltation de Charette passe au contraire par la description de ses faiblesses comme de ses forces, de ses doutes et de son panache, de son ivrognerie comme de sa gentilhommerie. Le personnage de Pfeiffer est peu développé mais celui de Couëtus (Gilles Cohen) a du relief, et l’acteur incarnant Prudent de La Robrie (Rod Paradot) est très convaincant, avec beaucoup de chien. En outre, à l’heure du féminisme spectaculaire, on s’étonne que nul journaliste n’ait vu la belle place faite aux femmes, à travers les Amazones de Charette (Céleste Bulkeley, Adélaïde de la Rochefoucauld). Quant au général Travot, émule de Hoche, vainqueur de la traque, son portrait est éloquent : officier républicain doué d’honneur et de courtoisie, meneur d’hommes intelligent, il semble un adversaire à la hauteur de Charette. Il prend progressivement sa place dans la seconde moitié du film, jusqu’à la fameuse scène de la capture (« Que d’héroïsme perdu ! ») et au paroxysme que constitue l’exécution du général rebelle.

    Là encore, les sycophantes de Libé nous peignaient une œuvre univoque et caricaturale. Oui, il y a un parti pris assumé (quel film n’en a pas ?) en faveur de Charette, mais le parti pris n’est pas l’univocité, et le film a clairement ses nuances.

    La scène de la harangue avant la bataille de Torfou est sans doute piquée à Braveheart, mais le Charette incarné par l’excellent Hugo Becker est peut-être plus complexe à l’écran que le Wallace joué par Mel Gibson (par ailleurs excellent et, au passage, bien moins fidèle à la réalité historique que notre petit film vendéen). En bref, les moyens du film ne sont pas hollywoodiens et les batailles n’ont pas été signées Ridley Scott, mais le résultat est plus qu’honorable. Il y a même parfois un côté Besson, avec les hallucinations fantomatiques de Charette filmées sur fond noir (une sorte de « quatrième dimension », mystérieuse et ésotérique). Vraiment, on est loin du documentaire planplan tendance martyrologe pour bigots miteux.

    Un film bâtard, entre docu-fiction et série B ?

    On échappe au docu-fiction, un genre d’autant plus périlleux que, s’agissant de la Vendée, une excellente œuvre de télévision avait été produite en 1993 pour France 3 par Jacques Dupont. Inutile, donc, de produire une redite, transposée du petit au grand écran. En revanche, le passage du projet initial (docu-fiction) au film abouti (et c’est le cas) se ressent par moments, et pas uniquement par le manque relatif de moyens. Certaines scènes ou dialogues sont clairement empruntés à d’autres films.

    La scène du tirage au sort des conscrits et de l’exemption du fils du maire ? Presque mot pour mot, c’est celle du film Chouans de Philippe de Broca (1988). Idem pour la scène de la plage, quand Charette prophétise l’évanouissement de son armée devant un émissaire des princes : scène complètement copiée sur le docufilm de Jacques Dupont. Et, le film étant produit par le Puy du Fou, on n’échappe pas aux dialogues tirés du Roman de Charette. Ainsi, lorsque le général vendéen refuse d’ôter son ostensible panache blanc, arguant qu’ « un officier de Marine n’abdique pas l’honneur d’être une cible ». Belle répartie, que Villiers attribue à Charette dans son livre, sauf que la phrase est d’Edmond Rostand, que le dramaturge met dans la bouche de Cyrano de Bergerac. On peut regretter que l’esprit de famille aille jusqu’à ces approximations ; mais cela reste un divertissement.

    Enfin, plutôt que de faire débuter le film par des témoignages d’historiens (au passage, il y a parmi eux Anne Rolland-Boulestreau, disciple de Jean-Clément Martin : pour un tract d’extrême-droite, on fait pire), on aurait pu imaginer une scène où Napoléon raconte à Las Cases combien Charette, selon lui, laisse « percer du génie ». Comme dans Le Dernier Panache (nom du spectacle du Puy-du-Fou), et cela aurait probablement bien fonctionné au cinéma.

    Un tissu de mensonges historiques ?

    LRDLV JOUR 8-45.jpgQuant au fond, on cherche en vain le « Puy du Fourbe » (titre racoleur utilisé par Libé) et les mensonges historiques évoqués par les critiques de gauche. Que les dialogues soient inventés, c’est tout à fait normal pour un film (et comment donc font les romanciers ?). Mais le fond de l’affaire, lui, est exact. On n’ose imaginer ce qu’entendent les plumes de la grosse presse lorsqu’elles disent de l’œuvre qu’elle est mensongère. Est-ce à dire que les motivations du soulèvement sont fausses ? Que les faits d’armes n’ont pas existé ? Que les massacres sont pure légende ? Le film n’évoque d’ailleurs jamais la « thèse » du génocide puisque, précisément, c’est un film, une narration, une belle histoire pleine de rebondissements, et non un documentaire. L’ouverture du film donne la parole à Secher, mais son adversaire, l’éminent sorbonnard et robespierriste Jean-Clément Martin, est aussi l’un des conseillers du film. D’après le réalisateur Vincent Mottez, si Martin n’apparaît pas à l’écran, c’est parce que ce dernier comptait apparaître dans le projet initial de docufiction, pas dans un film de cinéma : nul désaccord de fond, donc. À nouveau, l’accusation de « tract révisionniste » est spécieuse : si l’on osait, on se demanderait même si ces critiques n’avaient pas été écrites avant visionnage…

    Il est évident que le film est un hommage au combat des Vendéens : du début à la fin, tout l’indique, jusqu’à l’omniprésente voix off de Charette. Mais il est faux et malhonnête d’y voir une tentative de « réécrire l’histoire », c’est-à-dire de la réécrire faussement.

    Navet ? Non. Mensonges ? Non plus.

    Ce que prouve la diarrhée verbale de Libé, c’est que ces gens ne supportent pas que l’on touche, un tant soit peu, à la Révolution française. Qu’on l’égratigne à la loyale, cela les fait vomir. Qu’on tire des guerres de Vendée un beau spectacle, ils ne le supportent pas. La Révolution est leur totem, Bolloré est leur père Fouettard. Les pauvres ! Ils ont peur d’un panache blanc sur écran noir. Les fanatiques, ce sont eux.  

    Le film a dépassé les 300 000 entrées en cinq semaines. Slava Ukraini, le film de BHL qui a bénéficié d’une promotion insensée, a fait 300 entrées en une semaine.

    Si vous ne l'avez déjà fait, allez voir ce film !

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    LES TRIBULATIONS DE BERNARD HENRI LEVY

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  • Jean-Luc Coronel de Boissezon : une décision politique du Conseil d’État ?

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    Cet article est paru le 25 janvier dernier dans le site Boulevard Voltaire sous la signature de Marie d'Armagnac.

    Nous avons attendu pour le publier de connaître l'arrêt de la Cour d'appel de Montpellier qui devait se prononcer sur le volet pénal de l'affaire. Nous devons, avec une grande satisfaction, constater qu'elle a considérablement réduit la décision du tribunal. Il n'en reste pas moins que l'article que nous reprenons met très justement l'accent sur le caractère inique des poursuites maintenues par l'administration dans un esprit de sectarisme difficilement admissible.

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    Le 18 mars 2018, une cinquantaine d’étudiants envahissaient la faculté de droit de Montpellier, taguant et dégradant locaux et matériels : pour ces étudiants extérieurs à la faculté, il s’agissait de manifester contre la loi Orientation et réussite promulguée par le gouvernement. Une façon de fêter dignement le cinquantième anniversaire de Mai 68. À Montpellier comme partout en France, à Lille, Nantes, Bordeaux, Toulouse, Paris, les manifestants avaient ainsi bloqué et saccagé les locaux universitaires, au grand dam de ceux qui voulaient tout simplement étudier.

    Curieusement, à Montpellier, les appels du doyen Pétel à la préfecture pour faire rétablir l’ordre sont restées lettre morte, laissant la situation se pourrir davantage. Las ! Un groupe d’une quinzaine d’individus cagoulés fait irruption dans un amphi pour y déloger les squatteurs et rétablir l’ordre public, l’État faisant défaut, comme trop souvent dès qu’il s’agit d’aller chatouiller du gauchiste. Le professeur d’histoire du droit Jean-Luc Coronel de Boissezon assiste à la scène, prend quelques coups et se défend.

    Coronel.jpgIl ne sait pas encore que sa carrière universitaire vient de prendre fin. Lâchés par le président de l’université, Jean-Luc Coronel et le doyen Philippe Pétel terminent en garde à vue : première étape d’un processus qui consacre l’inversion des valeurs en matière de maintien de l’ordre (sur ordre des autorités). Ce sont les deux universitaires qui sont poursuivis, désignés tout autant à la vindicte populaire qu’à l’opprobre de l’université. Il leur est reproché de ne pas avoir laissé les fauteurs de troubles agir en toute impunité. Leur faute : avoir réagi. Le péché capital de Jean-Luc Coronel de Boissezon : avoir des idées non conformes, c’est-à-dire être conservateur. Et pourtant, jamais ses compétences sur le plan universitaire ne sont remises en cause. On l’accuse plutôt d’avoir participé au « commando de la fac de droit ».

    Le 7 février 2019, Jean-Luc Coronel est sanctionné par l’Inspection générale de l’administration de l’Éducation nationale et de la Recherche : il est révoqué de l’enseignement supérieur et interdit d’exercer dans tout établissement public. À l’époque, il avait réagi au micro de Boulevard Voltaire.

    Saisi en appel, le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER) modifie cette sanction, la révocation se transforme en suspension de quatre années, sans traitement évidemment. Cependant, fin décembre 2022, le Conseil d’État annule cette sanction à la demande du ministre de l’Enseignement supérieur qui s’est pourvu en cassation : « Article 1er : la décision du 23 mars 2022 du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche, statuant en matière disciplinaire, est annulée. Article 2 : l’affaire est renvoyée au Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche, statuant en matière disciplinaire. »

    Le Conseil d’État estime en effet que "la sanction infligée par le CNESER, qui correspond au 5e niveau de sanction possible, est trop faible par rapport à la gravité des fautes de Jean-Luc Coronel de Boissezon. C’est pourquoi le Conseil d’État renvoie l’affaire devant le CNESER qui devra revoir la sanction à prononcer, les deux autres niveaux de sanctions possibles étant la mise à la retraite d’office ou la révocation."

    Le Conseil d’État, échelon suprême de la juridiction administrative, pratique ici une belle inversion de l’État de droit. Le fauteur de troubles est celui qui a voulu rétablir l’ordre. Dans une tribune parue dans Le Figaro, Anne-Marie Le Pourhiet, constitutionnaliste et professeur de droit public, et François-Xavier Lucas, professeur de droit privé, évoquent "le malaise [qui] vient aussi de l’ignorance délibérée du contexte par le juge administratif. […] Aucune mention n’est faite des carences manifestes du président de l’université et du préfet à l’origine de la détérioration de la situation, alors que dans d’autres facultés, les forces de l’ordre étaient requises pour protéger les locaux et garantir les cours. Faut-il comprendre qu’un rétablissement de l’ordre musclé tendant à rendre un amphithéâtre à sa vocation naturelle est une faute disciplinaire capitale méritant, même en l’absence de dommages corporels, l’éviction définitive de l’université française ?" Ils rappellent également qu’"aucune action n’a d’ailleurs, bien entendu, été engagée contre les étudiants auteurs de voies de fait, que ce soit au plan civil, pénal ou disciplinaire. Jean-Luc Coronel de Boissezon ne faisant de surcroît pas mystère d’idées politiques conservatrices, il était le coupable idéal, le "briseur de grève" à offrir en sacrifice. »

    Les casseurs, Black Blocs, zadistes en tout genre ou « syndicats étudiants » peuvent dormir tranquilles : alliés objectifs du pouvoir macroniste dans l’entreprise de destruction de la société française – ici, l’université -, ils ne seront jamais inquiétés. Quant à ceux qui résistent, leur destin est scellé : c’est la mort sociale. De quoi alimenter la défiance et le ressentiment des Français vis-à-vis de leurs institutions.   

    Marie d’Armagnac

    Journaliste à BV, spécialiste de l’international, écrivain

  • Livre - Notre sélection : Covid 19 , ce que révèlent les chiffres officiels

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    Quand le silence se fait sur un événement quelconque, on ne risque pas de se tromper en estimant qu'il y a quelque chose à cacher. Ce livre est sérieux ; les chiffres et analyses sont tirés d'organismes officiels. Il est bien évident que si tout ce qui est avancé était inexact, les grands esprits politiques et scientifique n'auraient pas manqué de hurler au complotisme, de démonter cette étude et de prouver, a contrario la justesse des décisions prises.

    Mais… rien de tout cela. Un silence pesant s'est abattu sur ce livre. Il en devient ainsi très intéressant et apporte à tous ceux qui, dès le début, ont crié à l'imposture, les justifications qui, enfin, se font jour. Mieux vaut tard que jamais !

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    Pierre Chaillot est statisticien.
    Depuis le début de la crise du Covid, il a collecté scrupuleusement toutes les semaines l’intégralité des données officielles disponibles sur les sites d’EUROSTAT, de l’INSEE, de la DREES et des différents ministères. Mortalité, occupation des lits, positivité des tests, âges, etc…
    Deux ans d’un travail méticuleux, qu’il a rendu public régulièrement sur sa chaîne Youtube « Décoder l’éco  ».
    Qu’a-t-il constaté ? De gigantesques anomalies.
    En France comme dans tous les autres pays européens, la mortalité de l’année 2020 standardisée (c’est-à-dire étudiée par tranches d’âges et non pas en données brutes) est au niveau de celle de l’année 2015 soit la septième année la moins mortelle de toute l’histoire de France.
    Quant à la mortalité de l’année 2021, elle au niveau de celle de 2018, la troisième la moins mortelle de toute l’histoire de France.
    Les chiffres présentés par les médias et les organes publics sont partiels et tronqués, aussi bien en ce qui concerne la mortalité que l’activité hospitalière ou l’efficacité vaccinale.
    Il expose dans ce livre la totalité de ses recherches pour qu’enfin un débat scientifique serein puisse avoir lieu sur cette crise dont les conséquences sont loin d’être derrière nous.

  • Une vidéo importante : « les Américains sont probablement responsables de l’explosion des gazoducs russes »

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    Cliquez sur la photo pour suivre la vidéo

    Voilà ce que devrait être un examen réaliste de la situation.

    Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse, membre des Renseignements suisses, spécialiste du terrorisme et chef de la doctrine des opérations de la paix pour les Nations Unies. C’est dire qu’il sait de quoi il parle.

    Il donne ici un point de vue difficilement contestable sur les explosions des gazoducs Nordstream 1 et 2.

    Cette vidéo dure 55 mn, longue diront certains. Mais devant les affirmations unilatérales de la presse française et étrangère liée, comme on le sait, à tout ce que la finance compte d’universalistes, mondialistes et européistes déconstruits, il est indispensable d’écouter les voix dissonantes et empreintes de sagesse. Puissent les benêts russophobes engourdis et hystériques se faire une idée de l'engrenage dramatique dans lequel nous entraînent nos irresponsables politiciens.

    Nous vous recommandons tout particulièrement cet entretien.