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Loisirs

  • Livre - Notre sélection : "La République contre la France" - Recension d'Hilaire de Crémiers

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    Par Hilaire de Crémiers

    Hilaire-TV Liberté copie.jpgCe livre se veut un essai. L’essai mérite de devenir un traité : une démonstration par les faits et par la simple logique des idées que la République, loin d’être la gloire de la France comme le prétend la thèse officielle, est la cause proportionnée de tous ses déboires, de sa déroute spirituelle, de sa décadence politique, même de son appauvrissement économique, relatif bien sûr par rapport aux autres, comme de sa crise sociale permanente.

    L’auteur fait partie d’une jeune génération, extrêmement intéressante, qui entend n’être plus dupe des récits de la vulgate idéologique qui cherche à façonner l’esprit public dans le sens de l’histoire républicaine, tel que l’imposent la vision libérale ou les explications matérialistes des divers socialismes. Ces jeunes esprits qui ont étudié et réfléchi de leur propre côté, remettent en cause les enchaînements de raisonnements qui justifient une doctrine républicaine qui serait immanente à l’histoire, portant en elle-même sa propre nécessité et dont les événements accoucheraient régulièrement de la forme politique la plus appropriée. Notre auteur s’attaque à la période cruciale de la Révolution en se situant successivement avant, pendant et après, trois points de vue qu’avec raison il juge éclairants.

    L’état de la société avant 1789 était-il réellement gros de la Révolution, telle qu’elle s’est présentée, certes avec une élite défaillante et une autorité royale affaiblie ? La Révolution avait-elle en elle-même sa logique interne qui l’a menée selon un déroulé quasiment obligé, y compris le génocide programmé ? La société issue de la Révolution ne pouvait-elle engendrer qu’un libéralisme ravageur ou un socialisme chaque jour plus totalitaire, en fait un combiné des deux, tel que le subit la France, tenue implacablement entre un individualisme hédoniste et un étatisme laïciste et matérialiste ?

    La Révolution française vue par les contre-révolutionnaires

    Poser ces trois questions, c’est tout comprendre, surtout quand la réponse par l’alignement des faits est éclairée par les auteurs contemporains de ces faits, français et étrangers, de Burke à Joseph de Maistre, de Sénac de Meilhan à Mallet du Pan, de Bonald à Donoso Cortès, de Montlosier à Tocqueville pour citer quelques-uns des plus illustres : la Révolution française vue par les contre-révolutionnaires. C’est éclairant et définitif. Entre Voltaire et Rousseau, la République a non seulement détruit les fondements de l’ordre social, mais elle a substitué sa religion – car c’est une religion – à la religion du Dieu incarné, faisant de l’homme abstrait qu’elle déifie l’instrument d’une subversion totale et permanente où elle est à elle-même sa propre cause et sa propre finalité : un monstre métaphysique, le Baal qui brûle ses enfants. Félicitations à l’auteur, en attendant la suite.  

    Cet article est paru dans Politique magazine.

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  • Vous voulez passer un excellent moment ? Ne vous privez pas de ces comédies désopilantes

    Le talent de notre ami Jean-Pierre Pelaez est connu depuis longtemps par tous ceux qui ne se laissent pas séduire par les fantaisies pseudo intellectuelles auxquelles l'intelligentsia régnante nous a habituées, avec l'aide, faut-il le rappeler, de nos responsables politiques de quelque bord que ce soit.

    S'il est connu, il n'est donc pas reconnu. Le sectarisme est tel qu'il n'est même pas aidé de la plus petite subvention ou d'une aide matérielle minimum. 

    Mais maintenant vous ne pouvez plus ignorer que le bon gout et la virtuosité de l'esprit  existent.  

    Alors ne vous privez pas de ces moments où le fond quelques fois acide (tout au moins pour ceux qui passent au tamis de l'observateur) le dispute à l'humour le plus hilarant.

     

    Pélaez1.jpgL'auteur, Jean-Pierre Palaez

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  • Librairie "Le Chameau malin" : deux nouveaux ouvrages

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    Très bel ouvrage sur la vie sociale à Béziers entre 1850 et la Grande guerre.

    Il concerne tout autant les personnes de la société bitteroise généralement fortunées,

    que les artistes photographes grâce auxquels nous pouvons encore mettre un visage sur un nom,

    souvent prestigieux.


    Cette galerie de portraits permet de recenser les ateliers photographiques

    dont certains comme Reynouls connurent une pérennité de plusieurs décennies.


    On découvrira également avec ravissement les clichés réalisés par Louis Paul, cet artiste

    complet, cheville ouvrière du Béziers 1900, souvent dans le cadre familial ou amical,

    autre aspect de l'art photographique de cette seconde moitié du XIXe siécle.

    Format 16X 24 -papier bouffant - 426 pages

    Prix public 18 €

     

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    L'ouvrage déroule le fil de l'histoire de cette cité industrielle et ouvrière sur près de trois siècles. Tout d'abord depuis sa création, ensuite ses agrandissements sucessifs, lors de périodes fastes où 700 ouvriers s'activent, puis enfin l'industrialisation, la concurrence, les difficultés et la fermeture en 1954.

    Manufacture Royale, Impériale, entreprise familiale et capitaliste, le passé de ce microcosme reste inscrit dans cet ensemble architectural original.

    Format 16 X 24 - papier couché - 375 pages
    Prix public 35 €

     

    Ces deux ouvrages sont disponibles

    à la librairie Le Chameau Malin 9 rue Montmorency 34500 Béziers.

    Vous pouvez également les commander en laissant vos coordonnées à l'adresse 

    lechameaumalin@gmail.com Au prix du livre s'ajouteront les frais de port.

  • Danse - Cirque - Musique - A vos agendas

     

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    La compagnie Sylvie Guillermin, en création au théâtre des Franciscains du lundi 10 au dimanche 23 avril 2017, vous invite à assister à la présentation publique du travail accompli durant la résidence de création.

    Birds sur la Branche est un hommage à Charlie Parker, musicien inné et compositeur à l'imaginaire débordant. Sa vie fût constamment sur le fil, entre l'exaltation de l'artiste et la détresse du solitaire. Les danseurs représentent l'énergie, la passion et le désespoir qui caractérisaient ce musicien de génie. Accompagnés par un sangliste, ils évoluent sur la scène et donnent l'impression de s'envoler.

     

    Birds sur la branche
    par la compagnie Sylvie Guillermin

    sortie de résidence
    le vendredi 21 avril 2017 à 20 h 00

    théâtre des Franciscains
    13 boulevard du Guesclin à Béziers
    entrée gratuite

  • Sortie-Ouest flashée par la Gauche et cernée par le PS

       

    demandons un referendum !

     

    Par Jean-Pierre PELAEZ

    Auteur Dramatique Biterrois

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    Lors des dernières élections départementales, appelé à la rescousse par les amis de Gauche, le critique-caviar de Libération Thibaudat s’effrayait de ce que sortieOuest était « flashé par la Droite », puis, comme en écho, sa consoeur du Monde écrivait que sortieOuest était cette fois «cerné par le FN ». Conformément à la célèbre méthode Joffrin, il s’agissait, au lieu de répondre sur le fond à des critiques amplement justifiées, de crier au loup, de dénoncer un complot de Droite ou d’Extrême-Droite, contre un établissement culturel de Gauche. Mais dire que sortieOuest, présenté comme « le phare culturel de la région » -après celui de la Jetée/Est de Valras-Plage-, serait menacé par les fascistes réincarnés des années 30 ne pouvait faire oublier ce qu’est réellement ce lieu.

    Aujourd’hui, loin de l’être par le FN ou par la Droite, sortieOuest se retrouve « flashé » par la Gauche et « cerné » par le PS. C’est que la vérité des critiques formulées ces dernières années sont en train de rattraper cette caricature de lieu culturellement correct, dit de service public : sortieOuest -dont la devise pourrait être « nul n’a de talent hors nous et nos amis »- est à l’idéal du théâtre populaire de Jean Vilar ce que le trou du souffleur est à la scène. C’est un lieu sectaire et politicartistique qui, au nom d’une excellence auto-proclamée, piétine depuis dix ans la liberté d’expression et la diversité de la création théâtrale et du théâtre contemporain, y compris en région. On était en droit d’attendre d’un théâtre financé par l’argent public du département qu’il accueille la diversité de la création dans le département, il n’en fut rien. Confiné dans l’entre-soi, le snobisme provincial, et le moule culturel bien pensant défini par le Ministère, ses DRAC et ses critiques parisiens, microcosme censé détenir la Vérité, rabâchant les Classiques revisités, le Tout Adaptable et les sempiternels « spectacles d’après… », sclérosé par le sectarisme de gauche, il est en définitive une sorte de réminiscence de l’art soviétique sous Brejnev, et un affligeant conformisme d’Etat, à l’instar du circuit des Scènes Nationales, la pire caricature qui soit de l’Art Officiel, et dont le fossé avec le peuple se creuse de jours en jours. Or l’Art en général, le théâtre en particulier doivent être libres et ouvert à tous, s’ils veulent être en prise sur le peuple, porteurs de réflexion et d’intelligence, et non une sinistre propagande bienpensante, un salon de précieuses ridicules ou un étalage de couillonnades subventionnées dites avant-gardistes. Rattrapé par toutes ces évidences, accumulant les déficits, ce théâtre est déclaré aujourd’hui contre-productif à tous égards, et promis au recyclage écologique par ceux-là même qui ont porté le monstre depuis dix ans.

    Mais déjà, et selon le quotidien Midi Libre / Béziers, les adeptes s’organisent, par le biais d’une association intitulée Les amis de sortieOuest. Ils occupent le temple et prient pour sa résurrection. Si bien, qu’au début de son article, la journaliste de Midi-Libre elle-même, pourtant bienveillante, les appelle "adeptes", nom que tous les dictionnaires sans exception donnent aux membres d'une secte ou d’une religion ! L’association dénonce le procès qui est fait à ce théâtre que d’aucuns -en tout cas pas moi !-, qualifieraient d’élitiste. C’est archi-faux : personne ne dit que ce théâtre est élitiste, et il est en général qualifié de pseudo-élitiste ou bien il est dit amicalo-élitaire et d’excellence auto-proclamée. C’est tout à fait différent. 

    Face au flash et à l’encerclement,  Les amis de sortieOuest promettent des actions. Vont-ils, selon la méthode habituelle, aller brailler sous les fenêtres du Prince Départemental/Socialiste, danser et taper dans les mains pour faire tomber le jackpot et la manne financière dont les sachants se nourriront, dans l’intérêt du peuple ignorant ? Vont-ils se rassembler sous les fenêtres du Président Vidal, à la mairie de Cazouls-les-Béziers, où le déesse-dieu Vartralala pourrait apparaitre en lévitation dans le ciel de la place des Cent-Quarante, et lire l’Évangile selon Saint-Vitez à l’assemblée des adeptes et des fidèles mécontents. Ou bien obligeront-ils le Président Mesquida, une serpillère sur la tête, à assister tous les soirs aux pensums de l’art officiel du théâtre, relu par un metteur en scène de l’avant-garde d’État ?

    La seule façon à mon avis de sortir de cette situation, c’est d’organiser à Béziers un grand referendum, qui est la forme la plus démocratique qui soit. Que les innombrables spectateurs de sortieOuest, pédagogues, cultureux, sociologues, femmes libérées, militants en tous genres, leurs parents, leurs amis, leurs nièces, cousins, cousines et neveux, tous les fidèles, les amis, les amoureux, les adeptes, les rendus idiots, les utiles, les adorateurs, les barons socialistes et leurs manants électeurs, mais aussi les plombiers, les zingueurs, les charcutiers, les banquiers, les pharmaciens, les éboueurs, les gendarmes, les marchands de chaussettes, les battants, les camionneurs, enfin tous, que le peuple tout entier, et aussi tous ceux qui, de manière générale, n’ont pas encore réalisé la dimension cosmique et comique de ce lieu, qui n’ont pas été illuminés, qui n’ont pas entrevu son intelligence subliminale ou sondé sa profondeur abyssale, appellent comme moi à l’organisation immédiate d’un referendum, dont la question posée pourrait être : Sortie Ouest doit il rester ce qu’il est, un théâtre amicalo-élitaire de gauche et d’excellence auto proclamé,  ou bien doit-il devenir un théâtre exigeant et populaire, inspiré des  idéaux de Jean Vilar, un véritable lieu de Culture, ouvert à tous parce que délivré de la politicaillerie sectaire ?

  • Ne vous privez pas des meilleurs spectacles

     

    Le sextuor de cuivres MADE IN BRASS est un ensemble constitué de six musiciens de l’Opéra et Orchestre National de Montpellier Languedoc Roussillon. Ces six artistes sont tous issus des Conservatoires Nationaux Supérieurs de Musique de Paris ou de Lyon. Ils ont pour ambition de promouvoir la musique pour cuivres en alliant musicalité, technique et le plaisir profond de la musique partagée.


    Les interprètes embrassent large : répertoire classique et baroque, musiques de films et standards de jazz. Wagner va côtoyer Morricone, Elgar rencontrer Bolling, une bergamasque croiser James Bond…

    Pour avoir unr idée de leur talent cliquez ICI

  • Le toro bravo

    Journées Taurines de Béziers

    Jusqu'au 23 octobre à 15 h 00

    34èmes JOURNÉES TAURINES DE BÉZIERS

    Début : 20 octobre à 19 h 30 Fin : 23 octobre à 15 h 00

     

    JEUDI 20 OCTOBRE
    Théâtre des Franciscains 19h30 – Inauguration des Journées Taurines 2016 organisée par la Fédération des Clubs Taurins du Biterrois ; spectacle Flamenco « del Toreo vol II » de José Guillem» – Apéritif «Caveaux Clamery».


    VENDREDI 21 OCTOBRE
    Théâtre des Franciscains 19h30 – conférence «L’élevage du Toro Bravo en France» avec la participation d’éleveurs français ; animée par Francis Fabre et Pierre Albaladejo. Apéritif «Coteaux de Béziers – Domaine mi-côte»

     

    SAMEDI 22 OCTOBRE

    12h – à la Peña Emilio Oliva – apéritif parrainé par la socièté Ricard
    Théâtre Franciscains 19h30 – remise des trophées de la Féria de Béziers 2016 avec la présence des Matadors et Ganaderos – apéritif et buffet dînatoire avec la participation des vins des Pays d’Oc. (sur réservation au 06 88 06 65 70 – 25€ par personne


    DIMANCHE 23 OCTOBRE

    aux arènes de Béziers : 11h – tienta gratuite avec les éléves de l’École Taurine de Béziers ;

    12h – apéritif offert par la société Pernod 51 ; 15h30 – novillada non piquée avec des toros de la ganaderia Granier pour Carlos Olsina, El Louri, Lucas Miñana (entrée 10€).
    Théâtre des Franciscains, exposition permanente « Toros, Campo y Rocio » photos de Jean Pierre Albouy et Jacques Bousquet.

  • Théâtre des franciscains : la saison reprend

    La compagnie Dulciné,en création au Théâtre des Franciscains du dimanche 11 au samedi 17 septembre 2016, vous invite à assister à la présentation publique du travail accompli durant la résidence de création.

    « Soigne ton gauche » est une création de ciné-bruitage de Marion Motte et Walter Loureiro sur des courts métrages de Jacques Tati et Pierre Etaix. Une salle de cinéma, des instruments de musique : accordéon, violon et autre banjo. Du bric-à-brac se trouve sur la scène...des objets détournés de leur fonction première servent à bruiter les films.

    C'est parti pour unciné-bruitage !

    Entrée gratuite