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  • Des nouvelles du Conseil départemental

     

    Lundi 18 septembre 2017 : première assemblée générale de rentrée du Conseil départemental. On aurait pu espérer des paroles apaisantes, des engagements de bonne gestion, des encouragements à un travail sérieux et concret. C’est mal connaître la passion immodérée de la majorité socialo-communiste pour les manœuvres politiciennes et leurs obsessions idéologiques.

    Prenant prétexte d’un incident mettant en cause « La Ligue du Midi » datant de plusieurs mois, une motion de dernière minute, soutenue par le représentant du Parti communiste, nous attendait sur nos pupitres, sans que celle-ci nous ait été communiquée auparavant.

    Il s’agissait, vous l’avez deviné, de nous impliquer dans cette affaire, et, certainement, de tenter de nous déstabiliser dès l’ouverture de la cession. Ils n’ont toujours pas compris que nous ne sommes pas là pour nous livrer à de la politicaillerie de bas étage.

    Pour visionner notre réponse,

    cliquez sur la photo ci-dessous

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    De haut en bas et de gauche à droite : Jean-François Corbière, Marie-Emmanuelle Camous, Nicole Zénon, Frank Manogil, Isabelle des Garets, Henri Bec

     

  • A lire : notre sélection

     

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    En retrouvant une photo de mes camarades de la classe de sixième et me remémorant cette époque lointaine mais encore si présente, une interrogation me vient à l'esprit : que sont-ils devenus ? Nous sommes en 1954 date de notre réussite au concours des Écoles Militaires Préparatoires et de rentrée à l'École des ANDELYS, qui quelques années plus tard doit nous faire embrasser une carrière militaire.


    Cependant, la retraite arrivant, de nombreux contacts épistolaires et des retrouvailles me confirment que tous n'ont pas réalisé cette carrière annoncée. La destinée, le choix personnel et non celui de nos familles en décidèrent autrement pour nombre d'entre nous. A cette époque les parents ont choisi pour leurs enfants. La gratuité des études stipule un engagement de cinq ans dans l'Armée de Terre, ou en fin d'études secondaires, le remboursement des années de scolarité si le contrat est rompu.


    J'ai donc hâte de savoir ce qu'il en est pour mes camarades, je décide donc de les questionner sur leur parcours de vie, et pourquoi pas d'en faire un livre. Mon appel à candidatures trouve un écho favorable auprès de la plupart de mes camarades de promotion, d'autres hésitent, plusieurs sont enthousiastes, certains ne répondent pas. Je fais appel avec succès aux anciens nous ayant précédé et aux jeunes nous ayant succédé, de l'après 1945 à mai 1968.


    Un comité de pilotage et de lecture est créé ; chacun devant répondre à la question : " En quoi ton enfance et adolescence d'Enfant de Troupe aux Andelys ont-elles inspiré sinon déterminé ton parcours de vie ? " C'est ainsi que tous ont eu à cœur, avec sincérité, simplicité mais aussi fierté de témoigner que l'École Militaire Préparatoire des Andelys nous a permis d'être ce que nous sommes devenus.


    Leur témoignage montre qu'à cette époque la notion d'ascenseur social n'était pas galvaudée. Tous sans exception, issus d'un milieu social modeste, évoquent leur parcours de vie d'Officier, de Sous-Officier, d'Ingénieur, de Chercheur, d'Enseignant, d'Écrivain, d'Artiste, de Banquier, d'Avocat, de Pilote, de Médecin, de Journaliste, en se référant à notre formation initiale, celle d'Enfant de Troupe de l'EMP des Andelys.

    Biographie de Robert Faivre

    De 1954 à 1962, Robert Faivre a été élève de l'EMP Des Andelys. Retraité de l’Éducation Nationale, il a été successivement professeur d'EPS et directeur de l'IUFM d'Aurillac. Robert Faivre est Lieutenant-Colonel de réserve.

    Pour commander cliquez ICI

  • EDF-CCAS-CGT-PC : ce que la presse aux ordres ne vous a pas dit

     

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    Dans une ordonnance de 49 pages, le juge d'instruction Jean-Marie Huy a renvoyé devant le tribunal correctionnel (après huit ans d’enquête) une dizaine de dirigeants proches du Parti Communiste (PCF) et d’administrateurs du comité d'entreprise d'EDF et GDF (CCAS) et de son institut de formation, des organisateurs de la fête de L'Humanité, l’Iforep, la CGT, sa puissante fédération de l’énergie, son organe de presse, La Nouvelle Vie ouvrière, et la Société nouvelle du journal l’Humanité. Selon leurs fonctions, les prévenus ont répondu de détournement de fonds, d’abus de confiance, de recel, de faux et d’usage de faux, de complicité…

    C'est en 2004 que l'un des jeunes cadres de la CGT, Jean-Claude Laroche, tout juste nommé à la tête de la richissime CCAS, décide de ne pas cautionner ce qu'il voit alors comme un système de financement déguisé du syndicat.

    La caisse bénéficie depuis la Libération d’un statut hors norme et particulièrement juteux. Le pactole représente quelque 400 millions d’euros et revient presque intégralement au CE d’EDF et de GDF. Cet argent est géré depuis plus de cinquante ans par la CGT.

    Ainsi, le comité d'entreprise des électriciens et gaziers (CCAS) est alimenté par une taxe de 1 % (créé par un ministre communiste) sur les factures des clients, ce qui lui permet de disposer de moyens beaucoup plus importants - plus de 450 millions d'euros - que les comités d'entreprises traditionnels.

    Plus technicien que militant, Jean-Claude Laroche découvre notamment que la CCAS s'obstine à faire affaire avec une liste de fournisseurs aux prix peu compétitifs, mais disposant de liens d'amitié avec le syndicat ou le Parti Communiste, notamment dans le domaine du tourisme et de la restauration.

    Des marchés très importants puisque la caisse gère un très grand parc immobilier dans toute la France pour le loisir des agents (dont des chateaux).

    Le système d'embauche des 4000 salariés qui travaillent à l'organisation des loisirs des électriciens de France est également biaisé - la proximité syndicale constituant un critère déterminant. La Cour des comptes dénonce en vain d'importants dysfonctionnements depuis deux décennies. À défaut de démonter l'ensemble des liens entre la CCAS, la CGT et le PCF, l'enquête judiciaire a mis au jour des subventions déguisées à la Fête de L'Humanité pour 1,12 million d'euros. Le juge d'Huy a également établi des emplois fictifs pour plus de 560.000 euros. Des salariés inscrits dans l'organigramme de la CCAS qui rendaient en fait leurs services à la CGT et au Parti Communiste (PCF) disposant de bureaux au siège du CCAS mais qui n’ont en réalité jamais fréquenté l’établissement. Le juge a également retrouvé çà et là des factures irrégulières pour des prestations au profit de manifestations syndicales au mont Valérien ou à Roubaix… Chaque fois, ce sont quelques centaines de milliers d’euros en cause…

    À l’instar de Jean Lavielle, président du conseil d’administration de la CCAS de 1997 à février 2004, tous les personnages de ce dossier appartiennent à la CGT et au Parti Communiste (PCF). Jean Lavielle est notamment accusé d’avoir détourné des fonds au profit des organisateurs de la Fête de l’Humanité, d’avoir pris en charge plusieurs emplois fictifs au sein de la CCAS en réalité au service du Parti Communiste (PCF) et d’avoir endossé de faux bons de commande pour des magazines du syndicat et du Parti Communiste. Un exemple de mélange des genres, Pascal Lazarre, directeur artistique et technique de la Fête de l’Humanité, occupait également des fonctions de direction dans l’institut de formation (Iforep) et d’administrateur au sein de la CCAS.

    source : Le Figaro

    source : Le Journal du Dimanche

     

    L’IFOREP appartient à un système social unique en France et en Europe, celui des organismes sociaux des industries électrique et gazière. L’Institut a été créé en 1972 par la CCAS (Caisse centrale d’activités sociales) et les CMCAS (caisses mutuelles complémentaires et d’actions sociales) du personnel d’EDF-GAZ-de-France, organismes exclusivement gérés par les représentants du personnel, via leurs fédérations syndicales.

    Jean Lavielle, ex président du Comité d’entreprise EDF, a écopé d’une lourde condamnation : 18 mois d'emprisonnement avec sursis et 4 000 euros d'amende. Il était le principal inculpé et présidait le Comité d'entreprise EDF, la CCAS, ou Caisse centrale d'activités sociales.

    Son ancien directeur général, Jean-Paul Blandino, est condamné à 8 mois de prison avec sursis. 

    La sénatrice communiste Brigitte Gonthier-Maurin écope de 10 mois de prison avec sursis pour emploi fictif grassement rémunéré par le CE alors qu’elle travaillait pour la fédération du parti communiste des Hauts-de-Seine.

    Jacques Lefèvre, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d'emprisonnement avec sursis,

    Jean-Paul Escoffier, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d'emprisonnement avec sursis. 

    Pascal Lazarre, ex-vice-président de la CCAS, 8 mois d'emprisonnement avec sursis, 

    La CGT a été condamnée à 20 000 euros d’amende, La fédération des Mines et de l’énergie CGT, 20 000 euros d’amende, l’Iforep, qui a détourné plus d'un million d'Euros avec l'Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende, l'Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende aussi.

    Au total, huit personnes et quatre organisations ont été condamnées.

    En juin, l'audience avait duré trois semaines, « trois semaines de silences gênés des médias ».« Trois semaines de silences gênés dans les grands médias audiovisuels et les principaux quotidiens » fait remarquer Jean Nouailhac dans le Point en précisant que « les quotidiens parisiens sont dépendants de la CGT pour être imprimés par le Syndicat du livre CGT » comme pour passer sous silence les connivences et liens idéologiques forts qui lient les uns aux autres.

    Le comité d'entreprise EDF, ou CCAS, détient plus d'un milliard d'Euros d'actifs et un budget de 500 millions d'Euros par an sans aucune raison sur vos factures EDF.

    Et cette grosse machine à sous, caisse noire du Parti communiste, est entre les mains de la CGT !

    Ainsi, tandis que les journalistes étalaient leur jouissance à évoquer l'affaire Bygmalion (mai 2014) contre des hommes de droite, ils ont observé un silence de mort sur ces condamnations fermes et lourdes des cols blancs de la CGT, du Parti communiste, du journal l'Humanité,

    Silence de La presse et de la télé française !

     

  • Catalogne – La tentation de tous les dangers

    L’alliance des indépendantistes catalans,

    de l’extrême gauche espagnole

    et des islamistes

    pour briser la nation

     

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    Quel est le point commun entre Younès Abouyaaqoub, le tueur islamiste des Ramblas, Arnaldo Otegi, le marxiste et ancien membre de l’ETA à la tête du parti séparatiste d’extrême gauche basque EH Bildu, Nicolás Maduro, le président-dictateur, également marxiste, du Venezuela, Pablo Iglesias, le chef du parti espagnol d’extrême gauche (financé à l’origine par Chávez puis Maduro) et les indépendantistes catalans ? Leur engagement, à des degrés divers, en faveur d’un référendum d’autodétermination en Catalogne. A cette coalition des gaucho-libertaires, des marxistes et des séparatistes, il faut ajouter, comme dans les années 1930, les nationalistes basques de centre droit (PNV).
     
    D’après la mère du terroriste islamiste des Ramblas qui a parlé au journal italien Corriere della Serra, Younès Abouyaaqoub se sentait catalan et était favorable à l’indépendance de la Catalogne. Il avait même fait du travail bénévole en faveur du « Oui » au référendum illégal prévu pour le 1er octobre. Surprenant ? Pas du tout, cela fait des années que les séparatistes catalans encouragent l’immigration musulmane, font obstacle à la lutte contre l’immigration illégale menée par la police espagnole dans leur région et ferment les yeux sur l’activité des très nombreuses mosquées salafistes.
     
    On ne rappellera jamais assez les mots prononcés en 2010 par Abdelwalhab Houizi, imam de la mosquée Ibn Hazn de Lérida, devant des fidèles musulmans (l’enregistrement avait été diffusé sur Internet) : « Ils [les indépendantistes catalans] cherchent notre soutien pour obtenir des votes, mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que quand ils nous laisseront voter, nous voterons tous pour les partis islamiques, car nous ne raisonnons pas en termes de gauche et de droite. Ceci nous fera gagner les mairies, et à partir de là, avec les compétences étendues des collectivités territoriales, l’islam commencera à s’implanter. » Lors de la « Consultation populaire » de 2014, les séparatistes catalans avaient encouragé – avec succès – les musulmans à voter et ils avaient même autorisé les résidents sans nationalité espagnole à se prononcer eux aussi sur la séparation de la Catalogne du reste de l’Espagne.
     

    L’extrême gauche en faveur de l’autodétermination de la Catalogne

     
    Pour le président vénézuélien Maduro, dont on connaît l’attachement à la démocratie et à l’État de droit, le Premier ministre espagnol, en refusant un référendum aux Catalans, agit en dictateur. Son allié et ami en Espagne, Pablo Iglesias, du parti d’extrême gauche Podemos, considère que les hauts fonctionnaires arrêtés la semaine dernière par la Garde civile dans le cadre de perquisitions du gouvernement de la Généralité de Catalogne sont des prisonniers politiques.
     
    Iglesias ne reconnaît pas en revanche la qualité de prisonniers politiques aux opposants de Maduro emprisonnés au Venezuela. S’il ne soutient pas directement le référendum illégal du 1er octobre (contrairement à sa branche catalane Podem), le parti Podemos se prononce en faveur d’un référendum d’autodétermination convenu avec Madrid en Catalogne et dans toute région d’Espagne qui pourrait vouloir se prononcer sur la question de son appartenance à une nation commune. Même chose pour la très gauchiste Ada Colau qui dirige la mairie de Barcelone. La non moins gauchiste maire de Madrid, l’ancien juge Manuela Carmena, va encore plus loin en soutenant ouvertement la tenue du référendum illégal. Et au sein même du camp séparatiste catalan, il y a bien sûr le parti d’extrême gauche CUP, et ses milices violentes.
     

    Les islamistes, favorisés par les indépendantistes catalans, voient dans la décomposition de l’Espagne une chance pour restaurer Al-Andalus

    Catalogne-Islam-1.jpgLes séparatistes basques voient bien sûr dans ce référendum  une chance pour leur propre programme d’autodétermination. Si le gouvernement espagnol laisse faire la Catalogne, d’autres régions pourront suivre, car avec le développement de l’individualisme et du libéralisme libéral-libertaire – qui s’accommode si bien du socialisme, à moins que ce ne soit l’inverse – depu

    is le retour de la démocratie dans les années 70, la nation n’est plus rien face aux « désirs » des communautés qui la composent. L’instauration d’un « mariage gay » par le gouvernement Zapatero en 2005 et la montée du séparatisme catalan ne sont que les deux facettes d’un même effort révolutionnaire de décomposition-recomposition de la société dont comptent bien profiter les islamistes pour faire avancer leur propre projet pour Al-Andalus.
     

    Olivier Bault

    reinformation.tv

  • 50.000 musulmans radicalisés en Europe : l'avis de M. terrorisme

    DREUZ INFO

    Interview-vérité de « Monsieur terrorisme »,

    Gilles de Kerckhove : effrayant

     

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    Dans son interview dans le Morgen, relayée dans plusieurs quotidiens et magazines, le « Monsieur Terrorisme » de l’Union européenne, le belge Gilles de Kerckhove, ancien chef de Cabinet e Melchior Wathelet senior, met les points sur l’ « i » du mot Islam, et c’est une douche froide :

    – il y a au moins 50.000 musulmans radicalisés en Europe, soit l’équivalent de 100 bataillons, de 500 compagnies, de 5.000 commandos terroristes en puissance.

    – En Belgique, il y a approximativement 2.000 radicalisés. En proportion de la population belge, c’est 2,7 fois la moyenne européenne! Il est vrai qu’elle prend en compte, cette moyenne, les pays d’Europe centrale (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie,..) qui ont intelligemment fermé leurs portes à l’immigration musulmane voulue par Charles Michel ou Angela Merkel…

    Encore une fois, la Belgique se distingue, comme c’est le cas dans la proportion de terroristes musulmans ayant rejoint les rangs de l’Etat islamique en Syrie et en Irak (500 personnes). Gilles de Kerckhove ne peut donner qu’un ordre de grandeur approximatif. Cela signifie que de facto, cette « population » n’est pas monitorée correctement. La Sûreté de l’Etat navigue au sonar

    C’est la même impuissance qu’ailleurs en Europe: en Espagne, mis à part le gourou Es Satty, le commando terroriste de Barcelone n’était pas connu des services de police et encore moins de la Sûreté espagnole (voir notre article sur les manquements espagnols… et belges). Idem en Finlande, au Royaume-Uni, Allemagne, France ….

    Pour Gilles de Kerckhove, la déradicalisation n’est pas « la » solution. « Je ne crois pas que l’on puisse déradicaliser quelqu’un » déclare-t-il. Cela signifie que les budgets dégagés en Belgique dans la déradicalisation (missions out-sourcées à des « ASBL » composées d’amateurs) le sont à fonds perdus.

    L’expert auto-proclamé Montasser Alde’emeh (sous le coup d’une prévention de faux et usage de faux) a d’ailleurs jeté l’éponge.

    Il n’y a pas de solution. Les spécialistes s’accordent à penser que le “dénouement” au moins partiel de ce casse-tête – le désembrigadement des ouailles de l’EI – ne pourra être atteint, ou plutôt effleuré, que via des méthodes complexes, progressives et lentes. Il ne pourra s’opérer qu’à l’aide de volontés individuelles, du concours de citoyens, de policiers, d’éducateurs, de professeurs, d’imams. Et là encore bien sûr, sans garantie de succès. Gilles de Kerckhove a le courage de le reconnaître.

    Mais sa proposition de création d’un Islam « européen » relève du délire, d’une naïveté de boy-scout attardé. Le moye, serait la formation des imams par un cursus universitaire belge.


    C’est une utopie … Le Ministre de la Justice et des Cultes l’a reconnu : il ne peut rien imposer. Idem pour l’Exécutif des Musulmans de Belgique. Nombre d’imams prêchant dans les mosquées belges reconnues et non reconnues sont « invités » et n’ont pas d’assises fixes en Belgique. Impossible de placer des observateurs de la Sûreté pendant les prêches. De plus, notre Sûreté, débordée par les tâches confiées à la légère par les politiciens du type de Charles Bizounours Michel, ne dispose pas d’assez d’experts qui parlent l’arabe. Il n’y a pas assez de personnel …

    Et quand bien même : il faudrait des générations pour changer le cours de cette idéologie politico-religieuse. Quant à un « Islam » européen … Commençons par ne plus accepter des Tariq Ramadan et autres prêcheurs haineux sur le territoire belge. Muselons ces « Foires musulmanes » que le PS laisse s’installer avec complaisance. Il est utopique de croire que par la grâce d’Allah, les sectes musulmanes sunnites, wahhabites, salafistes, chiites, soufiste, kémalistes, kharijites, ismaéliennes, qarmates, fâtimides, nosaïristes, … vont se mettre d’accord pour ne plus s’entretuer et s’accorder sur un Islam respectueux de la séparation entre l’Etat et la religion ; un Islam qui soit conforme aux Droits de l’Homme et de la Femme. Il y a de plus la Sharia, que tout bon musulman doit appliquer. Et la Sharia est TOTALEMENT IMBUVABLE dans nos démocraties.

    Pour Gilles de Kerckhove, le coordinateur européen de la lutte contre le terrorisme, les métastases de l’Islam radical sont bien implantées en Belgique et en Europe. Il reconnait le lien clair entre Islam et terrorisme. Et des solutions qu’il préconise (l’Islam d’Europe) on peut conclure que l’éradication du cancer islamiste est impossible.

    Le Monsieur Terrorisme de l’UE est en place depuis 10 ans et son aveu d’impuissance aujourd’hui est effrayant. La menace n’a cessé de monter en 10 ans et les bombes en puissance que sont l’Algérie et dans une moindre mesure le Maroc, derniers havres de paix relative dans le monde musulman sont en train de devenir des casseroles à pression qui vont nous éclater à la figure… Pauvres de nous.

    Source : Lepeuple.be

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    SUR LE CANTON

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    DANS LE DÉPARTEMENT

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    EN FRANCE

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    Capital

    Le placard doré de Thierry Lepaon,

    ex-patron de la CGT

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    Sebastien Ortola/REA

     

    Il dirige l’Agence nationale de lutte contre l'illettrisme et la délégation interministérielle à la langue française pour la cohésion sociale. Après l’affaire des travaux, Thierry Lepaon a su se recaser.

    On peut dire que François Hollande a été grand seigneur avec Thierry Lepaon. Quand l'ex-patron de la CGT a dû quitter la tête du syndicat pour une affaire de travaux dans son appartement début 2015, il s'est en effet empressé de lui trouver un point de chute : la présidence de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme, une structure de douze personnes installée à Lyon. Mais comme cela ne suffisait pas, il l'a aussi nommé en février dernier à la tête d'une délégation interministérielle à la langue française pour la cohésion sociale.

    Logée dans la tour Mirabeau, quai André-Citroën, à Paris, la petite cellule, actuellement composée de six personnes, “devrait atteindre huit ou neuf salariés début 2018”, assure Thierry Lepaon. En attendant, ce dernier devait créer un Conseil d'orientation stratégique sur la langue française et la cohésion sociale, avec une cinquantaine de personnes cette fois. Dix-huit délégués régionaux vont aussi être nommés. Question budget, les arbitrages sont en cours, mais Thierry Lepaon a demandé “30 millions pour commencer, et 50 millions en année pleine”.

    Vu les enjeux actuels avec la CGT sur la réforme du travail, il y a peu de chances qu'Emmanuel Macron se montre mesquin. Reste une question : comment cette nouvelle structure va-t-elle cohabiter avec l'actuelle Agence contre l'illettrisme, surtout si l'Agence de la langue française promise par le précédent gouvernement finit par voir le jour ? “Pour l'instant, on ne sait rien !”, se contente-t-on de répondre.

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    HONTEUX !

    Voilà comment la presse étrangère juge la politique française. Nous pensions que le ridicule se serait légèrement estompé avec le départ de Hollande. Il n'en est rien. Les successeurs ne sont toujours pas à la hauteur. Le journal marocain Le360 se scandalise à juste titre.

     

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    Gérard Collomb, ministre français de l'Intérieur.

    © Copyright : DR

     

    Le 360

    Explosifs en France,

    attentats en Espagne et au Maroc :

    l'insoutenable légèreté de Gérard Collomb

     

    S'exprimant sur la découverte d’explosifs en banlieue parisienne, le ministre français de l’Intérieur a établi un parallèle hasardeux avec les attentats de Catalogne, parlant de filières qui «remonteraient du Maroc». Il oublie que le propre d'un ministre de l'Intérieur est la précision.

    La sortie de Gérard Collomb, ministre français de l'Intérieur, est pour le moins surprenante. Sa phrase incongrue est tombée, hier jeudi 7 septembre, sur les ondes de la radio France Info. A la question du journaliste Jean-Michel Apathie sur les éventuels liens entre la récente découverte d'explosifs, à Villejuif dans la banlieue parisienne, et les attentats de Barcelone et de Cambrils, Collomb évoque… le Maroc (voir vidéo à partir de 22:40).

    Non seulement il n'a pas écarté la possibilité que des liens puissent éventuellement exister entre la trouvaille de RATP dans la banlieue parisienne et les attentats de Catalogne, même s'il n’a fourni aucune preuve de son assertion, mais il a également ajouté que «l'Espagne est un lieu de passage pour les filières qui remonteraient du Maroc», laissant supposer que c'est le royaume qui envoie des terroristes en Europe. Or, un ministre de l'Intérieur devrait savoir que c'est en Europe que les terroristes de la Catalogne ont grandi. «Je n'en sais pas plus», s'est-il contenté de conclure.

    C'est léger, surprenant et aux antipodes de la circonspection due à un ministre à la tête d’un département stratégique, et supposé ne pas donner d’informations sans avoir des preuves établies, tout en mesurant les propos qui sortent de sa bouche. Or M. Collomb semble davantage enclin à mordre dans le sens des perches tendues par les journalistes qu'à la véracité des faits. Est-il conscient du sens d'une phrase comme «l'Espagne est un lieu de passage pour les filières qui remonteraient du Maroc»? Cet ancien maire de Lyon ignore-t-il que les terroristes ne remontent pas du Maroc, mais viennent, vivent dans des pays européens, et souvent même ils descendent du nord plus qu'ils ne remontent du sud?

    Gérard Collomb a occupé le poste de maire de Lyon de 2001 à 2017 et de sénateur du Rhône de 1999 à 2017. Il ne convient peut-être pas de pointer du doigt son manque d'expérience dans les dossiers sécuritaires pour expliquer ses propos aberrants sur les prétendus terroristes conquérants qui traversent la Méditerranée pour perpétrer des actes innommables en Europe.

    Un ministre de l'Intérieur, c'est avant tout un droit de réserve et une capacité à établir des faits vérifiés et vérifiables. Or, la sortie de M. Collomb dénote d’une extrême légèreté au moment où rien, absolument rien, ne permet un quelconque rapprochement entre les événements de Barcelone et la découverte de Paris. Tout comme rien ne justifie la déclaration voulant que les filières impliquées «remonteraient du Maroc»

    Gérard Collomb n'en est pas à sa première bourde. Autre preuve de cette tendance à caresser les journalistes dans le sens du poil, la «précision» de M. Collomb dans le même entretien accordé à France Info. Le ministre de l'Intérieur a affirmé le 6 septembre que l'ouragan Irma, qui a sévi dans les Antilles françaises, «a fait huit morts et 23 blessés» à Saint-Martin et Saint-Barthélemy. Et il a conforté le journaliste qui lui a posé la question pour savoir si ce bilan allait s'alourdir, en répondant par l’affirmative. Or si le bilan s'est alourdi ce vendredi à 9 morts, 112 blessés et 7 disparus, on retiendra qu'au moment où le ministre s'exprimait sur les ondes de France Info, il était encore limité à 4 décès.

    On passera également sur l'autre faux pas commis au lendemain de l'attentat de Manchester en Grande-Bretagne, au mois de mai dernier. Gérard Collomb avait révélé, sur BFMTV et RMC, des informations sur l'auteur présumé, décrivant le parcours de Salman Abedi et le fait qu'il était passé par la Syrie. Des informations transmises par les services britanniques mais qui devaient rester sous le maillet. C'était mal connaître le locataire de place Beauvau. Ses propos ont été qualifiés de désespérants outre-Manche. Autant dire que concernant des sujets qui supposent le plus haut niveau de précision et de vigilance, Gérard Collomb en manque cruellement. Curieux de la part d’un ministre de l'Intérieur.

    Par Tarik Qattab

    Le 360

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  • Les nouvelles nuisances de Monsieur Hulot


     

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    Jourdier François.jpgMonsieur Hulot a encore frappé.

    Pour situer le problème de la production française de "gaz à effet de serre" il faut savoir qu’elle se limite à 1% de la production mondiale, tout ce qu’on tentera pour la diminuer aura un effet parfaitement négligeable ; la France, grâce à l’énergie nucléaire est d’ailleurs un bon élève, mais elle le sera moins quand, pour des raisons purement idéologiques, on aura arrêté, comme prévu, 17 réacteurs capables de fonctionner dix ou vingt ans de plus.

    C’est à la production nationale d’hydrocarbures que s’en prend maintenant Monsieur Hulot. Un projet de loi vise à interdire tout nouveau permis d’exploration et d’exploitation sur le territoire national ce qui arrêterait la production d’hydrocarbures nationaux en 2040. Il veut en finir "avec les énergies fossiles et s’engager dans la neutralité carbone". La loi prévoit également de bannir totalement la recherche d’hydrocarbures non conventionnels et ceci même si on invente une autre méthode d’extraction que la fracturation hydraulique.

    Pour les pétroles conventionnels, s’il ne s’agissait que de la métropole, il n’y aurait que demi mal, les ressources étant fort limitées mais l’interdiction couvre également le plateau continental et les 11 millions de km2 de nos Zones exclusives. Actuellement des permis de recherches d’hydrocarbures conventionnels sont en cours en Guyane et dans le canal du Mozambique près de Juan de Nova, où on a de sérieux espoirs de trouvailles importantes.

    Remarquons que la prospection et la production d’hydrocarbures n’ont rien à voir avec la consommation et que nous continuerons à enrichir le Qatar, l’Arabie Saoudite et la Russie. Le Qatar pourra ainsi continuer à acheter nos clubs de football, nos palaces et construire n’importe quoi à Doha. Le Qatar et l’Arabie Saoudite pourront même continuer à financer le terrorisme qui nous frappe en France.

    Quant aux pétroles non conventionnels dont on pense qu’ils sont abondants dans le sous-sol national, on préfère y renoncer a priori alors que les Etats Unis depuis qu’ils les exploitent sont excédentaires en hydrocarbures. Pour des raisons purement idéologiques on préfère continuer à dépenser bon an mal an 70 milliards d’euros, à peu près le montant de notre déficit commercial.

    Pour éviter une dépense supplémentaire on compte réduire la consommation d’hydrocarbures de 30 % d’ici 2030, objectif qui semble inatteignable si on remplace dix sept réacteurs nucléaires par des milliers d’éoliennes qui nécessitent la mise en œuvre de centrales à gaz pendant les périodes où Eole refuse de souffler. La fin de la production de pétrole et de gaz est programmée pour 2040. Il est peu probable qu’à cette date on puisse se passer d’hydrocarbures qu’il faudra donc importer. Aberrant.
     
    A ce sujet la construction de nouvelles éoliennes par milliers commence à rencontrer une sérieuse opposition. On leur reproche, ce qui est évident, d’atteindre aux paysages et aux monuments auprès desquels on les construit.

    Dans le parc naturel régional du haut Languedoc il est prévu d’implanter trois cents éoliennes. Si on continue nos campagnes ne seront plus des campagnes et les paysages seront constellés de machines tournantes de 200m de haut. Il semble que pour les écologistes, ces considérations relatives à notre patrimoine sont de peu de poids par rapport à la nécessité de réduire les émissions de CO2,  Et pourtant la part actuelle de production d’électricité issue des énergies fossiles est très faible, de l’ordre de 4 % et l’arrêt idéologique de réacteurs nucléaires ne fera que l’augmenter. Les centrales nucléaires entrainent infiniment moins de perturbation de l’environnement que les éoliennes. Si on renonce à la prolongation de vie des centrales actuelles de dix à vingt ans cela coutera, en termes d’investissement 93 milliards d’euros. Il faudra en plus remanier entièrement le réseau de transport du courant pour desservir les 17 000 éoliennes nécessaires. Qui va payer ? le consommateur final. Ce n’est pas à la production qu’il faut s’en prendre mais à l’isolation des bâtiments, aux transports routiers.

    Mais pour faire le choix de la meilleure solution il faut s’affranchir de l’idéologie actuelle qui nous amène à nous tirer une balle dans le pied. Il paraît qu’il s’agissait d’une promesse de Macron. On pourrait toutefois demander aux Français s’ils tiennent à payer l’électricité plus cher et à avoir un champ d’éoliennes dans leur fenêtre.

    François Jourdier
    Contre amiral (2°S)
    Directeur du Centre d'Essais de la Méditerranée (1981-1986)
    Inspection des Armements nucléaires (1978-1980)
    Commandant du Bâtiment Atelier Jules Verne (1975-1976)
    État-major des Forces Françaises du Sud de l'Océan Indien 
    à Madagascar puis à la Réunion (1972-1974)
    Commandement du bâtiment de débarquement de chars (BDC) Bidassoa (1968-1969)
    École des Applications militaires de l'énergie atomique (1963-1968)
    Divers embarquements
    Guerre d'Indochine dans les forces fluviales du Sud Vietnam (1952-1954)