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Conseil départemental - Page 2

  • Les colères sélectives de Kleber Mesquida

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    Réactions à la mise en œuvre du 49-3

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    Le président du département s’insurge contre la mise en œuvre du fameux 49-3 pour permettre l'application de la loi travail. Il va jusqu’à affirmer : « chaque représentant a un pouvoir d’expression qui n’est pas lié à un scrutin de liste, qui naît d’une légitimité personnelle ». Le culot le dispute à la mauvaise foi. Rappelons les faits une fois de plus :

    Depuis notre élection à l’assemblée départementale, le même ne cesse de dresser des obstacles à l’exercice de nos fonctions :

    - Le collaborateur de groupe prévu par les textes nous est toujours refusé, sous de fallacieux prétextes qui flirtent avec le délit pénal.

    - Le temps de parole lors des assemblées est réduit à sa plus simple expression. Pas plus de deux minutes, au risque d’avoir le micro coupé (aucun texte ne traite d’ailleurs de cette limitation). Sans compter la complicité de la presse présente qui ne reprend jamais nos interventions, dont certaines, il est vrai, donnent des sueurs froides au cabinet du président.

    - Tout contact avec le personnel de l’administration nous est impossible. Des instructions ont été données en ce sens. L’accès aux dossiers pouvant intéresser nos cantons respectifs est ainsi compliqué à l’extrême, pour ne pas dire totalement neutralisé.

    Forcer la main des députés serait selon K. Mesquida une censure et un diktat. Il a certainement oublié que nous demandons depuis plus d’un an de pouvoir voter l’attribution des subventions aux associations de manière distincte, une par une. Il nous est, au contraire, imposé des délibérations groupées de 10, 15 ou 20 attributions de subventions en même temps et, de plus, sans débat. C’est OUI ou NON. Nous sommes contraints de nous abstenir alors que quelques associations mériteraient un soutien. Le président sait en effet que nous pourrions, dans le cadre de délibérations « normales », stigmatiser les subventions inutiles, démagogiques, électoralistes ou idéologiques. Il ne faut pas prendre de risques.

    Un tel vote bloqué, c’est un vote forcé, c’est le 49-3 de K. Mesquida !

    Le député K. Mesquida qui se plaint du 49-3, c’est le bossu qui se moque du dromadaire !

    Mais Les Républicains (?) se sont invités à la fête. M. Viala, député de l’Aveyron entonne lui aussi le refrain de « la faillite de la démocratie ». L’avez-vous entendu lorsque N. Sarkosy a, à son tour, employé le 49-3 ?

    Il y a maintenant trop longtemps que ces politiciens professionnels usent et abusent de la crédulité publique, pour continuer à être pris au sérieux. Tour à tour ils usent et abusent de slogans identiques, de postures entendues, de mimiques alternativement choquées pour les mêmes raisons et surtout, se partagent les mêmes places, au mépris du bien public et l’intérêt général. Le cœur toujours sur la main et le portefeuille des autres toujours ouvert pour se concilier des voix, ils ruinent la France et les français.

    Il est grand temps de revoir le système qui a permis l’éclosion de semblables prédateurs.

    Henri Bec

  • Mise à l'écart - Discrimination : ça continue !

     

    Il y a quelques jours, mais nous ne savons pas exactement quand, et pour cause, s’est tenue à Valras-Plage une réunion sur les nouvelles dispositions relatives au service civique. Elle était présidée (organisée ? suscitée ?) par le sous-préfet de Béziers. Étaient également présents le député, le président de l’agglomération Béziers-Méditerranée, le maire de la ville et, nous dit la presse, « divers élus…. ». (Voir l'article de presse)

    Une fois de plus les conseillers départementaux du canton, Isabelle des Garets et Henri Bec n’ont été ni conviés, ni même informés. En revanche l’ex conseiller général de ce même canton qu’une belle majorité a renvoyé dans ses foyers avec un message électoral très clair, était présent !

    Ces comportements sentent de plus en plus la fin de règne. Ne sachant plus à quelle branche se raccrocher, ils tentent un dernier va-tout et pensent pouvoir sauver leur pouvoir, leurs places et leurs prébendes par ce type de manœuvre, en éliminant de gré ou de force les représentants d’une grande majorité de la population, régulièrement élus.

    Aveuglés et totalement déconnectés de la réalité, ils n’ont toujours pas constaté et compris que les français ne veulent plus de ce régime artificiel et destructeur.

    Le réveil sera, pour eux, d’autant plus brutal.

    Même si le ridicule de ces procédés qui se répètent n’est susceptible de ne provoquer que des sourires distraits, comme de toute mesquinerie médiocre, nous ne pouvions laisser passer ce énième épisode du feuilleton que nous avons déjà initié sur notre site, « grands-démocrates-républicains-donneurs-de-leçons ». C’est pourquoi vous pouvez prendre connaissance de la lettre que nous avons adressée au sous-préfet et, comme indiqué, transmise aux personnes présentes à cette réunion et à la presse. (cliquez ICI )

    Henri Bec

  • Conseil départemental : les opérations de vote du budget 2016

     

    Arrive le temps des votes des budgets dans les collectivités territoriales.

    Au conseil départemental de l'Hérault, ce budget sera évoqué au cours de trois séances de l'assemblée générale, les 15, 16 et 17 février prochains. Il est obligatoirement précédé d'un débat d'orientation budgétaire (DOB). Nous portons à votre connaissance le rapport qui sera discuté lors de l'assemblée du 25 janvier.

    Pour prendre connaissance du document cliquez ICI

    "Ah ! qu'en termes élégants ces choses là sont mises" : Il s'agit plutôt d'annoncer l'augmentation des taux, sans le dire tout en le laissant entendre. Une fois de plus, à vos portefeuilles !

    Vous pouvez retrouver le tout sur le site beziers1.fr

  • Gestion du conseil départemental : un exemple édifiant !

     

    LA PRESSE AUX ORDRES NE RÉPERCUTERA PAS

    CETTE INFORMATION

    Nous sommes les seuls en mesure de vous révéler ce qui se passe au conseil départemental. N'hésitez pas à inscrire vos amis et à faire connaître ce blog.

     

    Lors de l'assemblée plénière du conseil départemental, le 18 décembre dernier, une délibération nous était proposée, relative à la constitution d'une provision pour le risque de non recouvrement des indus RSA.

    Le montant versé indument au titre du RSA atteint une somme "supérieure" (terme même de la délibération) à 4 000 000,00 €. Sur la base d'un RSA actuellement fixé à 524.16 € pour une personne seule, cette somme représente plus de 7631 mois de RSA !

    Cela signifie, pour le moins,

    - que les vérifications lors de l'attribution de cette allocation sont inexistantes ou totalement insuffisantes.

    - qu'aucune ou peu d'actions de recouvrement ont été engagées, sachant que la prescription est de deux ans en cas "d'erreur" de déclaration et de cinq ans en cas de fraude.

    - qu'en raison même de la technique de la provision pour risque d'impayés, ce ne sont finalement que les créances totalement irrécouvrables qui sont inscrites.

    - qu'en résumé, plus de 4 000 000,00 € ont été distribués à un nombre inconnu de personnes qui ne pouvaient y prétendre...

    Vous avez là une idée des conditions dans lesquelles vos impôts sont distribués, sachant que nous ne savons pas :

    - sur quelles périodes s'étalent ces 4 000 000,00 €

    - quelles catégories de personnes sont concernées.

    - quelle est finalement la somme totale qu'il convient de prendre en compte en raison du flou (involontaire ?) des termes de la délibération.

    Comme d'habitude, il est fort probable que n'ayons jamais de réponse.

    L'inscription d'une telle provision étant une obligation légale, qui aurait du être mise en œuvre depuis longtemps, nous ne nous sommes pas opposés, mais abstenus, compte tenu des explications qui précèdent, après avoir fait connaître notre profonde désapprobation.

    Cliquez pour prendre connaissance de cette délibération ICI

    Henri Bec

  • Jean-Pierre Pelaez donne son avis sur Sortie Ouest : "un sujet de franche rigolade"

    O tempora, O mores !

    Théâtre de Taormine (Sicile), un des plus importants du monde antique.

     

    La gauche a toujours eu une conception très particulière de la culture, notamment du théâtre. Elle le destine à quelques intellectuels et autres "bobos", qui ne manquent pas de s'extasier devant l'audace d'un metteur en scène dont le génie  a consisté à faire lire des textes à la fois incongrus et incompréhensibles. Ceci resterait parfaitement son droit si ce type de fantaisie n'était pas grassement subventionné par les fonds publics. Complexe de supériorité aidant, ce cénacle est interdit à tout ce qui lui est étranger : "Nul n'aura de talent hors nous et nos amis" (Molière, Les Femmes Savantes). Jean-Pierre Pélaez, auteur dramatique à succès (voir son site) sait ce qu'il en coûte de ne pas appartenir au sérail. Nous publions ci-dessous la lettre bien sentie qu'il vient d'adresser au président du conseil départemental.

     

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     POUR POUVOIR LIRE CETTE LETTRE PLUS FACILEMENT CLIQUEZ

    SUR SA REPRODUCTION

    CI-DESSOUS

     

    2015-12-08-Courrier Pélaez-Mesquida-1.jpg

  • Notre revue de presse : "Le Petit Journal" toujours aussi excellent

    Le Petit Journal-titre.jpgL'hebdomadaire "Le Petit Journal" (paraît tous les jeudis) publie régulièrement les délicieuses chroniques de Jean-Pierre Pélaez. Celle de cette semaine nous concerne plus particulièrement. Nous n'avons pas résisté au plaisir de vous la faire partager.

     

     

    SURTOUT, NE DITES PAS ÇA !

    -Libre Chronique-

     

    Kléber Mesquida, la passion d’Hérault.

     

    Kléber Mesquida, -c’était sur ses derniers tracts électoraux-, a la passion d’Hérault. Et aussi, semble-t-il, des mandats électifs de l’Hérault qu’il cumule avec tout autant de passion depuis 38 ans : maire de Creissan de 1977 à 1995, député de l’Hérault depuis 2002, membre du Conseil Général-Départemental de l’Hérault depuis 21 ans, désormais Président de cette Assemblée et autres titres annexes de l’Hérault, voilà de quoi l’éloigner pour longtemps du RSA et des indemnités d’un chômage dont le Gouvernement socialiste va bientôt inverser la courbe. Et contrairement à bon nombre de ses électeurs, contribuables à tondre et payeurs de taxes routières, en voilà un au moins que le Parti Socialiste n’aura pas appauvri ! Et même, lors de l’installation du Conseil Départemental au printemps dernier, on apprenait que les fromages des indemnités avaient 8% de plus de matière grasse.

                Mais jusqu’où cette passion d’Hérault sera-t-elle bénéfique, en plus de l’être à son président, à notre département, qu’il dit vouloir “attractif” ? Il suffit de se promener à Saint Pons de Thomières, ville dont il a été le maire pendant dix-sept ans (1995/2012) pour se poser beaucoup de questions sur l’attractivité à la Mesquida et concevoir pas mal d’inquiétudes à ce sujet. Encore plus, je crois, que la Bédarieux peu radieuse de Martinez, sa soeur jumelle, sortie d’un vide-grenier brocante et où l’on a mis au point la machine à remonter dans les années 50, -heureusement il y le marché hebdomadaire et quelquefois, on reçoit à la Tuilerie la Multidépartementale Culturelle Varela-, Saint-Pons semble une ville-fantôme. On y longe des commerces abandonnés, rideaux baissés et rouillés; les jours de semaine on ne trouve guère d’ouverts que la Supérette, deux ou trois cafés, le marchand de fleurs et d’articles funéraires et le bureau de la Caisse d’Epargne; pendant le week-end, quand il fait beau, quelques motards descendant de la montagne s’arrêtent prendre un verre sur la place de l’Eglise. Le soir, tout est désert. Séjourner à St Pons est extrêmement déconseillé à quiconque souffre de neurasthénie ! Dans le dernier Magazine du Département où l’on voit en première page une sorte de Lucette attendant F. Hollande qui vient prendre le café chez elle, Kléber Mesquida affirme qu’il veut “apporter à chaque Héraultais des solutions concrètes et efficaces où qu’il habite”. Espérons qu’au Conseil Départemental qu'il préside, il ne pratiquera pas la même politique concrète et efficace qu’à Saint-Pons, car sa passion d’Hérault pourrait valoir à notre département l’A.O.C de la sinistrose.

                C’est qu’à l’image de son ancienne ville, Kléber Mesquida est emblématique d’un socialisme qui n’a pas voulu ou su évoluer et qui est au progressisme ce que Jean Michel Baylet et les radicaux de gauche sont à la modernité. De ses propos, de ses discours monte une sorte d’ectoplasme d’une gauche qui croit ressembler à celle de Jaurès et qui débite une langue de bois, déconnectée de notre temps.

                Président peu représentatif, élu grâce à un système électoral qui fait des majorités avec une minorité de voix, il se comporte toutefois en potentat, avec ce sectarisme propre à la gauche. Les conseillers départementaux de Béziers -groupe Défendre l’Hérault- en savent quelque chose : dans un récent article, outre qu’ils constatent un gaspillage flagrant de l’argent public, ils se plaignent amèrement que ce Président refuse de les recevoir (qu’ils se rassurent, moi aussi, malgré plusieurs demandes, il ne m’a jamais reçu !). Il ne répond pas non plus, disent-ils, à leurs courriers, les empêche de remplir correctement leurs mandats et leur fait toutes les mesquidaneries possibles, jusqu’à refuser que leur soit attribué un collaborateur. De même que les élus des autres groupes d’opposition, il les ostracise, ce qui n’est pas, pour un défenseur de la démocratie, très démocratique ! C’est qu’en bon socialiste local, il a divisé l’humanité en deux : ceux qui sont dans son clan et ceux qui ne le sont pas ! Les premiers ont tout, les autres n’ont rien.

                Grand marathonien des caves coopératives, Kléber Mesquida n’oublie pas cependant le secteur hospitalier. De passage à Béziers pour la Féria, il a déclaré que Robert Ménard était “un chef de bande”, mais lui n’est autre qu’un chef de clan, le clan PS tendance Conseil Départemental/ anti-Saurel. C’est l’Hôpital qui se moque de la Charité.        

                Pour résumer et conclure, Kléber Mesquida est une caricature de notable PS comme on n’en fait plus que dans le Sud-Ouest, une espèce en voie de disparition comme on n’en trouve plus que dans les hauts cantons et qui a toute sa place au musée du Vieil Héraultais. Rien de nouveau sous le soleil, un parfait dinosaure du Jurassic Park qu’est devenu le Parti Socialiste dans les départements !

     

                                                                                                                       Jean-Pierre Pelaez

  • Notre feuilleton "grands démocrates, républicains, donneurs de leçons" : le fonctionnement autocratique du conseil départemental.

     

    VOICI LE DOSSIER !

     

    Nous avions déjà porté à la connaissance de nos lecteurs (rubrique "Bon à savoir") les obstacles mis par le président du conseil départemental à l’exercice de notre mandat, nous  les six conseillers élus à une très forte majorité sur les cantons du biterrois.

    Ces obstacles tenaient au refus de nous affecter un bureau dans les locaux du conseil départemental de Béziers, aux instructions données aux services du département de ne pas répondre directement à nos demandes, au refus de confier à la navette qui effectue deux fois par semaine le trajet Béziers-Montpellier le courrier qui nous est adressé à Montpellier, au refus de toute représentation dans un des 300 organismes extérieurs dans lesquels le département est présent, et où nous sommes remplacés dans plusieurs de ces organismes, en qualité de suppléants, par des membres du personnel...

    Nous avions annoncé qu’un dossier spécial serait consacré au refus, opposé par le président, de signer le contrat d’embauche d’un collaborateur. C’est chose faite aujourd’hui. Il s’agit en effet d’une prise de position particulièrement significative du mépris dans lequel sont tenus plus de 100 000 électeurs du département de l’Hérault et du fonctionnement autocratique de cette assemblée. Chacun pourra ainsi juger de la réalité et de la mise en œuvre des grandes déclarations droitdel’homistes sans cesse proclamées par ceux qui ne savent finalement que faire preuve d’un sectarisme exacerbé.

    Afin qu’aucune ambiguïté ne puisse subsister ou qu’aucune question ne reste sans réponse, ce sont toutes les explications et tous les documents qui vous sont présentés.

    Pour consulter ce dossier cliquez ICI

    Henri Bec

  • Pour célébrer un anniversaire !

     

    Une équipe désormais en ordre de marche

     

    Six mois déjà. Le 29 mars 2015, les électeurs de l'arrondissement de Béziers portaient à l'Hôtel du département les 6 candidats soutenus par Robert Ménard, maire de Béziers, le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, le Front National et le Rassemblement Bleu-marine. :

    Canton Béziers 1 : Isabelle des Garets et Henri Bec (remplaçants Marie-Pascale Rizo et Bernard Dartiguelongue)

    Canton Béziers 2 : Marie-Emmanuelle Camous et Jean-François Corbière (remplaçants Kathy Bresson et Jacques Clapiès)

    Canton Béziers 3 : Nicole Zenon et Franck Manogil (remplaçants Sabine Gely et José Folgado)

    Les continuelles entraves mises à l'exercice de notre mandat ont certes freiné le démarrage de notre action, mais ont paradoxalement eu l'effet bénéfique de consolider notre détermination à remplir les tâches qui nous ont été confiées. Nous passerons sur les agressions verbales ou les contre-vérités entendues de manière presque rituelle lors des assemblées du conseil départemental, qui nous ont replongés dans le souvenir des stériles manifestations politiciennes de la IIIème République. C'est à plus de hauteur de vue que nous nous attendions. Volontairement menées au pas de charge, ces assemblées ne permettent aucun débat de fond. A titre d'exemple, au cours de la dernière du 21 septembre, 101 délibérations ont été votées en moins d'1 h 30 ! Les subventions aux associations sont toutes votées ensemble, en une seule fois sans distinction, ce qui permet d'en intégrer certaines à forte connotation politique... Nous aurons l'occasion d'y revenir.         

    Le message que vous recevez aujourd'hui est la conséquence de ces pratiques. Il nous est en effet apparu indispensable de disposer de notre propre outil de communication et avons voulu marquer l'anniversaire de ces six premiers mois par sa mise en ligne.

    Ce blog va nous permettre de vous informer régulièrement des développements de l'actualité locale ou régionale, de vous donner toute précision utile sur les décisions du conseil départemental, etc. Tous ces renseignements vous seront adressés dès que la nécessité se fera sentir.

    Nous avons également éprouvé la nécessite de porter à votre connaissance des éléments plus pérennes nécessitant une présentation plus élaborée. C'est la raison qui nous a amené à lier à ce blog un site plus complet, qui n'en est certes qu'au début de sa construction, mais qui va s'étoffer régulièrement. Vous y trouverez des renseignements sur le conseil départemental, les premiers obstacles mis sur notre route, la présentation des dossiers les plus importants du biterrois, une chronique littéraire ou plus politique, etc. Vous pouvez y accéder par le bouton "Notre site" situé sur la barre de navigation. Un bouton sur les pages du site vous permettra de revenir à ce blog.

    Il est enfin fondamental de mentionner que ces outils n'ont pas vocation à fonctionner à sens unique. N'hésitez pas à prendre contact pour nous faire part de vos suggestions ou difficultés et nous informer de dossiers qui nécessiteraient d'être portés à la connaissance de tous. Vous trouverez tant sur ce blog que sur le site les liens et n° de téléphone utiles.

    Ces messages vous seront directement envoyés sur votre boîte mail. Autour de vous, nombreux sont certainement ceux qui souhaiteraient les recevoir. Conseillez-leur de s'inscrire à La Lettre dans le formulaire ci-dessus. Cette inscription reste anonyme.  Seule l'adresse est nécessaire.

    Bien à vous.

    Henri Bec