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  • Politique étrangère - Résultats des Législatives en Algérie : une dictature nommée FLN

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    Le taux d'abstention est de 61,75 % !

     

    Sans grande surprise, le FLN et son allié le RND ont été les grands vainqueurs des élections législatives algériennes. Le changement chez le voisin de l’Est n’est donc pas pour demain.

    Les résultats sont aussi officiels que sans appel: le FLN maintient sa mainmise sur la scène politique algérienne. Parti historique monopolisant tout le combat du peuple algérien pour l’indépendance, le Front de libération nationale FLN) continuera donc de monopoliser l’Algérie indépendante. Il s’est pour cela arrogé quelque 164 sièges, sur un total de 462 à pourvoir, suivi de très loin par son allié au sein de la coalition présidentielle, le RND (Rassemblement national démocratique) qui obtient 97 sièges.

    Blanc bonnet, bonnet blanc: alors que le FLN recule fortement, en perdant 57 députés (25%), le RND, lui, progresse avec 29 députés supplémentaires.

    Loin, très loin, derrière, figure l’alliance MSP (Mouvement de la société pour la paix) islamiste, avec seulement 33 sièges, des indépendants avec 28 sièges, le TAJ (Tajamoue amal El Jazair) avec 19 sièges, le FFS (Front des forces socialistes) avec 14 sièges et le PT (Parti des travailleurs) avec 11 sièges.

    On l’aura compris : le parti au pouvoir en Algérie depuis 1962 et son principal allié ont de nouveau remporté la majorité absolue. Un signe de plus, et s’il en faut, que le pouvoir en Algérie n’est pas près de changer de visage, ni de forme.

    Au grand dam d’un peuple algérien qui n’a pas hésité à marquer son refus de ce statu quo. On retiendra que le taux d’abstention a été de 61,75%. Chiffres officiels. Aux législatives de 2012, 42,90% des électeurs avaient voté. C’est dire que le peu d’espoir que les Algériens avaient dans leurs politiques est, désormais, définitivement déçu.

    Par Tarik Qattab

    Le 360

    C'est auprès de ces gens-là que Macron est allé insulter la France et son histoire. Pas un seul français digne de ce nom ne doit  lui lui apporter sa voix.

  • Le Front National et la Résistance française, une histoire méconnue

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    A une dizaine de jours du second tour des élections présidentielles, le Front National est, une nouvelle fois, embarqué dans une polémique médiatique autour de la question de la Seconde Guerre mondiale. Cette fois-ci, c’est au tour de Jean-François Jalkh d’en faire les frais. Le vice-président et député européen doit faire face aujourd’hui à des accusations de négationnisme. Des accusations qui interviennent alors que celui-ci était pressenti pour prendre la présidence temporaire du parti depuis le choix de Marine Le Pen de ne pas occuper ce poste le temps de l’élection présidentielle.

    Cet article lu sur le site Lenga d'oc info permet aussi de comprendre pourquoi Nicolas Dupont-Aignan, en tant que gaulliste, n'est pas effrayé par un ralliement vers Marine Le Pen :

    "Si le parti de Marine Le Pen est présenté régulièrement par ses adversaires comme un parti de « collabos », il ne faut pas oublier que le Front National a compté dans ses rangs, et depuis sa fondation, de nombreux résistants et déportés dont voici quelques noms célèbres :

    Maître Jean-Baptiste BIAGGI, avocat, ancien député de Paris, ancien conseiller régional de Corse, ancien maire de Cagnano (Corse), officier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945, médaille de la Résistance.

    Rolande BIRGY, ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante (Réseau Valette d’Osia), croix du Combattant volontaire de la résistance, Yad-Waschem (titre de « Juste » décerné par l’Etat d’Israël, en 1984), membre de SOS Tout Petits.

    Jean-Charles BLOCH, Croix de Guerre, Président du comité des Français Juifs.

    Roger BLOCH (Var), commerçant (ER), Croix du combattant 1939-1945, médaille des opérations de sécurité en Algérie, Reconnaissance de la Nation pour faits exceptionnels, ancien conseiller municipal de Toulon.

    Nicole de BOISGUILBERT, médaille de la Résistance.

    Claude BRABANT (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (H) d’Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole.

    Jean-Louis de CAMARET (Vaucluse), Médaille militaire, Croix de Guerre 39-45 avec citations, Croix du Combattant volontaire de la Résistance, ancien membre des réseaux de la France combattante et des FFI, médaille d’argent de la Ville de Paris.

    Camaret Michel de.jpegMichel de CAMARET, ambassadeur de France, député Front National au Parlement européen (1984-1987), Compagnon de la Libération.

    Michel CARAGE, Commandeur de la Légion d’Honneur, Compagnon de la Libération, Croix de Guerre 39/45 (6 citations), Médaille Coloniale avec agrafes « AFL » « Fezzan-Tripolitaine » « Tunisie », Médaille des Blessés, Médaille des Services Volontaires dans la France Libre, Presidential Unit Citation (USA), Officier du Nicham Iftikar (Tunisie).

    Colonel Maurice CATALAN (Charente-Maritime), certificat national d’appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant et diverses décorations étrangères, candidat FN Cantonnales en 2004 à La Rochelle.

    Roger CHADUC (Haute-Loire), retraité des finances, combattant volontaire de la Résistance, candidat FN Cantonnales en 2004 à Blesle.

    Albert CHAMBON, ancien ambassadeur de France, grand Officier de la Légion d’honneur, médaille de la Résistance, ancien déporté.

    Commandant CHALLE, Commandeur de la Légion d’Honneur (dix citations), pilote à Normandie-Niémen.

    Capitaine de Vaisseau (H) Pierre CHESNAIS (Var), officier de la Légion d’honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre.

    Gilbert DEVÈZE, grande figure de la Résistance qui rejoint Londres en 1940, Ancien député européen Front National en 86.

    Jacques DORÉ, Adhérent au Front National depuis 84, Membre du Comité Central, Secrétaire national aux français de l’étranger, Directeur de cabinet aux affaires étrangères, Croix de guerre, Médaille des Déportés, Médaille des Evadés, Croix du combattant de la Résistance, Croix de la France libre.

    Pierre DUFOUR, Ancien Conseiller régional FN de Seine-Saint-Denis, engagé volontaire à la 2ème DB.

    Ghislaine de FIQUELMONT, première Française entrée à Metz le 19 novembre 1944, dans les rangs du XXe Corp d’armée américain.

    Edouard FONTANA (Val-de-Marne), président de Chambre (H) à la Cour d’appel de Paris, Croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre, candidat FN législatives 2002 et sénatoriales 2004 (Val-de-Marne).

    Édouard FRÉDÉRIC-DUPONT, Croix de guerre 1939-1945, Médaille de la Résistance, Député (1986-88) sur la liste « Rassemblement national » conduite par Jean-Marie Le Pen.

    Robert HEMMERDINGER, médaillé de la Résistance, médaille de la France Libre, Croix de guerre, Président du Comité National des Français Juifs, Ancien Conseiller Régional FN d’Ile-de-France (1992-1998), Commandeur de la Légion d’honneur, grand officier de l’ordre national du Mérite.

    Holeindre Roger.jpgRoger HOLEINDRE (Seine-Saint-Denis), Membre fondateur du Front National, Vice-président du Front National, résistant, écrivain, grand reporter, ancien député de Seine-Saint-Denis, conseiller régional d’Ile de France, Médaille militaire, Croix de Guerre des T.O.E., croix de la Valeur militaire.

    Robert JACOB dit LUZIE (Corse), officier ER, officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite, Médaille militaire, croix de guerre (10 citations).

    Serge JEANNERET, Croix de guerre 1939-1945, Croix du combattant volontaire de la résistance. Fondateur du FN en 1972, il le quitte en 1975 pour devenir directeur de cabinet de Bernard Lafay, Ministre du gouvernement Chirac. Son épouse Germaine Jeanneret est candidate aux élections législatives de mars 1973 à Paris.

    Augustin JORDAN (Paris), ancien ambassadeur, Commandeur de la Légion d’Honneur, Compagnon de la Libération, Croix de Guerre 1939-1945 (4 citations), Membre des premiers SAS, Military Cross (GB), Commandeur du Mérite Allemand.

    Jacques LAFAY, Adhérent au Front National depuis 84, Membre du bureau politique, conseiller national à la santé, Officier de la légion d’honneur, Croix de guerre 39-45 ( 5 citations), Croix du combattant volontaire de la Résistance.

    Robert LIMONDIN (Seine-Saint-Denis), ancien combattant 1939-1945, prisonnier de guerre (1940-1945) en Prusse orientale.

    Francis MASSART (Gironde), combattant volontaire de la Résistance, interné-résistant, évadé, Croix de Guerre 1939-1945, chevalier des Palmes académiques.

    Chef de Bataillon (H) Charles MET (Sarthe), ancien président du directoire de la Société laitière de Normandie, vice-président du Cercle national des Combattants, commandeur de la Légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E., valeur militaire, Candidat FN législatives 1997 (2e circonscription Sarthe), Candidat FN Européennes 2004 (région ouest).

    Jean NICOLET (Hauts-de-Seine), retraité de la Police nationale, conciliateur judiciaire (H) de la cour d’Appel de Paris, médaille d’honneur de la police nationale, Croix du Combattant 1939-1945, médaille commémorative 1939-1945.

    Général Georges NOËL (Yvelines), de l’Armée de Terre, grand invalide de guerre, officier de la Légion d’honneur, Médaille militaire (1944), commandeur de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945, croix de la valeur militaire.

    Professeur Jacques ROBICHEZ, professeur à la Sorbonne, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre 1939-1945, ancien président du Conseil scientifique du FN.

    Professeur Pierre ROUTHIER (Haute-Marne), ancien élève de l’Ecole normale supérieure, professeur émérite de géologie à l’Université Pierre et Marie Curie, chevalier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945.

    Albert SAUVANET (Hérault), officier de cavalerie, ancien cadre supérieur des industries mécaniques et métallurgiques, officier de la Légion d’honneur (5 citations, 2 blessures), médaille des évadés, combattant volontaire de la Résistance, chevalier du Mérite agricole.

    Lieutenant Colonel Marcel TIBERGHIEN (Nord), ancien de Jeunesse et Montagne (centre-école, maquis Renaud (Thollon) et CR6), puis Rhin et Danube, officier de l’ordre national du Mérite, Croix de Guerre 1939-1945 (2 citations).

    Pierre TINSEAUX (Var), engagé volontaire 1939-1945, ancien de la division Leclerc, conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    Pierre SAILLY, candidat aux municipales de Saint-Cyr-sur-Mer, ancien déporté à Buchenwald, le Struthof et Dachau.

    Pierre SERGENT, Résistant dans le réseau Vélite-Thermopyles avant de rejoindre un maquis en Sologne, Ancien député Front National (1986-1988), Ancien officier.

    Jean VALETTE d’OSIA, général de Corps d’Armée. Commandant du 27e B.C.A. de 1940 à 1942, chef militaire de Haute-Savoie en 1943 jusqu’à son arrestation en septembre 1943, évadé puis passé à Londres et Alger en 1944. Grand Croix de la Légion d’Honneur, Croix de guerre 14-18, T.O.E., 39-45., fondateur du maquis des Glières, Grand Croix de la Légion d’Honneur président du Comité de soutien à la candidature de Jean Marie Le Pen.

     

  • Tout sauf Macron

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    DUPONT-AIGNAN A RAISON :

    IL FAUT VOTER MARINE LE PEN

     

    Vaneste.jpegBien sûr que de Gaulle était souverainiste ! C’était l’axe d’une politique qui lui avait fait pratiquer la politique de la chaise vide à Bruxelles, refuser l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun et quitter l’OTAN. Le RPR qui incarnait l’héritage avait, dans ses débuts, maintenu cette ligne en prônant la préférence nationale, et en étant plutôt eurosceptique avec Pasqua et Séguin. Or, par un incroyable renversement de la vérité, qui correspond bien à la post-démocratie à laquelle nous sommes désormais soumis, des gens qui n’ont jamais été gaullistes, ou qui ne le sont plus, osent aujourd’hui injurier, traiter d’imposteur Nicolas Dupont-Aignan parce qu’il a passé un accord avec Marine Le Pen, qu’il soutient désormais pour la présidentielle.

    Cette élection aura été d’un bout à l’autre obscurcie par un brouillard de calomnies et de mensonges. De Gaulle aurait-il pu dire « La France aux Français » ? Telle est la question d’une stupidité abyssale posée sur France 2 à Nicolas Dupont-Aignan. Les journalistes d’aujourd’hui ont remplacé les connaissances et la réflexion par des préjugés et des réflexes. Parce que l’extrême droite a combattu le Général sur le devenir de l’Algérie, le gaullisme serait son adversaire éternel. Non, le général de Gaulle faisait appel à tous les patriotes de bonne volonté. Il y avait des hommes très à droite autour de lui à Londres. D’autres l’ont entouré pour créer le RPF en 1947. D’autres, encore, ont contribué à son retour au pouvoir en 1958. Les Comités de défense de la République qui l’ont aidé à vaincre la chienlit en 1968, et que j’ai fréquentés à l’époque, n’étaient pas précisément des centristes. Quant à ce slogan, il était tellement au cœur de sa politique qu’il n’avait pas besoin de l’énoncer : il le pratiquait. La France aux Français, cela voulait dire deux choses : d’abord que c’était aux Français de choisir leur destin, pas à quelques Français, au peuple français ! Ensuite, cela signifiait que les nations devaient se diriger elles-mêmes, sans être inféodées à des blocs ou à des entités supranationales.

    Dans la confusion mentale qui les habite, certains ont construit un « de Gaulle » illusoire quasiment de gauche, mobilisé pour les droits de l’homme contre l’extrême droite.

    De Gaulle était un patriote humaniste qui pensait qu’il ne fallait pas mélanger des peuples trop différents pour que chaque nation puisse garder son identité et son indépendance. Macron, mondialiste, eurolâtre, immigrationniste, communautariste, qui soumet la politique à l’économie, est aux antipodes du gaullisme. En revanche, les idées défendues par le Front national sur ces questions sont, évidemment, compatibles avec le gaullisme.

    Les Français sont devant un dilemme auquel l’oligarchie régnante les a conduits par ses manœuvres. Élire Macron serait couronner le bilan d’un quinquennat désastreux qu’une manipulation politicienne aurait ainsi sauvé. Ce serait poursuivre l’effacement de la France et la destruction de ses bases les plus solides, comme la famille. Ce serait faire entrer à l’Élysée le candidat de Bergé…

    La machine de diabolisation du Front national est à nouveau en route. Elle ne vise pas l’intelligence, mais procède par suggestions, elle suscite le réflexe plus que la réflexion. Le comportement des élus de ce parti ne pose cependant plus de problème. En revanche, les positions économiques, sociales, sociétales de Mme Le Pen ne sont pas satisfaisantes. Elles ne mettent pas fin à la dérive suicidaire d’un État-providence à bout de souffle et annoncent, avec l’Europe, une rupture brutale qui ne pourra pas être réalisée sans conséquences néfastes pour le pays. La France n’est pas le Royaume-Uni. Qu’il faille revenir aux monnaies nationales et reconstruire l’Europe sur d’autres bases est un objectif souhaitable, mais qu’on doit envisager de manière réaliste. Il semblerait que l’accord passé entre Nicolas Dupont-Aignan et Marine Le Pen aille, sur ce point, dans la bonne direction. Les élections législatives doivent, de toute manière, permettre de recomposer la droite en l’appuyant sur ses valeurs authentiques, en la délestant des opportunistes prêts à toutes les compromissions. Elles seront décisives !

    Christian Vaneste

    Boulevard Voltaire

     

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    Les français ouvrent les yeux et ne craignent plus de dire tout haut ce qu'ils pensaient autrefois tout bas. Voici une lettre de lecteur du "Salon Beige" qui illustre leur réalisme et leur courage. Un véritable espoir de patriotisme et de retour à la France de toujours se lève. Ne laissons pas passer la chance.

     

    "Bonjour Cher Monsieur,

    Dimanche dernier fût le Munich des « républicains ». Moins de deux minutes après la défaite François Fillon se prosternait devant la dictature socialiste et faisait allégeance à ceux-là même qu’il accusait d’être, via un « cabinet noir » , à l’origine de ce qu’il appelait un « coup d’état contre la démocratie ».

    Ceux qui accusent aujourd’hui Nicolas Dupont Aignan de trahison et de collabos se sont tous soumis au dictat de la mediatico-socialisto bien pensance prônant justement un gouvernement de collaboration avec les LR et Macron (qui est soutenu par la sinistre Taubira, Cohn Bendit Cohen, Robert Hue et l’apprenti dictateur Emmanuel Valls).

     Ces gens qui n’ont de mot à la bouche que « De Gaulle » et qui s’auto – déclarent héritiers des résistants de la guerre de 1940 me dégoutent désormais car ils ne sont que l’humiliante image d’une France de l’abandon, de la corruption, de la trahison et de la capitulation. Le pire c’est que leur motivation unique est d’obtenir une pitance éventuelle par les fossoyeurs socialistes que représente Macron aujourd’hui.

    J’admire le courage de Monsieur Dupont Aignan, d’être digne et droit dans les circonstances dramatiques que traversent notre pays. J’ai adhéré ce matin à Debout la France pour vous soutenir (à mon humble niveau) car vous savez parfaitement que depuis hier soir Monsieur Dupont Aignan vous  allez devenir l’aversion du système médiatico-politique et que vous allez rejoindre le camps des «  mauvais français » pour subir la haine, le mensonge, l’insulte de ceux qui essayent de sauver leurs fesses ( comme disait Marion Maréchal Le Pen).

    Grâce à l’action et à la décision de Monsieur Dupont Aignan et de toute l’équipe de Debout la France le combat des capitulards est, à mon sens définitivement perdu. En effet je suis persuadé qu’hier soir sur France deux, un grand mouvement de résistance, ou plutôt, un grand « conseil national de la résistance patriotique » vient de se créer. Le 9 novembre 1989 le mur de l’est est tombé, le 28 avril 2017 le mur de la honte médiatico-politico -bienpensante française vient également de tomber."

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

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    SUR LE CANTON

     

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    EN RÉGION

     

    Il ne reste plus qu'à transformer l'essai ...

     

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    EN FRANCE

     

    M. Macron, membre du parti socialiste de 2006 à 2009, secrétaire général adjoint de l’Élysée en 2012, puis ministre de l'économie et des finances le 10 juin 2014 est très directement concerné par l'augmentation dramatique du chômage. Rien d'étonnant bien sûr qu'il n'ait maintenant aucune idée des solutions à apporter. Et il voudrait cependant diriger le pays ! 

    Les gens ensés ne cessent de le répéter : "tout sauf Macron".

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    0 pensionnaire, 2,5 millions par an :

    le fiasco du centre de déradicalisation de Pontourny

    Des parlementaires pointent du doigt les errements de plusieurs initiatives visant à lutter contre l'endoctrinement de potentiels djihadistes. En ligne de mire, notamment, ceux du centre de déradicalisation de Pontourny en Indre-et-Loire.

    Ce n'est qu'un bilan d'étape, mais le rapport de la mission d'information de la commission des lois du Sénat sur la déradicalisation promet déjà d'être gratiné. Les deux rapporteures ont en effet dénoncé mercredi la "hâte" avec laquelle ces programmes de désendoctrinement des potentiels djihadistes avaient été conçus et pointé l'échec de plusieurs initiatives.

    Les sénatrices relèvent que cette priorité donnée à la lutte contre la radicalisation, menée sous la pression des événements, a parfois créé des "effets d'aubaine financière". "Ont pu être évoqués successivement lors des auditions un "gouffre à subvention" ou un "business de la déradicalisation" ayant attiré des associations venues du secteur social en perte de ressources financières du fait de la réduction des subventions publiques", indiquent-elles.

    Symbole de ce fiasco, le centre de déradicalisation de Pontourny en Indre-et-Loire, qui devait préfigurer l'ouverture de 13 structures similaires. Mis en place à l'automne 2016, ce centre employant 27 personnes (psychologues, infirmières psy, éducateurs spécialisés…) avait pour but d'accueillir des personnes volontaires et ne faisant pas l'objet de poursuites judiciaires, afin de leur faire suivre un programme de 10 mois.

    Las : ce centre n'a jamais compté plus de 9 pensionnaires (c'était au moment de son ouverture). Aucun n'est resté plus de 5 mois et la structure est même vide depuis début février, en raison du départ du dernier pensionnaire suite à une condamnation pour violences, ont ainsi expliqué Catherine Troendlé, sénatrice Les Républicains du Haut-Rhin, et Esther Benbassa, sénatrice EELV du Val-de-Marne. Malgré tout le gouvernement maintient pour le moment son intention de ne pas fermer ce centre. En attendant, la structure continue de coûter de l'argent : son budget de fonctionnement annuel avoisine 2,5 millions d'euros…

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     DANS LE MONDE

     

    Le 360

    L'étrange alliance entre les régimes

    de Pyongyang et d'Alger

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    Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a reçu lundi 24 avril, à Alger, le ministre délégué nord-coréen des Affaires étrangères. L'événement a même fait l'ouverture du journal de la télévision publique algérienne. Alger/Pyongyang, il y a des similitudes et des... dangers.

    Une rencontre a réuni hier, lundi, à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et le ministre délégué nord-coréen des AE, Sin Hong Chol.

    Cette rencontre, rapportée par la télévision publique algérienne, avait notamment pour objet l’examen des relations bilatérales qui remonteraient à 1958, selon les dires du ministre d'Etat algérien.

    Dans sa déclaration, Lamamra fait un cours d’histoire en rappelant l’appartenance des deux Républiques au mouvement des non-alignés. Lamamra pousse même le bouchon plus loin et affirme que l'Algérie et la Corée du Nord se battront pour «la victoire des causes justes dans le monde!»

    Quant au représentant du régime de Kim Jong-un, il annonce que son «pays accompagnera le développement économique de l’Algérie».

    La rencontre entre le responsable algérien et son homologue nord-coréen intervient dans un contexte où la Corée du Nord est régulièrement pointée du doigt par l'ONU pour la menace qu'elle fait peser non seulement sur ses voisins, mais aussi sur la paix dans le monde. Ce pays est dirigé par Kim Jong-un, un président considéré comme un militariste fou dangereux. La mégalomanie de ce dirigeant menace la paix dans le monde et empêche de dormir les membres du Conseil de sécurité. A ce sujet, la Corée du Nord collectionne les condamnations du Conseil de sécurité, en raison de ses programmes militaires et de la paranoïa de son président. La dernière condamnation en date remonte au 20 avril 2017.

    Ce n'est pas tout. Au moment même où Lamamra recevait le ministre nord-coréen, une crise dangereuse menace d'embraser la mer du Japon. Washington vient en effet de dépêcher un porte-avions nucléaire dans la péninsule coréenne. C’est dans ce contexte explosif qu’Alger a décidé de choisir son camp: celui des États voyous et des pays au ban de la communauté des nations. 

  • Mise au point nécessaire et bien venue

     

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    Mise au point historique de Vincent Tournier,

    maître de conférence de science politique

    à l’Institut d’études politiques de Grenoble.

     

    "Le nationalisme, c’est la guerre", ne cesse de répéter François Hollande, maintenant suivi par Emmanuel Macron. Cette convergence dans la condamnation du nationalisme n’est pas surprenante en ces temps d’intégration européenne et de montée du FN. Mais elle est malgré tout inquiétante tant elle témoigne d’une vision simpliste de l’histoire. Associer le nationalisme à la guerre est terriblement réducteur, et même totalement faux. La guerre est un phénomène ancien, sans doute éternel dans l’histoire humaine, alors que le nationalisme est très moderne puisqu’il émerge avec les Lumières et la Révolution française.

    Le terme même de « nationalisme » date de 1798. A cette époque, les guerres sont d’ailleurs surtout attribuées à l’ambition des Princes et aux intérêts des castes dirigeantes, alors que les peuples sont vus comme sages et pacifiques. Aujourd’hui, le raisonnement a basculé : les élites sont vues comme une source de paix alors que les peuples sont considérés comme un problème. C’est un signe supplémentaire de la crise que connaît l’idée démocratique dans l’Europe contemporaine.

    Mais réduire la guerre au nationalisme revient à ignorer que les guerres ont des causes multiples, variables selon les époques. Ces causes mêlent le pouvoir, l’économie, les intérêts, la religion. Le nationalisme n’est pas en lui-même un facteur de guerre : la Suisse ou la Finlande, pourtant très nationalistes, ne menacent personne. En fait, le nationalisme ne devient un facteur de guerre que lorsqu’il s’est accompagné d’une logique impérialiste d’expansion territoriale ou, surtout, sur une volonté de regroupement des minorités nationales éparpillées, comme ce fut le cas pour la guerre de 1914, laquelle avait davantage à voir avec l’impérialisme allemand qu’avec le nationalisme français.

    Et puis, tout de même : comment peut-on sérieusement soutenir que le nationalisme c’est la guerre, alors que la France est aujourd’hui menacée par un phénomène (l’islamisme) qui se caractérise justement par la négation des nations au nom d’un projet d’unification universelle autour d’une communauté religieuse ? (...)

    Les « nationalistes » remplacent les « fascistes » dans la détestation sociale. Le nationalisme, voilà l’ennemi. Or, le nationalisme n’a pas du tout les mêmes caractéristiques que le fasciste, notamment dans son rapport à la démocratie. Faire du nationalisme le mal absolu, c’est justement oublier que celui-ci a été la condition d’émergence de la démocratie moderne.

    La démocratie ne peut en effet exister sans un demos, sans un peuple qui partage une langue, des valeurs, une volonté commune. Aujourd’hui, certains pensent qu’il est possible de créer une démocratie post-nationale. Or, c’est un pari pour le moins audacieux car rien dans l’histoire ne permet de justifier cette thèse. Les philosophes des Lumières en étaient même arrivés à la conclusion inverse, à savoir que les empires plurinationaux ne sont pas compatibles avec la démocratie car la coexistence de plusieurs peuples nécessite d’avoir un pouvoir central autoritaire. Le « Printemps des peuples » a précisément marqué la volonté d’émancipation des nations contre la prison impériale.

    Faire du mot nationalisme le point de polarisation des clivages fait donc courir un risque majeur : celui de renier tout un pan de notre héritage démocratique. En somme, en voulant se débarrasser de ce qu’on tient pour la source de tous nos maux, on risque de jeter le bébé avec l’eau du bain.