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Revue de presse - Page 3

  • La Nouvelle Revue de Presse

    Après quelques jours d'interruption, notre chronique reprend. Il est inutile de rappeler toutes les animations qui ont coloré notre canton au cours de l'été. Nous ne faisons que reprendre quelques faits marquants.

     

    N'oubliez pas de cliquer sur les articles pour pouvoir les lire plus facilement.

     

    Le domaine de La Yole à l'honneur tout l'été

     

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    5 août 2016

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    7 août 2016

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    8 août 2016

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    9 août 2016

     

    Ministre de la justice, l'indépendantiste Mme Taubira avait imaginé, dans le cadre du festival socialiste "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", que la délinquance n'allait être qu'un lointain et mauvais souvenir et que les prisons allaient se vider...

    D'où une politique permissive mise en œuvre, des lois permettant la non exécution des peines, des instructions de mise en liberté massives et d'intensification des aménagements.

    Résultat : les prisons sont surchargées et l'avenir n'a pas été prévu. Une idéologie funeste accouplée à une démagogie électoraliste sans frein ont primé sur la saine gestion que le pays attend.

     

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    10 août 2016

     

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    11 août 2016

     

     

    Une belle initiative du maire de Vias.

    C'est une réaction particulièrement bien venue.

    Bravo Jordan Dartier !

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    11 août 2016

     

     

    Occupation du stade de Villeneuve les Béziers

    par les gens du voyage : insupportable

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    19 août 2016

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    Les donneurs de leçons !

     

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    25 août 2016

     

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    Béatrice Négrier, élue PS, avait été condamnée à une amende de 4 000€ pour abus de confiance en mai dernier par le tribunal correctionnel de Montpellier. La somme escroquée s’élève à 340 000 €...

    France Jamet, Présidente du Groupe des Elus Front National-RBM au Conseil Régional de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, souligne que la presse de gauche avait fait l'impasse :

    "Il aura fallu plus de trois semaines et l’intervention notamment du Front National pour que la Vice-Présidente de la région, en charge de la formation professionnelle et de l’apprentissage, réalise que sa condamnation pour abus de confiance la contraignait à faire ce que tout le monde attendait d’elle : démissionner.

    Cette affaire aura au moins eu le mérite de prouver, une fois encore, que nos concitoyens n’ont rien à apprendre de la presse quotidienne régionale du monopole Baylet, qui avait soigneusement omis de parler de cette condamnation, jusqu’à la révélation du site indépendant « lengadoc-info ». Nos concitoyens ne peuvent pas non plus compter sur le sens moral et l’éthique de leurs dirigeants socialistes qui font tout pour rester à leurs places, sauf quand le Front National les force à la raison."

    Béatrice Négrier devrait conserver son mandat de conseillère régionale. Ethique ?

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    29 août 2016

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    27 août 2016

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    29 août 2016

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  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    N'omettez pas de cliquer sur chaque article

    pour le lire correctement

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    Du 28 juillet au 3 août

     

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    Du 28 juillet au 3 août

     

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    Du 28 juillet au 3 août

     

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    Sur un sujet aussi important que celui-ci,

    la faible mobilisation des biterrois

    est  surprenante

     

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      Le Domaine de La Yole,

    toujours à la pointe

    de l'animation touristique

     

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    26 juin 2016

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     POUR LE MOINS COCASSE !

     

    Le Midi Libre est très souvent mal inspiré. Quand il l'est bien, c'est toujours involontaire. Comme ici.

    Le reportage qui suit, la photo notamment, illustre le peu de qualité d'esprit de ces personnages qui se sont découverts importants et ne sont finalement que de médiocres pantins.

    1) Une fois de plus les conseillers départementaux Henri Bec et Isabelle des Garets n'ont pas été conviés à cette manifestation qui se déroulait sur leur canton. Le sectarisme viscéral de nos républicano-socialo-marionnettes, manipulés par leur idéologie mortifère, continue de s'exercer.  Nous ne prenons pas un ombrage majeur de ces pitoyables manœuvres, mais continuerons à les dénoncer systématiquement. Elles ont toutefois ici un effet boomerang qui ne manque pas de sel !

    2) L'essentiel est en effet ailleurs : il s'agissait de célébrer "le goût des femmes en matière de vin, sachant que ce sont les premières acheteuses". D'où le titre : "Sérignan dans le cœur des femmes journalistes" On constate que ces gougnafiers sont non seulement sectaires, mais essentiellement malotrus. Il n' y avait pas une seule femme à cette cérémonie !

    C'est le ridicule qui le dispute à la vulgarité, le grotesque à l'incorrection, le stupide à la balourdise.

    La simple information des conseillers départementaux aurait amené la présence d'Isabelle des Garets, elle-même viticultrice. D'une pierre ils faisaient deux coups. Mais on ne peut pas demander à des sots de réfléchir simplement. Alors sourions de leur inélégance et de leur bévue.

    Et merci au Midi Libre de nous amuser à ses dépens avec ce reportage aussi absurde qu'extravagant.

    "Les sots sont ici-bas pour nos menus plaisirs" (J.B. Gresset)

     

    Henri Bec

     

    Midi Libre-Titre.jpg02 juillet 2016

     

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    Lorsque nous sommes simplement informés

    (ne rêvons pas à des invitations)

    nous ne manquons pas d'être présents

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    Isabelle des Garets lors des cérémonies du 8 mai à Sérignan

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    Midi Libre-Titre.jpg02 juillet 2016

     

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    Beaucoup se demandent également

    si le Midi Libre, ici aussi bien inspiré,

    n'a pas voulu faire un retour

    sur les élections municipales à Vendres.

     

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    Midi Libre-Titre.jpg04 juillet 2016

     

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    Il serait plus honnête et plus réaliste de dire que

    80 % des français ne lui font plus confiance.

    Il y en a beaucoup qui seraient partis depuis longtemps ...

     

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    04 juillet 2016

     

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  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    La suppression de la CCI de Béziers s'inscrit dans un mouvement général illustré par la création des grandes régions et destiné à faciliter une gouvernance européenne, au détriment des nations et des pays de proximité. Au sommet de la pyramide la finance internationale.

    Nous ne pouvons qu'encourager la position des bittérois.

     

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    Nous ne saurions laisser passer ce nouvel article consacré à notre ami le professeur de Lumley en reconnaissance de ses lumineuses explications sur nos lointains ancêtres, maintes fois données dans la Caune de l'Arago.

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    Ceux ou celles qui consultent régulièrement notre blog ont constaté, du moins nous l'espérons, qu'il avait tout d'abord comme finalité d'être un instrument d'information objectif, mais également un lieu de réflexion Politique, au sens le plus noble du terme, sur nos institutions, le respect de l'intérêt général ou l'analyse des causes et des conséquences, dans la plus pure tradition de la méthode maurrassienne.

    Nous évitons les polémiques inutiles, les conflits personnels et estimons que l’honnêteté intellectuelle est une des garanties essentielles de la pais sociale. Il nous a ainsi paru nécessaire de reproduire la note du maire de Valras, publiée dans Le Petit Journal.

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    A QUOI JOUE LA GAUCHE ?

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    Edwy Plenel

     

    Jacques de Guillebon

    Comme nous le remarquions il y a quelques jours, avant l’attentat de Nice et après la publication des propos du patron de la DGSI, M. Patrick Calvar, certains à gauche et à l’extrême gauche entendent à l’évidence faire monter la discorde un cran plus haut dans le pays.

    Derrière l’attiseur de haine en chef Edwy Plenel, qui comme beaucoup l’ont noté n’a pas attendu que les cadavres de la Promenade des Anglais aient refroidi pour relayer un entretien donné par Jean-Yves Camus à Libération ainsi intitulé : « Terrorisme : la crainte d’une réplique de l’ultradroite », les forces de délation médiatico-politique se sont mises en branle.

     On sait depuis Debord que la principale activité du journaliste de gauche est de dénoncer. Il n’a malheureusement eu, ce journaliste, que de médiocres occasions de satisfaire sa passion depuis quatre ans que les attentats islamiques ensanglantent le sol de France. Une vague affaire Méric, un ancien brûleur d’églises suédois rangé des voitures, rien de bien tripant. Que font les fascistes ? s’impatiente-t-il. On leur offre de beaux motifs de racisme et d’islamophobie, du cousu main, du sur-mesure, et rien du tout. Nib. Aucune réaction, aucun lynchage, aucune belle ratonade. C’est à désespérer du ventre de la bête immonde. A croire qu’elle est ménopausée.

    Alors ils font dans la prophétie auto-réalisatrice, dans le performatif : c’est le grand chef des renseignements qui dit de faire attention au choc des « communautés » ; c’est Jean-Yves Camus qui fait un éloge désolé du Bloc identitaire à Nice, « un garde-fou face au risque de violences » mais assure que la « guerre raciale » est néanmoins théorisée de longue date par l’ultradroite ; c’est Mohamed Sifaoui qui croit que « des mouvements d’extrême droite se préparent aujourd’hui au combat ».

    Il y a assurément quelque chose de louche dans cette obsession digne du désert des Tartares. Un vrai boulevard pour complotistes. Plus qu’un attentat, vous dit-on, et les hordes fascistes se réveilleront. Car elles doivent se réveiller. Non qu’il s’agisse d’une manœuvre électoraliste, la gauche nue qui espérerait se refaire sur un bon Carpentras des familles : non, c’est plus inquiétant, c’est une névrose et cela relève de la psychanalyse. Au-delà même de la joie mauvaise qu’ils éprouveraient, s’il se passait quoi que ce soit, à pouvoir radoter qu’on nous l’avait bien dit que les Français étaient racistes, ils cherchent inconsciemment une Terreur blanche. Lacan les avait prévenus en 68 déjà : « Ce à quoi vous aspirez comme révolutionnaires, c’est à un maître. Vous l’aurez. »

    Ils en tireraient plusieurs avantages : que quelqu’un fasse le sale boulot à leur place, et en finisse avec leur golem-islamiste dont ils n’arrivent plus à effacer les lettres sur le front ; que l’ordre de l’histoire soit respecté, démocratie-fascisme-révolution ; enfin qu’un substitut de père leur foute le coup de pied au cul qu’ils savent mériter.

    Quand ils affirment que l’islamisme et l’ultradroite recherchent la confrontation, c’est leur propre désir qu’ils expriment : celui d’une vraie guerre civile, contre les forces d’une extrême droite qu’ils ne trouvent plus depuis que Marine Le Pen a rationalisé le discours du Front national.

    Alors ils soufflent sur les braises, au besoin ils les fabriqueront eux-mêmes.

     

  • Messieurs les maires, des devoirs de vacances sur l'histoire de France ne seraient pas inutiles !

    Le Petit Journal a eu la bonne idée de publier les discours de quelques maires à l'occasion de la fête du 14 juillet ou de l'hommage aux victimes de Nice.

    Celui du maire de Vias est un parfait exemple des erreurs (pas toujours involontaires) communément reproduites au soutien des "valeurs de la République" et autres slogans désormais incontournables, si l'on veut continuer à appartenir au microcosme politiquement correct. Ce discours commence par : "le 14 juillet commémore la prise de la Bastille qui a eu lieu le 14 juillet 1789 ..."

    Non, Monsieur le maire. C'est inexact.

    En 1880, sous la IIIème République, le député Benjamin Raspail a proposé de retenir la date du 14 juillet comme fête nationale, avec l'intention de commémorer la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789. Cette proposition a été refusée à L’UNANIMITÉ par l'Assemblée Nationale qui a mis en cause la violence et les massacres de cette journée.

    Le consensus s'est fait sur le 14 juillet 1790 , fête de la Fédération, choisie comme symbole d'unité nationale, qui s'était déroulée sans le moindre incident, en présence du roi et débutée par un Te Deum. Cette unité nationale ne durera pas très longtemps, mais c'est une autre histoire ...

    De même, c'est à la date du 14 juillet 1790 que le Sénat a fait référence, dans le rapport préalable à l'adoption de la loi :

    « Mais, à ceux de nos collègues que des souvenirs tragiques feraient hésiter, rappelons que le 14 juillet 1789, ce 14 juillet qui vit prendre la Bastille, fut suivi d’un autre 14 juillet, celui de 1790, qui consacra le premier par l’adhésion de la France entière, d’après l’initiative de Bordeaux et de la Bretagne. Cette seconde journée du 14 juillet, qui n’a coûté ni une goutte de sang ni une larme, cette journée de la Grande Fédération, nous espérons qu’aucun de vous ne refusera de se joindre à nous pour la renouveler et la perpétuer, comme le symbole de l’union fraternelle de toutes les parties de la France et de tous les citoyens français dans la liberté et l’égalité. Le 14 juillet 1790 est le plus beau jour de l’histoire de France, et peut-être de toute l’histoire. C’est en ce jour qu’a été enfin accomplie l’unité nationale, préparée par les efforts de tant de générations et de tant de grands hommes, auxquels la postérité garde un souvenir reconnaissant. Fédération, ce jour-là, a signifié unité volontaire. ».

    Au cours de cette même année 1880 a été inaugurée le monument de la place de la République à Paris, "la colonne de Juillet", qui ne se réfère pas au 14 juillet 1789, mais porte le nom des victimes des journées révolutionnaires de 1830, dites "Trois glorieuses".

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     Du 21 au 27 juillet 2016

     

     

    Commune de Vias

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    Lors de l'hommage aux victimes du terrorisme islamiste, le maire de Servian a bien rectifié ce point d'histoire et mis l'accent sur l'indispensable cohésion nationale. Il convient cependant de se poser la question de savoir si celle-ci peut résister à la division institutionnelle naturellement générée par le système des partis ?

    Cependant, dans le cadre de cette cérémonie, l'évocation de l'année 1793 comme symbole d'unité (!) n'était pas des plus opportune, quand on sait que cette "annus horribilis" a débuté, le 21 janvier, par l'exécution du roi Louis XVI par laquelle, comme le disait si souvent le président Poincaré, "la France s'est suicidée", et s'est poursuivie par des milliers d'exécution (l'épisode de la Terreur), ainsi que par le génocide vendéen où des milliers d'hommes, femmes et enfants ont été massacrés dans d'atroces conditions et que le repentance générale a si bien oublié. Ce nouveau terrorisme islamiste est l'héritier de nos révolutionnaires de 1789. Il procède des mêmes principes tendant à imposer son idéologie par la force et la violence et utilisant les mêmes armes de la terreur, du sang et de la mort. 1793 et Daesch, même combat ! C'est plus le symbole de la révolution et de la haine que de la "douceur des lys".

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    Du 21 au 27 juillet 2016

     

     

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  • La Nouvelle Revue de Presse

    Midi Libre-Béziers-Titre.jpg10juillet 2016

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    Le blog de Patrice de Plunkett 

     

    Le scandale Barroso, ex-président de la Commission  Européenne, qui vient d'être engagé par Goldman Sachs, sans-doute parce qu'on le lui avait promis en échange de ses services, dit toute la vérité des institutions de Bruxelles.

    Sur ce scandale fait d'arrogance, de désinvolture, d'inconscience et de mépris, à un degré difficilement croyable, Patrice de Plunkett a fait paraître sur son blog une note où l'essentiel est dit, en termes exacts.

    Il ne s'agit pas de s'opposer systématiquement et par principe à la construction d'un grand ensemble européen auquel d'ailleurs la Russie devrait être associée, mais le combat contre l'entreprise européenne sous sa détestable forme actuelle doit être poursuivi.

    Henri Bec


     

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    Le transfert de M. Barroso

    chez Goldman Sachs à Londres :

    une insolence

     

    887135739.jpgLa nouvelle est d'une telle insolence qu'on a du mal à y croire. Président de la Commission européenne de 2004 à 2014 - deux mandats successifs -, José Manuel Barroso vient d'être nommé président-conseiller de Goldman Sachs International, branche  de la sulfureuse mégabanque américaine (installée à... Londres) !

    On sait que Goldman Sachs a joué un rôle infernal dans la crise de 2007-2008, puis dans la catastrophe de la Grèce ; et que M. Barroso a voué ses dix années de présidence bruxelloise à faire de l'UE ce que dénoncent aujourd'hui (un peu tard), nombre de commentateurs : "le valet de la finance internationale".

    Sa mission maintenant ? Aider Londres à noyer le Brexit dans de la technocratie financière... "José Manuel va apporter une analyse et une expérience immense à Goldman Sachs et notamment une profonde compréhension de l'Europe", déclare la mégabanque.

    L'expérience "immense" de "José Manuel" est pourtant l'une des raisons qui ont fait naître l'euroscepticisme - voire l'europhobie - parmi les populations du continent. Sa carrière est si symptomatique qu'on dirait une allégorie anticapitaliste au second degré : atlantiste inféodé à G.W. Bush et collaborateur de l'invasion US de l'Irak [1], donc installé à Bruxelles en juin 2004 sous l'impulsion de Tony Blair, M. Barroso devenu président de la Commission s'est opposé à toute régulation du système financier... Reconduit à la tête de la Commission en 2009 par les gouvernements européens (malgré la crise provoquée par la dérégulation financière), il engage l'UE dans le piège du traité transatlantique de libre-échange, qui se met en place inexorablement malgré la révolte croissante de l'opinion et quelques rodomontades de gouvernants...  Il faut ajouter à cela, par exemple, le fait que M. Barroso ait voulu imposer - au mépris des opinions nationales - la directive Bolkestein libéralisant les services. Ou sa pression obstinée en faveur de l'industrie biotechnologique. Ou l'aggravation constante des conflits d'intérêts dans les sphères "scientifiques" et dirigeantes de l'UE - censées rendre des arbitrages dans des domaines engageant la santé publique...

    L'indécence du transfert de M. Barroso chez Goldman Sachs "éclabousse toute l'Union", affirment nos médias. Mais ils admettent que ce transfert "n'a violé aucune règle" et que "c'est là le problème" [4].

    Ils devraient aller plus loin, et admettre que cette absence de règle révèle la véritable nature de l'UE. Loin d'un fédéralisme qui reste l'idéologie de moins d'1% des Européens, et encore plus loin de toute idée de politique économique, l'Union n'est qu'une technocratie au service de la dérégulation financière.

    Inutile d'objecter "l'idéal" ou "le rêve",  jamais concrétisés sinon dans des réalisations mineures (l'éternel argument Erasmus) ; réalisations qui eussent pu naître d'accords d'Etat à Etat... La véritable nature de l'UE est celle d'une utopie (le libre-échangisme absolu), imposée par la voie technocratique dans l'intérêt d'une oligarchie.

    Les faits sont là. Tant que nos commentateurs et nos dirigeants ne les reconnaîtront pas, ils verront s'amplifier ce qu'ils nomment "populisme" par un abus de langage qui ne trompe plus personne. Un "populisme" que l'indécence de M. Barroso va encore renforcer.

    Patrice de Plukett

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    [1]  Premier ministre portugais, il avait mis ses aéroports à la disposition des vols secrets de la CIA transportant des "suspects" arrêtés au mépris du droit des gens.

    [4]  Jean Quatremer, liberation.fr, 9/07.

     

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    11 juillet 2016

     © MaxPPP

     

     

    Sorel Philippe2.jpgAprès l'annonce de l'exclusion de Monique Iborra du Parti Socialiste, le maire de Montpellier, Philippe Saurel réagit et dénonce dans un communiqué les manœuvres du PS. La députée de Haute-Garonne a été exclue pour avoir soutenue Philippe Saurel lors des dernières élections régionales.

    Par Fabrice Dubault

     

    La guerre entre le maire de Montpellier et le PS est toujours vive. Exclu du parti socialiste en janvier 2014, Philippe Saurel désormais DVG nargue ses anciens amis à chaque élection, avec de bons résultats.

    La guerre Saurel/PS depuis 2013

    Après la bataille des municipales, remportée par Philippe Saurel en 2014, après celle des départementales de mars 2015 où le maire DVG de Montpellier fait élire 4 de ses 5 listes sur sa ville, après les régionales où il obtient tout de même 5% en Occitanie au 1er tour, le PS lance les hostilités en vue des législatives qui suivront les présidentielles de 2017.

    Dans le collimateur du PS, les soutiens socialistes du maire de Montpellier aux dernières élections régionales.
    Monique Iborra, députée de la 6e circonscription de Haute-Garonne depuis 2007, vient d'être exclue du PS, pour cause de "soutien à l'ennemi" Saurel. Elle avait fait campagne en 2015 pour la liste Saurel.

    "Le PS poursuit ses manœuvres d'un autre siècle"

    Philippe Saurel dans un communiqué dénonce une attitude destructrice du parti socialiste envers la gauche en Languedoc-Roussillon.

    Le Parti Socialiste, après avoir perdu Toulouse, Narbonne, Carcassonne, après s'être maintenu à Béziers, au 2ème tour des municipales, faisant élire le Front National, poursuit ses petites manœuvres d'un autre siècle".


    Il souligne que Montpellier reste la seule grande ville de gauche dans le midi de la France, de Nice à Bordeaux.
    Philippe Saurel avait lui même été exclu du parti socialiste en 2014 pour avoir maintenu sa candidature dissidente, aux élections municipales de Montpellier, contre Jean-Pierre Moure, candidat officiel du PS. Élections qu'il a remportées au second tour avec 37% des suffrages, 10 points devant son rival.

    Des députés socialistes ont lancé une pétition contre l'exclusion de Monique Iborra, Christophe Caresche demande au Premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, de «reconsidérer» la décision frappant la députée de Haute-Garonne.

    Monique Iborra est élue de la 6e circonscription de Haute-Garonne depuis 2007. Si son exclusion du PS est maintenue reste à savoir quel sera le candidat socialiste investi par les socialistes sur cette circonscription pour 2017.

    Le communiqué de presse de Philippe Saurel

    Monique Iborra, députée socialiste de Haute-Garonne, fidèle soutien du gouvernement, a été exclue sous prétexte d'avoir soutenu ma candidature citoyenne, divers-gauche et écologiste aux élections régionales de décembre 2015.

    Exclue pour avoir soutenu un exclu !

    Le Parti Socialiste, après avoir perdu Toulouse, Narbonne, Carcassonne, après s'être maintenu à Béziers, au 2ème tour des municipales, faisant élire le Front National, poursuit ses petites manœuvres d'un autre siècle.

    A Montpellier, la fessée des municipales, des départementales et du premier tour des régionales (Citoyens du Midi 24%, PS 16%) aurait dû inciter le PS à plus d'intelligence.

    Montpellier reste la seule grande ville de gauche dans le midi de la France, de Nice à Bordeaux.

    Solferino à ce jour, est plus fort pour exclure que pour rassembler les 90% de Français qui refusent les partis politiques et pourtant la plupart d'entre eux sont républicains et souvent de gauche !

    Monique Iborra, est sage-femme de profession, comme moi elle ancre son engagement politique dans le pragmatisme et la proximité avec le citoyen. Elle est exclue pour avoir seulement exprimé avec courage sa liberté de choix et de pensée.

    Solférino a une fois de plus tué Jaurès...


    Philippe Saurel

  • Non, ils n'étaient pas tous là !

     

    LES DERNIERS DES MOHICANS.

    ILS N'ONT PAS ENCORE RÉALISÉ

    QUE LE PEUPLE EN A ASSEZ

    DE LEUR SECTARISME, DE LEUR SUFFISANCE

    ET DE LEUR MÉPRIS

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    Le Midi Libre rapporte qu’à l’occasion de l’inauguration de la place de la liberté à Sérignan « de nombreuses personnalités de la région, du département (?), de l’agglomération et bien entendu de la municipalité étaient présents ».

    Une fois encore les conseillers départementaux du canton ont appris cette manifestation par la presse, un fois la fête passée. Et au cas où nous aurions des regards indiscrets, elle n'était pas annoncée sur le site de la ville.

    Lorsque vous entendrez toutes ces « personnalités » parler des valeurs de la république, du droit à l’information, des droits de l’homme ou autres sempiternelles rengaines destinées à camoufler leur éternel sectarisme, vous n’oublierez pas de leur rappeler que la première obligation d'un élu consiste à tenir compte de l’avis de ses électeurs.

    Il est vrai qu’il y a longtemps qu’ils ne les intéressent plus.

    Il convient cependant de leur rafraîchir la mémoire. Résultats des dernières élections cantonales :

     

    - H. Bec – I. des Garets          54.60 %

    - J.M. Duplaa – R. Pesteil :     45.40 %

     

    Henri Bec

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

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    Du 7 au 13 juillet 2016

     

     

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    VILLENEUVE - VERS UNE SORTIE DE CRISE ?

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    La France est devenue

    le royaume du Père Ubu !

     

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    7 juillet 2016

     

     

     

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    Police nationale (Illustration) - Nicolas Bonzom / Agence Maxele Presse

    Jerome Diesnis

    Alors qu’ils tentaient de contrôler une voiture avec trois occupants mardi soir, ceux-ci ont pris la fuite avant de s’immobiliser au milieu du quartier populaire de la Devèze, à Béziers. Là, ils sont tombés dans un véritable guet-apens. « Une cinquante d’individus attendait les forces de l’ordre dans la pénombre », explique au Midi Libre, Séverine Collardé, du syndicat Alliance Police Nationale.

    Jet de boules de pétanque, jets de pierre, les forces de l’ordre ont dû faire usage de leur flash-ball pour s’extirper de cette situation périlleuse. Tous les véhicules de la police nationale de Béziers sont alors venus en renfort. Un policier a été blessé à la main. Un homme a été interpellé.

    Polémique entre Ménard et l’État

    La situation a donné lieu à une polémique entre l’Etat et la mairie (SE, élu avec le soutien du FN), Robert Ménard. Trois voitures de police municipale venues en renfort n’ont pu intervenir. « L’État a donné l’ordre à nos patrouilles de ne pas intervenir, de se replier, de ne pas entrer dans La Devèze, peste l’édile. Sur ordre du sous-préfet, voici plusieurs semaines que, en cas d’incident, la police municipale doit attendre l’arrivée d’une voiture de police nationale avant d’entrer dans La Devèze. Si la police municipale passe outre, alors l’État a annoncé des mesures de rétorsion contre la Ville ».

    « La police a un dispositif de fonctionnement adapté à ce genre de situation d’ordre public. Les policiers nationaux agissent alors sous le contrôle du représentant de l’État. La police municipale n’a pas à intervenir dans ce dispositif », lui rétorque le sous-préfet Christian Pouget.

     

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     juin 2016

     

     

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    © Robert Navarro, sénateur PS de l'Hérault, et son épouse Dominique au palais de justice de Montpellier - 7 juin 2016.

    Montpellier : le couple Navarro condamné pour abus de confiance

    Le sénateur PS de l'Hérault Robert Navarro et son épouse Dominique ont été condamnés, ce mercredi, par le tribunal correctionnel de Montpellier. Reconnus coupables d'abus de confiance, ils écopent de 3 mois de prison avec sursis, chacun, et plus de 150.000 euros d'amendes et réparations.  -  F3 LR  


    A l'énoncé du délibéré, ce mercredi en début d'après-midi, le couple Navarro était absent du tribunal, tout comme leur avocat.

    Le tribunal correctionnel, après 5 ans d'enquête, a condamné les époux Navarro, à 3 mois de prison avec sursis, chacun, pour abus de confiance, au préjudice de la fédération du parti socialiste de l'Hérault. Mais aussi à 3 ans d'interdiction de droits civiques. Si ce jugement est confirmé, en appel, ou s'il n'y a pas d'appel, Robert Navarro serait déchu de son mandat de sénateur.

    Le sénateur PS de l'Hérault et sa femme Dominique sont également condamnés à de fortes amendes, réparations et frais de justice.

    • 85.720 euros à verser à la fédération du PS 34 en réparation
    • 2.000 euros à verser à la fédération du PS 34 pour préjudice moral
    • 3.000 euros de frais de justice
    • 30.000 euros chacun d'amende

    Ce délibéré va au-delà des réquisitions du 7 juin dernier.

    Réaction de l'avocat de couple Navarro

    Nous sommes en total désaccord avec le jugement et le délibéré du tribunal. Nous présenterons nos arguments devant la cour d'Appel, car ils n'ont pas été entendus en première instance" a déclaré Patrick Maisonneuve interrogé par France 3.
    Il y aura donc appel de ce jugement.

     

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               Juin 2016

     

     

    Le Monde Diplomatique a réalisé une infographie de la presse française. Seuls les principaux propriétaires des médias sont indiqués et non la multitude de petits actionnaires. Ne sont également représentés que : 

    • les titres de presse écrite papier à diffusion nationale de type généraliste, économique et politique 
    • les titres de la presse quotidienne régionale 
    • la télévision nationale (et quelques chaînes de télévision locales) ;
    • les canaux de radio à portée nationale.

    Ne sont pas représentés : les sites de presse en ligne, les groupes indépendants des puissances d’argent (Société nouvelle du journal L’Humanité, groupe Bayard-Presse propriétaire du quotidien La Croix) ainsi que la presse alternative.

     

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  • L'Angleterre est une île - Par Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine

    Coup de tonnerre sur la Tamise. Bruxelles et Paris en ont été ébranlées. Francfort et Berlin peut-être aussi. La suite le dira et jusqu’où. Ce qui est sûr, c’est que l’Europe est à revoir.

    Extrait du numéro de Juillet-Août > Commander ici !

    Ce qu’on appelle le Brexit a surpris le monde politico-médiatique, principalement et presqu’exclusivement en France et à Bruxelles, dans ce monde aveuglément fermé des dirigeants français et européens qui croient tout savoir et tout pouvoir. Type Alain Minc. Et ils se sont trompés ! Et ils n’y ont rien pu ! Pour eux, il était définitivement acquis qu’il était impossible de rebrousser chemin sur la voie qu’ils avaient tracée du terrestre paradis de leur rêve : États-Unis d’Europe, fédération européenne de plus en plus intégrée, seule voie de salut ici-bas, en attendant l’intégration transatlantique, puis la fusion universelle sous une « gouvernance » mondiale. Eurobéatitude d’une prométhéenne imagination qui osait enfin concevoir les hommes et les peuples autrement qu’ils étaient, débarrassés à jamais des scories et des obscénités de leur histoire et de leur condition !

    Et patatras ! À 2 heures du matin, le vendredi 24 juin, malgré les chiffres qui tombaient, ils n’arrivaient point à s’y faire. Les Anglais, majoritairement, voulaient rester anglais. Eh oui ! Le peuple britannique retournait à « l’enfer » des nations, à « la damnation » du nationalisme. Malgré tant d’exhortations, d’objurgations ! Tout à coup, il fallait voir l’affolement, entendre les hurlements d’abomination : ce que c’est que de laisser les peuples à eux-mêmes ! Comme s’ils étaient capables de décider et de vivre hors des normes fixées par eux, les grands-prêtres de Bruxelles !

    Des spéculations privées de sens
    Plus de dix fois déjà, des peuples européens, au cours de ces dernières années, avaient tenté de regimber sous le joug. Les Danois, les Irlandais, les Suédois, les Hollandais à plusieurs reprises et encore tout récemment, les Grecs, les Français qui, en 2005, ont signifié à une forte majorité de 55 % leur refus d’une constitution européenne. Mais, à chaque fois, l’obstacle de la volonté des peuples était contourné par l’habileté des dirigeants. Les mêmes traités étaient réécrits et validés par les oligarchies partisanes, tel le traité de Lisbonne ; les accords étaient revus, indéfiniment rafistolés ; les pays – et surtout l’Angleterre – obtenaient dérogations et adaptations. Ô merveille, l’affaire continuait. Mais aussi se compliquait de rouages inextricables jusqu’à l’impossible et l’absurde. L’Europe ne cessait de s’élargir et prétendument de s’approfondir ! Elle ne formait plus qu’un conglomérat de plus en plus chaotique ; toutes les politiques s’achevaient en pitoyables compromis, de sommet en sommet de « la dernière chance ». Jusqu’à la dernière pression migratoire qui a tout fait exploser. Là, les Anglais ont donné un coup d’arrêt. D’autres ruptures sont à prévoir dans cet édifice fragilisé.

    D’abord, faisons confiance aux Anglais pour prendre soin de l’Angleterre. Ils supporteront les épreuves pour rebondir : ils ont une histoire, ils la continueront. S’imaginer que la City quittera Londres pour faire plaisir à Francfort et à Paris est une spéculation d’eurocrate, privée de sens. La City restera dans la City, avec ses politiques et sa livre souveraine. « L’Angleterre est une île », professait l’excellent André Siegfried dont nos « sciences potards » et nos énarques actuels ont oublié les leçons.

    L’Allemagne encore plus allemande ?
    Les autres peuples de l’Europe du Nord, eux aussi, se le tiendront pour dit et chacun commencera à compter ses billes. Les peuples du Sud qui vivent en pleine anarchie et qui n’évitent le désastre financier que grâce aux invraisemblables accommodements de la BCE, ne font semblant d’accepter les oukases de Bruxelles que pour ne pas faire faillite officiellement. La prochaine crise de l’euro les fera voler en éclats. Les pays de l’Est n’ont jamais cherché que des subventions et des protections ; mais aucun n’adhère sérieusement au fatras législatif bruxellois et encore moins aux vaticinations junckeriennes et merkelliennes sur l’accueil et la répartition par quotas des flux migratoires.

    Quant à l’Allemagne, gageons que, demain, elle sera encore et même plus encore allemande. L’Europe lui a servi à faire sa réunification à moindre frais ; les Français, déjà liés à son mark, en ont payé une large part, s’en souviennent-ils ? Ainsi a-t-elle établi sa position dominante, d’abord économique, maintenant politique. « Le couple franco-allemand » est une billevesée d’hommes politiques français en mal de discours eurocratiques. L’Allemagne n’ira pas au-delà des intérêts allemands. C’est vrai dans tous les domaines, y compris la défense.

    Paroles de prince
    Et la France ? C’est le seul pays où l’idée européenne soit à ce point une religion. En servant, d’abord, cette fausse divinité, ses dirigeants la sacrifient. Ils se sont totalement coupés du peuple français, sans plus aucun souci des intérêts nationaux, ne cessant de les brader depuis des décennies avec, en plus, des airs avantageux et en se rétribuant au passage. Alors, dans le désastre qui s’annonce, si jamais le peuple français voulait renouer avec son histoire, il retrouverait, au moins et d’abord, sa liberté. La liberté, c’est-à-dire l’indépendance, c’est-à-dire la souveraineté. Le régime actuel est un régime de dépendance, de soumission, d’asservissement à l’étranger. Qui dit souveraineté, dit, chez nous, souverain. Pourquoi ne pas chercher dans cette direction ? C’est une question existentielle : être ou ne pas être. To be or not to be. Les Anglais l’ont compris. Ils ont choisi l’être. C’était le sens de leur Brexit or not Brexit.

    Le Prince Jean de France a donné son avis sur la question soulevée par le Brexit. Avis plein de sagesse : « L’Union européenne est une sorte de chimère. Elle a construit toute une bureaucratie pour veiller au respect de règles libérales, qu’elle a malheureusement érigées en dogmes. Son administration n’est pas moins tatillonne que celle d’un régime socialiste. Il suffit de considérer les directives produites par Bruxelles sur des sujets aussi divers que la composition du chocolat ou la fabrication des fromages… Pourtant, on pourrait tout à fait imaginer une confédération fondée sur la subsidiarité : ce que les États peuvent faire eux-mêmes ne doit pas leur être enlevé. L’Europe telle que je la conçois serait fondée sur la coopération entre les nations, celles-ci choisissant librement de s’associer pour de grands projets d’envergure mondiale. C’est l’Europe d’Airbus et d’Ariane. Pas besoin de structures permanentes, pas besoin de Commission européenne pour construire un avion…Et si nous nous accordons sur des buts plus politiques, veillons à respecter l’identité de chaque pays, ce qui est de moins en moins le cas. Le peuple français en sait quelque chose, puisque ses représentants ont contredit son expression directe en votant un traité presque identique à celui que les citoyens avaient refusé par référendum. Ce décalage entre les institutions et le peuple est antidémocratique et particulièrement inquiétant : il nourrit l’amertume et le ressentiment. L’Europe se fait contre les peuples et sans l’homme. Allons-nous commettre la même erreur que l’Union Soviétique ? » Paroles de prince français à méditer dans les mois qui viennent.

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

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     Le Petit Journal du 30 juin au 6 juillet

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    Le Petit Journal du 30 juin au 6 juillet

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    La Ligue des Droits de l'Homme condamnée. Cette nouvelle a très peu intéressé Le Midi Libre. Un simple entrefilet dans le coin d'une page en fait état. Que n'aurait-on vu et entendu dans l'hypothèse inverse !

     

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  • La Nouvelle Revue de Presse

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    Totalement ridicule : C'était la grande manifestation de Nuit Debout à Béziers... Notre premier ministre n'a pas à se préoccuper de la faire interdire !

     

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     Du 23 au 29 juin 2016

     

    Vos conseillers départementaux soutiennent la culture de qualité

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    Valras-Plage : il faut éviter de perdre le nord !

     

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    SERIGNAN : Ça grogne sur le marché de la promenade

     

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    LA VOIX DU NORD

     

    Incendie à Denain : le directeur de cabinet de la députée-maire socialiste mis en examen

     

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    Le procureur de Valenciennes a mis en examen le socialiste Yohan Senez, mercredi 22 juin, pour complicité de l'«incendie volontaire» d'une épicerie roumaine, «commis en raison de la race, l’ethnie, la nation, la religion de la victime».

    Dans la nuit du 20 au 21 mars 2016, un incendie avait frappé un magasin d’alimentation et de produits roumains, dans la petite ville de Denain, dans le Nord. Quelques jours plus tard, deux employés municipaux avaient été mis en examen, après qu'ils auraient reconnu être à l'origine de l'événement. Les investigations conduites par la direction interrégionale de la policier judiciaire de Lille ont, finalement, mené au placement en garde à vue de Yohan Senez, directeur de cabinet de la députée-maire de Denain Anne-Lise Dufour-Tonini, mardi 21 juin.

    Selon le parquet de Valenciennes, la mise en examen de Yohan Senez se fonde sur deux éléments : d'une part, l'un des employés municipaux aurait indiqué au magistrat instructeur «avoir organisé l’incendie criminel à la demande» du directeur de cabinet. D'autre part, des échanges de SMS entre l’un des employés municipaux et Yohan Senez au cours du week-end précédant l'incendie attesteraient de la responsabilité de ce dernier.

    Conséquence de cette mise en examen : le directeur de cabinet socialiste a été placé sous contrôle judiciaire, et n'a désormais plus le droit de se rendre à Denain, ni d'entrer en relation avec des employés municipaux ou des élus de cette commune.

    Peu après l'incendie volontaire de son établissement, en mars, le commerçant roumain avait déclaré «ne [pas] comprend[re] pourquoi ils ont fait ça. On a toujours respecté la mairie. […] On estime à environ 8 000 euros les pertes et les dégâts». Il avait ajouté que sa nationalité roumaine avait peut-être était prise en compte par les auteurs de cet acte.

     

    LE POINT                 L'avis de Michel Rocard

     

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  • LE PETIT JOURNAL N° 352 : SPECIAL AGGLO - PETITS ARRANGEMENTS ENTRE AMIS

    Tout commence par l'alliance de la carpe et du lapin. Le communiste (pur et dur ?) Aimé Couquet s'allie avec un ancien de la liste de Robert Ménard pour ... garder sa place. Résultat, il se dispute avec son "vieil ami" Jean-Michel Duplaa.

    Ce serait du plus haut comique si ces gens là ne prétendaient pas en même temps s'occuper du bien public, expression qui a d'ailleurs totalement disparu de leur vocabulaire.

     

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    On continue avec les arrangements entre amis. Au lieu d'équilibrer le bureau de l'agglo en mettant au poste de 1er vice-président un représentant du nord, le président a préféré le maire de Valras. Curieuse analyse géopolitique du territoire.

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    Ancien maire-adjoint de Sérignan, Alain Halley connaît bien le fonctionnement de la mairie et les finances publiques.

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  • Pézenas : Étienne Dauder et Romuald Vargoz, membres de Sant-Andiu

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    C'est la quasi totalité des consuls de la confrérie qui s'était spécialement déplacée à Pézenas pour honorer nos amis. Les réussites des Caves Molière valaient bien cette distinction.

     

    Ils ont été intronisés aux caves Molière

    Les Caves Molière ont reçu le “grand mestre”, Jean Albe, ainsi que le grand conseil de la plus ancienne confrérie vineuse connue en France, constituée en 1140, à Béziers : l'antique confrérie de Sant-Andiu de la Galinière. Leur marraine et parrain, Sylvie Miquel pour Etienne Dauder et Jean Latil pour Romuald Vargoz, les avaient choisis pour leur implication dans le monde viticole et dans le maintien des traditions et du patrimoine languedocien.

    19 ans de présidence pour Étienne Dauder

    Sylvie Miquel a relaté le parcours viticole d'Étienne Dauder au sein de la coopération, ses 19 années de présidence, son engagement pour développer ses vins, aussi bien dans la ville de Molière que dans son village natif de Caux. Mais aussi son dévouement avec l'hospitalité Notre-Dame-de-Lourdes, comme brancardier depuis l'âge de 17 ans.

    Jean Latil, œnologue comme son filleul, a retracé le parcours de son ami stéphanois, supporter de l'ASSE, de sa Loire natale, en passant par la Bourgogne, le Beaujolais, les Côtes-du-rhône, puis le Languedoc, sa région d'adoption. Il a décrit cet amoureux du vin, épicurien, qui défend ce territoire, ses valeurs, sa culture et son histoire.

    Le président Dauder a alors fait part de sa fierté d'entrer dans la grande famille de Sant-Andiu, aux côtés de son directeur avec lequel il travaille depuis maintenant 9 ans. De son côté, Romuald Vargoz s'est dit ému et ravi d'être invité à appartenir à la plus ancienne confrérie au monde, dans le domaine du vin. Après les discours, les impétrants ont reçu l'acte écrit de leur appartenance à la confrérie, ont prêté serment et ont signé le livre d'or. Ils ont ensuite invité leurs convives à partager le vin de l'amitié avec le picpoul “Entracte”, médaillé au 20e concours de Saint-Aphrodise, dont le président, ne fut autre, cette année, que la maître de chais des Caves Molière, Hélène Rosello, également membre de Sant-Andiu.

    Le divin breuvage a bien sûr été dégusté avec des Petits Pâtés de Pézenas. Sachant que ces deux hôtes sont aussi membres de cette confrérie qui fête cette année ses 25 ans.

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  • La Nouvelle Revue de Presse

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    GRANDE VICTOIRE POUR BÉZIERS !

    Robert Ménard s'était rendu à Paris hier, jeudi 9 juin, afin de prendre la parole devant la Commission Nationale d'Aménagement Commercial.

    En effet, cette commission examinait deux projets d'ouvertures de grandes surfaces sur Béziers ou sa périphérie, l'un au Brégines et l'autre à Colombiers.

    Cette réunion était d'une importance capitale pour la ville, d’où le déplacement de son maire. En effet, il s'agissait, ni plus ni moins, de savoir si un dernier coup fatal allait être porté au centre-ville, à ses commerces et donc à Béziers.

    La décision de la commission vient de tomber : elle refuse ces créations de grandes surfaces supplémentaires.
    C'est une immense victoire pour Béziers !

    Une victoire qui ne s'est pas faite toute seule, mais qui est due à l'engagement de la municipalité, à ses nombreuses campagnes médiatiques, et au travail des associations de commerçants du centre-ville.

    Ville de BEZIERS (10-06-16)

     

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     12 juin 2016

     

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    9 au 15 juin 2016

     

    Un grand reportage à découvrir dans Le Petit Journal

    Une architecture innovante et des travaux importants

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    AMÉNAGEMENT DE LA PLACE DES BONS AMIS

     

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    Localisation de l’opération

    Nom de l’espace : Place des Bons Amis

    Adresse : Place des Bons Amis

    La demande

    Origine de la demande : Diagnostic PNRQAD
    Nature de l’intervention : Réaménagement d'un espace public délaissé.

    Descriptif d'avant travaux

    La Place des Bons amis est située au milieu de la rue Viennet, à mi-chemin entre la place du Forum et le Parvis de la Cathédrale Saint-Nazaire. Elle tire son nom d'une sculpture présente à l'angle de la place : Les 5 têtes, qui est en état de dégradation avancé.

    A proximité immédiate de la Place de la Révolution, elle accueille actuellement 3 terrasses de restaurant durant la période estivale.

    Cette place est dotée d'un revêtement en pavés porphyres dont les joints sont vieillissant et est délimitée par des bornes anti-stationnement en pierre calcaire en mauvais état.
    Les commerçants ont orné leurs terrasses de pots de fleurs afin d'agrémenter la place et d’empêcher le stationnement sauvage. Ces pots peuvent donner l'impression d'une semi privatisation de la place en formant une « barrière » difficilement franchissable et un obstacle visuel conséquent.
    Une statue en pierre, La Bacchante au biniou (Injalbert) est implantée en fond de place, non visible depuis la rue et peu mise en valeur.

    Besoins identifiés :

    - Restaurer le revêtement en pavés – favoriser le flux piétonnier.
    - Harmoniser le fleurissement et les plantations.
    - Mise en valeur et restauration de la statue La Bacchante au Biniou et uniformisation de la signalétique.
    - Intégrer les conteneurs à déchet dans l'espace public.
    - Renforcer l'éclairage public de la Place.

    Programme :

    - Différenciation du revêtement de la place de l'espace circulé : Mise en place de dalles porphyres identiques à la place de la Révolution mitoyenne, sur l'espace piéton.
    - Restauration des pavés et des joints de l'espace circulé.
    - Suppression des bornes anti-stationnement autour de la place et remplacement des bornes abîmées de la rue Viennet pour conserver l'alignement existant.
    - Déplacement de la statue en tête de place.
    - Plantation d'un arbre en partie centrale de la place afin de créer un point d'appel pour les terrasses.
    - Intégration de pots de fleurissement et d’arbres demi-tiges faisant office d'obstacles anti- stationnement en périphérie de la place, tout en aérant l'espace.
    - Installation d'un point de collecte enterré pour les déchets ménagers et point recyclage.
    - Mise en lumière de la place par un éclairage d'ambiance sous l'arbre central et éclairage des statues.

    Les Acteurs du Projet :
    Maîtrise d ’ouvrage : Ville de Béziers – Département des Espaces Verts & Sportifs

    Maîtrise d ’oeuvre : Ville de Béziers – Service Études et Gestion Espaces Verts

    Les Partenaires :

    Département de la Voirie et des Espaces Publics
    Mission PNRQAD – ANRU (Subvention de 50 % des travaux)

    Cette opération fait partie de la Famille des Aménagements de Proximité / Petits espaces délaissés de la convention pluriannuelle du PNRQAD (2010-2016).

    Début des travaux : 10 Février 2016

    Fin de travaux : 17 Mai 2016

    Entreprises

    Lot n°1 : VRD

    Montant : 113 612,50 € H.T
    Titulaire : SOLATRAG, 2 Rue de la Chiminie BP 50056 - 34302 AGDE Cedex Sous-traitant : MAZA T.P, 4 Lot Les Clapies - 34420 Villeneuve Les Béziers
    GILONNE CREVEUIL ,190 Lot. Les Mimosas - 34290 Valros

    Lot n°2 : Aménagements Paysagers

    Montant : 29 510,00 € H.T
    Titulaire : UPEE7, 109 Rue de la Balaurie - 34130 Saint Aunes
    Restauration monuments Statue + Buste des 5 têtes
    Montant : 7 585,00 € H.T
    Titulaire : SBPR, 460 Route de Saint Pons - 34500 Béziers

    Coordinateur sécurité :

    Montant : 1 392,31 € H.T
    Titulaire : LESUEUR MEUNIER coordination, 17 Av. de Saint Just - 34370 Creissan

    Total de 152 099,81 € H.T

    Travaux suivi par le bureau d'études Espaces Verts, département Voirie et Espaces Publics

    Intervenants Ville de Béziers

    - Service Parcs et Jardins (département Voirie et Espaces Publics) - Service Patrimoine Bâti (département bâtiments)
    - Bureau Aménagement Cœur de Ville (Service BET Voirie)
    - Service Gestion Urbaine de Proximité

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    Du 9 au 15 juin 2016

     

     

    LA FERIA SE PREPARE

     

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    Du 9 au 15 juin 2016

     

     

    Affaire Reynié ... suite

     

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    7 juin 2016

     

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    12 juin 2016

     

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    7 juin 2016

     

    LE BREXIT GAGNE DU TERRAIN

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  • La Nouvelle Revue de Presse

     

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    Midi Libre-Béziers-Titre.jpg28 mai 2016

     

    C'est paraît-il un politologue : il a du trouver ses diplômes dans une pochette surprise...

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    Le blog politique de francetvinfo publie ces passionnantes révélations qui ne font que confirmer ce que beaucoup avaient déjà compris mais qui en disent long sur les pratiques coquins-copins de nos joyeux républicains.

    Lire ce texte dans la note suivante.

     

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    Du 2 au 9 juin 2016

     

     

    Jean-Pierre Pélaez nous a maintenant habitué à ses délicieuses chroniques hebdomadaires dans "Le Petit Journal". Nous n'avons pas résisté au plaisir de publier celle-ci qui ridiculise comme il se doit la pseudo culture subventionnée grassement par le conseil départemental. A déguster !

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    C'est d'ailleurs dans la joie et la bonne humeur que s'est déroulé le vernissage de l'exposition sur les chroniques et caricatures du "Petit Journal".

     

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    Mai 2016

     

    Bon à savoir

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    Du 2 au 8 juin 2016

     

    Les communistes ont certainement du traiter une fois de plus les socialistes de "volaille bonne à plumer" !

     

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    Du 2 au 8 juin 2016

     

    OZ ta droite

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    LES 51 PROPOSITIONS

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    Du 2 au 8 juin 2016

     

    Dépot de gerbe

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    Du 2 au 8 juin 2016

     

     

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    31 mai 2016

     

    A VOS AGENDAS

     

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  • Les révélations de francetvinfo : passionnant

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    Le blog politique de francetvinfo publie ces passionnantes révélations qui ne font que confirmer ce que beaucoup avaient déjà compris.

     

    Révélations sur les responsabilités dans le « fiasco » Dominique Reynié aux régionales

    Publié par Patrick Noviello et Laurent Dubois le 30/05/2016

    Une situation inédite et un cas unique. L’annulation de l’élection de Dominique Reynié offre à la région Languedoc-Roussillon/Midi-Pyrénées un double palmarès. Jamais une tête de liste régionale n’a vu son élection annulée. Mais, de plus, aucune région française n’a connu l’élimination judiciaire d’un élu qui a drainé sur son nom des centaines de milliers de voix. Dominique Reynié n’est pas le seul «coupable» de ce triste bilan. D’autres responsables de gauche comme de droite partagent le fardeau du fiasco. Des responsables qui étaient les concurrents politiques du politologue parisien et qui ont « instrumentalisé » la « vraie-fausse » candidature Reynié à des fins électorales. Révélations.

    Un demi-million d’électeurs pour un « vrai-faux » candidat

    520 028 bulletins de vote qui n’auraient jamais dû exister. Un demi-million d’électeurs ont voté pour un « vrai-faux » candidat : Dominique Reynié. L’annulation de l’élection de l’ex-tête de liste (de la droite et du centre) aux régionales 2015 se résume à un terrible constat : le premier grand scrutin sur la nouvelle Grande Région a été un scrutin «fantôme» et même «fantoche». Les élections de décembre dernier n’ont pas été juridiquement annulées. Mais, politiquement, elles sont sérieusement écornées.

    Pendant des semaines et des mois, les électeurs ont vu et entendu une tête d’affiche. Mais Dominique Reynié n’aurait pas dû être sur l’affiche et encore moins en tête de gondole. Son visage et son nom se sont étalés sur une caravane de véhicules qui a sillonné la région, sur des millions de documents électoraux et des affiches placardées au bord des routes, dans des centaines d’articles de presse. Mais tout cela n’aurait jamais dû exister. C’est ce qui vient de proclamer (avec l’autorité de la chose jugée et sous le sceau de la République) la plus haute juridiction administrative française.

    Tout est parti du maire d’Onet-le-Château

    Dominique Reynié ne commente pas la décision du Conseil d’Etat. Mais il insiste sur le fait qu’il est victime d’un rejet de la classe politique locale. Il n’a pas tort. C’est effectivement un élu de la région qui lui a coûté son seul et unique mandat politique. Mais, contrairement à ce que prétend Dominique Reynié, ce n’est pas le sénateur LR de l’Hérault qui est son «bourreau». Bien-sûr, c’est Jean-Pierre Grand qui a saisi la justice administrative et obtenu sa «tête». Néanmoins, plusieurs sources concordantes sont catégoriques.

    J’ai arrangé le coup à Reynié et il n’a rien fait pour moi»

    C’est le maire d’Onet-le-Château qui allume la mèche sur laquelle va souffler Jean-Pierre Grand. Le 1er magistrat de la commune hébergeant la mère et le frère de Dominique Reynié voulait une troisième place sur la liste du politologue parisien. Il ne l’obtient pas. Déçu, il se répand alors dans les dîners en ville et les cénacles de la droite départementale : «J’ai arrangé le coup à Reynié et il n’a rien fait pour moi».

    Ces «lamentations» finissent par se propager et arrivent jusqu’aux oreilles de Jean-Pierre Grand. Au siège des Républicains, comme dans les rangs des socialistes aveyronnais, les conversations vont bon train. Nous sommes plus de trois mois avant le scrutin et l’inéligibilité de Dominique Reynié devient un secret de Polichinelle. A Paris, lors d’un déjeuner entre Etienne Mougeotte (ancien directeur de TF1, actuel patron de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles) et le président de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, le doute n’est de mise. Les deux hommes estiment que Dominique Reynié ne peut pas être candidat. 

    La « bienveillance » de ses adversaires socialistes

    Toute cette agitation (souterraine) et le sol qui commence à trembler sous les pieds de Dominique Reynié sont bien partis d’une faille localisée dans l’Aveyron. Dominique Reynié a raison. Sa chute a des racines locales. Mais il a également bénéficié d’une « protection » également très locale. Une « protection » localisée dans… le camp adverse.

    Lors d’une réunion à Millau, un militant socialiste interpelle ses instances départementales. Il connaît le dossier Reynié et veut saisir la justice. II demande l’autorisation au 1er fédéral de l’Aveyron. Carole Delga est présente. Un des piliers de sa campagne, l’ancien sénateur de l’Aveyron, Alain Fauconnier également. Réponse : non. Pas question de bouger.

    Cette bienveillance peut surprendre. Eliminer ou du moins affaiblir un concurrent, c’est de bonne guerre dans une bataille électorale. Sauf, quand le concurrent est un concurrent utile. Suffisamment haut dans les sondages pour barrer la route à Louis Aliot et au Front National. Suffisamment bas pour ne pas constituer un danger pour la candidate socialiste.  

    Il nous va très bien Reynié, faut surtout pas nous le changer ».

    Quelques temps après la réunion de Millau, un des plus proches collaborateur de Carole Delga, explicite les choses : «Il nous va très bien Reynié, faut surtout pas nous le changer ». Ce sont quasiment les mêmes mots utilisés par celui qui va devenir le directeur de cabinet de la future présidente de Région. Laurent Blondiau est alors en charge de la campagne de Carole Delga. Lors d’une opération autour du Canal du Midi, il n’hésite pas à dire au staff de Dominique Reynié qu’il faut conserver le candidat de la droite.

    A l’époque de ces propos, la date de l’enregistrement de la candidature Reynié par la préfecture approche. Beaucoup s’interrogent sur l’attitude du préfet de région : va-t-il siffler la fin de la partie ? Pour le staff de Carole Delga, pas de doute, il faut le maintenir en piste.

    Jusqu’aux plus hauts sommets de l’Etat

    Paradoxalement, dans le même temps, Dominique Reynié reste confiant et affirme qu’il est parfaitement serein. Mais c’est également le cas de son entourage politique. Sacha Briand (conseiller régional et maire adjoint de Toulouse mais aussi avocat) a toujours affirmé que la question de l’éligiblité de Dominique Reynié ne se pose absolument pas. Même ligne du côté d’un autre conseiller régional LR, lui aussi avocat et élu municipal (à Montauban), Thierry Deville.

    Ce sont les concurrents de Dominique Reynié qui ont conscience que la foudre peut tomber. Le premier ministre, Manuel Valls, et le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve sont personnellement et directement avisés du dossier Reynié.

    Il n’est pas éligible. Mais il sautera seul après les élections »

    Un ancien président de région déclare après le dépôt de la liste Reynié en préfecture : «Bien-sûr il (ndrl Dominique Reynié), il n’est pas éligible. Mais il sautera seul après les élections. On a consulté un avocat et la seule inconnue c’est de savoir si c’est la liste de l’Aveyron qui saute ou uniquement Reynié».

    De plus, selon nos informations, la candidate socialiste, Carole Delga, a eu connaissance d’une note juridique, réalisé par un avocat, pointant l’inéligibilité de Dominique Reynié.

    Dans le camp socialiste, le scénario qui s’est écrit en mai 2016 avec la décision du Conseil d’Etat est connu depuis…novembre 2015. Pour le staff de Carole Delga et au PS, Dominique Reynié était «condamné». Mais il doit rester en course.

    Cela s’appelle jouer aux «apprentis sorciers». Des mois avant la saisine de la justice, les socialistes devinent la fin de l’histoire. Mais ils ignorent le scénario. En cas de faible écart de voix entre Carole Delga et Dominique Reynié, le juge aurait même pu prononcer (conformément à une jurisprudence constante) une annulation du scrutin. 4 millions d’électeurs rappelés aux urnes. Impossible de plaider l’ignorance. Toute l’affaire (révélée par France 3 Midi-Pyrénées) s’est étalée dans la presse nationale.

    La région LRMP aurait pu connaître un «accident» politique industriel avec la complicité active du parti au pouvoir à Matignon et à l’Elysée. Le pire a été évité. Il reste «juste» un goût amer. L’impression d’une élection tronquée et en partie «truquée».

    Laurent Dubois (@laurentdub)

  • La Nouvelle Revue de Presse

    Dans les semaines qui viennent, nous envisageons de développer une revue de presse la plus complète possible pour lutter contre cette censure insupportable qui empêche toute information objective.

    Communiquez-nous les adresses mails de ceux à qui vous souhaitez qu'elle soit envoyée. Compte tenu du travail que cela demande elle ne sera mise en place que si une liste suffisante et conséquente de destinataires est établie.

    Et dites-nous ce que vous pensez de cette initiative. Ce blog est avant tout fait pour vous. Merci par avance.

     

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     1er juin 2016

     

     

    Vos conseillers toujours au contact des associations

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    1er juin 2016

     

     

    Le centre ville de Béziers retrouve le moral

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    1er juin 2016

     

     

    Ils sont évidement restés discrets !

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     Le Petit Journal-titre.jpg1er juin 2016

     

     

    Un parachutage sans parachute

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    18 mai Midi Libre-Béziers2.jpg2016

     

    Ces trois énergumènes, qui perturbent systématiquement le conseil municipal, sont vraisemblablement de grands démocrates puisqu'ils intéressent à ce point Le Midi Libre

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    Midi Libre-Béziers2.jpg20 mai 2016

     

     

    L'ARROSEUR ARROSE

     

    Le président du Conseil départemental se sent "infréquentable".

    Lui qui depuis plus d'un an n'a jamais répondu à une seule de nos lettres estime que l'absence de réponse aux siennes par deux ministres  constitue un "silence méprisant".

    Bienvenu au club!

     

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    Midi Libre-Béziers2.jpg22 mai 2016

     

    Ils sont toujours vivants : le ridicule ne tue plus !

    Rappelons que la ville de Béziers compte plus de 70 000 habitants. "Une petite centaine de personnes" nous dit Le Midi Libre, c'est à dire qu'ils n'étaient pas 80.

    Il faut vraiment que ce journal soit un militant politique pour estimer devoir en faire un article, alors que les actions ou prises de position ou prises de paroles de vos conseillers départementaux ne sont jamais évoquées.

     

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