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Revue de presse - Page 2

  • La Nouvelle Revue de Presse

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    SUR LE CANTON

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    EXPOSITION AU MUSÉE TAURIN

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    EN RÉGION

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    ALBI : "La Lamentation", une des œuvres majeures flamandes

    du Midi de la France - XVI ème siècle

    CLIQUEZ ICI

     

    C'est l'un des plus beaux panneaux flamands du début du XVIe siècle conservés dans le Midi de la France. La "Lamentation" vient de retrouver la collégiale Saint-Salvi d'Albi, après une importante restauration.

    Pendant bien longtemps, la "Lamentation" exposée dans la chapelle Saint-Louis de l'église Saint-Salvi a été ignorée du public. Difficile de deviner que sous les couches de vernis jauni et oxydé se cachait un trésor de la peinture flamande du début du XVIème siècle.

    Après 600 ans de présence discrète dans l'église albigeoise, ce retable classé aux titres des monuments historiques a fait l'objet d'une restauration minutieuse, de 2010 à 2014.
    Sous les couches de vernis successives, les restaurateurs ont fait réapparaître tout l'éclat de cette huile sur bois peinte entre 1510 et 1520 du côté d'Anvers.

    L'église Saint-Salvi, biotope idéal

    Le chef-d'oeuvre flamand a ensuite été exposé au Musée Toulouse-Lautrec pour que le public puisse le découvrir dans sa splendeur retrouvée. L'exposition a toutefois été de courte durée : le retable, très sensible aux variations hygrométriques a très vite présenté des fissures. Après une nouvelle restauration au centre de restauration du patrimoine artistique de Gaillac, la "Lamentation" a donc retrouvé son "biotope d'origine", sur les préconisations de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC). Elle vient d'être raccrochée dans la collégiale Saint-Salvi. Elle a retrouvé la chapelle Saint-Louis à laquelle elle s'était "acclimatée" pendant six siècles. 

    Par Laurence Boffet

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    EN FRANCE

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    L'avenir est en marche !

    Quelques-uns des candidats aux législatives choisis par Macron :

    ALPES MARITIMES, Khaled BEN ABDERAHMANE

    AUBE 2, Djamila HADDAD

    BOUCHES DU RHONE, Haouaria HADJ-CHIKH

    CHER 2, Nadia ESSAYAN

    COTE D'OR 3, Fadila KHATTABI

    DROME 4, Latifa CHAY

    GIRONDE 3, Marik FETOUH

    GIRONDE 4, Aziz SKALLI BOUAZIZA

    ILLE ET VILAINE 1, Mustapha LAABID

    OISE 5, Fatima MASSAU

    PARIS 16, Mounir MAHJOUBI

    PUY DE DOME 2, Mohand HAMOUMOU

    VAR 1, Mourad BOUDJELLAL

    YVELINES 8, Khadija MOUDNIB

    SEINE SAINT-DENIS 5, Malika MAALEM

    SEINE SAINT-DENIS 7, Halima MENNOUDJ

    SEINE SAINT-DENIS 10, Billel OUADAH

    ..........................

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    SUR SIMONE VEIL, UN ARTICLE DE FRANCE CATHOLIQUE

    Leclerc Gérard.jpegLa seule fois que j’ai vu Simone Veil, c’était à la réception donnée par le cardinal Lustiger le jour de son entrée à l’Académie française. Je n’ai pas été étonné, sachant la proximité de ces deux personnes, marquées à jamais par la tragédie de l’extermination du peuple juif. Toute explication malveillante, serait, en effet, hors de propos. Sur l’avortement, je savais les convictions absolues du cardinal et avais pu les vérifier dans telle circonstance sur laquelle je ne veux pas revenir. Il y avait donc ce fait que Simone Veil était une personnalité exceptionnelle, que l’on ait apprécié ou non ses positions politiques. Ayant vécu ce qu’elle avait vécu dans sa chair et dans son âme à Auschwitz, là où la maman de Jean-Marie Lustiger avait été assassinée, il n’était pas étonnant qu’avec le cardinal il y ait eu une communion qui tenait aux fibres les plus profondes de la survivante et de l’orphelin.

    Cela explique d’ailleurs mon trouble, qui n’a pas cessé depuis la dépénalisation de l’avortement en 1975. Giscard d’Estaing avait compris qu’en envoyant Simone Veil sur ce front ô combien délicat, il réalisait un coup de génie. Dans cet exercice, une militante féministe idéologisée aurait été désastreuse. Simone Veil avec son passé de déportée, sa modération, était inattaquable. Quiconque s’opposerait à elle apparaîtrait odieux, voire inhumain. L’opinion, passablement ébranlée par une campagne de sensibilisation très efficace, ne pourrait que plébisciter cette femme courageuse, bientôt convertie par les médias en icône intouchable.

    Il y avait le contenu de la loi qui, sur le moment, ne fut pas très bien perçu autant par les adversaires que par les partisans. Contrairement à ce qu’on affirme encore aujourd’hui, l’avortement n’était pas reconnu comme un droit de la femme. Il constituait une sorte de concession compassionnelle, en raison d’une situation critique, douloureuse. Dans le préambule de la loi, le principe de la primauté du respect de la vie était rappelé. Était-ce dû à la pugnacité de Jean Foyer, qui menait alors le combat de l’opposition ? Jean Foyer, ancien garde des Sceaux du général de Gaulle et autre grand ami du cardinal Lustiger. Peut-être ! On connaît la suite. La loi de Simone Veil a été progressivement transformée, voire trahie. L’avortement est devenu un droit inaliénable et toute objection de conscience stigmatisée, au point d’encourir les rigueurs de la répression pénale. Il y avait dans cette évolution une logique initiée, qu’on le veuille ou non, par une transgression majeure. Et c’est Simone Veil qui l’avait permise. Était-ce inévitable ? Il faudra y revenir.

    Gérard Leclerc

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    DANS LE MONDE

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    Le Figaro

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    Syrie: le Quai d’Orsay commence à reconnaître ses erreurs d’analyse, par Georges Malbrunot

    « On a eu tort de personnaliser le débat en Syrie autour de Bachar el-Assad », a confié en public un haut-dirigeant du ministère des Affaires étrangères. « Il faut reconnaître que Assad dispose encore de soutien populaire, peut-être aux alentours de 30% des Syriens, les minorités en particulier », a récemment ajouté le diplomate.

    Ces propos contrastent avec les éléments de langage abondamment relayés en haut-lieu à Paris sur le conflit syrien depuis six ans, qu’il s’agisse du « départ prochain du dictateur » ou « de la révolte d’un peuple contre Assad ». Autant de prévisions qui ne se sont pas réalisées, regrettent tous les opposants syriens.

    En privé, de plus en plus de diplomates font observer que le diagnostic posé sur la crise syrienne dès ses débuts était loin d’être partagé par tous les fonctionnaires ayant une connaissance du dossier syrien. Mais “nous n’avions pas voix au chapître”, se souvient l’un d’entre-eux. Rien d’étonnant donc qu’aujourd’hui, les “réalistes” commencent à sortir du bois. Nul ne remet en question l’objectif de trouver une alternative à Bachar el-Assad. Ils critiquaient seulement l’absence de “plan B” de notre diplomatie qui avait tout misé sur le renversement d’Assad.

    Source : Blog le Figaro

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    Le 360

    Quand Alger digère mal «Le Maroc vu du ciel»

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    Pierre Galand

    © Copyright : DR

     

    Cité dans une longue dépêche de l’agence officielle algérienne APS, le président d’une obscure et pompeuse «Coordination européenne des comités de soutien au peuple sahraoui» ne décolère pas contre le documentaire de Yann Arthus-Bertrand. Voici pourquoi.

    Il fallait s’y attendre: le véritable moment de télévision qu’a offert France 2 à ses téléspectateurs, le jeudi 22 juin au soir, soit le documentaire Le Maroc vu du ciel, devait forcément faire grincer les dents, et c’est peu dire, des détracteurs du royaume. Premier à réagir, un certain Pierre Galand, illustre inconnu et président de la longiligne, mais non moins creuse, «Coordination européenne des comités de soutien au peuple sahraoui». Il s’agit plutôt d’une de ces associations qu’Alger active en Europe pour mieux faire entendre ses intérêts et ses positions. Preuve en est la longue dépêche que lui consacre l’APS, l’agence officielle algérienne.

    Qu’est-ce qui mérite autant de tapage? La partie que le documentaire, véritable chef-d’œuvre audiovisuel au demeurant et qui a fait une audience de 2.7 millions téléspectateurs, consacre à Laâyoune et Dakhla, et donc au Sahara atlantique. Le documentaire fait de l’une de ces villes un exemple de développement, «là où des tomates naissent du désert» et de l’autre «la baie de tous les possibles». Mais, pour Pierre Galand, c’est une tentative de faire passer «le Sahara occidental pour un territoire marocain». Exprimant sa «totale réprobation», et dans une lettre adressée au médiateur de France Télévision, Gora Patel, Pierre Galand va jusqu’à exiger de la chaîne de télévision française qu'elle diffuse un rectificatif dans le cadre d’une émission d’information ainsi que sur son site web.

    Il ne manque pas d’accuser Pascal Plisson, coréalisateur du documentaire, et Ali Baddou, plume et voix de Le Maroc vu du ciel de complicité dans un «film de propagande». Il invoque nombre d’arguments (présence de la Minurso, avis de la Cour internationale de justice en1975, décision de la Cour de justice de l’Union européenne) qu’il plie à sa guise pour affirmer que le Sahara est un territoire «occupé». Il reprend en cela des éléments de langage propres à Alger, communs à tous ses relais. Mais resteront les images captées et elles sont, du propre aveu de M. Galand, «superbes».

    Par Youssef Bellarbi

    Le 360

     

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    BRAVO EMMANUELLE !

     

    DU SANG NEUF POUR LE BITERROIS

     

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    UNE NOUVELLE CHRONIQUE DE JEAN-PIERRE PELAEZ

     

    FIN TRAGIQUE

    DU LACASABOUDUPLA

     

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    Il y a quelques semaines, une terrible nouvelle remuait la communauté scientifique venue dans l’agglomération de Béziers étudier le Lacasaboudupla : on apprenait que, pendant la campagne électorale, le célèbre mutant aurait implosé… 

    Hélas, d’après un article paru dans le Méridional de la Gauche Bien-Pensante de Béziers, on apprend aujourd’hui qu’au lendemain de l’élection d’Emmanuelle Ménard, partiellement reconstitué, mais incapable d’éviter l’éclatement, il n’aurait pas survécu. Craignant de perdre ce spécimen rare, les équipes scientifiques redoublent d’efforts pour retrouver ses différentes parties, avant qu’elle ne disparaissent, car ils veulent les conserver dans un bocal de formol, ou les momifier, à l’intention des futurs étudiants en Sciences Politiques de l’Université de Montpellier. Toute personne pensant avoir retrouvé un débris d’un morceau est priée de contacter le journal.

     Pour ceux qui n’ont pas suivi cette affaire depuis le début, il convient de rappeler que le Lacasaboudupla, apparu en 2014 dans l’agglomération de Béziers, est un mutant politique, une sorte d’O.G.M électoral, inconnu jusqu’ici, et dont le profil morphopsychologique est tout à fait étonnant.Il a été défini par les chercheurs comme un « homo archaosaurianus politicus emollitus magouillensis », Possédant à la fois des gènes de grenouille socialiste, de corbeau républicain, et de caméléon apolitique, le lacasaboudupla n’appartient à aucune espèce politique connue à ce jour, un peu comme l’ornithorynque, animal bizarre qui pond des oeufs, possède des mamelles et une sorte de bec de canard, à moins qu’il n’appartienne à plusieurs espèces à la fois, dont il serait une sorte d’ hybridation occasionnelle. 

    Engoncé et cuirassé dans les valeurs de la République, disant tout et son contraire, et le contraire de tout, s’indignant en écho du concert médiatique, pratiquant et rejetant le rejet de l’autre, laissant faire à son bras gauche ce que le droit ne veut pas faire, et réciproquement, cet animal de type mythologique, qui possède une énorme langue de bois, semble revenir de l’âge des Titans. Atteint d’une sorte de vision globulaire anachronique, qui décale de près d’un siècle sa perception du monde qui l’entoure, il croit voir partout Hitler et le Maréchal Pétain…

    D’après une étude récente du Professeur Louchibovitch, de l’Université de Mourmansk, il pourrait s’agir d’un dinosaure dégelé, pris dans les glaces de l’Arctique, remonté par glaciation des âges politico-préhistoriques, et que certains paléontologues ont voulu raccrocher à l’espèce des caméléono-frontrépublicano-fascistomanes. Selon ce grand scientifique, il allierait à l’intelligence des sauriens le clientélisme et l’esprit du clan du mammouth féodal.   

     Le début de son agonie a été clairement daté. Elle se situerait  au soir du 18 juin 2017. En effet, après avoir tenté en vain de se cacher derrière la candidate En Marche, le monstre préhistorique s’est aventuré sur la route de Murviel où, dans un sursaut désespéré, il a tenté de construire un barrage au Front National. Et c’est ainsi que, pareil au dragon serpentin, sorte de reptile évangélique à trois têtes, voulant lui barrer la route, il a été transpercé d’un coup de lance par Emmanuelle Ménard, ange électoral venu dans son char mettre un terme à ses agissements délétères… 

    Il a alors éclaté en trois morceaux, et depuis, les débris de ses différents discours et vestes bariolées jonchent le sol de l’agglomération, comme les morceaux épars d'un ballon de caoutchouc. Car en bon démagocrate jurassique qu’il était, il voulait parler tous les langages, ressembler à tout le monde et il ajoutait sans cesse un mot à ses mots, un morceau à ses vêtements, un ami à un ami. Mais sa voix et sa peau étaient arrivées à un point extrême de tension, et lorsque la lance de l’Archange Electoral l’a transpercé, dans un grand fracas, elles ont éclaté, pareilles à la toile sur laquelle s'exerce une pression trop forte. Oah sur le Lacasaboudupla ! C’est un destin terrible qui emporte aujourd’hui ce spécimen politique et archaïque rare dont la mutation n’aura duré que trois années. Puisse sa pauvre baudruche disloquée reposer en paix et pour l’éternité au paradis des miroirs de la Politicardise, là où les mots et les actes sont vides de sens et le sens vide d’actes et de mots

    Jean-Pierre Pelaez

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    VOTRE VIN DE L’ÉTÉ

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    Le Cours Gustave Fayet, une bouffée d’air frais à venir sur Béziers

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    C’est dans le cadre exceptionnel du domaine Saint-Jean-d’Aureilhan que cet établissement ouvrira ses portes en septembre prochain. Il a aujourd’hui besoin de votre aide afin d’accueillir au mieux et ce au moindre coût les enfants en difficultés scolaires que l’Éducation Nationale ne parvient pas à aider.

    Cette école s’est implantée dans un quartier populaire de Béziers classé REP, le quartier la Devèze, où la précarité est un lieu commun. En effet, 40 % de la population du quartier est sans activité et 31,4 % de personnes vivent exclusivement de prestations sociales. Au niveau de la situation éducative, il s’avère que le décrochage scolaire touche les enfants dès l’âge de 11 ans. 3,2 % de personnes de plus de 15 ans uniquement ont achevé leur scolarité avec un diplôme niveau licence voire plus.

    En réponse à ce constat, la municipalité de Béziers a donné son accord pour ouvrir une école indépendante qui pourra répondre aux besoins humains de ce quartier.

    Cette école s’engage à :

      • Réaffirmer les parents comme premiers éducateurs de leurs enfants.

    En les impliquant dans un suivi plus régulier de leur enfant, dans les décisions de discipline et en encourageant les enfants à faire preuve de respect envers leurs parents.

      • Assurer aux enfants une maîtrise des enseignements fondamentaux.

    Grâce à des méthodes qui ont fait leurs preuves : la méthode syllabique pour l’apprentissage de la lecture, un enseignement de l’histoire chronologique, une régularité d’exercice du calcul mental, un travail de la mémoire au travers de poésies.

      • Personnaliser l’enseignement des élèves.

    Par les effectifs réduits des classes (12 à 15 élèves max), en organisant un suivi régulier de chaque élève, en l’accompagnant en lui fixant des objectifs de progression. Par ailleurs, les professeurs vivent en permanence avec leurs élèves et les accompagnent tout au long de leur journée (cours, repas, récréations, étude).

      • Offrir un cadre structurant aux élèves.

    En adaptant le rythme de la journée à l’enfant (matières fondamentales le matin et activités artistiques et d’éveil l’après-midi), en offrant un emploi du temps régulier et un cadre sécurisant à l’enfant, en privilégiant le travail en équipe, en misant sur l’apprentissage du savoir-vivre en encourageant les enfants à développer le respect d’autrui et de l’autorité, en cherchant le vrai en toute chose et en lui donnant le goût du travail bien fait. Le vendredi après-midi est réservé à une activité extérieure : la randonnée ou une sortie culturelle ou artistique.

    Le cours Gustave Fayet veut développer un esprit de cohésion au travers du port de l’uniforme. Il permet de créer un sentiment d’appartenance au groupe et encourage les élèves à se distinguer par leur caractère et leur comportement.

     

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    EN MARCHE, UNE VAGUELETTE

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    NKM : émotion générale, Xavier Lemoine : silence médiatique

    par Denis Lensel

    L’agression lâche et stupide dont Nathalie Kosciusko-Morizet a fait l’objet sur un marché du Ve arrondissement de Paris a fait l’objet de la réprobation générale : il est en effet normal qu’on déplore qu’un individu impulsif et peu courageux lui ait lancé ses tracts à la figure, en la faisant tomber à la renverse, alors qu’elle achevait sa campagne de candidate aux législatives.

    Cependant, l’agression très violente et non moins stupide dont le maire de Montfermeil Xavier Lemoine a été victime, quant à elle, a été presque totalement passée sous silence dans le paysage médiatique actuel…

    Pourtant, concernant Xavier Lemoine, les faits méritent aussi le détour : ce maire courageux a été volontairement renversé par un inconnu à scooter, alors qu’il avait décidé de procéder avec sa police municipale à un contrôle d’un groupe de jeunes qui se livraient à un « rodéo » particulièrement dangereux dans les rues. Projeté à terre devant l’hôtel de ville, il a été blessé au bassin et au cou. Membre du Parti chrétien-démocrate, ferme défenseur de l’institution du mariage judéo-chrétien contre la loi Taubira, homme de conviction largement réélu dans cette municipalité de la banlieue Nord, catholique social, il a assuré l’implantation d’une école du réseau « Espérance Banlieues » pour soutenir des enfants en grande urgence éducative.

    Investi initialement lui aussi pour les élections législatives en Seine-Saint-Denis, Xavier Lemoine s’est vu ensuite retirer – peu élégamment et peu courageusement – cette investiture par le parti des « Républicains », un parti politique en déclin qui lui a préféré une personnalité apparemment plus « passe-partout »… Ainsi, après qu’il a été bâillonné politiquement, voici que son sort est passé sous silence… Triste époque, avec trop souvent, deux poids et deux mesures, dans une commune démesure médiatique.

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    LES CONVICTIONS DE

    BRUNO LEMAIRE ! ÉDIFIANT

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    LES BRILLANTES ANALYSES DE NOS HOMMES POLITIQUES :

    LAMENTABLE !

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    Immigration - Identité nationale - Frontières passoires : Macron et consorts se gardent bien d'en parler. La surprise, c'est pour après

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    Candidate aux législatives pour l’Algérie en mai

    puis pour la France en juin !

     

    Publié par Gaia - Dreuz le 31 mai 2017

    Décidément les binationaux algériens ont une conception assez particulière de la politique. Après le cas Rachid Nekkaz qui s’est présenté aux élections en France puis a tenté sa chance comme candidat à la Présidentielle en Algérie, voilà un nouveau cas de dédoublement politique, qui a été révélé par les réseaux sociaux et qui a été grillé par certaines télévisions privées. En effet, Mme Fella Meslem qui s’est présentée comme candidate du parti Taj d’Amar Ghoul (1) aux législatives du 4 mai 2017 dans la région Europe et qui a échoué dans sa mission, s’est une nouvelle fois présentée aux législatives, mais cette fois en tant candidate ….pour l’Assemblée française. Cette dernière est candidate dans la liste du mouvement En marche créé par le nouveau président français élu Emmanuel Macron. Fella Meslem est en effet en lice pour les élections législatives françaises à Evry-Corbeil comme colistière de Jean-Luc Raymond. C’est ce qu’on appelle de l’opportunisme politique sans frontières.

    1) un nouveau parti, le Rassemblement de l’espoir de l’Algérie. Islamiste revendiqué.

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    Il ne reste plus qu'à transformer l'essai ...

     

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    EN FRANCE

     

    M. Macron, membre du parti socialiste de 2006 à 2009, secrétaire général adjoint de l’Élysée en 2012, puis ministre de l'économie et des finances le 10 juin 2014 est très directement concerné par l'augmentation dramatique du chômage. Rien d'étonnant bien sûr qu'il n'ait maintenant aucune idée des solutions à apporter. Et il voudrait cependant diriger le pays ! 

    Les gens ensés ne cessent de le répéter : "tout sauf Macron".

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    0 pensionnaire, 2,5 millions par an :

    le fiasco du centre de déradicalisation de Pontourny

    Des parlementaires pointent du doigt les errements de plusieurs initiatives visant à lutter contre l'endoctrinement de potentiels djihadistes. En ligne de mire, notamment, ceux du centre de déradicalisation de Pontourny en Indre-et-Loire.

    Ce n'est qu'un bilan d'étape, mais le rapport de la mission d'information de la commission des lois du Sénat sur la déradicalisation promet déjà d'être gratiné. Les deux rapporteures ont en effet dénoncé mercredi la "hâte" avec laquelle ces programmes de désendoctrinement des potentiels djihadistes avaient été conçus et pointé l'échec de plusieurs initiatives.

    Les sénatrices relèvent que cette priorité donnée à la lutte contre la radicalisation, menée sous la pression des événements, a parfois créé des "effets d'aubaine financière". "Ont pu être évoqués successivement lors des auditions un "gouffre à subvention" ou un "business de la déradicalisation" ayant attiré des associations venues du secteur social en perte de ressources financières du fait de la réduction des subventions publiques", indiquent-elles.

    Symbole de ce fiasco, le centre de déradicalisation de Pontourny en Indre-et-Loire, qui devait préfigurer l'ouverture de 13 structures similaires. Mis en place à l'automne 2016, ce centre employant 27 personnes (psychologues, infirmières psy, éducateurs spécialisés…) avait pour but d'accueillir des personnes volontaires et ne faisant pas l'objet de poursuites judiciaires, afin de leur faire suivre un programme de 10 mois.

    Las : ce centre n'a jamais compté plus de 9 pensionnaires (c'était au moment de son ouverture). Aucun n'est resté plus de 5 mois et la structure est même vide depuis début février, en raison du départ du dernier pensionnaire suite à une condamnation pour violences, ont ainsi expliqué Catherine Troendlé, sénatrice Les Républicains du Haut-Rhin, et Esther Benbassa, sénatrice EELV du Val-de-Marne. Malgré tout le gouvernement maintient pour le moment son intention de ne pas fermer ce centre. En attendant, la structure continue de coûter de l'argent : son budget de fonctionnement annuel avoisine 2,5 millions d'euros…

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     DANS LE MONDE

     

    Le 360

    L'étrange alliance entre les régimes

    de Pyongyang et d'Alger

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    Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a reçu lundi 24 avril, à Alger, le ministre délégué nord-coréen des Affaires étrangères. L'événement a même fait l'ouverture du journal de la télévision publique algérienne. Alger/Pyongyang, il y a des similitudes et des... dangers.

    Une rencontre a réuni hier, lundi, à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et le ministre délégué nord-coréen des AE, Sin Hong Chol.

    Cette rencontre, rapportée par la télévision publique algérienne, avait notamment pour objet l’examen des relations bilatérales qui remonteraient à 1958, selon les dires du ministre d'Etat algérien.

    Dans sa déclaration, Lamamra fait un cours d’histoire en rappelant l’appartenance des deux Républiques au mouvement des non-alignés. Lamamra pousse même le bouchon plus loin et affirme que l'Algérie et la Corée du Nord se battront pour «la victoire des causes justes dans le monde!»

    Quant au représentant du régime de Kim Jong-un, il annonce que son «pays accompagnera le développement économique de l’Algérie».

    La rencontre entre le responsable algérien et son homologue nord-coréen intervient dans un contexte où la Corée du Nord est régulièrement pointée du doigt par l'ONU pour la menace qu'elle fait peser non seulement sur ses voisins, mais aussi sur la paix dans le monde. Ce pays est dirigé par Kim Jong-un, un président considéré comme un militariste fou dangereux. La mégalomanie de ce dirigeant menace la paix dans le monde et empêche de dormir les membres du Conseil de sécurité. A ce sujet, la Corée du Nord collectionne les condamnations du Conseil de sécurité, en raison de ses programmes militaires et de la paranoïa de son président. La dernière condamnation en date remonte au 20 avril 2017.

    Ce n'est pas tout. Au moment même où Lamamra recevait le ministre nord-coréen, une crise dangereuse menace d'embraser la mer du Japon. Washington vient en effet de dépêcher un porte-avions nucléaire dans la péninsule coréenne. C’est dans ce contexte explosif qu’Alger a décidé de choisir son camp: celui des États voyous et des pays au ban de la communauté des nations. 

  • La Nouvelle Revue de Presse

    SUR LE CANTON

     

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    EN FRANCE

     

    Appel de juristes contre un coup d’État institutionnel
    Un appel signé par plusieurs juristes (avocats et professeurs de droit) à propos des manœuvres employées à l’encontre de François Fillon.

     

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    Atlantico

    Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire.

    Les termes de « coup d’Etat institutionnel » définissent parfaitement les manœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle.
     
    Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale qui était d’avance vouée à l’échec.
     
    Le candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes lors de primaires irréprochables. Il fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi. L’allégation d’un « détournement de fonds publics » est contraire aux termes du code pénal et incompatible avec les principes constitutionnels.
     
    Contraire aux termes du Code pénal d’abord : le texte qui définit ce délit, l’article 432-15, ne vise, comme auteurs possibles de celui-ci, qu’une « personne dépositaire de l’autorité publique » ou « chargée d’une mission de service public », qu’un « comptable public » ou un « dépositaire public », qualités que n’a évidemment pas un parlementaire.
     
    Au surplus, il est plus que douteux que les sommes versées à un parlementaire pour organiser son travail de participation au pouvoir législatif et au contrôle du pouvoir exécutif puissent être qualifiés de fonds publics.
     
    Contraire aux principes constitutionnels ensuite : à celui de la séparation des pouvoirs, seul garant du caractère démocratique des institutions et obstacle à la tyrannie. L’indépendance dont dispose le parlementaire, y compris dans la gestion de ses crédits destinés à rémunérer ses collaborateurs, n’est pas un simple caprice. C’est le préalable nécessaire à l’une de ses missions constitutionnelles qu’est le contrôle de l’exécutif. Pour préserver le principe de séparation des pouvoirs, les assemblées disposent comme elles l’entendent, de leurs crédits de fonctionnement. Incriminer l’emploi discrétionnaire de ces dotations serait s’en prendre à l’exercice de la fonction d’un parlementaire, s’attaquer par là-même au principe constitutionnel de l’indépendance des assemblées parlementaires, corollaire de la séparation des pouvoirs.Pour l’exécutif, prétendre contrôler l’utilisation des dotations d’un parlementaire au moyen d’une procédure pénale enfreint donc ce principe.
     
    Dans le cas de François Fillon, l’atteinte à la Constitution est d’autant plus grave que la procédure pénale est engagée illégalement. En admettant qu’il y ait eu violation du règlement d’une assemblée parlementaire, une enquête n’aurait pu être menée que par le bureau de l’assemblée en cause. C’est bien d’ailleurs la procédure qu’a retenue le Parlement européen pour sanctionner une candidate à l’élection présidentielle française.
     
    A plus forte raison le pouvoir ne pouvait-il laisser le parquet national financier (PNF) se saisir d’une telle enquête (ou l’y inciter). Il saute aux yeux que les faits allégués contre le candidat n’entrent pas dans les chefs de compétence énumérés par l’article 705 du code de procédure pénale (loi du 6 décembre 2013) de ce ministère public : non seulement ces faits ne répondent à la définition d’aucune des infractions mentionnées dans ces chefs de compétence, mais encore nul ne saurait prétendre sérieusement qu’ils présentent « une grande complexité », au sens dudit article.
     
    C’est encore au prix d’une double erreur que le président de la République se retranche derrière l’indépendance de la justice. D’abord, les officiers du ministère public ne sont pas « la justice », la Cour européenne des droits de l’homme leur dénie l’appartenance à l’autorité judiciaire. Ensuite, ils ne sont pas statutairement indépendants du gouvernement, mais subordonnés au ministre de la justice.
     
    Il y a pire.Le bras armé du pouvoir,en l’espèce, est ce parquet national financier.Il est un organe d’exception au sens technique du terme, d’un organe à compétence dérogatoire au droit commun, limitativement définie.  Faut-il rappeler sa genèse, à savoir le refus du pouvoir de se conformer au fonctionnement régulier du ministère public, faute d’avoir réussi à museler un procureur général de la Cour de Paris trop indocile à ses yeux(il est loin le temps où les tenants de ce pouvoir socialiste remettaient en cause le caractère exceptionnel de certaines juridictions, comme les cours d’assises spéciales en matière de terrorisme, sans parler de la Cour de sûreté de l’Etat).
     
    Dès le début de l’enquête visant François Fillon, le parquet national financier s’est comme ingénié à justifier la suspicion légitimement née de cette origine : la précipitation avec laquelle l’enquête a été ouverte, sans même le respect d’un délai suffisant pour lire à tête reposée le Canard enchaîné laisse perplexe ; surtout, la publication dans Le Monde par deux « journalistes » familiers du président de la République, de son secrétaire général etc., des procès-verbaux de l’enquête à peine sont-ils clos, au mépris de secret de l’enquête, démontre irréfutablement une collusion entre les officiers du ministère public ou leurs délégataires et ces « investigateurs ». Le même journal combat d’ailleurs les moyens de défense constitutionnels invoqués par la défense de François Fillon en faisant appel à un civiliste…
     
    Dans leur acharnement, ceux qui ont ourdi cette machination ont pourtant négligé ou sous-estimé un risque : celui d’une action engagée contre l’Etat, en application de l’article L.141-1 du Code de l’organisation judiciaire, en réparation du dommage causé par le fonctionnement défectueux du service public de la justice au cas de faute lourde. En effet, il ne se discute pas que la violation du secret de l’enquête ou de l’instruction en matière pénale constitue un fonctionnement défectueux du service public de la justice et que le rôle actif ou passif du parquet dans cette violation caractérise une faute lourde.
     
    Il reste que la tentative de déstabilisation et de disqualification du candidat de la droite et du centre à l’élection présidentielle est sans précédent par sa violence et par l’implication ouverte de l’Etat.
     
    Sans doute dans le passé d’autres candidats ont-ils été visés par des attaques venant pour la plupart des mêmes journaux : affaire Markovic, diamants de Bokassa, affaire Clearstream. Mais jamais le pouvoir en place n’avait orchestré la campagne avec une pareille impudence.
     
    Au-delà du seul piétinement de la présomption d’innocence, principe dont s’enivrent constamment les zélateurs de l’actuel pouvoir, pour refuser d’endiguer la délinquance ordinaire, ce sont tous les principes essentiels d’un Etat démocratique qui sont bafoués.
     
    Au-delà de la défense du candidat François Fillon, aucun juriste ne peut cautionner ce dévoiement voulu et partisan des institutions, préalable à un « coup d’Etat permanent ». Ni la magistrature ni la police n’ont vocation à servir de supplétifs à un pouvoir moribond.
     
    C’est pourquoi les juristes signataires de cet appel entendent alerter leurs compatriotes sur cette forfaiture et ses dangers pour la démocratie. Ce n’est pas une poignée de substituts militants trop zélés qui feront obstacle aux millions de Français qui ont déjà choisi démocratiquement François Fillon comme candidat de la droite et du centre. Nous n’acceptons pas un coup d’Etat institutionnel, au profit de l’héritier désigné par le pouvoir.
     
    Philippe FONTANA Avocat au barreau de Paris  
    André DECOCQ Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
    Geoffroy de VRIES Avocat au barreau de Paris
    Yves MAYAUD Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
    Serge GUINCHARD Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas, ancien recteur
    Pauline CORLAY Professeur agrégé des facultés de droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
    Guillaume DRAGO Professeur à l’Université Panthéon-Assas Paris II
    Guillaume MASSE Avocat au barreau de Paris
    Jean-Luc ELHOUEISS Avocat au barreau de Paris, Maître de conférences
    Georges BONET Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
    Raymonde VATINET Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
    Anne-Marie LE POURHIET Professeur de droit public à l'université Rennes-I
    Bernard de FROMENT Avocat au barreau de Paris
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    Armes chimiques en Syrie : Gérard Bapt n’exclut pas une manipulation

    Président du groupe d’amitié France-Syrie, Gérard Bapt réagit au bombardement du village de Kahn Cheikhoun. Le député de la Haute-Garonne évoque une possible manipulation et demande la création d’une commission d’enquête pour vérifier si le régime syrien a utilisé (comme le prétendent Paris, Londres et Washington) des armes chimiques.

     

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    Gérard Bapt lors d’un voyage en Syrie en 2015

     

    72 morts dont 20 enfants. Le bombardement d’un village syrien par le régime de Bachar Al-Assad suscite un tollé international. François Hollande parle d’un « crime de guerre ».

    L’usage d’armes chimiques est dénoncé par Paris, Londres et Washington. Un projet de résolution de l’ONU est lancé. Moscou, fidèle allié de Damas, défend la thèse d’une frappe accidentelle d’un site industriel. Le président du groupe parlementaire France-Syrie, Gérard Bapt, député PS de la Haute-Garonne, n’est pas sur la ligne de la Russie. Mais le député prend ses distances avec la diplomatie française.

    Le député de la Haute-Garonne demande des preuves d’une utilisation d’armes chimiques par le régime syrien :

    Je suis très, très troublé par ces images (ndlr des victimes du bombardement). De deux choses l’une. Soit ce que dit la Russie est vrai et un hangar contenant des produits chimiques a été touché. Soit c’est une attaque du régime syrien. J’avoue qu’il y a déjà eu d’énormes mensonges sur l’utilisation d’armes de destruction massive, notamment en Irak, pour déclencher des réactions. Il faut une enquête avec des inspecteurs indépendants pour vérifier qu’il ne s’agit pas d’une provocation.

    Gérard Bapt a effectué plusieurs voyages en Syrie. Le député se défend de toute proximité avec le régime de Bachar Al-Assad et met en avant des raisons humanitaires. Gérard Bapt insiste : « je n’ai jamais rencontré des représentants de l’appareil militaro-sécuritaire du régime syrien« .

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    La Cour administre d'appel valide l'arrêté du maire de Béziers sur l'interdiction pour les mineurs de moins de 13 ans, de sortir seuls entre 23 h et 6 h.

    La Ligue des droits de l'homme une fois de plus déboutée.

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    Il n'est pas évident que cela améliore

    ses vues à long terme !

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    Un bien beau et intelligent communiqué de la mairie de Béziers

     

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    Décidément, ce n'est pas la peine de prendre

    les uns pour changer les autres.

    Nous vivons réellement

    dans une république bananière.

     

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    Gilbert Baumet à nouveau condamné

    à 4 mois de prison ferme

     Nouvelle peine pour l'ancien maire de Pont-Saint-Esprit poursuivi pour favoritisme. Gilbert Baumet a été condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes à 4 mois de prison ferme et 15.000 euros d'amende pour avoir passé sans appel d'offres trois marchés pour près de 770.000 euros.

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    © PASCAL GUYOT / AFP L'ancien maire de Pont-Saint-Esprit condamné

    pour favoritisme par le tribunal correctionnel de Nîmes

     

    Décidément l'ancien maire gardois de Pont-Saint-Esprit cumule les condamnations. Dans le collimateur de la justice depuis plusieurs années, Gilbert Baumet, âgé de 73 ans, vient d'écoper d'une nouvelle peine de prison ferme: 4 mois supplémentaires pour favoritisme.

    Prison ferme, amende et dédommagement de la commune
    La justice reprochait à l'ancien maire de Pont-Saint-Esprit d’avoir passé sans appels d’offres trois marchés pour un total de près de 770.000 euros. Le jugement du tribunal correctionnel de Nîmes est tombé : quatre mois de prison ferme et 15.000 euros d’amende. Deux autres personnes ont été également condamnées à six et quatre mois avec sursis. Une société bénéficiaire de ces marchés devra, elle, verser 20.000 euros d’amende.


    Par ailleurs, l’ancien maire et son ex-directeur général des services devront payer 136.000 euros à la commune de Pont St Esprit.


    En septembre dernier, Gilbert Baumet avait déjà été condamné à quatre mois de prison ferme pour détournement de fonds publics dans l’affaire du rapport sur la vidéo surveillance pour laquelle était également poursuivi l’ancien ministre Roland Dumas.

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    Serge Dassault condamné à une amende de deux millions d'euros et cinq ans d'inéligibilité pour blanchiment de fraude fiscale

    Le sénateur des Républicainset PDG du groupe Dassault est condamné pour avoir dissimulé plusieurs millions d'euros à l'étranger pendant quinze ans.

    Il est condamné pour avoir caché des millions à l'étranger pendant quinze ans. L'industriel et sénateur LR de l'Essonne Serge Dassault, jugé en janvier pour blanchiment de fraude fiscale, a été reconnu coupable et condamné à une amende de deux millions d'euros et cinq ans d'inéligibilité, jeudi 2 février. Ses avocats ont immédiatement annoncé l'intention de Serge Dassault de faire appel de sa condamnation.

    Trop âgé pour être condamné à de la prison

    Avant de prononcer le jugement, le tribunal a dénoncé la "duplicité" de Serge Dassault, qui en tant que sénateur, votait le budget de l'Etat. La cour a estimé que les faits reprochés à Serge Dassault justifieraient une peine de prison ferme mais a décidé de tenir compte de son grand âge (91 ans). Le Parquet national financier (PNF) avait requis cinq ans d'inéligibilité, deux ans de prison avec sursis et neuf millions d'euros d'amende contre l'élu.

    Le PDG du groupe Dassault, un des fleurons de l'industrie aéronautique française, a dissimulé au fisc des dizaines de millions d'euros entre 1999 et 2014. En cause, les comptes de quatre fondations et sociétés, basées au Luxembourg et au Liechtenstein, qui ont abrité jusqu'à 31 millions d'euros en 2006, près de 12 millions en 2014. Il lui est également reproché d'avoir omis dans ses déclarations de patrimoine près de 12 millions d'euros en 2014 et 16 millions en 2011.

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    Un chef d’État, un vrai !

    C’est ce qu’attend la France. Pas un candidat qui réussit, mais un chef. Et qui sera en mesure de prendre toutes les décisions qui s‘imposent pour le salut de la France.

    Serait-il possible que la France ait un jour un chef de l’État ? D’une légitimité telle qu’elle soit incontestable ? Qu’il puisse être cette personne dont la constitution de la Ve République définit la fonction en son titre II, de l’article 5 à l’article 19 ? Mais voilà : son mode de désignation est aujourd’hui tel qu’il empêche l’exercice correct de cette magistrature parce qu’il porte atteinte à l’esprit même de l’institution.

    La France sans chef

    De l’effroyable chaos partisan que crée, maintenant de manière durable, l’élection présidentielle, avant, pendant et après, peut-il émerger une personnalité capable « d’assurer, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État », « d’être le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des traités », « de nommer » souverainement « le Premier ministre », « de soumettre au référendum » un projet de loi, « de signer les ordonnances et les décrets » délibérés en Conseil des ministres, sans provoquer immédiatement l’effervescence des factions opposées ; et que dire s’il s’avisait de prendre des mesures extraordinaires qui seraient exigées par des circonstances exceptionnelles ?

    À trois mois de la prochaine élection présidentielle qui mettra fin au calamiteux quinquennat de François Hollande et qui est censée ouvrir une ère nouvelle, n’y a-t-il donc personne pour énoncer avec simplicité cette évidente contradiction qui est au coeur de notre système politique et qui en altère profondément le fonctionnement ? Chacun des candidats, actuels ou futurs – et ils sont déjà nombreux ! – est trop persuadé que son tour viendra une prochaine fois pour vouloir mettre en cause des procédés institutionnellement aussi nocifs. Et les partis qui vivent politiquement et financièrement de ce désordre permanent ne se risqueront pas à en interrompre le cours, la France dût-elle en périr. En France – et parce qu’elle est la France et que son histoire est une leçon en elle-même –, cette situation est plus grave qu’elle ne le serait en aucun autre pays civilisé. Cette chienlit perpétuelle lui est funeste. Pas un Français qui ait le cœur un peu haut placé, pour ne pas le ressentir !

    L’avilissement de la fonction

    Les primaires de la gauche comme celles de la droite ont illustré la vanité et la vacuité de la politique politicienne en France. Quel avilissement ! Ravaler la dignité du chef de l’État à cette comparution devant des jurys de journalistes ! Quel misérable spectacle que celui d’une nation réduite dans son expression à une salle de classe ! Des petits « profs » qui font les savants et qui harcèlent de questions péremptoires de minables élèves qui doivent répliquer à la moindre injonction. Mais la direction de la France ne relève pas d’un concours !

    D’où l’absurdité de tant de paroles et d’engagements : à droite, des palanquées de chiffres soupesées aux balances d’improbables budgets ; à gauche, des palanquées de promesses, de droits à « qui qu’en veut »,  selon la chanson, de faire naître des enfants ou de les tuer à volonté et gratuitement, de mourir, de jouir, de ne plus travailler, jusqu’au revenu universel financé sur le miracle de recettes introuvables. Voilà un futur chef de l’État qui doit dire ce qu’est l’école « républicaine », comment il faut y enseigner, à quel âge l’enfant doit être orienté, mais tout aussi bien comment l’hôpital devrait fonctionner, quel est le périmètre de la Sécurité sociale, ou encore combien de gendarmes, de policiers, de juges, de médecins il convient de déployer sur le territoire. Et chacun de rajouter des précisions, des projets dans son programme, sans jamais s’arrêter sur les vraies causes de tant de gabegies, de pagailles, d’incuries, de désorganisation généralisée.

    Où est le chef de l’État ?

    Qui aura le courage de dire : « Et la France ? » Le vrai chef de l’État s’occupe de la France et de la France seule, ce qui ne veut pas dire isolée. C’est sa mission essentielle. Il assure la politique générale du pays ; il lui donne sa place dans le monde ; il garantit l’ordre intérieur qui permet la prospérité et conforte les libertés réelles. Si le chef de l’État remplit bien sa fonction, les affaires de la France se porteront d’autant mieux ; tout le monde en tirera profit. Comment ces vérités élémentaires ne sont-elle jamais rappelées ? Le chef de l’État n’a pas à répondre à toutes les envies du moindre hurluberlu qui se prend pour un citoyen supérieur, aux réclamations des éternels agités, aux hurlements des groupuscules qui s’imaginent être la conscience avancée du monde et qui ne sont généralement que des instruments de puissances obscures et financièrement vicieuses. Et il n’est pas chargé de répartir les richesses, de juger des bons et des mauvais élèves, de promouvoir l’égalité partout, de changer les mœurs, d’endoctriner le peuple, d’accueillir l’étranger au mépris des intérêts les plus certains du Français, de légaliser à tour de bras les dispositifs qui aboutissent à la destruction des familles, des traditions, des patrimoines, des consciences, de la vie. L’État a usurpé toutes ces fonctions qui justifient le politicien dans ses prétentions ; il se comporte exactement comme une contre-Église, mais totalitaire, ce qu’il est devenu de fait et de droit et ce qui est voulu. Les dernières lois en sont l’illustration. Aucun homme politique n’est vraiment libre par rapport à cette sourde et continuelle pression qui est une oppression. Il ne peut pas parler de la France et à la France ; il est contraint à un langage convenu, ce qu’on appelle des éléments de langage. Pour plaire à qui ?

    C’est une fin de régime

    L’élu de la primaire de la gauche sera confronté, d’une part, à Jean-Luc Mélenchon et, d’autre part, à Emmanuel Macron. Il n’a évidemment aucune chance et il devra se désister, ce qui sera une fin ridicule. Cela a déjà été prévu dans ces colonnes. Aujourd’hui Macron rallie les suffrages ; il se montre plus candidat que tous les autres candidats. Est-ce la marque d’un futur chef de l’État ? Il dit tout et le contraire de tout, autrement dit rien. Ça plaît ! Sauf qu’il se croit et ce n’est jamais bon de trop se croire.

    Fillon, lui, sera attaqué de toutes parts – et ça ne fait que commencer ! – de l’extérieur et de l’intérieur de son parti et, à chaque fois qu’il cédera à quelque chantage, il fragilisera sa position. Il oscillera, au milieu de factions et d’ambitions qui se déchirent, entre la crainte d’être soupçonné de quelques velléités réactionnaires à cause de son électorat premier et la peur de perdre le soutien des puissants à qui il sera forcément redevable.

    Marine Le Pen joue sa partie. Elle a l’avantage d’une position patriotique nette qui plaira de plus en plus à des Français dépouillés de leur nationalité, de leur civilisation, de leur travail, de leur milieu de vie. Mais, à force de réduire son programme, sous l’influence de son entourage, à la seule économie dirigée et assistée, sans tenir compte des aspirations d’une France qui veut revivre spirituellement, elle risque de perdre son souffle dans une guerre impitoyable où, malgré toutes ses protestations, elle sera considérée comme l’Ennemi du genre humain.

    Le plus probable et même le certain, c’est que l’élu de la présidentielle – quel qu’il soit – se trouvera dans une situation de déliquescence politique telle que, même avec une majorité à la chambre, il sera bien en peine de gouverner malgré les rodomontades des campagnes électorales et qu’il suffira de quelques difficultés majeures, dès aujourd’hui prévisibles, sécuritaires, économiques, sociales et surtout financières pour que la question du pouvoir se repose dans toute son acuité.

    À quand la recherche d’une vraie légitimité ? 

    Hilaire de Crémiers

  • La Nouvelle Revue de Presse

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