La Nouvelle Revue de Presse
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M. Macron, membre du parti socialiste de 2006 à 2009, secrétaire général adjoint de l’Élysée en 2012, puis ministre de l'économie et des finances le 10 juin 2014 est très directement concerné par l'augmentation dramatique du chômage. Rien d'étonnant bien sûr qu'il n'ait maintenant aucune idée des solutions à apporter. Et il voudrait cependant diriger le pays !
Les gens ensés ne cessent de le répéter : "tout sauf Macron".
0 pensionnaire, 2,5 millions par an :
le fiasco du centre de déradicalisation de Pontourny
Des parlementaires pointent du doigt les errements de plusieurs initiatives visant à lutter contre l'endoctrinement de potentiels djihadistes. En ligne de mire, notamment, ceux du centre de déradicalisation de Pontourny en Indre-et-Loire.
Ce n'est qu'un bilan d'étape, mais le rapport de la mission d'information de la commission des lois du Sénat sur la déradicalisation promet déjà d'être gratiné. Les deux rapporteures ont en effet dénoncé mercredi la "hâte" avec laquelle ces programmes de désendoctrinement des potentiels djihadistes avaient été conçus et pointé l'échec de plusieurs initiatives.
Les sénatrices relèvent que cette priorité donnée à la lutte contre la radicalisation, menée sous la pression des événements, a parfois créé des "effets d'aubaine financière". "Ont pu être évoqués successivement lors des auditions un "gouffre à subvention" ou un "business de la déradicalisation" ayant attiré des associations venues du secteur social en perte de ressources financières du fait de la réduction des subventions publiques", indiquent-elles.
Symbole de ce fiasco, le centre de déradicalisation de Pontourny en Indre-et-Loire, qui devait préfigurer l'ouverture de 13 structures similaires. Mis en place à l'automne 2016, ce centre employant 27 personnes (psychologues, infirmières psy, éducateurs spécialisés…) avait pour but d'accueillir des personnes volontaires et ne faisant pas l'objet de poursuites judiciaires, afin de leur faire suivre un programme de 10 mois.
Las : ce centre n'a jamais compté plus de 9 pensionnaires (c'était au moment de son ouverture). Aucun n'est resté plus de 5 mois et la structure est même vide depuis début février, en raison du départ du dernier pensionnaire suite à une condamnation pour violences, ont ainsi expliqué Catherine Troendlé, sénatrice Les Républicains du Haut-Rhin, et Esther Benbassa, sénatrice EELV du Val-de-Marne. Malgré tout le gouvernement maintient pour le moment son intention de ne pas fermer ce centre. En attendant, la structure continue de coûter de l'argent : son budget de fonctionnement annuel avoisine 2,5 millions d'euros…
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DANS LE MONDE
Le 360
L'étrange alliance entre les régimes
de Pyongyang et d'Alger
Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a reçu lundi 24 avril, à Alger, le ministre délégué nord-coréen des Affaires étrangères. L'événement a même fait l'ouverture du journal de la télévision publique algérienne. Alger/Pyongyang, il y a des similitudes et des... dangers.
Une rencontre a réuni hier, lundi, à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et le ministre délégué nord-coréen des AE, Sin Hong Chol.
Cette rencontre, rapportée par la télévision publique algérienne, avait notamment pour objet l’examen des relations bilatérales qui remonteraient à 1958, selon les dires du ministre d'Etat algérien.
Dans sa déclaration, Lamamra fait un cours d’histoire en rappelant l’appartenance des deux Républiques au mouvement des non-alignés. Lamamra pousse même le bouchon plus loin et affirme que l'Algérie et la Corée du Nord se battront pour «la victoire des causes justes dans le monde!»
Quant au représentant du régime de Kim Jong-un, il annonce que son «pays accompagnera le développement économique de l’Algérie».
La rencontre entre le responsable algérien et son homologue nord-coréen intervient dans un contexte où la Corée du Nord est régulièrement pointée du doigt par l'ONU pour la menace qu'elle fait peser non seulement sur ses voisins, mais aussi sur la paix dans le monde. Ce pays est dirigé par Kim Jong-un, un président considéré comme un militariste fou dangereux. La mégalomanie de ce dirigeant menace la paix dans le monde et empêche de dormir les membres du Conseil de sécurité. A ce sujet, la Corée du Nord collectionne les condamnations du Conseil de sécurité, en raison de ses programmes militaires et de la paranoïa de son président. La dernière condamnation en date remonte au 20 avril 2017.
Ce n'est pas tout. Au moment même où Lamamra recevait le ministre nord-coréen, une crise dangereuse menace d'embraser la mer du Japon. Washington vient en effet de dépêcher un porte-avions nucléaire dans la péninsule coréenne. C’est dans ce contexte explosif qu’Alger a décidé de choisir son camp: celui des États voyous et des pays au ban de la communauté des nations.
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Appel de juristes contre un coup d’État institutionnel
Un appel signé par plusieurs juristes (avocats et professeurs de droit) à propos des manœuvres employées à l’encontre de François Fillon.
Atlantico
Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire.
Les termes de « coup d’Etat institutionnel » définissent parfaitement les manœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle.
Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale qui était d’avance vouée à l’échec.
Le candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes lors de primaires irréprochables. Il fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi. L’allégation d’un « détournement de fonds publics » est contraire aux termes du code pénal et incompatible avec les principes constitutionnels.
Contraire aux termes du Code pénal d’abord : le texte qui définit ce délit, l’article 432-15, ne vise, comme auteurs possibles de celui-ci, qu’une « personne dépositaire de l’autorité publique » ou « chargée d’une mission de service public », qu’un « comptable public » ou un « dépositaire public », qualités que n’a évidemment pas un parlementaire.
Au surplus, il est plus que douteux que les sommes versées à un parlementaire pour organiser son travail de participation au pouvoir législatif et au contrôle du pouvoir exécutif puissent être qualifiés de fonds publics.
Contraire aux principes constitutionnels ensuite : à celui de la séparation des pouvoirs, seul garant du caractère démocratique des institutions et obstacle à la tyrannie. L’indépendance dont dispose le parlementaire, y compris dans la gestion de ses crédits destinés à rémunérer ses collaborateurs, n’est pas un simple caprice. C’est le préalable nécessaire à l’une de ses missions constitutionnelles qu’est le contrôle de l’exécutif. Pour préserver le principe de séparation des pouvoirs, les assemblées disposent comme elles l’entendent, de leurs crédits de fonctionnement. Incriminer l’emploi discrétionnaire de ces dotations serait s’en prendre à l’exercice de la fonction d’un parlementaire, s’attaquer par là-même au principe constitutionnel de l’indépendance des assemblées parlementaires, corollaire de la séparation des pouvoirs.Pour l’exécutif, prétendre contrôler l’utilisation des dotations d’un parlementaire au moyen d’une procédure pénale enfreint donc ce principe.
Dans le cas de François Fillon, l’atteinte à la Constitution est d’autant plus grave que la procédure pénale est engagée illégalement. En admettant qu’il y ait eu violation du règlement d’une assemblée parlementaire, une enquête n’aurait pu être menée que par le bureau de l’assemblée en cause. C’est bien d’ailleurs la procédure qu’a retenue le Parlement européen pour sanctionner une candidate à l’élection présidentielle française.
A plus forte raison le pouvoir ne pouvait-il laisser le parquet national financier (PNF) se saisir d’une telle enquête (ou l’y inciter). Il saute aux yeux que les faits allégués contre le candidat n’entrent pas dans les chefs de compétence énumérés par l’article 705 du code de procédure pénale (loi du 6 décembre 2013) de ce ministère public : non seulement ces faits ne répondent à la définition d’aucune des infractions mentionnées dans ces chefs de compétence, mais encore nul ne saurait prétendre sérieusement qu’ils présentent « une grande complexité », au sens dudit article.
C’est encore au prix d’une double erreur que le président de la République se retranche derrière l’indépendance de la justice. D’abord, les officiers du ministère public ne sont pas « la justice », la Cour européenne des droits de l’homme leur dénie l’appartenance à l’autorité judiciaire. Ensuite, ils ne sont pas statutairement indépendants du gouvernement, mais subordonnés au ministre de la justice.
Il y a pire.Le bras armé du pouvoir,en l’espèce, est ce parquet national financier.Il est un organe d’exception au sens technique du terme, d’un organe à compétence dérogatoire au droit commun, limitativement définie. Faut-il rappeler sa genèse, à savoir le refus du pouvoir de se conformer au fonctionnement régulier du ministère public, faute d’avoir réussi à museler un procureur général de la Cour de Paris trop indocile à ses yeux(il est loin le temps où les tenants de ce pouvoir socialiste remettaient en cause le caractère exceptionnel de certaines juridictions, comme les cours d’assises spéciales en matière de terrorisme, sans parler de la Cour de sûreté de l’Etat).
Dès le début de l’enquête visant François Fillon, le parquet national financier s’est comme ingénié à justifier la suspicion légitimement née de cette origine : la précipitation avec laquelle l’enquête a été ouverte, sans même le respect d’un délai suffisant pour lire à tête reposée le Canard enchaîné laisse perplexe ; surtout, la publication dans Le Monde par deux « journalistes » familiers du président de la République, de son secrétaire général etc., des procès-verbaux de l’enquête à peine sont-ils clos, au mépris de secret de l’enquête, démontre irréfutablement une collusion entre les officiers du ministère public ou leurs délégataires et ces « investigateurs ». Le même journal combat d’ailleurs les moyens de défense constitutionnels invoqués par la défense de François Fillon en faisant appel à un civiliste…
Dans leur acharnement, ceux qui ont ourdi cette machination ont pourtant négligé ou sous-estimé un risque : celui d’une action engagée contre l’Etat, en application de l’article L.141-1 du Code de l’organisation judiciaire, en réparation du dommage causé par le fonctionnement défectueux du service public de la justice au cas de faute lourde. En effet, il ne se discute pas que la violation du secret de l’enquête ou de l’instruction en matière pénale constitue un fonctionnement défectueux du service public de la justice et que le rôle actif ou passif du parquet dans cette violation caractérise une faute lourde.
Il reste que la tentative de déstabilisation et de disqualification du candidat de la droite et du centre à l’élection présidentielle est sans précédent par sa violence et par l’implication ouverte de l’Etat.
Sans doute dans le passé d’autres candidats ont-ils été visés par des attaques venant pour la plupart des mêmes journaux : affaire Markovic, diamants de Bokassa, affaire Clearstream. Mais jamais le pouvoir en place n’avait orchestré la campagne avec une pareille impudence.
Au-delà du seul piétinement de la présomption d’innocence, principe dont s’enivrent constamment les zélateurs de l’actuel pouvoir, pour refuser d’endiguer la délinquance ordinaire, ce sont tous les principes essentiels d’un Etat démocratique qui sont bafoués.
Au-delà de la défense du candidat François Fillon, aucun juriste ne peut cautionner ce dévoiement voulu et partisan des institutions, préalable à un « coup d’Etat permanent ». Ni la magistrature ni la police n’ont vocation à servir de supplétifs à un pouvoir moribond.
C’est pourquoi les juristes signataires de cet appel entendent alerter leurs compatriotes sur cette forfaiture et ses dangers pour la démocratie. Ce n’est pas une poignée de substituts militants trop zélés qui feront obstacle aux millions de Français qui ont déjà choisi démocratiquement François Fillon comme candidat de la droite et du centre. Nous n’acceptons pas un coup d’Etat institutionnel, au profit de l’héritier désigné par le pouvoir.
Philippe FONTANA Avocat au barreau de Paris
André DECOCQ Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
Geoffroy de VRIES Avocat au barreau de Paris
Yves MAYAUD Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
Serge GUINCHARD Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas, ancien recteur
Pauline CORLAY Professeur agrégé des facultés de droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
Guillaume DRAGO Professeur à l’Université Panthéon-Assas Paris II
Guillaume MASSE Avocat au barreau de Paris
Jean-Luc ELHOUEISS Avocat au barreau de Paris, Maître de conférences
Georges BONET Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
Raymonde VATINET Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas
Anne-Marie LE POURHIET Professeur de droit public à l'université Rennes-I
Bernard de FROMENT Avocat au barreau de Paris
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Armes chimiques en Syrie : Gérard Bapt n’exclut pas une manipulation
Président du groupe d’amitié France-Syrie, Gérard Bapt réagit au bombardement du village de Kahn Cheikhoun. Le député de la Haute-Garonne évoque une possible manipulation et demande la création d’une commission d’enquête pour vérifier si le régime syrien a utilisé (comme le prétendent Paris, Londres et Washington) des armes chimiques.
Gérard Bapt lors d’un voyage en Syrie en 2015
72 morts dont 20 enfants. Le bombardement d’un village syrien par le régime de Bachar Al-Assad suscite un tollé international. François Hollande parle d’un « crime de guerre ».
L’usage d’armes chimiques est dénoncé par Paris, Londres et Washington. Un projet de résolution de l’ONU est lancé. Moscou, fidèle allié de Damas, défend la thèse d’une frappe accidentelle d’un site industriel. Le président du groupe parlementaire France-Syrie, Gérard Bapt, député PS de la Haute-Garonne, n’est pas sur la ligne de la Russie. Mais le député prend ses distances avec la diplomatie française.
Le député de la Haute-Garonne demande des preuves d’une utilisation d’armes chimiques par le régime syrien :
Je suis très, très troublé par ces images (ndlr des victimes du bombardement). De deux choses l’une. Soit ce que dit la Russie est vrai et un hangar contenant des produits chimiques a été touché. Soit c’est une attaque du régime syrien. J’avoue qu’il y a déjà eu d’énormes mensonges sur l’utilisation d’armes de destruction massive, notamment en Irak, pour déclencher des réactions. Il faut une enquête avec des inspecteurs indépendants pour vérifier qu’il ne s’agit pas d’une provocation.
Gérard Bapt a effectué plusieurs voyages en Syrie. Le député se défend de toute proximité avec le régime de Bachar Al-Assad et met en avant des raisons humanitaires. Gérard Bapt insiste : « je n’ai jamais rencontré des représentants de l’appareil militaro-sécuritaire du régime syrien« .
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La Cour administre d'appel valide l'arrêté du maire de Béziers sur l'interdiction pour les mineurs de moins de 13 ans, de sortir seuls entre 23 h et 6 h.
La Ligue des droits de l'homme une fois de plus déboutée.
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Il n'est pas évident que cela améliore
ses vues à long terme !
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Un bien beau et intelligent communiqué de la mairie de Béziers
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FIN DE RÈGNE ...
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Décidément, ce n'est pas la peine de prendre
les uns pour changer les autres.
Nous vivons réellement
dans une république bananière.
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Gilbert Baumet à nouveau condamné
à 4 mois de prison ferme
Nouvelle peine pour l'ancien maire de Pont-Saint-Esprit poursuivi pour favoritisme. Gilbert Baumet a été condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes à 4 mois de prison ferme et 15.000 euros d'amende pour avoir passé sans appel d'offres trois marchés pour près de 770.000 euros.
© PASCAL GUYOT / AFP L'ancien maire de Pont-Saint-Esprit condamné
pour favoritisme par le tribunal correctionnel de Nîmes
Décidément l'ancien maire gardois de Pont-Saint-Esprit cumule les condamnations. Dans le collimateur de la justice depuis plusieurs années, Gilbert Baumet, âgé de 73 ans, vient d'écoper d'une nouvelle peine de prison ferme: 4 mois supplémentaires pour favoritisme.
Prison ferme, amende et dédommagement de la commune
La justice reprochait à l'ancien maire de Pont-Saint-Esprit d’avoir passé sans appels d’offres trois marchés pour un total de près de 770.000 euros. Le jugement du tribunal correctionnel de Nîmes est tombé : quatre mois de prison ferme et 15.000 euros d’amende. Deux autres personnes ont été également condamnées à six et quatre mois avec sursis. Une société bénéficiaire de ces marchés devra, elle, verser 20.000 euros d’amende.
Par ailleurs, l’ancien maire et son ex-directeur général des services devront payer 136.000 euros à la commune de Pont St Esprit.
En septembre dernier, Gilbert Baumet avait déjà été condamné à quatre mois de prison ferme pour détournement de fonds publics dans l’affaire du rapport sur la vidéo surveillance pour laquelle était également poursuivi l’ancien ministre Roland Dumas.
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Il est condamné pour avoir caché des millions à l'étranger pendant quinze ans. L'industriel et sénateur LR de l'Essonne Serge Dassault, jugé en janvier pour blanchiment de fraude fiscale, a été reconnu coupable et condamné à une amende de deux millions d'euros et cinq ans d'inéligibilité, jeudi 2 février. Ses avocats ont immédiatement annoncé l'intention de Serge Dassault de faire appel de sa condamnation.
Avant de prononcer le jugement, le tribunal a dénoncé la "duplicité" de Serge Dassault, qui en tant que sénateur, votait le budget de l'Etat. La cour a estimé que les faits reprochés à Serge Dassault justifieraient une peine de prison ferme mais a décidé de tenir compte de son grand âge (91 ans). Le Parquet national financier (PNF) avait requis cinq ans d'inéligibilité, deux ans de prison avec sursis et neuf millions d'euros d'amende contre l'élu.
Le PDG du groupe Dassault, un des fleurons de l'industrie aéronautique française, a dissimulé au fisc des dizaines de millions d'euros entre 1999 et 2014. En cause, les comptes de quatre fondations et sociétés, basées au Luxembourg et au Liechtenstein, qui ont abrité jusqu'à 31 millions d'euros en 2006, près de 12 millions en 2014. Il lui est également reproché d'avoir omis dans ses déclarations de patrimoine près de 12 millions d'euros en 2014 et 16 millions en 2011.
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Un chef d’État, un vrai !
C’est ce qu’attend la France. Pas un candidat qui réussit, mais un chef. Et qui sera en mesure de prendre toutes les décisions qui s‘imposent pour le salut de la France.
Serait-il possible que la France ait un jour un chef de l’État ? D’une légitimité telle qu’elle soit incontestable ? Qu’il puisse être cette personne dont la constitution de la Ve République définit la fonction en son titre II, de l’article 5 à l’article 19 ? Mais voilà : son mode de désignation est aujourd’hui tel qu’il empêche l’exercice correct de cette magistrature parce qu’il porte atteinte à l’esprit même de l’institution.
La France sans chef
De l’effroyable chaos partisan que crée, maintenant de manière durable, l’élection présidentielle, avant, pendant et après, peut-il émerger une personnalité capable « d’assurer, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État », « d’être le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des traités », « de nommer » souverainement « le Premier ministre », « de soumettre au référendum » un projet de loi, « de signer les ordonnances et les décrets » délibérés en Conseil des ministres, sans provoquer immédiatement l’effervescence des factions opposées ; et que dire s’il s’avisait de prendre des mesures extraordinaires qui seraient exigées par des circonstances exceptionnelles ?
À trois mois de la prochaine élection présidentielle qui mettra fin au calamiteux quinquennat de François Hollande et qui est censée ouvrir une ère nouvelle, n’y a-t-il donc personne pour énoncer avec simplicité cette évidente contradiction qui est au coeur de notre système politique et qui en altère profondément le fonctionnement ? Chacun des candidats, actuels ou futurs – et ils sont déjà nombreux ! – est trop persuadé que son tour viendra une prochaine fois pour vouloir mettre en cause des procédés institutionnellement aussi nocifs. Et les partis qui vivent politiquement et financièrement de ce désordre permanent ne se risqueront pas à en interrompre le cours, la France dût-elle en périr. En France – et parce qu’elle est la France et que son histoire est une leçon en elle-même –, cette situation est plus grave qu’elle ne le serait en aucun autre pays civilisé. Cette chienlit perpétuelle lui est funeste. Pas un Français qui ait le cœur un peu haut placé, pour ne pas le ressentir !
L’avilissement de la fonction
Les primaires de la gauche comme celles de la droite ont illustré la vanité et la vacuité de la politique politicienne en France. Quel avilissement ! Ravaler la dignité du chef de l’État à cette comparution devant des jurys de journalistes ! Quel misérable spectacle que celui d’une nation réduite dans son expression à une salle de classe ! Des petits « profs » qui font les savants et qui harcèlent de questions péremptoires de minables élèves qui doivent répliquer à la moindre injonction. Mais la direction de la France ne relève pas d’un concours !
D’où l’absurdité de tant de paroles et d’engagements : à droite, des palanquées de chiffres soupesées aux balances d’improbables budgets ; à gauche, des palanquées de promesses, de droits à « qui qu’en veut », selon la chanson, de faire naître des enfants ou de les tuer à volonté et gratuitement, de mourir, de jouir, de ne plus travailler, jusqu’au revenu universel financé sur le miracle de recettes introuvables. Voilà un futur chef de l’État qui doit dire ce qu’est l’école « républicaine », comment il faut y enseigner, à quel âge l’enfant doit être orienté, mais tout aussi bien comment l’hôpital devrait fonctionner, quel est le périmètre de la Sécurité sociale, ou encore combien de gendarmes, de policiers, de juges, de médecins il convient de déployer sur le territoire. Et chacun de rajouter des précisions, des projets dans son programme, sans jamais s’arrêter sur les vraies causes de tant de gabegies, de pagailles, d’incuries, de désorganisation généralisée.
Où est le chef de l’État ?
Qui aura le courage de dire : « Et la France ? » Le vrai chef de l’État s’occupe de la France et de la France seule, ce qui ne veut pas dire isolée. C’est sa mission essentielle. Il assure la politique générale du pays ; il lui donne sa place dans le monde ; il garantit l’ordre intérieur qui permet la prospérité et conforte les libertés réelles. Si le chef de l’État remplit bien sa fonction, les affaires de la France se porteront d’autant mieux ; tout le monde en tirera profit. Comment ces vérités élémentaires ne sont-elle jamais rappelées ? Le chef de l’État n’a pas à répondre à toutes les envies du moindre hurluberlu qui se prend pour un citoyen supérieur, aux réclamations des éternels agités, aux hurlements des groupuscules qui s’imaginent être la conscience avancée du monde et qui ne sont généralement que des instruments de puissances obscures et financièrement vicieuses. Et il n’est pas chargé de répartir les richesses, de juger des bons et des mauvais élèves, de promouvoir l’égalité partout, de changer les mœurs, d’endoctriner le peuple, d’accueillir l’étranger au mépris des intérêts les plus certains du Français, de légaliser à tour de bras les dispositifs qui aboutissent à la destruction des familles, des traditions, des patrimoines, des consciences, de la vie. L’État a usurpé toutes ces fonctions qui justifient le politicien dans ses prétentions ; il se comporte exactement comme une contre-Église, mais totalitaire, ce qu’il est devenu de fait et de droit et ce qui est voulu. Les dernières lois en sont l’illustration. Aucun homme politique n’est vraiment libre par rapport à cette sourde et continuelle pression qui est une oppression. Il ne peut pas parler de la France et à la France ; il est contraint à un langage convenu, ce qu’on appelle des éléments de langage. Pour plaire à qui ?
C’est une fin de régime
L’élu de la primaire de la gauche sera confronté, d’une part, à Jean-Luc Mélenchon et, d’autre part, à Emmanuel Macron. Il n’a évidemment aucune chance et il devra se désister, ce qui sera une fin ridicule. Cela a déjà été prévu dans ces colonnes. Aujourd’hui Macron rallie les suffrages ; il se montre plus candidat que tous les autres candidats. Est-ce la marque d’un futur chef de l’État ? Il dit tout et le contraire de tout, autrement dit rien. Ça plaît ! Sauf qu’il se croit et ce n’est jamais bon de trop se croire.
Fillon, lui, sera attaqué de toutes parts – et ça ne fait que commencer ! – de l’extérieur et de l’intérieur de son parti et, à chaque fois qu’il cédera à quelque chantage, il fragilisera sa position. Il oscillera, au milieu de factions et d’ambitions qui se déchirent, entre la crainte d’être soupçonné de quelques velléités réactionnaires à cause de son électorat premier et la peur de perdre le soutien des puissants à qui il sera forcément redevable.
Marine Le Pen joue sa partie. Elle a l’avantage d’une position patriotique nette qui plaira de plus en plus à des Français dépouillés de leur nationalité, de leur civilisation, de leur travail, de leur milieu de vie. Mais, à force de réduire son programme, sous l’influence de son entourage, à la seule économie dirigée et assistée, sans tenir compte des aspirations d’une France qui veut revivre spirituellement, elle risque de perdre son souffle dans une guerre impitoyable où, malgré toutes ses protestations, elle sera considérée comme l’Ennemi du genre humain.
Le plus probable et même le certain, c’est que l’élu de la présidentielle – quel qu’il soit – se trouvera dans une situation de déliquescence politique telle que, même avec une majorité à la chambre, il sera bien en peine de gouverner malgré les rodomontades des campagnes électorales et qu’il suffira de quelques difficultés majeures, dès aujourd’hui prévisibles, sécuritaires, économiques, sociales et surtout financières pour que la question du pouvoir se repose dans toute son acuité.
À quand la recherche d’une vraie légitimité ?
Hilaire de Crémiers
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LE MIDI LIBRE UNE FOIS DE PLUS ÉPINGLÉ
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DÉSINFORMATION
Tout ce qui peut donner une image négative de Béziers intéresse le Midi (qui se dit) Libre. La vérification de l'information, règle de base de la déontologie du journaliste, est le dernier de ses soucis. Rares sont encore ceux qui prennent les affirmations de ce journal pour argent comptant, mais mettre en garde contre les désinformations systématiques n'est jamais inutile.
Un nouvel exemple grotesque :
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ET VOILA LA VÉRITABLE INFORMATION !
Et la mise au point du comité de quartier
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Vers une nouvelle crise viticole ?
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La justice inflige un camouflet
à Frédéric Lacas
Frédéric Lacas a perdu son procès. Alors qu’il poursuivait Robert Ménard devant la justice, le tribunal correctionnel de Béziers vient de prononcer la nullité de sa citation en diffamation. Au ridicule d’une plainte déposée au nom de sa virilité outragée, le maire de Sérignan a ajouté l’incompétence, incapable qu’il est d’appréhender une loi sur la presse soucieuse de protéger la liberté d’expression même très… irrévérencieuse.
Dans un article paru en octobre 2015 dans L’Express, le journaliste rapportait des propos attribués au maire de Béziers : « M. Lacas ferait mieux de faire moins de politique et de s’occuper du territoire : c’est un faible, au lieu d’avoir un peu de c***, il est tenu par les gens qui ont fait son élection. »
Un revers donc pour le Président de l’Agglo qui devra apprendre que le débat est libre – même musclé – et qu’on doit savoir se défendre sans tenter de s’abriter derrière la justice. Mais il faut pour cela du… courage, pour le dire cette fois avec tact.
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EN FRANCE
5 décembre 2016
Interview de Marion Maréchal-Le Pen.
Malgré soixante-seize amendements déposés par des députés FN, Ligue du Sud et LR – et en l’absence de François Fillon qui n’était pas dans l’Hémicycle –, le « délit d’entrave » a été voté par l’Assemblée jeudi soir (voir nos éditions de vendredi et samedi). Deux ans de prison et 30 000 euros d’amende, voilà ce qu’il en coûtera d’informer sur l’avortement. Une loi contre laquelle s’est battue Marion Maréchal-Le Pen qui nous en explique les tenants et les aboutissants.
— Pourquoi, selon vous, les partisans de l’avortement ne veulent-ils pas que les femmes soient informées avant de prendre une décision aussi lourde ?
— La gauche aujourd’hui n’a plus aucune consistance idéologique, son camp est divisé et son électorat traditionnel a fondu comme neige au soleil, elle a donc besoin de réactiver de vieux combats dépassés qui ont fait les grandes heures de son hégémonie culturelle pour se rassurer et se réunir. Le combat en faveur de l’avortement est certainement l’un des plus symboliques. Il faut donc le faire durer à l’envie en allant toujours plus loin : droit fondamental, remboursement intégral de tous les actes liés à l’IVG (aujourd’hui l’échographie d’une femme qui avorte est mieux remboursée que l’échographie d’une femme qui souhaite garder son enfant), suppression du délai de réflexion et maintenant création d’un délit d’opinion pour tous ceux qui, par tous moyens (pas seulement numériques), chercheraient à proposer une alternative aux femmes qui hésitent. Les gens de gauche se donnent ainsi l’impression de résister face à une menace réactionnaire et conservatrice. Les pauvres, j’ai envie de vous dire, et pauvre de nous face à une telle bêtise.
— Les sites d’information sur l’IVG sont accusés de « désinformation » par Laurence Rossignol. Que vous inspire cette inversion des réalités ?
— C’était en effet l’argument avancé pour soi-disant protéger les femmes de la « pression » de ces sites qui les orienteraient dans une mauvaise direction avec de « fausses informations ». Aujourd’hui cette pression n’existe pas, en réalité le gouvernement cherche à tuer toute alternative à sa propagande officielle clairement en faveur d’une banalisation de l’avortement. J’en veux pour preuve la vidéo du médecin sur le site du gouvernement qui explique qu’il n’y a aucune séquelle physique et psychique suite à un avortement alors que le corps médical est divisé sur le sujet. Même Simone Veil s’accordait à dire que les effets psychiques n’étaient pas nuls. Avec le texte, ce sera donc au juge de trancher entre les informations justes ou fausses sur le plan médical. C’est une aberration et une censure totale de la liberté d’expression.
— Vous pensez que ce « délit d’entrave » est une infantilisation des femmes ; n’est-ce pas aussi et surtout une avancée totalitaire de la culture de mort ?
— Il s’agit clairement d’une trahison totale de l’esprit du texte de Simone Veil. La légalisation devait être une loi d’exception et non un droit, un acte de dernier recours posé dans un cadre de détresse et dont le gouvernement devait tout faire pour dissuader la femme. Aujourd’hui le simple fait de vouloir dissuader la femme d’avorter est perçu comme une atteinte à ce droit et l’enfant n’est considéré comme existant que dans le cadre d’un projet parental. Cette dérive est terrifiante alors que 200 000 avortements sont pratiqués chaque année et que 10 % des lycéennes d’Ile-de-France ont déjà avorté en dépit d’un accès facilité à la contraception.
— Comme vous, des députés LR ont lutté contre cette proposition de loi, mais d’autres députés LR ont voté pour. Sur ces questions de la défense de la vie, quelles réponses apportera le programme présidentiel de Marine Le Pen, alors que François Fillon apparaît comme « le candidat de la Manif pour tous » ?
— Plutôt que de mettre en place des objectifs, des quotas d’IVG dans les établissements de santé, il faudra soutenir financièrement les structures qui proposent d’accompagner les femmes isolées et hésitantes. Il faudra revenir sur le remboursement intégral et illimité de l’avortement car les femmes sont des êtres responsables qui doivent être traités comme tels. Il faudra mettre en place l’adoption prénatale et restaurer le délai de réflexion pour éviter les décisions précipitées dans un moment de panique pour acter que l’avortement n’est et ne sera jamais un acte anodin. Enfin il faut absolument dégager des solutions financières pour une politique familiale digne de ce nom, en particulier pour les mères isolées, alors qu’aujourd’hui 47 % des femmes avortent pour des raisons économiques.
Propos recueillis par Samuel Martin
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Le Midi Libre
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Valls très critiqué par la presse internationale. La France ridiculisée.
Jean-Marc Sylvestre
Alors qu'Angela Merkel a été désignée ce lundi, sans aucune difficulté, par la CDU pour se représenter aux élections de l’année prochaine, la classe politique allemande et le monde des affaires d’outre Rhin, se délectent du spectacle offert par la France.
Les derniers évènements de la gauche ont été suivis comme un "reality show" de la télévision américaine.
La décision de Manuel Valls a sans aucun doute été l’épisode le plus violemment commenté.
Sur le fond, le Spiegel et la Fransfurther Allgemeine Zeitung mettent l’accent sur le piège dans lequel est enfermé Manuel Valls.
"Comment ce réformateur, ce rénovateur va-t-il convaincre la gauche du Parti socialiste qu'il a lui même braquée, de se rassembler autour de lui ? Il en a besoin. La mission est impossible" et d’ajouter, "voilà un responsable politique qui trace les grandes lignes d’un programme qui tourne le dos à ce qu‘il a fait comme Premier ministre".
Mais, dit encore la presse allemande, ça n’est pas la première fois qu’un candidat fera des promesses, qui sont un peu décalées par rapport à quelques uns des principes de réalité.
Mais au-delà du fond, du projet qui peut encore changer, c’est la forme empruntée par Manuel Valls qui provoque les critiques les plus acerbes.
D’abord, les milieux politiques allemands lui reprochent son arrogance et en matière d’arrogance, les Allemands sont pourtant assez maitres. Ceci étant, écrit la FAZ, Manuel Valls a complètement zappé l'étape de la primaire et fait acte de candidature à la présidentielle.
Angela Merkel, qui vient d’être désignée par son parti pour se représenter à la tête de l'Etat pourrait logiquement dire que les jeux sont faits, mais jamais elle ne le fera. Manuel Valls,lui, parle comme si la primaire n’existait pas, alors qu'il vient de s'engager dans une course qui est loin d’être gagnée d’avance.
Donc l'arrogance serait désormais dans l'ADN de la gouvernance française. Mais ce n'est que le début de la critique. Les uns présentent l'ex Premier ministre comme un ambitieux et surtout comme un "affamé du pouvoir".
Le Spiegel rappelle "qu’il a une soif de pouvoir énorme, une affirmation de soi insupportable et qu'il agit déjà comme s’il avait gagné".
Plus cruelle encore, la FAZ rappelle la carrière de Manuel Valls, un briseur de tabous, l’homme qui voulait rénover la gauche, l'homme qui s’est sourcé au lait provocateur et réfléchi de Michel Rocard.
Le comble c’est que Valls n’a pas une seule fois fait référence a son cher mentor, Michel Rocard, qui doit se retourner dans sa tombe.
François Hollande s’en sort mal, lui aussi. Pour la presse allemande, qui rapporte des propos de la classe politique, le président français qui a, de part les institutions, le pouvoir le plus puissant du monde, beaucoup plus puissant que le président américain, termine son mandat dans le ridicule.
Henri Bec, conseiller départemental était présent aux cérémonies du 11 novembre à Valras.
Toutes nos félicitations à Charles Morera et Joël Fontic.
Le Petit Journal
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Le Petit Journal
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Le Petit Journal
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Le Petit Journal
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Midi Libre
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Midi LIbre
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Midi Libre
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Midi Libre
M. Jacques Nain, l'éditeur de Boomerang meurtrier
(Éditions Auteurs d'Aujourd'hui)
et M. Henri Bec, conseiller départemental
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Le Midi Libre
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Le Midi Libre
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Le Petit Journal
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Le Petit Journal
Le Midi Libre
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Le Petit Journal
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Pierre Bouldoire, vice-président du conseil départemental s'est offert une demi-page du Midi Libre pour évoquer une délibération de son conseil municipal de Frontignan ... ce qui n'intéresse pas grand monde si ce n'est les frontignanais.
Sentant la fin de leur déplorable gestion, de leur échec dans tous les domaines, ils ne savent plus comment se rendre intéressants, détourner l'attention et essayer de parler d'autre chose.
Il faut dire également que la succession de K. Mesquida à la tête du département ou à son siège de député va s'ouvrir prochainement, non cumul des mandats oblige. Ceci éclaire très nettement cela. Il faut là aussi faire parler de soi, même au prix du ridicule !
Gérard Prato remet les choses à leur place.
Le Petit Journal
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Le projet de la nouvelle gare de Béziers, excentrée à Villeneuve les Béziers est une aberration économique et environnementale. Curieusement votée à l'unanimité par l'agglo, le report de sa mise en oeuvre permettra, espérons-le de revenir à de plus raisonnables solutions.
Le Petit Journal
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Le Midi Libre
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Le site de Béziers
À partir du 3 novembre 2016, Les Halles proposent chaque premier jeudi du mois, des soirées au saveurs de l’été.
Venez déguster la charcuterie ibérique et les tapas traditionnelles espagnoles et passer un agréable moment dans une ambiance sonore douce.
Cette nocturne de déroulera les premiers jeudi de chaque mois de 19h00 à 23h00 jusqu’au mois de juin.
Tarifs :
1 verre de dégustation et 3 dégustations : 5€
Il était l'amitié et la fidélité personnifiée. L'article ci-dessous résume les multiples activités et dévouements de François de Ravel. Nous présentons à sa famille et à ses proches nos très sincères condoléances.
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Journal de Valras : l'opposition
met les choses au point.
Merci et bravo !
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Non, ce n'est pas le maire de Béziers, mais ça y ressemble. Mais pas de bruit, pas de scandale, pas de bons esprits choqués ! Il s'agit d'une petite information comme une autre qui laissera ce pauvre maire dans l'oubli. Mais ATTENTION, comme dit la publicité "ça n'arrive pas qu'aux autres".
17 octobre
21 octobre
Hérault : le maire de Saint-Bauzille-de-Putois démissionne
Le maire de Saint-Bauzille-de-Putois l'a annoncé, ce vendredi midi, lors d'une inauguration, il démissionne.
Cette décision fait suite à une semaine de polémique dans sa commune, sur l'accueil de 87 des 207 migrants de Calais que doit héberger l'Hérault dans les prochaines semaines. Des personnes majeures et célibataires.
Un accueil temporaire de 9 mois maximum, selon le préfet, dans un centre d'accueil et d'orientation. Un CAO qui sera situé dans les locaux de la station Cévennes, site anciennement appelé "Centre de pleine nature des Lutins Cévenols".
"ON FAIT ÇA DANS NOTRE DOS"
"On fait ça dans notre dos", regrette le maire, pour qui "il est inadmissible que sa commune accueille 87 migrants alors que le département de l'Hérault devrait en accueillir 207 au total".
"J'ai écrit au préfet pour lui dire que Saint-Bauzille était une terre d'accueil et que nous acceptons bien sûr de discuter avec les services préfectoraux sous réserve que le préfet ne nous impose pas un dictat.", précise Michel Issert, qui demande la suspension de la procédure d'accueil.
Selon nos confrères de France bleu Hérault, le préfet s'est rendu à Saint-Bauzille de Putois jeudi pour rencontrer le maire qui estime ne pas avoir de réponses, le maire considère que 87 migrants pour 1.700 habitants, c'est trop.
Nous avons eu une fin de non recevoir" explique Michel Issert, le maire de Saint-Bauzille-de-Putois.
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Le Midi Libre 16 octobre 2016
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Un nouvel exemple
du fonctionnement autocratique
du conseil départemental
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Notre conseillère départementale,
Marie-Emmanuelle Camous, toujours en forme !
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La presse locale nous a amplement informés des difficultés de tous ordres que connaissent l'administration et la programmation de Sortie Ouest. La rubrique ci-dessous tombe à point nommé.
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NOS CONSEILLÈRES DÉPARTEMENTALES
A L’HONNEUR
Nicole Zénon et Marie-Emmanuelle Camous
intronisées au sein de la confrérie
Sant-Andiu de la Galinière.
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C'est un sondage paru dans la Gazette de Montpellier qui n'a pas fait beaucoup de bruit.
Raison de plus pour le diffuser largement.
CES "VALEURS DE LA RÉPUBLIQUE" QUI NOUS GOUVERNENT
ET NOUS DONNENT DES LEÇONS
© France 3
Nîmes : 2 ex-ministres PS condamnés à de la prison ferme et à de fortes amendes
© F3 LR Nîmes
Les deux anciens ministres socialistes Gilbert Baumet et Roland Dumas, ont été condamnés à de la prison ferme (pour le premier) et à des amendes allant de 10.000 à 20.000 euros, respectivement pour détournement de fonds publics et recel devant le tribunal correctionnel de Nîmes.
En juillet, le parquet avait requis quatre mois de prison ferme et 20.000 euros d'amende à l'encontre de Gilbert Baumet, ex-ministre délégué au Commerce du gouvernement Bérégovoy, pour détournement de fonds publics, ainsi que 10.000 euros d'amende pour Roland Dumas, ancien président du Conseil constitutionnel et ex-ministre des Affaires étrangères, pour recel.
Les réquisitions suivies
Gilbert Baumet a été condamné à 4 mois de prison ferme et 20.000 € d'amende. Roland Dumas a lui été condamné à 10.000 € d'amende. Ils étaient tous les deux absents lors de l'audience.
Les deux anciens ministres socialistes Gilbert Baumet et Roland Dumas, ont été condamnés à de la prison ferme (pour le premier) et à des amendes allant de 10.000 à 20.000 euros, respectivement pour détournement de fonds publics et recel devant le tribunal correctionnel de Nîmes.
Une fausse étude présumée commandée à Roland Dumas
Pour rappel : la justice reproche à Baumet, alors maire de Pont-Saint-Esprit, d'avoir fait payer par la commune plus de 8.000 euros à Roland Dumas officiellement pour une étude sur la vidéo surveillance qui n'a jamais été retrouvée, somme correspondant au centime près au solde dû par Baumet à Dumas pour la défense du maire que l'avocat avait assurée dans une affaire plaidée devant la cour d'appel de Nîmes en 2006.
Nouvelle comparution le 18 novembre
Les deux hommes politiques ont par ailleurs été condamnés à verser à la commune de Pont-Saint-Esprit, partie civile dans cette affaire, la somme de 8.348, 48 euros, soit le montant de l'étude sur la vidéosurveillance.
Les avocats de Gilbert Baumet et Roland Dumas avaient plaidé la relaxe de leurs clients lors de l'audience en juillet dernier.
Gilbert Baumet, âgé de 73 ans, doit par ailleurs comparaître le 18 novembre devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour favoritisme concernant plusieurs marchés passés sans appel d'offres en tant que maire de Pont-Saint-Esprit.
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VOS CONSEILLERS SUR LE TERRAIN
Société archéologique de Béziers
Association des villes françaises
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Le président du département qui ne cessait de clamer, la main sur le cœur et des trémolos dans la voix, son amour pour le département et son attachement sans faille à l'assemblée départementale, a bien compris qu'un siège de député est désormais plus sûr. La situation des départements est certainement compromise et les compétences lui sont peu à peu retirées.
Nécessité fait loi ! On s'occupera des sentiments plus tard !
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Le nouveau Politique magazine est paru
Cliquez sur l'image pour lire l'éditorial
Henri Bec à notre correspondant à Valras : "Je me sens plus concerné par les réalités et les difficultés économiques que par les stériles chicayas politiciennes".
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Mais où est donc passé Jean-Claude Gayssot ?
Notre ancien ministre biterrois des transports de 1997 à 2002 s'était présenté aux élections municipales avec pour programme essentiel le développement de la ligne Béziers-Neussargues. Ministre communiste, il se faisait fort de développer le fret ferroviaire. Ses amis socialistes encouragent au contraire le transport routier...
L'avez-vous entendu émettre la moindre protestation ? Est-il plus doué pour faire voter des lois attentatoires à la liberté d'expression que de donner suite à ses promesses ?
Ou devons-nous redire, comme le titrait la section du parti communiste de Béziers le 25 novembre 2009 : "Gayssot trahison" ? (pour lire l'intégralité de ce communiqué, cliquez ICI)
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Le 3 juin dernier, l'ancien Grand Rabbin de France (de 1987 à 2008) Joseph Sitruk, s'en était pris violemment à la Gay Pride de Tel Aviv sur les ondes de Radio J
“La Torah considère l’homosexualité comme une abomination et un échec de l’Humanité, avait-il lancé d'une voix fatiguée. Pour lui, la Pride de Tel Aviv, était une « initiative de tentative d’extermination morale » du peuple d'Israël, qui "rabaisse au rang le plus vil » le pays. En conclusion, il appellait quasiment à la violence : "J’espère que les auditeurs écouteront mon appel au secours et réagiront de façon radicale à une telle abomination”.
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Et n'oublions pas les déclarations imaginées
de notre sous-préfet préféré
Le petit livre bleu du président Lacas
Le Petit Journal, pour lequel nous avions jusqu'à présent, et avec nous bon nombre de lecteurs de Béziers et de sa région, une sympathie certaine, dans la mesure où il se démarquait avec courage et intelligence du politiquement correct, rejoint le troupeau des Carpettes de Panurge(1), toujours disponibles pour prêter allégeance à la pensée unique.
Chaque semaine, notre ami Jean-Pierre Pelaez y donnait une chronique pleine de de bon sens, d'humour et de fantaisie. C'en était trop pour les tristes sires (dans tous les sens du mot) que seules intéressent les places dorées des palais de la République, auxquelles ils se raccrochent avec d'autant plus de virulence et de coups tordus qu'ils les voient menacées.
Rétrogradée en 42ème page dans le n° 363 du 21 septembre, cette chronique ne figure plus dans le denier n° 364, sans que l'auteur en ait été informé. Ce sont, une fois de plus, des procédés intolérables. Il est donc recommandé de ne pas renouveler son abonnement ou de cesser l'achat au numéro.
Le système aux abois use et abuse de ses armes favorites, chapelles d'influence et cénacles de pensée, pressions, mise en œuvre de la loi du silence ... pour tenter de sauver sa peau. Il nous appartient de le faire savoir.
C'est avec un immense plaisir que nous publions cette chronique dès réception.
Diffusez sans modération. A vos Facebook, twiter et autres ...
LE PETIT LIVRE BLEU DU PRÉSIDENT LACAS
Il y a quelques mois, on s’en souvient, le Président Lacas avait mis partout, aux frais du contribuable, des affiches sur lesquelles il se faisait remercier par ces mêmes contribuables pour un certain nombre de cadeaux payés avec leur argent. On ne sait si la campagne d’affichage en faisait partie. J’avais consacré à cet événement une chronique que le député de Béziers, grand admirateur de mes écrits, avait plagiée peu après dans le Bulletin Municipal.
Ne reculant devant rien dès lors qu’il s’agit d’innovation culturelle, c’est un autre cadeau, et non des moindres, qui vient d’être fait par le Président à ces mêmes contribuables. Car à l‘instar du célèbre président de la Chine Soviétique, l’illustre Mao Tsé Dong, c’est de ses propres pensées qu’il régale la population sous forme de feuilleton, pensées inscrites sur des affiches au derrière des autobus, à l’image des célèbres « dadzi baos » de Pékin.
Ainsi, depuis plusieurs semaines, les habitants de l’agglomération de Béziers ont le bonheur de découvrir, en voyant passer les autobus, et en exclusivité, la pensée du Président Lacas sur le premier des quatre éléments, l’eau. Elle nous apprend que « l’eau est un bien précieux », ce qui, on en conviendra, ne manque pas de profondeur sociologique, politique et même poétique. Car sans eau, il n’y a que du désert, et dans le désert, par définition, il n’y a personne, même si personne n’est là pour le constater.
Après le Petit Livre Rouge du Président Mao, c’est le Petit Livre Bleu du Président Lacas qui devrait être présenté au fil des jours, non pas sur les murs et les murailles de Chine, mais sur les autobus de Béziers, Sérignan, Valras Plage etc…
Et l’on se régale déjà ce que pourrait être la suite, tout aussi instructive, sur les vertus des quatre éléments, qui sont le fondement de la médecine chinoise, de l’acupuncture et du Confucianisme, doctrine héritée du philosophe Kongfuzi, ou Maître Kong. Après l’eau qui est un bien précieux, peut-être nous apprendra-t-il que la terre est basse, que l’air doit être pur, et enfin que le feu réchauffe, surtout quand il fait froid. Et que seul celui qui écrit a des chances d’être lu, celui qui parle a des chances d’être écouté, sauf s’il parle pour ne rien dire. Et qu’à Sortie Ouest rien de nouveau…
Mais comme un bienfait n’arrive jamais seul -et les biterrois ont vraiment de la chance- j’ai entendu dire que le Petit Livre Bleu des pensées du Président Lacas pourrait être illustré par des photos, celles, les plus récentes, tirées de l’album électoral du député Aboud, actuellement sur tous les fronts de l’action photogénique, à l’approche des élections…
Par exemple, la pensée sur l’eau qui est un bien précieux se verrait agrémentée de la photo du député devant les écluses de Fonserane, ou sur le chemin conduisant au moulin de Bagnols. Pour celle sur le feu qui réchauffe, on reprendrait la photo où il pose en costume / cravate au milieu des pompiers. La terre qui est basse serait illustrée par celle du député sur un tracteur ou une machine à vendanger, qu’il tente en vain de faire démarrer. Enfin, et pour l’air pur, on le verrait quand il a visité une fabrique de placoplâtre, un casque sur le tête et un gilet fluo sur les épaules.
Après les quatre éléments, le président Lacas pourrait agrémenter le derrière des autobus avec une nouvelle série de pensées sur les dix plaies d’Egypte, en commençant par la pluie des grenouilles ; il pourrait ensuite disserter sur l’invasion des sauterelles, la peste noire, le choléra brun, le propos nauséabond, le rejet de l’autre, la posture vomitive et le front républicain.
On le voit, c’est donc un magnifique ouvrage qui se prépare, de la part de nos duettistes agglomérés, et nul doute que leur ami le transbattu délégué à la culture et à la médiathèque Du Plaa, qui n’a pas son pareil pour repérer les grands ouvrages de l’esprit humain, voudra parfaire cette belle réalisation culturelle : il fera certainement promouvoir par les médiathèques de Béziers et de Sérignan un livre qui vise à une excellence digne du Festival des Terrasses du Cantet.
Un événement culturel sans précédent, puisque ce sera aussi le premier ouvrage du « Lacasaboudupla », ce mutant politique né par génération spontanée en 2014, qui fait l’objet d’une recherche approfondie au sein l’Université de New-York et à l’Institut des Sciences Politiques de Paris, et auquel j’avais consacré en janvier dernier une autre chronique.
Jean-Pierre Pélaez
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(1) Note sur les moutons de Panurge
Le qualificatif de "carpette" nous a semblé mieux adapté à la situation que celui de "mouton". Mais le symbole reste le même.
Dans un troupeau de moutons, lorsque la tête du troupeau change de direction, les autres suivent 'bêtement'.
Au point que, lorsque des éléments paniqués se dirigent vers un ravin ou une falaise, les autres suivent et tout le troupeau 'se suicide' sans qu'un seul se pose la question de savoir s'il fait bien de se jeter dans le vide, comme les autres (notez bien que, vu leur état, personne n'est allé ensuite leur demander pourquoi ils avaient agi aussi stupidement).
Panurge est un héros de Rabelais qui, pour se venger d'une altercation avec le propriétaire d'un troupeau, a proposé de lui en acheter le chef, la plus belle bête, alors qu'ils étaient ensemble sur un bateau pour une traversée. Une fois l'animal payé, Panurge l'a jeté à l'eau.Bien entendu, les autres moutons, d'eux-mêmes, l'ont immédiatement suivi et tous se sont noyés.
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29 août 2016
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30 août 2016
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La préoccupation première des dirigeants de l'agglo est désormais de tout faire pour empêcher la réussite de la politique mise en œuvre par la municipalité de Béziers. Après avoir joué dans un premier temps les mauvaises augures, en déclarant à qui voulait l'entendre, et avec l'orgueilleuse prétention qui est le propre des incompétents, que "tout cela n'allait pas durer bien longtemps", ils réalisent que la ville est bien repartie dans toutes ses composantes. Alors ils ne trouvent rien de mieux que de se livrer à un véritable sabotage. Tout cela n'est pas très brillant !
1er septembre 2016
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8 septembre 2016
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Oui M. le Maire, vous avez raison,
les électeurs n'oublieront pas
8 septembre 2016
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Encore les donneurs de leçons. Faites ce que je vous dis ...
8 septembre 2016
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8 septembre 2016
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10 septembre 2016
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ENFIN, POUR SOURIRE UN PEU,
NOUS NE RÉSISTONS PAS AU PLAISIR DE VOUS PRÉSENTER, COMME TOUTES LES SEMAINES,NOTRE SOUS-PRÉFET DANS SES ŒUVRES (UN PEU AJUSTÉES TOUT DE MÊME !)
Un nouvel épisode de notre feuilleton "Grands démocrates, républicains, donneurs de leçons"
Rappelons qu'aux dernières élections départementales, Henri Bec et Isabelle des Garets ont recueilli 64.36 % des suffrages valrassiens.
Encore une fois vos conseillers n'ont reçu aucune information et a fortiori d'invitation sur cet événement qui se déroulait sur leur canton.C'est du mépris pur et simple pour les 2/3 de la population !
Bien entendu ces beaux messieurs n'ont certainement pas manqué de vanter leur action en faveur de la liberté d'expression, des valeurs de la République et des droits de l'homme...