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Politique locale - Page 6

  • L'humour toujours grinçant de Jean-Pierre Pelaez. Encoe une chronique qui a échappé au Petit Journal. Dommage

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    IMPLOSION DU LACASABOUDUPLA

     

    Les chercheurs américains et français de Paris et New-York qui travaillent sur le mutant politique apparu dans l’agglomération de Béziers il y a près de deux ans viennent de faire une importante découverte : en effet, selon plusieurs indices concordants, ils sont en mesure d’affirmer que le Lacasaboudupla a implosé.

     
    Cette implosion, suivie d’une dislocation du tissu cellulaire, se traduirait par un gonflement polymorphe de sa partie centrale, dite aboudique, que l’on aurait aperçue, courant de réunions en réunions, et multipliant les photos et les selfies dans les rues. On le voit souriant, vêtu d’un costume bleu et portant des lunettes de soleil et, à la main, une mallette pleine de bouteilles de vins : il propose aux passants de trinquer en leur disant "oui oui tu es mon ami" . Cette partie centrale briguerait un nouveau mandat de député UMPS/LR en marche, mouvement électoral récemment créé, et où se réunissent tous les caméléonidés de la République. Par un phénomène de distorsion centrifuge, et de fusion nucléaire, les deux autres parties, à savoir la lacassique et la duplatoïde auraient fondu, on ne les verrait plus nulle part, on ne les entendrait plus, et, pour l’heure, elles se seraient totalement dissociées de la partie centrale… Selon plusieurs témoignages, cependant, on aurait pu apercevoir le bolide duplatoïde sur une orbite lointaine du candidat socialiste Fulledamon, mais cela reste à confirmer, ce dernier cherchant des électeurs avec un pendule, comme un sourcier cherche de l’eau dans les pierres du Larzac. Quand à l’autre partie dite lacassique, personne ne l’a vue nulle part, même pas aux réunions de la partie aboudique du mutant. Personne ne sait où il se trouve à l’heure qu’il est.

     

    Ce phénomène d’implosion est un événement scientifique considérable, puisqu’il viendrait corroborer la thèse selon laquelle le Lacasaboudupla serait génétiquement capable d’alterner des phases d’expansion et de contraction, et qu’il serait également en mesure de se métamorphoser grâce aux innombrables mitochondries présentes dans ses cellules ; ainsi par exemple, pareil au lézard qui a perdu sa queue, il pourrait supprimer ou faire repousser l’une de ses parties, au gré des phases électorales… 


    On le voit, c‘est une avancée scientifique sans précédent sur le Lacasaboudupla de l’agglomération de Béziers que vient de permettre la découverte de cette implosion, et c’est une mine de renseignements sur les phénomènes politicards qu’elle est en train d’apporter à tous les politologues du monde entier…


    A suivre…

  • Les 13, 14 et 15 mars le Conseil départemental s'est penché sur le budget

     

    Kléber Mesquida, Président du département

    et Le Midi Libre en appui

    font semblant de na pas comprendre

     

    La position de notre groupe lors de la session consacrée au vote du budget a été empreinte à la fois de modération, de rigueur et de logique. A tel point que les réponses du président, vraisemblablement gêné par cette démonstration, n'ont eu rien à voir avec ce qui avait été soutenu :

    1) Nous avons voté un grand nombre de propositions, qui nous sont apparues conformes à l'intérêt général ou à celui des plus faibles. Ce n'est pas le lieu de rentrer dans les détails : le budget est tout de même de près de 1 400 000 000 €.

    En revanche nous nous sommes fermement opposés à une nouvelle augmentation du taux d'imposition sur le foncier bâti.

    Cette position nous a très naturellement amené à nous abstenir sur le vote général du budget. Nous n'allions pas voter contre ce que nous avions approuvé ou pour ce que nous avions rejeté ! Les commentaires du Midi Libre sont soit le résultat d'une totale mauvaise foi (comme d'habitude), soit d'un manque évident de compréhension de ce qui s'est dit et passé, ce qui n'est pas exclu ... soit les deux à la fois !

    2) L'augmentation du taux d'imposition sur le foncier bâti sera pour l'année 2017 de 0,7 %. Son incidence sur le montant de l'imposition ne peut être qualifiée en effet de matraquage. Sous deux réserves que nous n'avons pas manqué de relever :

                 - L'année dernière avait vue une augmentation équivalente. Le président n'a pas caché qu'elle serait identique tous les ans. Nous ne pouvons en aucun cas cautionner cette augmentation de principe, résultat en effet d'une prise de position idéologique et non d'une saine gestion des finances publiques. Celle-ci doit en effet, d'une part veiller en permanence à maintenir le pouvoir d'achat des français les plus touchés par les difficultés économiques en prélevant le moins possible et d'autre part ajuster ces prélèvements au seul besoin indispensable des services publics.

                   - Cette "philosophie" de l'augmentation systématique ne donne pas un bon signe à l'économie, aux jeunes qui veulent s'installer ou aux entreprises qui souhaitent embaucher, mais au contraire créent un état d'esprit que ne renieraient pas les systèmes collectivistes de l'ancien bloc soviétique. Ce fut donc une réflexion d'ordre général tendant à démontrer que l'augmentation des prélèvements n'est en aucun cas susceptible d'établir la confiance indispensable à la vie d'une nation.

    Nous avons donc voté contre cette augmentation.

    Telles sont, brièvement résumées les positions que nous avons soutenues. Toute autre interprétation est purement fallacieuse.

    Henri Bec

     

    Cliquez sur la photo ci-dessous pour visionner notre intervention sur l'augmentation du taux d'imposition de la taxe foncière.

     

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  • 29 mars 2017 : Ne manquez pas cette conférence !

     

    Mercredi 29 mars 2017,
    Jacques Tremollet de Villers
    sera à Béziers

    pour nous parler de son dernier livre :

    Jeanne d'Arc - Le procès de Rouen

     

    Tremollet J.jpgLe 21 février 1431 s'ouvre l’un des plus fascinants et décisifs procès de l’Histoire : celui de Jeanne d’Arc.


    Cette jeune fille de 19 ans, prétendue analphabète, hallucinée, hérétique, sera en moins de cent jours condamnée à être brûlée vive.
    Dès le premier interrogatoire, les juges, Cauchon en tête, assènent les coups. Ils sont abbés, docteurs en théologie, familiers du droit canon, décidés à la faire plier.


    Dès sa première parole, Jeanne, seule à la barre, déjoue les pièges des hommes d’Église et de loi. Elle fait preuve d’un ton libertaire, habile et plein d’humour qui les déstabilise par la force de sa sincérité.
    Les voix, puisque c’est là l’essentiel, portent.


    Cent jours durant, va se jouer, en cette froide salle d’audience, l’éternel combat de la vérité.


    Tout procès se conclut dès la première audience. Jacques Trémolet de Villers, plaideur des plus importants procès politiques de ces dernières décennies, décrypte les paroles échangées et nous livre, en voix off, son commentaire jour après jour.
    Il introduit son lecteur dans la salle, lui fait comprendre les convictions des parties, et surtout lui fait saisir le courage sensible du personnage de Jeanne, jusqu’à craindre l’issue…

    ll y a du bon dans la procédure. Elle conserve, comme des pierres précieuses dans une châsse, un véritable trésor, et demeure en dernière analyse la seule raison sérieuse d’organiser la justice des hommes. Le texte intégral du procès, seul témoignage à faire véritablement entendre Jeanne, a été élaboré, de façon minutieuse, à partir des actes authentiques (les minutes conservées en latin et en français), vérifiés aux meilleures sources et complétés par les dépositions du procès d’annulation.

    Jacques Trémolet de Villers a plaidé de nombreuses affaires civiles et pénales à caractère politique, idéologique et médiatique. Écrivain, il a publié une biographie du célèbre avocat du XIXe siècle Pierre-Antoine Berryer, Aux marches du palais, de même que Heureux qui comme Ulysse, commentaire de son anthologie de la poésie française Vingt-quatre poèmes que nous devrions savoir par coeur pour les dire à nos enfants. Il poursuit son travail avec cet « Évangile selon Pilate » qu’est le procès de Jeanne d’Arc.

     

    QU'EN DIT LA PRESSE ?

    Le résultat est saisissant.
    Famille chrétienne - 13/02/2016

    Voici un livre à lire de toute urgence.
    Le Figaro littéraire - 28/01/2016

    Précieux document historique, ce beau livre est aussi une leçon politique et spirituelle...
    Le Figaro magazine - 29/01/2016

    Lues et commentées par un avocat, les minutes du procès de Jeanne d'Arc sont l'occasion d'une méditation sur le bien commun, la justice et l'iniquité des procès politiques.
    Le Figaro Histoire - 01/02/2016

    La leçon est de grande portée, et d'une brûlante actualité.
    Politique magazine - 01/02/2016

    Jacques Trémolet de Villers ne refait pas le procès, il le vit.
    Livres Hebdo - 08/01/2016

    Me Trémolet de Villers l'éclaire (le procès) pour nous en expert et en amoureux, par une lecture limpide et lyrique.
    Valeurs actuelles - 03/03/2016

    C'est la première fois qu'un homme de métier commente pas à pas le procès.
    La Croix - 25/02/2016

    La belle étude que publie maître Trémolet de Villers, en effet, apporte à ces textes si souvent lus et commentés, le regard, les connaissances, l'expertise du juriste, et surtout l'expérience, précieuse, de l'avocat...
    NRH - 01/05/2016

    Jacques Trémolet de Villers (...) est revenu sur ce procès avec le regard neuf d'un avocat qui découvre un dossier pour la première fois.
    lefigaro.fr - 30/05/2016

     

    La conférence sera donnée le mercredi 29 mars 2017 à 19h au restaurant Le Maria Thérésa, à Béziers

    Entrée : 54 avenue du 22 août ou 23 rue Solférino.

    De plus amples détails seront donnés dans une prochaine publication.

  • LA CHRONIQUE A LAQUELLE A ECHAPPE LE PETIT JOURNAL CETTE SEMAINE…

    KLEBER MESQUIDA ET

    LE JEU DES MILLE EUROS DU PARTI SOCIALISTE

     

    La chronique de Jean-Pierre Pelaez

    Pélaez1.jpgLe Canard Enchaîné de cette semaine nous apprend que si certains se montrent généreux avec leurs femmes et leurs enfants, n’hésitant pas, en bons pères de famille, à leur trouver un travail bien rémunéré en cette dure période de chômage, il en est d’autres qui se distinguent par leur avarice envers le parti qui les a investis. Et c’est une sorte de Hit-Parade des radins que publie le journal satirique, au quatrième rang desquels figure le Président Mesquida, célèbre pour ses lancers du Journal d’Anne Frank en séance du Conseil Départemental. 

    Tout le monde connaît le Jeu des Mille Euros, retransmis tous les jours de la semaine et depuis plus de cinquante ans, et qui est la dernière émission populaire de France Inter, la radio des bobos de gauche et de la lutte contre le Front National.

    Mais ce qu’on ne savait pas, c’est que le Parti Socialiste, emboîtant le pas à cette radio, avait appliqué ce même jeu à ses élus, et notamment au Président du Conseil Départemental de l’Hérault. Appliqué ou plutôt détourné de son sens. Car le jeu revu par les socialistes consiste à présent non pas à poser des questions aux adhérents élus pour leur faire gagner cette somme, mais au contraire à leur faire payer cette somme pour pouvoir poser des questions. Et c’est ainsi que le pauvre Président devait s’acquitter tous les mois de 650 € pour le parti, 350 € pour le groupe et 150 € pour la Fédération…  soit en tout mille euros ! 

    Or, voyez comment dès lors qu’on a pris goût à ce jeu, l’addiction est telle qu’on ne peut plus s’arrêter. Et le goût de l’impôt et des taxes est tel chez les socialistes que tout est bon pour les augmenter. Ainsi, le trésorier du groupe a transformé les 350 € en 1200 € pour le malheureux Kléber, coupable d’être monté en grade depuis qu’il est Président du Conseil Départemental et donc redevable d’une somme plus importante. Lequel n’ayant pas fait vœu de pauvreté au service de sa passion d’Hérault, ne l’entend pas de cette oreille. Apprenant la nouvelle entre une visite à la cave coopérative de St Matthieu de Tréviers et un banquet républicain à Bédarieux, le président, pris d’un accès de furibardise aiguë, a refusé de payer, si bien qu’il se retrouve aujourd’hui avec un passif de 17000 €, et à la quatrième place du hit-parade des ratchous. Heureusement, au moment où il a appris la nouvelle, le Journal d’Anne Frank ne se trouvait pas à portée de sa main.

    Toutefois, et malgré son avarice présumée, on ne peut que le louer d’avoir ainsi refusé cette exploitation scandaleuse des élus par un parti qui lutte depuis toujours contre l’exploitation de l’homme par l’homme. Trop c’est trop, et notre rebelle a préféré démissionner du groupe, et garder ses mille euros.

    La question qui se pose à présent -et elle est cruciale, car porteuse de sens- est la suivante : que va t il faire tous les mois de ces mille euros qu’il a vaillamment réussi à soustraire à l’avidité du Parti Socialiste ? Et comme je suis toujours prêt à aider mon prochain et en tant que manant électeur à faire des propositions sérieuses et responsables aux princes élus socialistes, en voici quelques-unes que je lui suggère, et qui me paraissent tout à fait appropriées : 

    - Verser cette somme aux restos du cœur de l’Hérault, dont le nombre des bénéficiaires a très nettement augmenté pendant le quinquennat socialiste Hollande, consacré au combat contre la grande finance. 

    - Renflouer tous les mois Sortie Ouest, actuellement en déficit, pour la poursuite de son excellence auto-proclamée et son combat pour le progrès indéfini et indéfinissable de l’Homme vers un futur désirable. En échange il pourra bénéficier d’une invitation permanente à aller tous les soirs assister aux spectacles de lutte contre le divertissement des foules.

    - Effectuer un virement de ce montant, tous les mois, à la Mairie de Béziers, pour la restauration de la statue du Titan. 

    - Attribuer généreusement ces mille euros à J. M. Du Plaa, obligé de marcher à pieds, pour qu’il puisse enfin passer le permis de  conduire, et s’acheter une voiture.

    - Refaire la façade délabrée de la permanence du Parti Socialiste avenue Foch, qui menace de s’écrouler sur la tête des passants et constitue une véritable pollution visuelle, à l’heure où la ville de Béziers est en pleine rénovation.  .

    - Attribuer cette somme à sa collègue biterroise Mme Rossignol, pour l’organisation de conférences chantantes et pédagogiques sur l’art d’apprendre à apprendre et sur la construction par l’élève de son parcours de savoirs, de savoirs-être et de savoir-faire.

    Les utilisations possibles, on le voit, de ces mille euros sont innombrables : souhaitons donc que le Président Mesquida, dans son souci de démentir le Canard Enchaîné, saura trouver celle qui le lavera de tout soupçon de radinerie.

  • Déchets : une gestion calamiteuse - Nouveau communiqué de l'OMESC

     

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    LES GOELANDS REMERCIENT

                      la Communauté d’Agglomération Béziers Méditerranée!

                                                                 (CABM)

     

    L’Organisme de Médiation en Environnement Santé et Consommation agrée en environnement, devant la gestion calamiteuse des déchets, continue d’informer la population dans les réseaux sociaux (puisque Midi Libre ne le fait pas) sur le suivi de nos poubelles jusqu’au Centre d’enfouissement technique (CET), Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux (ISDND).

     

    Traitement des ordures pour les nuls

    La poubelle contient 70% de papiers et plastiques et 30% de déchets putrescibles (le reste des assiettes et épluchures)

    Si les papiers sont contaminés il n'est plus possible de les recycler quel que soit le procédé (on ne peut pas les laver !)

    Les déchets putrescibles sont faciles à composter soit chez le particulier (tas dans le jardin, composteur, poules, vers de terre etc.) soit dans des structures basiques.

    L'installation d'Aspiran 1 million € est exemplaire puisqu'on retrouve son compost dans les grandes surfaces.

    Les déchets d'emballage (papier, plastiques transparents et opaques, métaux) nécessitent une participation humaine. L'usine de Villeveyrac (bassin de Thau) est financièrement équilibrée car elle recycle beaucoup.

    Enfin des déchets encombrants : en décharge (mais le vieux canapé s'il n'est pas désossé peut être enfoui et ne polluera pas beaucoup.

     

    Un peu d’histoire :

    Avant 2002, chaque ville autour de Béziers, gérait son approvisionnement en eau, ses transports urbains, le ramassage et le traitement de ses déchets.

    Patatrac ! Le 26 mai 2011, l’agglomération est créée afin de pouvoir mutualiser les moyens et permettre dixit l’ancien Président « des économies d’échelle ».

    Ainsi, la Communauté d’agglomération compte treize communes : Bassan, Béziers,Boujan sur Libron, Cers, Corneilhan, Espondeilhan, Lieuran les Béziers, Lignan sur Orb, Sauvian, Sérignan, Servian, Valras-Plage et Villeneuve les Béziers.ce qui représente environ 100 000 habitants.

     

    Quelques rappels :

    Ici nous n’aborderons que la collecte et le traitement des déchets qui a été confié le 26 mai 2011 à l’agglomération.

     

    En 2014, l’Unité de Valorisation des Ordures Ménagères (UVOM) a été arrêtée, sans aucune concertation des habitants et des associations environnementales et toutes les poubelles, préalablement triées par les habitants ont été enfouies à l’ISDND (ex CET) dans l’illégalité la plus complète pendant plus d’un an :

    Le bilan calamiteux :

    • une usine à 6 millions € qui livrée en 2014 ne fonctionne toujours pas.
    • seulement 50% des foyers de l’agglomération sont incités au tri et les déchets sont mélangés et deviennent non triables.
    • le comble : l’agglomération « maltraite » ses déchets sans aucun compte rendu sur la qualité du tri son coût et sur l’impact environnemental.

    Depuis cette date, la totalité des déchets est enfoui à la décharge de Saint Jean de Libron ISDND (prévue pour n’accepter que des déchets ultimes non fermentescibles).

    Sans tambour ni trompette, lors du Conseil d’agglomération du 2 février 2017, l’élu en charge du dossier, avouant que VALORBI (ex UVOM) ne fonctionne pas, propose d’externaliser les déchets ménagers au SITOM (ponctuellement !) pour un coût de 100,69 €/T X 4 000 t =soit plus de 400 000 €.

     

    Les goélands ne sont pas les seuls à se gaver alors que les riverains subissent : odeurs paysage ragoutant et circulation accrue de camions desquels s’envolent papiers et plastiques qui devraient avoir été récupérés à Valorbi !

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    L'escroquerie de l'agglo expliquée aux goélands de la décharge et aux pigeons !

    1- on déclare que les biterrois ne pourront jamais trier convenablement leurs déchets,

    2- on prend des « copains experts » qui vous font une usine qui trie tout (6 millions €),

    3- on refuse aux associations l’accès aux installations,

    4- on demande aux biterrois de trier un peu (sans aucun contrôle) histoire de se donner une touche écolo mais au final tout arrive dans la même filière,

    5- tous les élus ont voté pour dépenser plus en externalisant les déchets : 400 000 € de plus !

    6- on agrandit de 4 communes supplémentaires (Alignan du Vent, Coulobres, Montblanc et Valros) la communauté d’agglomération biterroise ce qui déresponsabilisera un peu plus chaque commune.

     

    Jean-Pierre GALTIER

    Président

  • Conseil départemental : c'est l'heure du budget ... et des augmentations d'impots !

     

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    Le débat d’orientation budgétaire relatif au département de l'Hérault s'est déroulé le lundi 23 janvier dernier au conseil départemental. Il est la première étape obligatoire qui précède le vote du budget. Celui-ci aura lieu au mois de mars prochain.

    S'agissant d'un simple débat, il ne fait pas l'objet d'un vote.

    En 2016 il avait fallu attendre le vote des taxes pour avoir confirmation d'une augmentation, ce que nous avions cependant prévu avec plusieurs mois d'avance, une nouvelle augmentation a d'ores et déjà été annoncée de "0,7 % minimum". Nous ne doutons pas que de telles précautions oratoires cachent une augmentation supérieure. Une augmentation équivalente est également programmée pour les années prochaines...

    INDÉCROTTABLES ! Alors que nous venons de subir un quinquennat déplorable qui a ruiné la plupart des foyers français, on n'hésite pas à prélever ce qui reste. Tout ceci sous les prétextes maintenant classiques d'augmentation des charges ou des baisses des dotations. Mais c'est justement dans ces situations que l'effort de rigueur doit être prioritaire !

    Dans ces conditions, comment la majorité socialiste du département pourrait-elle continuer à financer des projets exclusivement idéologiques ou maintenir la fidélité de son électorat par l'attribution de subventions parfaitement ciblées ? C'est toute la question. Et l'on y répond simplement par une augmentation des prélèvements. Le bien commun, l'intérêt général sont loin de ces préoccupations ...

    Nous ne manquerons pas de revenir sur les détails du budget lorsqu'ils seront portés à notre connaissance.

    Pour l'instant vous pouvez découvrir le rapport du président en cliquant ICI et les annexes ICI. Ils vous en apprendront déjà beaucoup

  • Communiqué de l'OMESC : Alerte aux biterrois !

     

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    ALERTE AUX BITERROIS :

    LA CABM « MALTRAITE » NOS DECHETS !

     

     

    L’Organisme de Médiation en Environnement Santé et Consommation agrée en environnement, devant la gestion calamiteuse des déchets va informer la population dans les réseaux sociaux et dans le Journal de Béziers à l’aide de petits films décrivant le suivi de nos poubelles jusqu’au CET (ISDND).

     

    Un peu d’histoire :

    Avant 2002, chaque ville autour de Béziers, gérait son approvisionnement en eau, ses transports, le ramassage et le traitement de ses déchets.

    Patatrac ! Le 26 mai 2011, l’agglomération est créée afin de pouvoir mutualiser les moyens et permettre dixit « des économies d’échelle ».

    Ainsi, la Communauté d’agglomération compte treize communes : Bassan, Béziers,Boujan sur Libron, Cers, Corneilhan, Espondeilhan, Lieuran les Béziers, Lignan sur Orb, Sauvian, Sérignan, Servian, Valras-Plage et Villeneuve les Béziers.ce qui représente environ 100 000 habitants.

    D’autres communes doivent rejoindre l’agglomération en 2017.

     

    Les déchets :

    Ici nous n’aborderons que la collecte et le traitement des déchets qui ont été confiés le 26 mai 2011 à l’agglomération.

    Dans un courrier adressé au Maire de Béziers et Président de l’agglomération, en date du 28 novembre 2011, suite au Comité consultatif de l’environnement, nous écrivions :

    En liminaire, nous participons depuis sa création à ce Comité qui n’a de consultatif que le nom ; le Larousse indique d’ailleurs pour le mot consultatif : « qui donne des avis, des conseils ». Or, à ce jour, nous ne recevons aucun dossier au préalable, qui nous permettrait de bien comprendre les enjeux et de présenter des arguments ou des propositions positives. A chaque réunion nous nous insurgeons contre cette façon de faire mais rien ne change : c’est toujours la même méthode de « livré direct » qui est utilisée. Il nous est « proposé » seulement un exposé des décisions prises soit en Conseil Municipal soit, plus grave car plus important, en Conseil d’Agglomération.

    D’ailleurs, si nous avions été « consultés » sur le projet de transférer la compétence déchets à l’agglomération, nous nous y  serions opposés pour au moins deux raisons et sûrement plus si nous avions été « consultés » afin de bien étudier le dossier.

    En effet, lorsqu’on agrandit un périmètre d’action c’est en général pour obtenir des économies d’échelles ; or dans ce projet, mal ficellé :

    • on ajoute le personnel des communes de l’agglomération à celui de la ville de Béziers,
    • comme M Donnadieu nous l’a indiqué il faudra « égaliser » les différentes « habitudes » des employés qui travaillent entre 28 H et 35 H/semaine, on connait d’avance les résultats sur la rentabilité,
    • les taux, pour les ménages seront augmentés pour les biterrois pour un service identique.

     

    En fait l’intérêt pour la ville c’est clairement de se débarrasser de la gestion des déchets pour finalement la confier à des intérêts privés ce qui ne manquera pas de faire augmenter les coûts d’enlèvement et de traitement des déchets.

    Suite à la déresponsabilisation des Maires des 13 communes voici les résultats qui étaient prévisibles :

    • plus d’élus à rétribuer,
    • des employés moins rentables ou plus payés,
    • des décisions prises à l’unanimité (curieux tout le monde est d’accord): personne ne lit vraiment les dossiers présentés puiqu’ils sont validés par des conseils extérieurs et souvent lointains donc compétents !

    Quant au service rendu aux usagers :

    • des résultats « techniques » piteux ; en 2013 tout le compost a été mis en décharge (vf rapport CSS du 15/12/14)
    • seulement 1 000 composteurs individuels vendus à 10 €, alors que cela permettrait 6 Kg/habitant/an de déchets en moins à transporter et à trier soit environ 490 tonnes pour la ville de Béziers,
    • en 2014, l’UVOM a été arrêtée, sans aucune concertation des habitants et des associations environnementales et toutes les poubelles, préalablement triées par les habitants ont été enfouies à l’ISDND (ex CET) dans l’illégalité la plus complète * pendant plus d’un an,
    • un fonctionnement désastreux puisqu’à ce jour des travaux sont, encore, en cours !
    • seulement 50% des foyers de l’agglomération sont incités au tri,
    • le comble : l’agglomération confie à des industriels la gestion de ses déchets sans concertation du contribuable. Une fois par an un Comité (CSS) très restreint où l’OMESC n’est pas invité se tient en Sous-Préfecture où l’on dit : « cela va s’améliorer»

     

    Ce n’est que face à l’opposition de l’OMESC, du comité de quartier Badones-Montimas et du MNLE qu’un article paru dans Midi-Libre (19/12/2013) expliquait aux habitants que cette unité fonctionnant mal, 6 000 000 € allaient être investis pour installer une nouvelle unité.

    Cette nouvelle entité appelée VALORBI devait être un modèle de performance selon l’article «paru dans ML (La Voix de son Maître) : « La nouvelle Uvom sera plus performante ». Il ne s’agit pas seulement pour l’Agglo, de moderniser son Unité de valorisation des ordures ménagères (Uvom) vieillissante. Sa nouvelle structure  devrait (heureusement c’est du conditionnel) permettre de pouvoir valoriser non plus 20% des 41 000 t de déchets réceptionnées, mais 60 à 70% ; d’augmenter le tonnage traité pour passer à 62 000 t/an ; de produire moins de compost, soit entre 3 000 et 4 000 t au lieu des 7 000 t produites jusqu’à présent, mais de meilleure qualité répondant à la norme NFU 44051, qui permet entre autres son utilisation en agriculture…

     

    Quant au coût :

    • des appels répétés et dispendieux à des cabinets conseils extérieurs alors que la bonne gestion serait de se rendre dans des communes qui ont réussi à bien traiter leurs déchets,
    • plus de 6 millions € dépensés pour construire Valorbi (remplaçant l’UVOM) : un an de travaux, sans amélioration notable,
    • des conditions de travail pour le personnel Valorbi « lamentables » !

    Jean-Pierre GALTIER

    Président

     

    le Comité de défense Badones-Montimas et l’OMESC ont déposé une action contre cette décision  en janvier 2014 au TA et la décision a été rendue (trois ans après) : «  Il n’y a pas lieu de statuer sur les conclusions du Comité de défense des Hauts de badones-Montimas et de l’Organisme de Médiation en Environnement Santé et Consommation OMESC tendant à l’annulation de l’article 2 de l’arrêté du Préfet du 27 décembre 2013 

  • Message de soutien au maire de Béziers

     

    En butte une fois de plus à la haine de l'Anti France, Robert Ménard fait l'objet de poursuites devant le tribunal correctionnel pour des propos de simple bon sens.

    Merci de signer la pétition ci jointe.

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  • Sortie-Ouest flashée par la Gauche et cernée par le PS

       

    demandons un referendum !

     

    Par Jean-Pierre PELAEZ

    Auteur Dramatique Biterrois

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    Lors des dernières élections départementales, appelé à la rescousse par les amis de Gauche, le critique-caviar de Libération Thibaudat s’effrayait de ce que sortieOuest était « flashé par la Droite », puis, comme en écho, sa consoeur du Monde écrivait que sortieOuest était cette fois «cerné par le FN ». Conformément à la célèbre méthode Joffrin, il s’agissait, au lieu de répondre sur le fond à des critiques amplement justifiées, de crier au loup, de dénoncer un complot de Droite ou d’Extrême-Droite, contre un établissement culturel de Gauche. Mais dire que sortieOuest, présenté comme « le phare culturel de la région » -après celui de la Jetée/Est de Valras-Plage-, serait menacé par les fascistes réincarnés des années 30 ne pouvait faire oublier ce qu’est réellement ce lieu.

    Aujourd’hui, loin de l’être par le FN ou par la Droite, sortieOuest se retrouve « flashé » par la Gauche et « cerné » par le PS. C’est que la vérité des critiques formulées ces dernières années sont en train de rattraper cette caricature de lieu culturellement correct, dit de service public : sortieOuest -dont la devise pourrait être « nul n’a de talent hors nous et nos amis »- est à l’idéal du théâtre populaire de Jean Vilar ce que le trou du souffleur est à la scène. C’est un lieu sectaire et politicartistique qui, au nom d’une excellence auto-proclamée, piétine depuis dix ans la liberté d’expression et la diversité de la création théâtrale et du théâtre contemporain, y compris en région. On était en droit d’attendre d’un théâtre financé par l’argent public du département qu’il accueille la diversité de la création dans le département, il n’en fut rien. Confiné dans l’entre-soi, le snobisme provincial, et le moule culturel bien pensant défini par le Ministère, ses DRAC et ses critiques parisiens, microcosme censé détenir la Vérité, rabâchant les Classiques revisités, le Tout Adaptable et les sempiternels « spectacles d’après… », sclérosé par le sectarisme de gauche, il est en définitive une sorte de réminiscence de l’art soviétique sous Brejnev, et un affligeant conformisme d’Etat, à l’instar du circuit des Scènes Nationales, la pire caricature qui soit de l’Art Officiel, et dont le fossé avec le peuple se creuse de jours en jours. Or l’Art en général, le théâtre en particulier doivent être libres et ouvert à tous, s’ils veulent être en prise sur le peuple, porteurs de réflexion et d’intelligence, et non une sinistre propagande bienpensante, un salon de précieuses ridicules ou un étalage de couillonnades subventionnées dites avant-gardistes. Rattrapé par toutes ces évidences, accumulant les déficits, ce théâtre est déclaré aujourd’hui contre-productif à tous égards, et promis au recyclage écologique par ceux-là même qui ont porté le monstre depuis dix ans.

    Mais déjà, et selon le quotidien Midi Libre / Béziers, les adeptes s’organisent, par le biais d’une association intitulée Les amis de sortieOuest. Ils occupent le temple et prient pour sa résurrection. Si bien, qu’au début de son article, la journaliste de Midi-Libre elle-même, pourtant bienveillante, les appelle "adeptes", nom que tous les dictionnaires sans exception donnent aux membres d'une secte ou d’une religion ! L’association dénonce le procès qui est fait à ce théâtre que d’aucuns -en tout cas pas moi !-, qualifieraient d’élitiste. C’est archi-faux : personne ne dit que ce théâtre est élitiste, et il est en général qualifié de pseudo-élitiste ou bien il est dit amicalo-élitaire et d’excellence auto-proclamée. C’est tout à fait différent. 

    Face au flash et à l’encerclement,  Les amis de sortieOuest promettent des actions. Vont-ils, selon la méthode habituelle, aller brailler sous les fenêtres du Prince Départemental/Socialiste, danser et taper dans les mains pour faire tomber le jackpot et la manne financière dont les sachants se nourriront, dans l’intérêt du peuple ignorant ? Vont-ils se rassembler sous les fenêtres du Président Vidal, à la mairie de Cazouls-les-Béziers, où le déesse-dieu Vartralala pourrait apparaitre en lévitation dans le ciel de la place des Cent-Quarante, et lire l’Évangile selon Saint-Vitez à l’assemblée des adeptes et des fidèles mécontents. Ou bien obligeront-ils le Président Mesquida, une serpillère sur la tête, à assister tous les soirs aux pensums de l’art officiel du théâtre, relu par un metteur en scène de l’avant-garde d’État ?

    La seule façon à mon avis de sortir de cette situation, c’est d’organiser à Béziers un grand referendum, qui est la forme la plus démocratique qui soit. Que les innombrables spectateurs de sortieOuest, pédagogues, cultureux, sociologues, femmes libérées, militants en tous genres, leurs parents, leurs amis, leurs nièces, cousins, cousines et neveux, tous les fidèles, les amis, les amoureux, les adeptes, les rendus idiots, les utiles, les adorateurs, les barons socialistes et leurs manants électeurs, mais aussi les plombiers, les zingueurs, les charcutiers, les banquiers, les pharmaciens, les éboueurs, les gendarmes, les marchands de chaussettes, les battants, les camionneurs, enfin tous, que le peuple tout entier, et aussi tous ceux qui, de manière générale, n’ont pas encore réalisé la dimension cosmique et comique de ce lieu, qui n’ont pas été illuminés, qui n’ont pas entrevu son intelligence subliminale ou sondé sa profondeur abyssale, appellent comme moi à l’organisation immédiate d’un referendum, dont la question posée pourrait être : Sortie Ouest doit il rester ce qu’il est, un théâtre amicalo-élitaire de gauche et d’excellence auto proclamé,  ou bien doit-il devenir un théâtre exigeant et populaire, inspiré des  idéaux de Jean Vilar, un véritable lieu de Culture, ouvert à tous parce que délivré de la politicaillerie sectaire ?