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Politique locale - Page 2

  • La véritable union des droites

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    Comme l’a rappelé Valeurs actuelles le 25 mai dernier, Robert Ménard a, dès fin 2018, poussé Éric Zemmour à tenter sa chance lors de l’élection présidentielle.

    Robert Ménard ne rate désormais jamais une occasion de tacler Marine Le Pen et Éric Zemmour. Après avoir rejoint le Rassemblement national puis s’en être éloigné, le maire de Béziers a soutenu le fondateur du parti Reconquête ! avant même que celui-ci ne décide de se lancer en politiqueEn effet, comme l’a rappelé Valeurs actuelles, dans cette même édition, dès le mois de décembre 2018 il a adressé une lettre à l’ancien chroniqueur de CNews pour lui faire part de son admiration à son sujet et "l’implorer" de viser l’Élysée.

    "Cette union des droites, des Républicains au Rassemblement national en passant par Debout la France, peut se faire, à notre sens, derrière une seule personnalité, derrière un homme qui fait la quasi-unanimité chez les sympathisants et militants de toute la droite : Éric Zemmour", a d’abord écrit Robert Ménard, en vantant les mérites de ce dernier. "Sa rigueur et son courage ne sont plus à démontrer. Il sait dire notre attachement à la France, à sa culture, à son histoire, à son ancrage dans notre civilisation chrétienne", a-t-il ajouté, en assurant que le polémiste "est le visage contemporain de ces intellectuels engagés qui ont fait de notre pays ce qu’il est".

    Difficile de dire mieux ! Mais comme le titrait Présent :Souvent Robert varie.jpg

  • La réalité des votes d'E. Ménard : très instructif !

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    La vie politique amène très souvent la presse, ou le public, ou les candidats eux-mêmes à avancer des contre-vérités ou à prendre des positions contradictoires que la vitesse des informations a vite fait d'effacer. Il n'est donc pas inutile de rappeler les faits bruts et indiscutables. Nous donnons ici un florilège de quelques prises de position de la députée actuelle du biterrois, qui ne donne pas un exemple parfait de constance et de conformité à d'autres déclarations totalement incompatibles avec les votes à l'assemblée ! Sur l'immigration par exemple.

    Les renseignements ci-dessous sont directement tirés du site officiel de l'Assemblée nationale. Ce sont évidemment des textes parmi les plus importants dont a eu à connaître le Parlement. On constate des orientations laxistes sur la grande question de l'immigration, liberticides sur d'autres ou dangereuses.

     

    IMMIGRATION

    La loi "asile et immigration", durcissant les conditions d'accueil

    (adoptée le 1er août 2018)

    Emmanuelle Ménard a voté contre en deuxième lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive

    • Raccourcissement des délais pour le dépôt et le traitement des demandes d'asile, durcissement des mesures d'éloignement, allongement de la rétention administrative... Cette loi a permis de faciliter les reconduites à la frontière.

    Déclaration d'E. Ménard le 7 novembre 2019. Elle dénonce le "record absolu des titres de séjour délivrés, (...) des nouvelles demandes d'asile",  "Commençons peut-être à nous occuper de rendre le travail plus attractif, d’aider les chômeurs de longue durée à retrouver du travail plutôt que tout de suite aller dire ’on va faire venir des gens de l’extérieur"

    Un coup à droite, un coup à gauche !

     

    COVID-19

    La loi instaurant l'état d'urgence sanitaire (adoptée le 22 mars 2020)

    Emmanuelle Ménard a voté pour lors de la lecture définitive

     

    ENVIRONNEMENT

    La loi réautorisant les néonicotinoïdes (adoptée le 30 octobre 2020)

    Emmanuelle Ménard a voté pour en première lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive

    • Cette loi a autorisé les producteurs de betteraves à sucre à recourir jusqu'en 2023 aux néonicotinoïdes, des insecticides dits "tueurs d'abeilles" interdits depuis 2018 en France.

     

    ENVIRONNEMENT

    La loi "Climat et résilience" (adoptée le 20 juillet 2021)

    Emmanuelle Ménard s'est abstenue lors de la lecture définitive

    • ce texte devait permettre à la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40% d'ici à 2030 par rapport à 1990.

     

    ISLAMISME

    La loi "Séparatisme" contre l'islamisme radical (adoptée le 23 juillet 2021)

    Emmanuelle Ménard a voté contre lors de la lecture définitive

    • Cette loi a accru les contrôles sur le financement des lieux de culte et des associations les gérant. Elle a aussi élargi la liste de motifs pouvant déclencher leur fermeture.

     

    COVID-19

    La loi instaurant le pass vaccinal (adoptée le 16 janvier 2022)

    Emmanuelle Ménard a voté pour en deuxième lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive*

    • Cette loi autorise le gouvernement à conditionner l'accès à certains lieux (restaurants, cinémas, musées, centres commerciaux, transports...) à la détention d'un pass vaccinal.

          . Les députés de La France insoumise et du Rassemblement national ont dénoncé des                   mesures  contraires aux libertés individuelles et critiqué une obligation vaccinale déguisée

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  • Franck Manogil, suppléant d'Henri Fabre-Luce - Communiqué de presse

    Franck Manogil est conseiller régional d'Occitanie et suppléant d'Henri Fabre-Luce, candidat sur la sixième circonscription de l'Hérault. Il a, pendant six ans occupé les fonctions de Conseiller départemental avec l'efficacité que l'on connaît.

    Ayant donné son parrainage à Marine Le Pen lors de la dernière élection présidentielle, Franck Manogil personnifie l'union des droites que les électeurs attendent. Rien d'étonnant, dans ces conditions que le Rassemblement national n'ait pas présenté un candidat contre lui.

     

    ***

     

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

     

    Manogil.jpgLe service communication de la ville de Béziers, outil de propagande mis à disposition de la candidate Emmanuelle Ménard ?

    Depuis plusieurs semaines, et particulièrement lors des dernières publications sur les réseaux sociaux de la ville de Béziers, la candidate Emmanuelle Ménard est particulièrement mise en avant lors de ses différents déplacements de campagne, profitant des largesses de ses différents statuts : épouse du Président/Maire, député, conseillère municipale et conseillère communautaire.

    Il faut dire que les réseaux sociaux de la Ville de Béziers et de l'Agglomération offrent près de quatre fois plus d’audience et de visibilité que la propre page d'Emmanuelle Ménard ! En pleine période électorale, l'avantage est considérable et semble aller à l'encontre des propres règles édictées par le code électoral, pourtant très clair sur le sujet.

    Les faits sont identiques en ce qui concerne les pages Facebook de l'agglomération et celle du groupe des élus départementaux des cantons de Béziers, administrée, semble-t-il, par une attachée de groupe salariée par le conseil départemental de l'Hérault.

    Il est inacceptable que les pages des différentes collectivités, animées par des agents rémunérés par le contribuable, soient utilisées comme des outils de propagande électorale au service d'une candidate.

    Je demande dès à présent à la candidate Emmanuelle Ménard, ainsi qu'à Robert Ménard, Président de l'agglomération et Maire de Béziers, de mettre fin à ces méthodes du vieux monde.

    Le couple Ménard n'est en aucun cas propriétaire de la mairie et de son agglomération. Les règles doivent être les mêmes pour tous !

    Exemples, non limitatifs bien sûr :

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  • Aux sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National, de Reconquête et autres français soucieux de l'avenir de leur pays

    CE BINOME NE RISQUE PAS DE VOUS DÉCEVOIR !

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       Henri Fabre-Luce , candidat                           Franck Manogil, suppléant

    Tous ceux qui, depuis plusieurs années, reçoivent les publications de ce blog, savent que nous nous sommes toujours attachés à la défense de notre civilisation, de nos libertés, de notre sécurité, en un mot du prestige et de la survie de la France. N’ayant aucun intérêt particulier dans ces élections législatives, c’est uniquement ce même sentiment qui dicte le présent article, pour ne pas dire cet appel pressant.

    Aujourd’hui la situation n’a jamais été aussi critique, aussi chargée de sombres pressentiments. Les derniers événements du stade de France, outre ceux que nous subissons depuis cinq ans, ont montré ce qui nous attend si un sursaut urgent ne se manifeste pas. La situation est trop dramatique pour se laisser aller à des fâcheries de détail qui mobilisent plus les états-majors que les électeurs eux-mêmes.

    Depuis des mois nous assistons à la désertion du clan Ménard. Elle s'est définitivement réalisée par les récentes déclarations au journal Le Monde (voir l’article suivant), qui démontrent le souhait de ces personnes sans foi ni loi de faire passer leur ambition personnelle avant toute idée et a fortiori toute conviction. C'est avant tout la place et ses subsides qui est dans la ligne de mire : rejoindre un gouvernement d’une nocivité telle que la France n’en avait pas connue depuis longtemps. Les critiques virulentes qu’ils ne cessent de lancer à l’encontre du Rassemblement national et de Reconquête les disqualifient définitivement pour pouvoir se recommander d’une quelconque nuance de droite. Et encore moins d'une union des droites qu'ils s'emploient à détruire à longueur de déclaration.

    Henri Fabre-Luce et Franck Manogil sont donc désormais les seuls, sur leur circonscription, pouvant se vanter de représenter la véritable droite française et patriotique. Ils personnifient ce que le pays attend de ses représentants : un engagement professionnel enraciné dans la France réelle, une attitude ferme et énergique, une tenue irréprochable dans la défense de la sécurité et de l’ordre et avant tout une fidélité sans nuance à leurs convictions, dont témoigne toute leur histoire. Ce n’est pas avec eux que nous aurons l’occasion de nous plaindre de la moindre désertion !

    Il est bien évident que passées toutes ces mesquineries petitement politiciennes, les patriotes français se retrouveront parce que la situation va rapidement l’exiger. Leur voix doit être entendue à l'Assemblée.

    Sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National et de Reconquête, et nous autres français soucieux de l'avenir de leur pays, ne succombons pas à des réactions superficielles, mais ayons avant tout dans l’esprit l’avenir de cette France que nous aimons tous, qui se délite chaque jour un peu plus.

    Henri Bec

  • ENFIN ! L'UNION DES DROITES !

    HENRI FABRE-LUCE, titulaire

    FRANCK MANOGIL, suppléant

    La véritable couleur bleu blanc rouge du biterrois

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    Nous aurons l'occasion, au cours des prochains jours  de revenir sur la campagne des élections législatives dans le biterrois. Treize candidats se présentent. Les douze autres se partagent entre un patchwork de gauche provisoirement uni, une pseudo droite chamallow, mondialiste et prête à toutes les compromissions et deux candidates macroniennes, le clan Ménard ayant définitivement rejoint l'Élysée. Faute d'avoir pu trouver un volontaire, le RN est absent. 

    Vous trouverez ci-dessous le texte de l'intervention d'Henri Fabre-Luce lors du grand meeting qui a réuni tous les candidats de l'Hérault à Montpellier, sous la présidence de Nicolas Bay, le 18 mai dernier. Elle donne d'ores et déjà la ligne véritablement française,  de droite, patriotique et enracinée  qui n'est partagée, ni même avancée par aucun autre candidat.  

    * * *

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    J’ai choisi d’être le candidat investi par Reconquête!

    sur la 6ème circonscription de l’Hérault (Béziers)

    pour le retour de la liberté !

    La liberté de penser, sans devenir immédiatement un complotiste, liberté de parler, sans être qualifié de « phobe » ou d’ « anti », liberté de douter, de contredire, d’argumenter, sans être assimilé à un factieux, liberté de recruter, sans être soupçonné de racisme ou de discrimination, liberté de créer, sans être aussitôt emprisonné dans des normes, sans queue ni tête, liberté de manger  selon ses goûts et non  selon une idéologie ou une religion, liberté de circuler, sans craindre pour sa vie ou celle de sa famille … Liberté de vivre, tout simplement, comme on y vivait en France il n’y a pas si longtemps. Bref, j’ai choisi d’être candidat de reconquête! pour que la France reste la France !

    Et puis, parce que je suis un viticulteur non délocalisable, parce que je suis un enraciné, je suis solidaire des jeunes générations. Je veux qu’elles aient un avenir plein de promesse autant que de sérénité. Pour elles, je porterai la vision politique et le projet  de Reconquête  à l’Assemblée Nationale.

    Pour moi, être député, c’est faire des choix clairs et les assumer. Ce n’est pas dire :    

    - Je veux que la droite gagne mais je suis contre l’union des droites !

    Ou bien

    - Je ne suis pas d’accord avec Emmanuel Macron mais il faut absolument lui donner une majorité.

    Et bien Non, il faut absolument lui donner une opposition !

    Il faut s’affranchir des méthodes de député à l’ancienne. Etre député, ce n’est pas serrer des mains et couper des rubans !  c’est être la relation de ceux qui n’en ont pas, c’est rendre possible des choix de niveau national car, pour que la vie des Biterrois et des Héraultais change et s’améliore, c’est la vie de la France qui doit changer et s’améliorer.

    Je suis un Biterrois de naissance et de cœur, je suis un enraciné qui portera à Paris la reconquête de notre identité, de notre souveraineté, de notre économie, de notre sécurité.

    Je veux que nous redevenions des  hommes libres !  J’ai choisi Reconquête !

  • Le clan et le "syndrome du caméléon"

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    Des milliers d'opposants au pass sanitaire défilent en France « pour la liberté » (Le Point)

    L’allocution prononcée le 12 juillet dernier par Emmanuel Macron a déclenché une vague de protestations que le pays n’avait pas connue depuis longtemps. On a vu les Villiers, Poisson, Zemmour, Le Pen, Philippot, Marion Maréchal… et nombreux autres proclamer avec force leur hostilité aux décisions liberticides annoncées. C’est en effet, une fois de plus la réalisation de ce que Maurras analysait dans un de ses ouvrages prophétiques De Démos à César : la République balance toujours entre un anarchisme ingérable et un césarisme brutal.

    La décision sur l’obligation du pass sanitaire n’a pas arrangé les choses.

    Comment, en effet, peut-on tolérer de la part d’un président de la République un air aussi suffisant, une attitude aussi méprisante et des décisions aussi agressives ? Il n’est pas admissible, ce qui, en outre, est vraisemblablement juridiquement infondé, d’imposer à toute une population, l’injection dans le corps d’une substance qui n’est, faut-il le rappeler, qu’au stade expérimental ; et alors que nombre d’éminents professeurs (professeur Éric Caumes, professeur Perronne…), médecins et autres spécialistes émettent de sérieuses réserves, tant sur la cohérence des méthodes employées depuis un an et demie que sur leur efficacité. Sans parler du personnel médical, le mieux placé en principe, qui, dans une forte proportion refuse cette injection… Le professeur Montagnier, prix Nobel, affirmait récemment : « Une science que l’on apprenait autrefois à l’école primaire : on ne vaccine pas en pleine épidémie, ça crée des variants », aussitôt qualifié de complotiste.

    Mais force est malheureusement de constater que les adversaires de la vaccination obligatoire sont pratiquement interdits de plateau.

    Quant au passe sanitaire, il s’agit d’une atteinte intolérable aux libertés les plus élémentaires. « Nous sommes en dictature » titrait Le Point il y a quelques jours, sous la signature de Franz Olivier Gisbert.

    « Quand on importe les méthodes de l’Arabie Saoudite et du Pakistan, seuls pays au monde à avoir osé rendre la vie impossible aux non vaccinés pour mieux les contraindre, quand on singe la Chine qui prévoit d’interdire l’accès à l’hôpital ou à l’université aux non-vaccinés, oui il y a basculement. » (Marion Maréchal)

    Seul le clan Ménard fait entendre, comme d’habitude, une voix discordante pour tenter d’attirer à nouveau à lui une attention qui s’en détourne chaque jour un peu plus. Il faut bien se faire remarquer d'une manière ou d'une autre, comme plaider pour le vaccin et le pass sanitaire obligatoires. Il est vrai que ses immenses connaissances médicales sont sans commune mesure avec celles de ces spécialistes !

    Devant cette levée de boucliers qu’il n’avait pas prévue, le clan Ménard tente maintenant un rétropédalage qui ne trompera personne. Nécessité fait loi : il ne faudrait pas qu’à quelques mois des législatives, même le carré des derniers et peureux courtisans prenne la poudre d’escampette ! Alors on dépose un amendement à l’Assemblée pour demander que le pass soit limité à la durée de l'épidémie. Ridicule initiative qui consiste à demander la suppression d'une mesure lorsqu’on n’en a plus besoin ! Il n’en reste pas moins qu’E. Ménard n’a pas voté contre cette loi, la seule du groupe des non-inscrits, représentant ce qui reste de droite. Il faudra s’en souvenir…

    Oh ! N’allez pas vous imaginer que toutes ces déclarations et manœuvres soient le résultat de savantes réflexions et de convictions profondes. Après avoir joué au yoyo pendant six ans avec le RN (on pense ce qu’on veut de ce mouvement, la question n’est pas là), faisant assaut d’éloges à l’approche des élections, puis le critiquant, parfois violemment, lorsque le risque disparaissait, puis recommençant la comédie, surtout avant les législatives de 2017 (!), il a démontré son absence totale de sérieux et sa grande maitrise du retournement de veste, ce que les plus perspicaces avaient subodorée depuis le début. Les compliments destinés à Marine Le Pen sont d’une bouffonnerie achevée quand on sait qu’il l’avait menacée de monter une liste concurrente aux élections régionales quelques semaines auparavant. Sans compter les qualificatifs plus que désobligeants dont il la gratifiait.

    Aujourd’hui, le clan ne dissimule plus la finalité de la stratégie mise en place : le succès lors des prochaines législatives, au prix de tous les renoncements (inauguration il y a quelques jours d’un buste du socialiste Giacomo Matteotti ! – Nous y reviendrons) ou des alliances les plus ambiguës (appel à voter UDI aux élections sénatoriales !)… Nous pourrons dans les jours et semaines suivantes, sans risque de nous tromper, commenter les futurs agissements qui ne vont pas tarder de voir le jour et ne manqueront pas de sel. On voit déjà, avec la prise de position sur le vaccin et le pass obligatoires, que mettre ses pas dans ceux de Macron a dû être jugé électoralement rentable. C’est ce que l’on appelle « le syndrome du caméléon ». Médias-Presse-Info titrait récemment : Robert Ménard rejoint la meute au service de la dictature sanitaire.

    Il nous avait berné, la main sur le cœur, avec « l’union des droites ». Elle n’avait en réalité de valeur à ses yeux, que s’il en était le pilote. Lorsque la pantomime de « Oz ta droite » s’est effondrée trois jours après, on n’en a plus entendu parler. C’est désormais à la désunion des droites à laquelle il travaille.

    Sachez que nous ne laisserons pas perdurer cette mascarade sans la commenter et la dénoncer.

    Henri Bec

    PS : si vous souhaitez connaître le nom des députés qui on voté contre le pass sanitaire, cliques ICI

  • Des remerciements malencontreusement omis mais oh! combien mérités

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    Mise au point

     

    Il est difficile d'imaginer que la politique du citron pressé, qui consiste à s’approprier le meilleur de quelqu’un puis à s’en débarrasser après usage, puisse se rencontrer chez ceux qui se revendiquent d’une certaine éthique, pour ne pas dire morale, où la fidélité, l’honneur, le courage, un certain art de vivre, pour tout dire une certaine correction naturelle sont la règle commune.

    C’est sur ces bases que notre groupe des six biterrois élus en 2015 au Conseil départemental de l’Hérault a fonctionné pendant six ans. Notre cohésion a été renforcée, dès l’origine, par les obstacles majeurs mis à l'exercice de notre mandat et par l’ambiance hostile à laquelle nous nous sommes heurtés. Jamais nous n’avons cédé aux injures et provocations, ce qui, peu à peu, nous a valu la sympathie des uns et l’animosité redoublée de certains autres. Nous étions ainsi parvenus à nous imposer, très surveillés par la majorité socialiste qui a compris le sérieux de nos positions et fini par redouter nos interventions. La presse, muselée, ne les a jamais répercutées. Nous n’avons, non plus, pendant six ans, aperçu le moindre écho dans la presse municipale de Béziers…

    Pour d’obscures raisons, sur lesquelles nous reviendrons plus tard, le maire de Béziers a fait obstacle à la poursuite de ce travail.

    Mais il n’était pas interdit, une fois le risque de concurrence écarté, de dire un mot sur cette difficile mission et ceux qui l’avaient accomplie. C’eut été une simple marque, non de reconnaissance, n’en demandons pas trop, mais du plus élémentaire des savoir-vivre. En son absence, il est nécessaire de le faire ici. S'y dérober aurait été une profonde injustice :

     Isabelle.jpg- Isabelle des Garets était membre de la commission permanente et de la commission de l’aménagement rural – agriculture, viticulture, pêche et forêt, secteur important s’il en est dans notre département. Isabelle a toujours assumé ce travail par une parfaite étude et connaissance des dossiers ainsi qu’une une présence constante au département. L’expérience acquise eut été, pour l’avenir, un atout irremplaçable. C’est sur un simple et rapide coup de téléphone qu’elle a appris ne plus faire partie de la liste des candidats. Pas très courageux… pour le moins !

    Corbiere_Jean-Francois-1.jpg - Jean-François Corbière était membre de la commission permanente et de la commission de l’environnement. Il n’avait rien à apprendre sur l’histoire de la politique locale et sa connaissance, acquise depuis des années, des dossiers intéressant le biterrois était précieuse, même irremplaçable. Cela en faisait, lors des assemblées, un intervenant écouté et redouté par un président du département très attentif à ses prises de parole. Il avait décidé de ne pas se représenter.

     Manogil1.jpg- Franck Manogil était membre de la commission permanente et de la commission de l’éducation, de la culture, de la jeunesse, sports et loisirs. Il était la fougue de notre groupe et n’hésitait pas à se heurter, parfois violemment avec le président, sur des sujets majeurs, toujours travaillés avec sérieux, tels les mineurs non accompagnés, les subventions aux associations d’aide aux migrants en situation irrégulière, etc. Il a découvert son absence de la liste des candidats lorsqu’il en a pris connaissance, alors qu'elle avait été déposée en préfecture à son insu. Un coup de poignard dans le dos peu glorieux ! Son indéfectible loyauté a amené le RN à le faire figurer en bonne place sur la liste des régionales. Bravo pour son élection.

    C’est un très sincère remerciement que leur doivent ceux qui les avaient élus. Ils les ont représentés avec conscience, compétence et détermination.

    Pour ma part, j’appartenais à la commission permanente et à la commission de l’aménagement du territoire, du logement, de la politique foncière et à celle des finances et des marchés publics – Administration générale – Relations extérieures. J’ai déjà dit dans le journal local ce que je pensais de ces basses manœuvres. Pour ceux qui ne lisent pas Midi Libre, le communiqué est repris dans l’article suivant.

    Notre seul tort, notre seule faiblesse est d’avoir, avec un grand angélisme, oublié que les vents mauvais font aussi tourner les girouettes.

     Henri Bec

  • Assemblée générale de l'association TGV SUD TERRITOIRES-ENVIRONNEMENT

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    Et l'on reparle de la ligne Montpellier-Perpignan. L'association TGV SUD TERRITOIRES-ENVIRONNEMENT travaille, depuis des années à faire valoir ses solutions de bon sens, issues des expériences de terrain et de l'expertise de ses dirigeants. Mais de retards en hésitations en passant par des projets insensés, seules les promesses démagogiques sont d'actualité.

    Ce projet qui va conditionner l'activité économique et touristique de notre région, mérite qu'on s'y intéresse avec soin, et que l'on fasse valoir les solutions de bon sens qui ne semblent pas préoccuper les politiciens de tous bords 

    RAPPORT MORAL

    L’année 2019 n’aura eu de spectaculaire que les arrêtés préfectoraux pris dans les départements de l’Hérault, de l’Aude et des Pyrénées Orientales, validant le Projet d’Intérêt Général et fixant le tracé de la Ligne Nouvelle Montpellier-Perpignan, sur la base d’un dossier qui n’a pas changé depuis 2015!

    Aucune des critiques formulées depuis le dépôt du dossier au niveau ministériel, aucune des remarques émises lors de la consultation par internet avant la prise des arrêtés préfectoraux, n’aura été prise en compte. C’est donc un projet de ligne nouvelle, mixte seulement jusqu’à Béziers, et comportant 2 gares nouvelles injustifiées  et mal placées qui a été confirmé. A quoi ont servi le travail de fourmi réalisé par l’association, les alertes adressées aux décideurs politiques et institutionnels, les démarches effectuées auprès de responsables politiques, les efforts de pédagogie, les écrits…En apparence à peu de choses, mais comment savoir ce qu’il en reste? Nous n’oublierons pas, cependant ceux qui ont fait le maximum pour ne pas nous recevoir, ceux pour qui on a consacré du temps et l’élaboration de documents, mais qui n’ont donné aucune suite.

    Ironie du sort, il y aura bien eu un autre événement bien plus spectaculaire que celui cité précédemment à l’automne 2019 : les intempéries avec la coupure de ligne du littoral à Villeneuve-les-Béziers et l’inondation d’une partie de la commune, dont la propriété de notre ami Pierre Michel, aux premières loges bien malgré lui pour constater des dégâts portant prévisibles. Nous nous serions contentés de faits moins dramatiques pour étayer nos hypothèses, nos suggestions et demandes. En tout cas, cet événement a fait la démonstration de la vulnérabilité de la ligne existante et la nécessité d’un nouvel axe ferroviaire polyvalent pour sécuriser et renforcer ce mode de transport. Il faut noter qu’à cette occasion, l’Etat n’aura pas été d’un grand secours et que le déplacement de Mme Elisabeth Borne à Béziers n’aura été qu’une occasion  de frais dont on aurait pu se dispenser. A noter qu’alors que les transports étaient dans son domaine de responsabilité, elle ne s’est même pas rendue sur les lieux pour constater les dégâts affectant la ligne : cela traduit bien l’importance accordée à cet axe et aux territoires qu’il dessert.

    Cette coupure de la ligne a relancé le débat, sur la mixité notamment et apporté une confirmation à ce que nous préconisons depuis des années. Elle nous a amenés aussi à renforcer le dialogue avec la Région et la SNCF, à relayer les difficultés rencontrées par les utilisateurs et à faire pression pour une amélioration des moyens de substitution. Cela nous a permis aussi d’évaluer tout l’intérêt d’adhérer à des fédérations (FNAUT OcPyMed et FNE-LR) qui portent certains de nos messages et peuvent les faire entendre à cause de leur poids médiatique. Cela montre aussi que le travail de fond que nous avons réalisé jusqu’à présent permet d’être là quand l’occasion se présente et d’être reconnus par certains acteurs institutionnels.

    Les événements de fin 2019, les changements intervenus à la suite des élections municipales et sénatoriales, le changement de premier ministre modifient sensiblement le contexte que nous connaissions ces dernières années et ouvrent quelques perspectives. Ils nous incitent à reprendre les démarches en direction des élus ; cela est particulièrement important alors qu’une concertation préalable à l’enquête d’utilité publique a débuté pour la première phase Montpellier-Béziers de la Ligne Nouvelle. Faire en sorte que ce premier tronçon soit compatible avec la poursuite de la mixité au-delà de Béziers et que le raccordement à la ligne existante soit moins destructeur pour Villeneuve sont nos priorités.

    Nous sommes aussi demandeurs de participation au projet de modernisation de la gare de Béziers (nous ne voulons pas de gare nouvelle A75), mais nous ne sommes toujours pas conviés malgré quelques promesses verbales.

    Par ailleurs, même si des avancées importantes ont eu lieu pour Béziers-Neussargues, il reste encore bien des incertitudes ; la mobilisation reste de mise de même que des interventions auprès des élus concernés pour l’amélioration des points desservis et le nombre de relations par train entre Béziers et Bédarieux.

    La relance du fret ferroviaire reste aussi dans nos préoccupations, sur le plan local (notamment Colombiers-Maureilhan), régional et au-delà ; et nous maintenons des partenariats pour cela, mais il faut reconnaitre qu’il n’y a pas foule chez les politiques et les institutionnels pour soutenir cette cause. La transition énergétique, ça fait bien dans les éditoriaux, mais les déclinaisons concrètes se font souvent attendre. Il y a, heureusement, des acteurs convaincus, mais souvent débordés, avec qui nous pouvons continuer à travailler.

    Rapport d’activités

    Concrètement, nous avons continué à suivre les dossiers, participé à des rencontres avec la Région –élus et techniciens - et la SNCF pour faire connaitre et défendre nos points de vue, obtenir des améliorations de service et être consulté en amont des décisions d’organisation et de service.

    Nous avons interpelé la Présidente de Région lors de la consultation électronique précédant les arrêtés de PIG de la ligne nouvelle.

    Mais aussi le Département, son Président et Hussein BOURGI et les maires des communes concernées par les inondations de fin octobre 2019 pour les inciter à agir.

    Nous sommes allés au congrès de l’association des maires de l’Hérault.

    Nous avons participé aux comités départementaux des mobilités, aux réunions SNCF/Associations d’usagers ; nous sommes intervenus dans un grand forum SNCF consacré à l’amélioration de l’information des clients et usagers et avons participé au Comité Régional SNCF des « Parties Prenantes ».

    Nous avons rencontré le Président de Perpignan-Métropole pour comprendre son opposition à la mixité de la Ligne Nouvelle dans la plaine du Roussillon et ouvrir un dialogue. Toujours dans les Pyrénées Orientales, nous avons soutenu les actions des associations locales pour la réouverture de la ligne Perpignan-Villefranche de Conflent.

    Nous avons soutenu les actions de défense de la ligne Béziers-Neussargues (diffusion d’informations et participation à manifestation et débats.

    Nous avons poursuivi notre travail sur le fret ferroviaire en direction de la Région et en collaboration avec la CCI Régionale.

    Et, bien sûr, nous avons participé aux activités des fédérations Fnaut OcPyMéd et FNE-LR surtout sur les sujets nous concernant (réseau transport de FNE).

    Faire relayer nos interventions nos points de vue par la presse n’a pas été une réussite (Midi Libre en particulier) ; par contre notre stand à la journée des associations sur les Allées en septembre 2019 a vu une belle fréquentation, des échanges nombreux et animés.

    Donc beaucoup de démarches pour rappeler des enjeux, améliorer des services et rappeler les conditions indispensables pour que le projet ligne nouvelle ait tout son sens et toute son utilité.

                                    Le président                              Le secrétaire

  • Nourredine Abid, conseiller municipal, est mort.

     

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    Communiqué de la mairie de Béziers

    Les conseillers départementaux

    de l'agglomération Béziers Méditerranée

    (Nicole Zenon, Marie-Emmanuelle Camous,

    Franck Manogil et Jean-François Corbières)

    et de la communauté de communes La Domitienne

    (Isabelle des Garets et Henri Bec)

    se joignent à cet hommage

     

    Nourredine Abid, conseiller municipal de la majorité depuis 2014, est décédé le samedi 24 octobre, des suites d’une longue maladie. Chargé des Anciens combattants durant le dernier mandat, il était passionné par sa tâche, étant lui-même patriote dans l’âme, le genre d’homme qui frissonne en voyant se déployer nos trois couleurs ou en entonnant la Marseillaise.

    Depuis cette année, il était Premier conseiller municipal délégué au handicap. Fils de Harki, il était porteur depuis toujours d’une profonde blessure née d’une histoire commune faite d’abandons et de violences.

    Tous ceux qui l’ont connu pendant ses dernières années savaient sa disponibilité et son courage politique sans faille. Il était à ses idées d’une fidélité sans borne.

    Nourredine Abid était un homme droit, amateur d’histoire et de livres, dont on pouvait savourer la prodigieuse culture au cours de conversations à bâtons rompus. Son humour hors du commun, son sens de la répartie inimitable, sa passion de la langue vont nous manquer. Nous lui étions profondément attachés.

    Robert Ménard, maire de Béziers, Emmanuelle Ménard, députée, et tous les élus de la majorité adressent, au nom des Biterrois, à sa famille et à ses proches leurs plus sincères et douloureuses condoléances

  • PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER À FRANCK MANOGIL !

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    Ce message s’adresse plus particulièrement à ceux que l’on appelle « les grands électeurs », c’est-à-dire ceux qui votent pour les élections sénatoriales (Sénateurs, députés, maires, certains conseillers municipaux, conseillers départementaux et certaines personnes choisies). Il sera certainement utile aux autres qui pourront le diffuser à leurs élus favoris.

    Dimanche prochain, 27 septembre 2020, auront lieu ces élections qui désigneront les quatre sénateurs de l’Hérault. Ce seront 2556 personnes qui se rendront aux urnes pour choisir entre 14 listes.

    Que vont faire les électeurs proches des socialistes, communistes, républicains ou UDI ? Chacun va apporter son suffrage à son candidat préféré, son copain, son voisin. Un éparpillement des voix« façon puzzle », ce qui ne nous cause pas le moindre chagrin. Il se débrouilleront pour trier dans cette jungle informe et sans consistance.

    À Béziers se présente un seul candidat, Franck Manogil, actuellement conseiller départemental, élu en 2015 comme les autres candidats des cantons de Béziers.

    Depuis des années, républicains et UDI sont purement et simplement rentrés dans le moule socialo-communiste, notamment à l’assemblée départementale que nous connaissons bien. Ils votent l’intégralité des délibérations proposée par l’exécutif, y compris celles qui consistent à soutenir les associations les plus subversives ou les aides récurrentes à l’immigration, au préjudice des intérêts de nos concitoyens.

    Et ce ne sont pas les deux robinets d’eau tiède (républicain et UDI) que nous avons entendus vendredi soir qui vont nous rassurer sur leurs positions futures. Nous avons bien compris que derrière leurs explications alambiquées, c’est la même politique de paillasson qui sera mise en œuvre et que les sujets essentiels qui préoccupent les français ne seront ni abordés ni traités.

    Avec Franck Manogil, et compte tenu de cette configuration, nous avons l’occasion inespérée d’envoyer au Sénat un homme de fidélité, de conviction et de courage. À part quelques personnalités,c’est finalement ce qui manque à la France.

    De conviction parce qu’il n’a jamais modifié le fond de ses interventions, au service de l’intérêt général, n'a jamais dérogé à ce pourquoi les habitants de son canton l'avaient élu.

    De courage parce qu’il s’est toujours trouvé en première ligne pour s’opposer à ces délibérations délétères. Toujours présent depuis cinq ans à toutes les assemblées il n’a rien laissé passer. C’est l’espoir d’avoir au Sénat un élu qui ne mâchera pas ses mots et ne ménagera pas ses efforts. L’article ci-dessous montre qu’il n’a pas hésité à engager une procédure devant le tribunal administratif pour demander l’annulation d’une énième délibération octroyant 20 000 € de subvention à une association complice des passeurs en Méditerranée.

    Mais il lui faudra toutes les voix.

    Il appartient maintenant à ces grands électeurs de prendre la responsabilité qui leur incombe : ou favoriser l’élection de la gauche la plus sectaire et de ses alliés de la pseudo droite, ou se faire les porte-paroles de la majorité des français, en attente d’un redressement qui tarde à venir. Entre ceux qui ne savent que privilégier leur place au prix de multiples et scandaleuses compromissions et celui qui a mis depuis toujours le bien commun en tête de ses préoccupations.

    AUCUNE VOIX NE DOIT MANQUER À FRANCK MANOGIL.

    Il faut avoir à l’esprit, comme une rengaine, cette formule de bon sens : « la politique du pire, c’est la pire des politiques ».

    Henri Bec

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  • Municipales à Perpignan : Louis Aliot et Robert Ménard, ensemble pour le succés

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    © FTV

    C'est avec le soutien de Robert Ménard que Louis Aliot a présenté son programme à la presse  le 11 juin dernier.

    Le 28 juin, c’est à nouveau à un duel Pujol/Aliot que vont participer les Perpignanais. Un scénario identique à 2014, mais l’issue pourrait ne pas être la même.

    C'est avec le soutien de son ami Robert Ménard, que Louis Aliot entame sa campagne pour le second tour des élections municipales. Le 11 juin, ils tenaient une conférence de presse sur le thème "Redonner l’espoir c’est possible. L’exemple de Béziers". Avec un discours orienté sur le localisme, "renouveau de la politique" selon Robert Ménard.

    "On a besoin de montrer qu’il y a une alternative à la droite et à la gauche la plus éculée que l’on connaisse. On l’a montré à Béziers mais je me sens un peu seul dans la région, j’ai envie d’avoir un allié qui montre que oui, on peut bien gérer des villes au profit des gens", a déclaré Robert Ménard.

    Celui-ci a été réélu à Béziers au premier tour des élections avec 68,74% des votes. Il voit dans cette probable victoire de Louis Aliot, un allié de taille. Si son ami l'emporte, le maire de Béziers envisage déjà des alliances pour les prochaines élections cantonales et régionales. Louis Aliot s'appuie de son côté sur l'expérience de Robert Ménard, pour mener cette campagne du second tour.

    C'est évidemment un enjeux important : conquérir cette cité de plus de 120 000 habitants. Une ambition renforcée par un score remarquable réalisé par Louis Aliot au premier tour, 35,66 %, son adversaire Jean-Marc Pujol étant resté loin derrière avec 18,44 %. Pour un maire sortant, ce n'est rien d'autre que pitoyable !

    En face tente de se constituer un folklorique front dit "commun", véritable salade russe des ennemis d'hier qui n'ont pour toute ambition que de conserver leurs places et leurs prébendes. Ne manquait à ce cirque que le soutien de l'inénarrable Carole Delga qui a toujours le chic pour se mêler de ce qui ne la regarde pas.

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    Lors de cette conférence de presse, Louis Aliot l'a qualifiée d'"entremetteuse", Robert Ménartd ajoutant : "C’est à vomir, c’est invraisemblable. C’est ça la politique ? Moi, je ne me bas pas contre quelqu’un mais contre des projets".

    D'autant que ce fameux front commence à avoir du plomb dans l'aile : trois anciens colistiers de Romain Grau, ex candidat LREM qui a retiré sa liste pour faire barrage à Louis Aliot, viennent de se prononcer en faveur de ce dernier ! Alain Cavalière, ancien président du Tribunal de commerce a notamment déclaré : c’est avec détermination et sans état d’âme, que je lui apporte mon soutien pour « voir l’avenir en grand ", ajoutant, “à Perpignan, après avoir dit « pis que pendre » de son bilan, les têtes de liste une à une font allégeance au maire sortant qui grand seigneur « apprécie les retraits républicains ». Quel spectacle affligeant".

    Josiane Cabanas, également ancienne de la liste Grau et de l'équipe municipale se dit convaincue que : "l’opération sauvetage de Perpignan passe par le vote Aliot".

    Nous adressons à  Louis Aliot et à toute son équipe tous nos vœux de réussite.

    Henri Bec

  • Béziers : bienvenue aux nouveaux conseillers municipaux !

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    Le 15 mars l'équipe de Choisir Béziers était élu pour la deuxième fois avec un résultat qui n'est rien d'autre qu'un magnifique remerciement des biterrois pour le travail accompli pendant six ans.

    Mais au-delà, il est plus que réjouissant de constater que les diffamations, injures, fausses nouvelles et autres insinuations malveillantes, n'ont plus aucune incidence sur les esprits. Les efforts désespérés déployés par une gauche en fin de règne et une pseudo droite sans idées et donc sans avenir, sont désormais sans effet. Les souverainistes dont parle Éric Zemmour, ou pour être plus précis, ceux qui ont encore conscience des irremplaçables bienfaits d'une nation fière d'elle-même, prennent la relève pour remettre ce pays malmené sur les rails du redressement.

    La nouvelle municipalité comporte un grand nombre de nouveaux venus et de représentants d'une jeune génération décidée et volontaire. C'est à eux d'abord que vont nos vœux de réussite. Nous savons par expérience qu'ils pourront compter sur les plus anciens et plus expérimentés, qui viennent de faire la preuve de leur compétence et de leur détermination.

    Le conseillers départementaux, qui  sont, depuis cinq ans, en totale symbiose avec la municipalité et ont le même désir de libérer le territoire de ses pesanteurs, sont heureux de pouvoir continuer à travailler avec des élus de cette qualité.

    Henri Bec

    _______________________________________

     

    Robert Ménard

    MAIRE 

    Élisabeth Pissarro

    1er adjoint : Adjointe chargée de la culture et du patrimoine

    Benoît d’Abbadie

    2ème adjoint : Adjoint chargé du commerce, des activités agricoles, de de la Féria et des spectacles taurins

    Alberte Frey

    3ème adjoint : Adjointe chargée de la famille, de la jeunesse, de la petite enfance et de l’école

    Michel Moulin

    4ème adjoint : Adjoint chargé de la citoyenneté, des relations avec les associations, des comités de quartier et des anciens combattants

    Bénédicte Firmin

    5ème adjoint : Adjointe chargée de la santé, de l’écologie, du handicap, de la solidarité et des aînés

    Michel Hérail

    6ème adjoint : Adjoint chargé du personnel, des moyens généraux, de l’état civil, des élections et des cimetières

    Laurence Rul

    7ème adjoint : Adjointe chargée des finances, du budget, des affaires juridiques et du mécénat

    Luc Zénon

    8ème adjoint : Adjoint chargé de l’urbanisme, des marchés publics, des achats et des bâtiments communaux

    Perrine Pelaez

    9ème adjoint : Adjointe chargée du logement et de la lutte contre l’habitat indigne

    Yvon Martinez

    10ème adjoint : Adjoint chargé de la voirie, du stationnement, des espaces verts, de la propreté et de la gestion des déchets

    Gérard Angeli

    11ème adjoint : Adjoint chargé du sport, des relations avec les clubs et des équipements sportifs

    Nourredine Abid

    1er conseiller municipal : Conseiller délégué au handicap

    Georgia de Saint-Pierre

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux comités de quartier et aux aînés

    Alexandra Fuchs

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la salubrité publique

    Henri Fabre-Luce

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux activités viticoles

    Emmanuelle Ménard

    Conseillère municipale

    Mélanie Saysset

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la petite enfance et à la jeunesse

    Jean-Louis Aycart

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la voirie et à la signalétique

    Laetitia Lafare

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à l’état civil, aux intégrations républicaines, aux élections et aux cimetières

    Oscar Bonamy

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux espaces verts, à la propreté et la gestion des déchets

    Aina-Marie Pech

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au logement

    Sébastien Saez

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux commerces

    Stéphanie Navarro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au stationnement

    Najah Alami

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux animations

    Marine Jaoul

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux équipements sportifs

    Christophe Spina

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la culture et aux archives

    Fabienne Bertrand

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux maisons de quartier

    Émile Fort

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux anciens combattants

    Marjorie Gomez

    Conseillère municipale

    Marc Andrieu

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à l’écologie

    Monique Agugliaro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux associations

    Marc Valette

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux associations sportives

    Aurélie Jené

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au bien-être animal

    Sarah Rahni

    Conseillère déléguée aux relations avec les citoyens

    Jérémie Vidal

    Conseiller municipal

    Delphine Azais

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux bâtiments communaux et à la pollution visuelle

    Christian Sarkis

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux moyens généraux

    Mathilde Goulliart

    Conseillère municipale

    Veysel Yildirim

    Conseiller municipal

    Meltem Adtakan

    Conseillère municipale

    Victor Alzingre

    Conseiller municipal

    Nadine Besse

    Conseillère municipale

    Jean-Pierre Galtier

    Conseiller municipal

    Pascal Resplandy

    Conseiller municipal d'opposition

    Véronique Vidal-Laur

    Conseillère municipale d'opposition

    Christophe Huc

    Conseiller municipal d'opposition

    Nicolas Cossange

    Conseiller municipal d'opposition

    Thierry Antoine

    Conseiller municipal d'opposition

     

  • Notre sélection : "Châteaux anciens - Tours et métairies nobles"

    Il n'y a tout de même pas que de mauvaises nouvelles ! Nous avons le plaisir d'apporter notre contribution à la dernière souscription proposée par les éditions du Chameau Malin. Tous les amoureux de leur pays devront conserver précieusement ce premier tome Châteaux anciens - Tours et métairies nobles".

     

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