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le pays réel

  • Patrimoine cinématographique • Le Dialogue des Carmélites

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    Le remarquable site "Je Suis Français" a eu l'excellente idée, alors que l'on va célébrer, à coup de déclarations très romantiques et d'erreurs historiques majeures, les débuts de la Révolution française, de publier une belle analyse de Pierre Builly - chroniqueur cinématographique habituel de cette publication - d'un film de 1960, "Le Dialogue des Carmélites", dialogues écrits par Georges Bernanos en Tunisie dans le courant de l’hiver 1947-1948. C'est un exemple, parmi des milliers, de la barbarie qui s'est emparée du pays dans ces années dénommée, à juste titre "La Terreur".

    Il n'est pas inutile de s'en souvenir alors que des menaces identiques planent à nouveau. 

    *****

    Synopsis : Durant la Révolution française, le clergé est persécuté. C’est la période de la Terreur. Dans un carmel à Compiègne, la vie des religieuses bascule. En mai 1789, deux jeunes filles prennent le voile au carmel de Compiègne. Si la première se donne joyeusement à l’existence austère qui l’attend, la seconde, Blanche de la Force, que tourmente depuis l’enfance une horrible peur de la vie et de la mort, entre en dévotion avec toutes ses angoisses et prend le nom de Sœur Blanche de l’Agonie du Christ. La mère supérieure meurt peu après, dans d’atroces souffrances morales. Elle confie Blanche à mère Marie de l’Incarnation. Cependant, à la porte du couvent se pressent les révolutionnaires, porteurs d’un mandat de réquisition…  ■ 

    En fin d'article, vous trouverez le lien vous permettant de visionner le film dans son intégralité.

     

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    Par Pierre Builly

    Dialogue des Carmélites de Philippe Agostini et du R. P. Bruckberger (1960)

    Durée du film : 1h52

    Avec Jeanne Moreau (Mère Marie de l’Incarnation), Alida Valli (Mère Thérèse de Saint-Augustin), Madeleine Renaud (la Mère prieure) … George Wilson , Pierre Brasseur

     

    Marche au supplice

    D’une vision télévisée très ancienne, je ne conservais guère que le souvenir des dernières séquences, qui sont absolument bouleversantes, sauf à être de ceux qui ricanent devant le sacré et le vrai pathétique et qui relatent le martyre des seize Carmélites de Compiègne, guillotinées le 17 juillet 1794, seulement onze jours avant que le buveur de sang Robespierre et sa clique de fous furieux soit conduite à l’échafaud le 27 juillet (9 Thermidor an II). On peut ne voir là qu’une coïncidence ou peut-être bien l’exaucement par Dieu du vœu solennel que les religieuses avaient formé pour obtenir la fin des violences et la paix pour l’Église et l’État. 

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    Dernières séquences, donc. Alors que l’une des religieuses – la plus fragile, la plus jeune, la plus angoissée – Blanche de La Force (Pascale Audret) est tombée dans le piège des révolutionnaires, a fait défection, s’est soustraite à l’exécution, alors que ses compagnes, appelées l’une après l’autre à la guillotine, y montent en chantant le Veni Creator et que leur chant s’estompe à mesure qu’elles sont l’une après l’autre coupées en deux, lorsque, la dernière Carmélite assassinée, le silence se fait,  monte d’un coin de la foule hystérique et assoiffée de sang le même chant, la même pureté, de Blanche qui rejoint ses sœurs et monte à l’échafaud les rejoindre au Paradis…

    Dans mes souvenirs, c’était un beau film grave et austère, poignant aussi –arret.jpg mais le sujet l’est tout autant – pas du tout un film à regarder distraitement, un film qui demande un certain état d’esprit, une certaine attention… Un peu comme le lumineux Thérèse d’Alain Cavalier, athée qui a perçu mieux que quiconque le mystère du cloître et de la sainteté… J’avais eu beau lire et relire les beaux dialogues écrits par Georges Bernanos en 1948, juste avant sa mort, sur la base de La dernière à l’échafaud, nouvelle écrite en 1931 par l’écrivain allemand Gertrud von Le Fort descendante d’immigrés français réformés mais convertie au catholicisme, je ne me souvenais plus que le film avait une telle intensité.

    Le DVD vient de paraître. D’abord, un coup de gueule sur l’infâme qualité du son, souvent chuintant, souvent presque inaudible. Entre deux crises de rage sur ce massacre, l’émerveillement devant  la beauté, l’austérité, la rigueur, l’intelligence du film. Philippe Agostini, son réalisateur, est davantage connu pour ses qualités du directeur de la photographie des plus grands : Ophuls, Carné, Autant-Lara, Grémillon et tant d’autres. Il est, là, touché par une sorte de grâce, son sujet, le texte qu’il porte le poussant vers les sommets. 

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    Film grave sur des sujets graves, disais-je en introduction : des tas de mystères, la vocation, la clôture, la Foi, le courage, la peur de la mort. Il n’y a pas un moment, dans le film, où on frôle la bassesse ou l’ordinaire, la trivialité des choses ; on est continuellement tiré vers des domaines rares. Comment peut-il se faire que des jeunes filles veuillent épouser le Christ ? Et c’est la première séquence : à Compiègne, au mois de mai 1789, Blanche de La Force (Pascale Audret) et Marie-Geneviève Meunier (Anne Doat), vêtues en mariées deviennent Blanche de l’Agonie du Christ et Constance de Saint Denis martyre, entrent, pour la totalité de leur vie derrière les grilles qui les retirent à jamais du monde et jurent obéissance et soumission complètes à la Prieure de leur Ordre (Madeleine Renaud). Vous ne comprenez pas ? Moi non plus. Et alors ?

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    Toujours est-il qu’au fur et à mesure que la Révolution spolie, humilie, disperse les religieuses, celles-ci cristallisent leur résistance à l’injure et à la haine. Les carmélites, guidées par leur aumônier (Georges Wilson) ne voient plus devant elles que la perspective du martyre.

    Le martyre, ce n’est évidemment pas une attraction masochiste et suicidaire pour le supplice : c’est un témoignage et une acceptation. Et, comme le rappelle l’Aumônier à Mère Marie de l’Incarnation (Jeanne Moreau, admirable) qui, in fine, miraculeusement préservée, ne cherche qu’à rejoindre ses sœurs, elle n’est pas là pour mourir, mais pour préserver le Carmel. La nouvelle Prieure, Mère Thérèse de Saint Augustin (Alida Valli, souveraine) lui en donne l’ordre par un seul regard. 

    Le Carmel demeure, les tueurs sont morts.   

     

    Cliquez sur l'image ci-dessous pour visionner le film.

     

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    Dialogue des Carmélites de Philippe Agostini et du R. P. Bruckberger (1960).

     

    Durée du film : 1h52

     

    Avec Jeanne Moreau (Mère Marie de l’Incarnation), Alida Valli (Mère Thérèse de Saint-Augustin), Madeleine Renaud (la Mère prieure) … George Wilson , Pierre Brasseur.

  • !!!!!!!!!!! ????????

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    Lors d’une récente cérémonie aux monuments aux morts de Béziers, on a pu voir le spectacle ahurissant de l’ancienne députée, Emmanuelle Ménard, monter les nombreuses marches du monument pour accompagner son mari déposer la gerbe du jour. Elle voulait par cet acte incongru,FB_IMG_1721670003980 copie.jpg certainement démontrer que rien ne s’était passé quelques jours auparavant… D’aucuns ont craint même de la voir remettre l’écharpe !

    Après un événement sortant de l’ordinaire, certaines personnes – le clan Ménard par exemple – ont parfois du mal à retomber sur terre et permettre à une réflexion empirique de se frayer un chemin jusqu’à la zone du cortex cérébral où elles devraient normalement se poser.

    Il est à craindre, comme l’avaient diagnostiqué certains spécialistes de la psychologie politique que, depuis le 7 juillet, le clan Ménard ne se mure dans un inquiétant déni de réalité. Processus toutefois très classique de défense inconsciente, à l’effet de se protéger et finalement se débarrasser des péripéties et mésaventures de la vie. En l’espèce la déception est d’autant plus sérieuse que le clan envisageait, en raison du rôle qu’il s’était désormais assigné de seigneur éternel du biterrois, régnant en maître absolu sur la vie politique locale, de s’attribuer des armoiries que l’on aurait blasonnées « Parti d’azur au semis d’autruches d’or », couleurs de l’Ukraine bien entendu. Autant de vanités remises aux calendes grecques, comme on s’en doute…

    Nous connaissons tous l’événement venu contrarier ce projet, événement somme toute prévisible, compte tenu de la baisse sensible et régulière de l’aura très artificielle, pour tout dire progressivement frelatée, de cette camarilla de passage. Peut-être certains, parmi les quelques badauds désœuvrés ayant assisté à la cérémonie de l’érection ridicule de la statue de Raimond Trencavel, ont pu y voir un substitut à la grandeur désormais ternie.

    Mais cette propension au rejet de la réalité, si, comme nous l’avons vu, est un signe préoccupant, est aussi une des caractéristiques essentielles de l’idéologie gauchisée. En permanence plongés dans des nuées plus ou moins fumeuses, ces songe-creux finissent par les croire possibles ou tout au moins à réaliser de gré ou de force, la thèse inverse étant alors interdite et considérée comme indécente. À la mairie de Béziers on connait bien la situation : toute contestation est hors-la-loi. L’origine très gauchiste de l’un, s’intitulant maintenant "divers droite" (on n’est plus à une étiquette près !), et de l’autre, issue d’une organisation internationale des plus sectaires, explique le phénomène. L’histoire démontre qu’avec ce type d’utopiste déconnecté, on est vite à la veille des plus sombres folies. Les révolutions sanglantes mondiales, à commencer par la nôtre, qui a d’ailleurs donné les théories et l’exemple, sont directement issues de ces mirages hallucinogènes. Et chez les Ménard il y a longtemps qu’on a fait sienne la formule : « si les événements sont contre nous, ce sont les événements qui auront tort ».

    Les curieuses foucades du type de celle que nous venons d’évoquer sont la parfaite illustration de ces phantasmes. C’est pourquoi ne nous étonnons pas des futures excentricités qui ne vont pas manquer de se renouveler.

    Henri Bec

  • L'image du jour

    Ça, c'était avant, quand l'ego démesuré du clan lui donnait l'impression de régner sur le biterrois.

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    Ça, c'est après, quand la réalité a brusquement surgi, et que le biterrois lui a fait savoir qu'il n'était plus persona grata.

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  • Biterrois, nous avons compris !

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    C’est un sentiment de honte, si ce n’est de colère qui s’est emparé d’une grande majorité de Français devant le spectacle indigne que nous donne la macronie et tout le monde politicien actuellement au pouvoir. Après avoir prétendu redonner la parole aux Français, voilà qu’ils tentent de la lui retirer, par des manœuvres dont l'indignité a rarement atteint ce niveau. Il est fort probable que dimanche, le résultat des urnes provoque une saine et plaisante réaction contre cette tambouille nauséabonde. 

    Loin du terrain, loin de la réalité quotidienne, ils s’imaginent encore disposer d’un crédit illimité pour continuer à nous tromper. Même devant l’évidence des urnes, ils persistent dans leur cécité. Le pays réel (notre blog n'a jamais aussi bien porté son nom) va leur montrer la mesure de son exaspération. 

    En réalité, ce n’est rien d’autre qu’une tentative désespérée des uns et des autres pour conserver les places qu’ils se sont partagées depuis des années. Tout le cirque des manifestations de ces dernières années, amplifié par les médias, les spectacles indignes de l’Assemblée nationale, n’étaient que pures comédies destinées à nous faire accroire à l’existence d’une opposition qui, nous le voyons aujourd’hui, n’était que façade. Des larrons en foire ! C’est ainsi que l’ex-présidente de l’Assemblée, qui a plusieurs fois sanctionné LFI pour ses débordements, soutient désormais un candidat de cette mouvance… Il n'est en outre pas exclu que Macron craigne l'exhumation des placards de dossiers embarrassants. Tout cela est pitoyable ! Quelle image donne à l'étranger notre belle France autrefois "mère des arts, des armes et des lois".

    Mais tous ces escrocs, ayant un profond mépris pour ceux qui ne sont pas eux, ont oublié que lorsque la colère déborde, le peuple peut avoir des réactions inattendues. Aujourd’hui il l’a montré dans les urnes. Faisons en sorte que l’exaspération n’aille pas au-delà. On sait alors quand ça commence, jamais quand ça finit.

    Les faiseurs de révolution , les Macron, Mélanchon et autres Bertrand, sont au pouvoir. Dimanche, nous avons l’occasion de les déloger. Ne nous en privons pas.

    Emmanuelle Ménard est de ceux-là. Elle nous l’a démontré pendant son mandat avec une insolence et un cynisme indécents, en soutenant E. Macron, dans toutes les phases de la mandature, pour tenter de se raccrocher encore plus à cette clique peu recommandable, et décrocher, on ne sait jamais, le strapontin de la fourberie, n’hésitant pas à trahir ceux qui l’avaient soutenu et fait élire. À titre d’exemple, elle n’a voté AUCUNE motion de censure.

    Montrons-lui qu’elle a été démasquée. Sur notre circonscription nous avons finalement le choix entre un candidat LFI, une candidate macronisée et Julien GABARRON. Les Biterrois ont montré qu'ils avaient compris. Dimanche, enfonçons le clou.

    VOTONS JULIEN GABARRON !

    Henri Bec

  • L'hésitation ou l'abstention ne sont plus de mise !

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    Ce sera notre dernière contribution avant l’échéance de dimanche, 30 juin. Une échéance dont l’importance est inversement proportionnelle à l’état de la France.

    Depuis plusieurs dizaines d’années, des gouvernements irresponsables, avec une accélération brutale donnée par E. Macron, ont fait glisser le pays vers une catastrophe dont nous avons du mal à imaginer les conséquences. En 1972, le Président Pompidou annonçait que la France n’avait plus de dette. Elle est aujourd’hui de trois mille milliards d’euros ! Les enchaînements ne peuvent qu’être sévères ; la réalité est impitoyable.

    Inutile de développer en outre le danger imminent de l’immigration, le niveau désastreux de l’éducation, la liquidation volontaire de nos trésors industriels, les folies de la politique extérieure avec le risque assumé d’une guerre contre la Russie (!), la remorque aux intérêts allemands et américains dans tous les domaines, tout cela au service exclusif d’une ambition personnelle démesurée, accompagnée, comme le reconnaissent maintenant plusieurs spécialistes, d’un dérèglement psychiatrique évident.

    Au risque de se perdre douloureusement, on ne peut poursuivre cette descente plus longtemps. Ce ne sont plus les médiocres « jeux » politiciens qui doivent nous occuper, comme on se rend à un spectacle de cirque, oubliés dès le rideau tombé. Au-delà des préférences superficielles ou de raidissements d’amour propre, force est de constater que se présente aujourd’hui l’étonnante hypothèse d’une modification majeure des orientations mortifères actuelles. Nous n’avons pas le droit, pour nous et nos successeurs de la laisser passer !

    Gabarron-2 copie.jpgIl en est ainsi à Béziers. Certains peuvent encore rester sur le mythe Ménard qui n’était, nous le réalisons tous désormais, qu’une tromperie comme une autre, fondée sur l’état de l’opinion et donc susceptible de permettre une élection. Depuis tout a changé, les yeux se sont ouverts et nous avons vu. Emmanuelle Ménard n’est plus qu’une classique candidate macroniemnne sans relief. Ses positions à l’Assemblée ne trompent pas, comme le refus de voter une seule des motions de censure, même déposée par le RN qui l’avait faite élire… Tout est à l’avenant. Il faudrait des pages pour lister les votes favorables au gouvernement, au mépris des engagements pris, une succession de renoncements pitoyables, pour ne pas dire de piètres trahisons.

    La déambulation permanente et inutile dans les rues de Béziers, un sourire peu naturel toujours figé, cachent la seule motivation non avouée, parce que non avouable, de conservation d’une place confortable, sans être gênée par un appareil, et de tenter de décrocher un strapontin à Paris. Autrement dit, voter pour une députée sans appui, sans projet, uniquement accompagnée et pénétrée d’un ego démesuré, n’aurait, dans la situation dramatique actuelle strictement aucune utilité, si ce n’est de continuer à servir de ridicule supplétif à un pouvoir désavoué et de risquer l’échec de la politique qui s’impose.

    À Béziers, comme ailleurs, c’est donc un enjeu national qui se présente. Ne risquons pas de subir la gênante question de nos enfants ou petits enfants lorsque les drames arriveront : qu’avez-vous fait pour éviter ça ? Il nous faut envoyer à l’Assemblée un député RN. N’omettons pas de voter pour Julien Gabarron, au risque de nous en mordre les doigts, toujours trop tard. 

    Henri Bec

  • La politique du citron pressé

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    En rachetant à la holding « Passion Ovalie » la majorité des actions de l’ASBH, la municipalité de Béziers est devenue l’unique propriétaire du club, une première dans le rugby professionnel. La Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) « Béziers Sports » fut créée pour permettre l’opération. En 2021 le maire de Béziers affirmait que ce ne serait qu’une transition. Justifiée par des motifs de gestion, cette OPA n’était en réalité qu’une nouvelle opération de communication.

    Jean-Michel Vidal est alors devenu président du club.

    Puis sont venues les élections législatives de 2022 où Emmanuelle Ménard a pris Jérémie Vidal, également conseiller municipal, fils de Jean-Michel, en qualité de suppléant, après Jacques Nain, remercié sans explication. Jérémie Vidal n’a, également, en rien démérité.

    C’était sans compter sur la politique du citron pressé, tradition ménardienne par excellence. Elle consiste à extraire les avantages, les qualités ou les relations de ceux qui peuvent avoir une quelconque utilité, puis à s’en séparer du jour au lendemain, lorsque cet intérêt disparaît. On presse le bon jus, puis on jette la peau !

    Sans aucune explication, la transparence n’étant pas le fort de l’ex député, Jérémie Vidal, qui aurait dû poursuivre normalement son rôle de suppléant, est remplacé par N. Zénon, épouse de Luc Zénon, adjoint au maire. Un entre soi évocateur de l’isolement qui s’est créé.

    Rien de mieux pour intensifier les mauvaises relations entre l’ASBH et le clan Ménard :

    - On se souvient que lors de la demi-finale qui s’est jouée à Vannes la municipalité n’a pu ou voulu affréter de bus pour transporter les supporters. C’est Hérault Transport qui, en catastrophe, s’en est chargé. Bon nombre de supporters ne sont pas près de l’oublier !

    - Aujourd’hui le président Jean-Michel Vidal claque la porte sans raison majeure, conséquence directe, bien sûr, de la mise à l’écart de son fils par Emmanuelle Ménard. La démission a été annoncée le lendemain du choix d'un nouveau suppléant. Jean-Michel Vidal qui s’était en effet consacré avec toute l’abnégation qu’on lui connait à la marche du club, n’a pas apprécié ce coup de poignard dans le dos.

    En même temps, comme dirait celui qui fait leur admiration, on ne se prive pas de donner des leçons à tout le monde !

    Henri Bec

  • En effet, la France ne veut pas mourir

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    Vous lirez avec un plaisir non dissimulé le texte de l'intervention du journaliste Pascal Praud dès l'ouverture de son émission du 10 juin dernier, lendemain des élections européennes.

    *****

    " Hier soir, à 20 heures, la France a dit NON !…

    NON à Emmanuel Macron, bien sûr. NON à l’Europe fédérale qu’elle ne veut pas. NON à madame von der Leyen. NON à Jean-Luc Mélenchon. NON à la « bordélisation » du pays. NON à l’immigration incontrôlée, sinon massive. NON à l’insécurité de ses villes et de ses villages. NON au Conseil constitutionnel ou au Conseil d’État, ces nouveaux censeurs de l’expression populaire. NON à l’islamisation. NON au wokisme. NON évidemment à cet espace médiatique qui, de France Inter jusqu’à l’émission « Quotidien », explique que le Rassemblement National est une menace pour la démocratie et insulte ses électeurs en refusant parfois de recevoir ses dirigeants. La France a dit NON aux minorités actives qui saturent les antennes. Elle a dit NON à ce qu’est devenu Sciences Po. Elle a dit NON à l’écologie politique qui s’effondre, sans doute à cause des folies proposées lors de la dernière décennie. 

     Je ne sais pas si la France a dit OUI sans réserve au Rassemblement National. Ce que je sais, en revanche, c’est qu’elle a dit OUI à l’autorité, OUI à plus de sécurité, OUI à ce que l’inversion des valeurs cesse enfin dans ce pays. Quand un jeune homme de 15 ans conduit une voiture volée et refuse d’obtempérer, il prend son risque !… La France a dit OUI à la police qui fait le job et surtout, surtout, elle a dit OUI à son passé, OUI à son Histoire, OUI à sa culture, de Versailles à Notre-Dame, en passant par l’Élysée. 

    Les Français en ont assez d’expier des fautes qu’ils n’ont pas commises. Assez d’entendre, matin, midi et soir, ce qu’ils sont ou ce qu’ils ont été. Beaucoup de Français ont dit qu’ils ne reconnaissent plus le pays dans lequel ils avaient grandi. Au fond, la France a dit hier soir qu’elle ne voulait pas mourir… et c’est plutôt rassurant ! 

    Pascal PRAUD  en ouverture

    de "L’Heure des pros"  sur la chaîne CNews.

  • C'est le chemin vers une véritable Union nationale

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    La situation de notre pays, au bord de la faillite, dépossédé de son capital industriel, d’un niveau scolaire catastrophique, dernier élève dans bien des domaines, moqué du monde entier, impose désormais un redressement urgent.

    Une immense majorité de Français a pris conscience de l’impérieuse nécessité d’avoir enfin des structures étatiques responsables et efficaces, disposant des moyens nécessaires pour mettre en œuvre la politique que les Français attendent. Partout en France, nos concitoyens ont réalisé le besoin d’oublier de prétendues et mesquines différences, dont se sont toujours servi les ennemis de la France, pour permettre la réalisation de l’Union nationale tant espérée.

    C’est ce qui a été fait à Béziers. Toute la structure de Reconquête, par son responsable Franck Manogil s’est ralliée au Rassemblement national dès le résultat des élections européennes connu. Son candidat aux précédentes élections législatives, Henri Fabre-Luce, qui avait réalisé le meilleur score de l’Occitanie s’est, avec un beau sens du devoir, désisté en faveur de Julien Gabarron. Les LR, par la voix d’un de ses anciens responsables, Henri Gas, avec le sens politique qu'on lui connait, a, dans un très clair communiqué pris la hauteur nécessaire, à l’instar du jeune Carayon, président national des jeunes LR, et a demandé à ses amis de se rallier à la candidature de Julien Gabarron (voir ses déclarations ICI) Et d’ailleurs, aucun candidat LR n’est présent à Béziers. La décision de Ciotti fait tache d’huile.  

    Nous comprenons tous qu’une majorité relative à l’Assemblée ne permettrait aucune mesure salvatrice. Elle créerait un désordre tel que les conséquences sont difficiles à imaginer à ce jour. On entrerait alors dans une confusion totale, rendant le pays ingouvernable.

    Outre l’exaspération que suscitent les fantaisies incohérentes et finalement malsaines du clan Ménard, qui ont, en leur temps amusé certains, la reconduction de l’ex-député ne serait d’aucune utilité. Et que dirions-nous, quelle serait notre responsabilité si la majorité absolue serait manquée d’un député, celui de Béziers ?

    Alors désormais, finis les déclarations croquignolesques, les retournements intempestifs, les entrechats embrouillés, les pirouettes ridicules, les reniements divers et variés. Nous n’avons plus les moyens de nous disperser dans des solutions sans avenir.

    Nous devons porter à l’Assemblée Julien GABARRON. C’est ce qu’on appelle couramment et et ici à Béziers, comme ailleurs, « le vote utile ».

    Henri Bec

  • On croir rêver !

    Nos dirigeant sont de véritables ennemis de l'intérieur.

    Il est plus qu'urgent d'assainir l'économie . Nous avions la situation telle qu'exposée par le président Pompidou.

    Nous devons la retrouver

    Cliquez ICI

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  • ÉMMANUELLE MÉNARD OU L'IMPOSTURE

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    LISEZ JUSQU'À LA FIN - C'EST ÉDIFIANT !!!

     

    On sait que le clan Ménard ne cesse d’intervenir dans la presse. La com., la com., il n'y a que ça de vrai …

    La liberté d’expression est leur thème favori. Il leur permet de faire valoir ce que l'un et l'autre considèrent comme une sublime ouverture d’esprit avec la phrase maintes fois entendue : « je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai… » que le clan attribue à Voltaire alors que celui-ci ne l’a jamais prononcée (mais l’inculture ménardienne est un sujet bien connu des Biterrois).

    SAUF QUE 

    Nous connaissons tous l’affaire Assange. Journaliste renommé, il a, au travers de sa plateforme WikiLeaks fondée en 2006, publié de nombreux documents critiques : des preuves de corruption et d’abus des droits de l’homme au Kenya, les rapports incriminants des banques islandaises et de leur rôle dans le krach bancaire de 2008, les manuels de scientologie, la liste de comptes off-shore de la banque suisse Julius Bär, etc. Mais ce n’est qu’au moment de la publication des documents fournis par Chelsea Manning que l’organisation acquiert sa notoriété en s’attaquant à un ennemi de taille : les États-Unis. Assange dénonce en effet, en 2010, les dessous de la guerre en Irak au travers de 400 000 documents révélant les tortures, crimes de guerre et massacres (109 032 morts dont 60% de civils) alors que les États-Unis vendaient aux médias des « frappes chirurgicales » et affirmaient ne pas disposer de bilan chiffré. Bien d'autres scandales seront alors dévoilés.

    Depuis, Julien Assange est poursuivi par la vindicte américaine. Il serait trop long de détailler les détails des procédures (voir article suivant). Résumons : il est détenu en Angleterre dont la Haute cour a ouvert les voies de son extradition vers les USA où il risque la prison à vie. Au pays de la "Liberté" et de la "Démocratie", on ne badine pas avec la liberté d'expression trop librement utilisée. La décision définitive est très proche. D'innombrables soutiens à travers le monde se mobilisent en sa faveur.

    Alors, les champions de la liberté d’expression, l’ex président de Reporters sans frontières et la député, ancienne responsable de la très gauchiste Fédération internationale des droits de l’homme, où sont-ils passés ? Ont-ils émis une quelconque protestation ? Rien. Depuis plus de 10 ans Assange est soumis à l'isolement et ILS N'ONT PAS EU UN MOT de compassion et de soutien.

    MAIS CE N’EST PAS TOUT…

    Le 4 février 2022 à l’Assemblée nationale, une proposition de résolution est déposée, invitant le gouvernement français à accorder l’asile politique à Julian Assange et à faciliter l’accès au statut de réfugié pour les lanceurs d’alerte étrangers (article 34-1 de la Constitution).

    EMMANUELLE MÉNARD

    N'A PAS VOTÉ CETTE RÉSOLUTION !

    Pas mal pour quelqu'un se recommandant de la défense des journalistes…

    Nous avons avec cette prise de position l'illustration désormais définitive :

    - de l'allégeance du clan Ménard aux intérêts américains dont ils ne sont que les serviles marionnettes. Ceci avait déjà été démontré dans un livre « Le dossier Ménard » (Lancelot Éditeur – 2004) qu’ils se sont bien gardés de diffuser dans Béziers !

    - de l’imposture que représente les prises de position d'Emmanuelle Ménard à Béziers comparées à ses actes à l'Assemblée dont la discrétion (qui en attend parler à Béziers ?) établi la manœuvre engagée. Véritable tromperie à usage purement personnel, démontrant, s'il en était encore besoin, sa parfaite soumission au clan macronien dans l'espoir de décrocher un strapontin. 

    Mais cette affaire Assange est extrêmement grave : elle est la preuve manifeste de la docilité envers des intérêts étrangers. Comment pourrait-on continuer à admettre dans les rangs du Parlement français une député aussi étrangère aux intérêts français? La confiance des Biterrois ne peut que lui être désormais refusée.

    ______________________________

    Emmanuelle Ménard s'est bien sûr ralliée à la position du gouvernement, opposé à cette proposition pour ne pas fâcher ses amis américains auxquels il est totalement inféodé.

    Lisez ICI la belle déclaration de Jean Lassale qui s'est honoré par cette intervention. Elle montre l'importance qu'a ce dossier et l'honneur de la France qui est en jeu. Honte à ceux qui s'y sont opposés !

    _____________________________________________________

    Pris sur le site de l'Assemblée :

    Analyse du scrutin n° 4381
    Troisième séance du 04/02/2022

    Scrutin public sur la proposition de résolution invitant le Gouvernement à accorder l'asile politique à Julian Assange et à faciliter l'accès au statut de réfugié pour les lanceurs d'alerte étrangers (article 34-1 de la Constitution).

    ________________________

    Résultat du vote : Suffrages exprimés 48 - 17 pour, 31 contre.

  • Historique de l'affaire Assange

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    Cet article est paru sur le site Boulevard Voltaire le 22 juillet 2022, dont Emmanuelle Ménard a été rédactrice en cher pendant plusieurs années. Il est vrai que depuis la nouvelle rédaction a précisé qu'elle n'avait plus rien avoir avec elle. 

    _________________________________

    Aux États-Unis, la liberté de la presse est garantie par le premier amendement. Certes. Mais certaines libertés sont moins libres que d’autres.

    175 ans de prison: c’est ce que risque Julian Assange s’il est extradé vers les États-Unis. En mars 2020, j’appelais déjà l’attention des lecteurs sur la situation de ce dissident, car il s’agit bien là d’un dissident en tout point comparable à ceux que le communisme liquidait.

    Julian Assange, qui n’est pas américain mais australien, a fondé en 2006 WikiLeaks. La subversion de WikiLeaks, c’est d’abord son cryptage. Inviolable, il protège les sources qui l’abondent en documents classifiés énonçant au grand jour les actions tordues. En juillet 2010, WikiLeaks diffuse plus de 750.000 documents confidentiels démontrant la corruption, la tromperie et les crimes de guerre généralisés des autorités américaines et britanniques ainsi que de leurs alliés israéliens ou saoudiens au Moyen-Orient. Assange dénonce également ce système techno-algorithmique généralisé, de surveillance et de manipulations, qui organise un espionnage domestique massif et ambitionne la généralisation au monde entier de la morale et des valeurs nord-américaines.

    Les États-Unis vont vouloir la peau de Julian Assange. L’accusation n’est rien de plus que celle de piratage informatique. Insuffisant. Pour trouver un motif d’extradition, ils tentent d’abord une inculpation pour agression sexuelle avec la complicité de la Suède. Mais ça ne marche pas.

    Les États-Unis ont alors l’audace, le 23 mai 2019, d’inculper Assange, journaliste australien d’investigation, pour… espionnage ! Ils ressortent du placard un outil : l'« Espionage Act » de 1917. À l’origine, il criminalisait l’opposition à la décision de Wilson d’impliquer les États-Unis dans la Première Guerre mondiale.

    Assange sollicite l’asile politique en Suisse, mais les États-Unis menacent la Suisse de représailles si la demande était acceptée et obtiennent son interdiction bancaire. Comme pour les amendes exorbitantes imposées de manière discrétionnaire aux entreprises étrangères qui ne se plient pas à leurs exigences (on se souvient des 90 millions de dollars infligés en 2018 à la BNP), les États-Unis jouent de leur force pour considérer légitime l’extraterritorialité de leurs lois qui rendent possible l’inculpation d’un citoyen non américain agissant en dehors du territoire américain.

    Assange se réfugie, le 19 juin 2012, à l’ambassade de l’Équateur à Londres où il obtient l’asile politique. Il y restera littéralement assiégé pendant sept ans. Mais en avril 2019, le nouveau président équatorien, Lenin Moreno, sous la pression américaine, met fin à son asile politique. Immédiatement coffré par les Britanniques, Assange est incarcéré à la prison de haute sécurité de Belmarsh, normalement dévolue aux criminels les plus violents et dont les conditions sont dénoncées par Amnesty International. Ipso facto,les États-Unis demandent son extradition. Le 4 janvier 2021, au grand dam des États-Unis et du gouvernement anglais, la Justice britannique la refuse. Le motif tient à la santé mentale d’Assange fragilisée par le traitement infligé à Belmarsh. Mais il reste en prison.

    Les États-Unis font immédiatement appel de la décision et redemandent l’extradition. Le 10 décembre 2021, revirement : la Justice britannique accepte l’extradition, mais certains magistrats toussent tout de même un peu et, le 24 janvier 2022, la Haute Cour de Londres autorise Julian Assange à contester cette décision. Vain espoir : le 14 mars 2022, la Cour suprême du Royaume-Uni saisie entre-temps suspend cette possibilité. Le 17 juin 2022, le ministre de l’Intérieur britannique Priti Patel approuve la demande d’extradition de Julian Assange. Nous en sommes là.

    Comme le souligne Glenn Greenwald, écrivain politique et avocat : « La persécution d’Assange met en évidence l’imposture totale des sermons américains et britanniques sur la liberté, la démocratie et la presse libre. »

    Philippe Joutier

    Boulevard Voltaire

  • Ils se foutent vraiment de nous !

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    Le clan Ménard est fébrile. La sanction de leurs multiples revirements et reniements, marque indélébile de leur préférence de carrière à celle du bien commun, se rapproche. Difficile, avec une telle accumulation de tromperies, de trouver un échappatoire. 

    448636709_1466109754278678_2134781777678473320_n copie.jpgAlors ils n'ont rien trouvé de mieux que de tenter un énième coup de com. En pleine campagne législative, ils essaient de  municipaliser les discussions en revenant sur un engagement pris de multiples fois. Emmanuelle Ménard était annoncée comme devant se présenter aux prochaines élections municipales. Un échec deux ans avant serait évidemment du plus mauvais effet. Alors, désormais, et pour l'instant, ce n'est donc plus elle. Mais ne nous leurrons pas : les saltimbanques changent facilement de rôle !

    C'est une pitoyable et médiocre manœuvre qui ne trompera personne. Elle a même un intérêt certain, celui de nous faire voir, une nouvelle fois, à quoi peut être réduite une candidate grandement menacée, incapable de se hisser à un minimum de décence.  SAUVE QUI PEUT !

  • Vers une belle Union nationale

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    Il n'a pas fallu longtemps pour que les vrais patriotes amoureux de la France se rejoignent. Dès l'annonce de la dissolution, Julien GABARRON, candidat RN sur la 6è circonscription et Franck MANOGIL, en bonne place sur la liste de Marion Maréchal aux élections européennes, ont décidé d'unir leurs forces. Conscients du gravissime enjeu que présente ce scrutin, ils n'ont pas hésité.

    Nous sommes loin des multiples trahisons auxquelles nous a habitué Emmanuelle Ménard à l'Assemblée et qui semble d'ailleurs actuellement ne plus trop savoir comment passer entre les gouttes des flots de critiques qui envahissent la presse sous toutes ses formes.