G-BDQD17ZWM0

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

le pays réel - Page 5

  • Livre - Notre sélection : les mirages de l'art contemporain

    Art contemporain.jpg

    Les Mirages de l’Art contemporain, le titre du livre de Christine Sourgins, paru dans sa première version en 2005, reste une référence pour tous les contempteurs de l’art contemporain.

     

    Sa réédition, enrichie d’un épilogue essentiel, « Brève histoire de l’Art financier », s’imposait car c’est l’un des ouvrages critiques les plus brillants que l’on puisse lire sur l’art conceptuel. L’auteur y expose avec érudition, subtilité et ironie ce phénomène politico-culturel qu’elle dénonce avec justesse comme une imposture totalitaire de type orwellien.

    L’usage du terme “art contemporain” est équivoque. Ce vocable ne représente pas tout l’art vivant, même s’il voudrait s’en arroger l’autorité. C’est pourquoi Christine Sourgins propose l’acronyme “AC” pour “art contemporain”, afin de ne pas confondre l’idéologie de l’esthétisme officiel dominant, fondée sur le relativisme absolu et la transgression permanente, avec d’autres pratiques de l’art d’aujourd’hui.

    L’AC se réclame de la rupture opérée au début du XXe siècle par Marcel Duchamp et le mouvement Dada. Son parti pris conceptualiste l’amène à s’interdire tout recours à la technique artistique classique et à rejeter toute forme de création par transformation positive de la matière. Ce courant restera minoritaire jusqu’au début des années 60 où il va peu à peu s’imposer. À partir des années 80, l’art contemporain est déjà triomphant sur la scène internationale.

    En France, avec l’AC, l’art est devenu une fonction régalienne de l’État. L’ouvrage de Christine Sourgins dévoile la mise en réseau bureaucratique de cet art institutionalisé. L’État culturel est un État policier de la pensée, avec ses commissaires et ses inspecteurs qui consacrent et imposent les artistes à l’opinion publique.

    Christine Sourgins s’attache à démystifier la fonction politico-religieuse de l’AC qui se prétend à la fois art citoyen et art sacré, essayant de s’insinuer dans l’espace vide créé par l’effondrement des idéologies et des religions. Elle relève avec perspicacité le parallélisme entre l’art contemporain et le mouvement du New-Age. Tout se passe comme si l’AC était l’expression d’un néo-spiritualisme dissolvant, d’une “seconde religiosité” parodique, pour reprendre l’expression d’Oswald Spengler. La perversité revendiquée de certaines productions de l’AC, leur propension à la scatologie et à la nécrophilie sont les signes obvies d’une spiritualité à rebours.

    Ceux qui avaient déjà lu la première édition de ce livre apprécieront pleinement l’ajout de l’important églogue sur la transmutation de l’AC en Art financier. Cette alchimie du Verbe inversé était prévisible et annoncée, au mitan du XXe siècle, par l’arraisonnement anglo-saxon du marché de l’art, même s’il nous a fallu attendre le début du XXIe siècle pour percevoir clairement la relation entre l’AC et le système financier. Pour le pragmatisme relativiste américain, le marché seul décide de la valeur, le problème de la valeur intrinsèque de l’œuvre ne se pose plus : l’AC est l’avènement de l’art du marché.

    La tonicité et la vigueur du style, souvent caustique, du livre de Christine Sourgins pourrait le faire passer pour un pamphlet démystificateur mais il est bien plus : un irremplaçable ouvrage d’histoire sur l’art contemporain, très structuré et didactique, reposant sur un remarquable appareil critique et documentaire. Une lecture indispensable et roborative.

    Christine Sourgins, Les Mirages de l’Art contemporain suivi de Brève histoire de l’Art financier, La Table Ronde, 2018, 320 p. ICI

  • Les cloches reviennent de Rome - Elles vont retrouver nos clochers-murs bien de chez nous

    Clocher-peigne, clocher arcade, clocher-jour, clocher-pignon ou bien encore campapenard, le clocher-mur — terme générique plus communément employé — ne manque pas de dénominations. On en dénombre plusieurs centaines à travers la France.

     

    Cliquez sur chaque image pour l'agrandir

    Clocher-1.JPG

    Rustique avec parfois des allures de forteresse, le clocher-mur est un élément majeur du paysage religieux français. Au début du siècle, l’historien et archéologue René Fage estimait à 1.600 le nombre de clochers-murs en France et au moins à 50 rien que dans le Cantal. Sa caractéristique ? Construit le plus souvent sur la façade d’une église, il se présente sous la forme d’un mur plat et vertical percé de plusieurs arcades accueillant des cloches.

    Clocher-2.JPG

    Bien loin des beaux clochers à plusieurs étages richement ornés, le clocher-mur est d’une grande simplicité. Difficilement datable, les premiers exemples remontent cependant à l’époque romane. Rencontré davantage dans les campagnes, le clocher-mur est généralement signe de pauvreté. Avec ses lignes simples et brutes dépourvues de décorations, sa construction ne nécessitait pas l’intervention d’un architecte. Pour réaliser les plans d’un clocher aussi rudimentaire, un simple maçon pouvait suffire. Robuste et résistant dans le temps, le clocher-mur a ainsi vite été adopté par les sanctuaires reculés.

    Clocher-3.JPG

    Clocher-4.JPG

    En pierres ou en briques, le clocher-mur s’adapte à chaque région ! Sa forme varie également offrant une diversité incroyable. Des styles variés qui ont naturellement engendré des dénominations multiples. Parmi elles, le fameux clocher-peigne ! Sa caractéristique ? En forme de rectangle, la largeur du clocher-peigne est généralement la même que celle de l’église et le haut est arasé à l’horizontal. Coiffé ou non d’un petit toit en bois pour le protéger, il est percé de plusieurs arcades sur un ou plusieurs étages. Sa forme si caractéristique, qui fait indéniablement penser à la forme des peignes à cheveux, lui a naturellement valu ce surnom original !

    Clocher-5.JPG

    Clocher-6.JPG

    Clocher-7.JPG

    Clocher-8.JPG

    Clocher-9.JPG

    Clocher-10.JPG

    Tiré du site Aleteia

    Tombeau ouvert.jpg

  • Écosse : nouveau premier ministre musulman…, c'est parti !

    Eglise mosquée.jpg

    Écosse. Une église

    transformée en mosquée

     

    En Écosse, l’église d’une petite ville  a finalement été rachetée par une organisation musulmane de Glasgow qui ambitionne désormais de transformer l’édifice en mosquée. Des églises transformées en mosquées, voilà peut-être le marqueur le plus symbolique de la menace de transformation civilisationnelle pesant actuellement sur l’Europe en raison des évolutions démographiques.

    Un marqueur qui peut dorénavant être observé dans les contrées les plus inédites, à l’instar de la petite ville écossaise d’Ardrossan, une commune d’environ 11 000 habitants située sur le littoral sud-ouest à une cinquantaine de kilomètres de Glasgow.

    Sur place, l’ancienne église Barony St John’s,  a été achetée par l’Al-Farooq Education and Community Centre (AFECC). Cette dernière, se présentant comme une organisation caritative basée à Glasgow, serait à la fois une mosquée, un centre communautaire et un lieu dédié à l’éducation religieuse selon le site Glasgow Helps.

    L’information concernant ce rachat de l’édifice religieux a été rapportée le 22 mars dernier par le Ardrossan & Saltcoats Herald, un journal hebdomadaire local qui relate cette nouvelle avec un ton particulièrement complaisant.

    Si l’église Barony St John’s avait été rachetée en 2015 par l’association caritative locale The Scottish Centre for Personal Safety en prévision de transformer le bâtiment en un lieu de musique et d’événements, elle a finalement abandonné le projet et remis l’église en vente faute de moyens financiers.

    Ardrossan.jpg

    Eglise Barony St John’s à Ardrossan, Écosse. Source : ardrossanherald.com

    Des réfugiés syriens en Écosse ?

    Entre-temps, l’édifice religieux avait été acheté au début de l’année 2021 par un entrepreneur local ayant effectué un « achat impulsif » dans l’optique de préserver le bâtiment. Toutefois, il confiait à la presse locale au mois d’avril de la même année son projet de finalement utiliser l’église pour y construire des bureaux ou une salle de spectacle. Avant de finalement remettre en vente les lieux en avril 2022.

    L’avenir de l’édifice religieux semble désormais tout tracé : le Ardrossan & Saltcoats Herald indique qu’en lieu et place de l’ancienne église paroissiale, un lieu de culte musulman sera inauguré.

    L’hebdomadaire local ajoute que cette future mosquée aurait pour ambition de devenir « un centre de référence, d’accueil et d’inspiration pour l’ensemble de la communauté, tout en éduquant et en encourageant les gens à "s’efforcer d’acquérir la douceur de la foi" par le biais de ses diverses activités et programmes, conformément au Coran et à la Sunnah. » À la lecture de telles lignes, sommes-nous encore en Écosse ?

    De son côté, l’organisation musulmane AFECC, confirmant vouloir « construire une mosquée et un centre communautaire à Ardrossan où les musulmans ne disposent actuellement d’aucune infrastructure », a lancé une collecte de fonds au mois de novembre 2022 pour soutenir ce projet avec pour objectif de réunir 100 000 livres sterling (soit environ 114 000 €) tandis que l’église nécessite des rénovations urgentes.

    Enfin, dans sa présentation de la collecte de fonds, le centre communautaire Al-Farooq précise qu’à Ardrossan, « la majorité de la population musulmane est composée de réfugiés syriens qui ont été déplacés en raison de la guerre civile »… Verra-t-on le nouveau Premier ministre écossais venir inaugurer les lieux ?

    ****

    Voila qui devrait faire réfléchir nos bourgeois inconscients qui jouent les stupides autruches, pensant pouvoir, sans réagir, protéger leur liberté et surtout leurs sous, alors que des périls identiques à ceux que va désormais connaître l'Écosse sont à la veille de se déverser sur la France. Nous les avons déjà vu à l'œuvre au cours de l'histoire : ce sont toujours les mêmes lâches !

  • "La Russie est totalement isolée sur la scène internationale" déclarait notre ambassadeur à l'ONU. Pauvre Russie !

    Notre brillant ministre des finances, qui entraîne le pays, avec l'aide d'E. Macron, lui-même aux ordres de la finance internationale, vers les trois mille milliards de dettes, prédisait il y a un an : "Nous allons provoquer l'effondrement de l'économie russe à travers les sanctions économiques occidentales". Manqué !

    La charge de la dette française, les intérêts à rembourser, était de 35 milliards d'euros en 2021. En 2022, elle dépasse les 50 milliards d'euros. Et l'institut libéral iFrap estime la charge de la dette à 100 milliards d'euros en 2027. Il y a longtemps que la plus petite ou la plus importante entreprise privée aurait déposé le bilan .

     

    Moscou.jpg

    Les 19 et 21 mars dernier la « Conférence parlementaire internationale Russie-Afrique dans un monde multipolaire », organisée par la Douma, se réunissai.t à Moscou. Dans le même temps l'Afrique nous mettait à la porte. Aujourd'hui c'est la Chine qui se moque de nous. Les sanctions sont décidément très efficaces.

    Comme dit Slobodan Despot, « on n’imagine pas la portée de cette photo ». La politique internationale est remodelée au préjudice des seuls occidentaux. Bravo à leur sens politique, notamment à celui de notre turlupin national !

    Mais qu'en pense l'américano-maniaquo-macronien clan Ménard qui considère la Russie comme notre "ennemie" ?

  • 18 octobre 1685 : quand Louis XIV s’attaque au « séparatisme » protestant

    Louis XIV.jpg

     

     

    X.jpgLe Roi-Soleil mourant, jeune encore – 76 ans ! –, non du Covid-19, dans quelque EHPAD « Vieillesse dorée » ou « Âge d’or » des Yvelines, mais gangrené jusqu’à l’os, dans son beau château de Versailles, aurait regretté ses élans bellicistes ; et, si l’on en croit Voltaire, dit à son arrière-petit-fils, futur Louis XV, avant de passer ad patres : « Cherchez à connaître le meilleur pour le suivre toujours. Soulagez vos peuples le plus tôt que vous pourrez, et faites ce que j’ai eu le malheur de ne pouvoir faire moi-même. »

    Mémorables paroles pour une éducation de roi. Regrettait-il, alors, d’avoir signé le célèbre « édit de Fontainebleau » qui, le 18 octobre 1685, mit fin à presque un siècle de coexistence pas très pacifique dans le royaume, entre catholiques et protestants ? À charge, le « roman national » républicain a retenu contre lui cette fameuse « révocation de l’édit de Nantes » !

    Olivier Christin, professeur à l’université de Neuchâtel, a fait ce parallèle pervers : « La révocation de 1685 met à bas un héritage précieux : celui de l’État neutre, de l’État arbitre sur lequel s’étaient construits les règnes d’Henri IV et Louis XIII et qui allait inspirer les républicains du XIXesiècle. »

    Objectons que la « neutralité » de Louis XIII s’est construite d’abord sur l’écrasement du complotisme protestant, allié aux puissances de l’étranger – en l’occurrence les Anglais –, au prix de trois campagnes (1621-1629) ; un recours légitime à la guerre pour corriger la politique du « en même temps » de son père Henri IV qui, en négociant un édit de Nantes bancal (1598), laissait près de soixante forteresses, dites « places de sûreté », aux séparatistes religieux de l’époque. Pour les protéger de la puissance catholique, pensait-il. Ils en firent, avec La Rochelle, des portes d’invasion, après avoir interdit en Béarn, jusqu’en 1617, toute pratique catholique, en bons propagateurs d’un nouveau sectarisme que nos livres d’histoire républicains nous ont longtemps présenté comme plus… « tolérant » !

    Revenons sur la politique coercitive de Louis XIV. Dans une première période, des années 1660 à 1685, le pouvoir royal s’appliqua à faire strictement respecter les clauses de l’édit henricien de 1598 : par exemple, en faisant détruire les lieux de culte construits sans autorisation. La méthode « bienveillante » ayant échoué, il fallut bien se résoudre à durcir le ton, et les mesures : exclusion des protestants de certaines activités publiques, interdiction des unions mixtes, conversions d’autorité des enfants, etc. Et, pour finir, l’édit de 1685 interdisant la pratique du culte de la « religion prétendue réformée » (RPR !) dans tout le royaume sauf en Alsace, province de rattachement récent. Comme l’a souligné Jacques Bainville, cette persécution s’accordait « avec le sentiment général » de « l’opinion publique » catholique majoritaire et répondait au besoin de retrouver une « unité morale » alors que le protestantisme était perçu comme « une possibilité de retour aux guerres civiles et aux révolutions ».

    Pour Olivier Christin, l’héritage de « l’État neutre » serait « de nouveau en débat ou en question aujourd’hui autour des aménagements de la laïcité, que certains veulent imposer face à l’islam : une laïcité de combat, tout sauf neutre ». Amalgame spécieux, mais parallèle intéressant du simple fait de poser, implicitement, la question d’une réalité du séparatisme islamiste longtemps nié par l’Université.

    Aujourd’hui, l’existence sur notre territoire de zélateurs intransigeants et mal contrôlés d’une religion conquérante, nouveaux maîtres des territoires perdus de la République, renforcés dans leurs convictions rétrogrades par une propagande victimaire soutenue par l’intelligentsia, appuyés, pour prospérer, par des États étrangers promoteurs de djihad, ruine le mythe bien-pensant du « vivre-ensemble » qu’on nous assène depuis quarante ans.

    La « laïcité de combat », impérieusement nécessaire, devra-t-elle passer par l’émergence d’un gouvernement de salut public, déterminé à crever les réduits de non-droit, pour briser le séparatisme invasif de ceux qui risquent de renforcer, à terme, les bataillons des camisards de l’islamisme ? Attention, danger !

    Pierre Arette

  • Ménard sacré "Judas de Béziers"

    Cliquez sur la photo de fin de page pour lancer la vidéo

     

    Par Mitrophane Crapoussin - Riposte laïque

    Voilà plus de deux ans que nous observons les gesticulations verbales du nouveau Ménard, régulièrement convié dans les médias pour débiter des banalités et surtout déverser sa hargne jalouse.

    Récemment invité sur le plateau de Christine Kelly pour parler de son dernier livre, Je n’ai pas dit mon dernier mot, Éric Zemmour est revenu sur le cas du petit édile biterrois, parfaite illustration du traître à retournements de veste multiples et variés.

    Ce soi-disant ami l’avait très longtemps exhorté à se présenter à la présidence… Puis avait passé la campagne à le démolir et à le fracasser.

    « C’est le Judas de Béziers qui a empêché de parler des vrais problèmes. Il m’a diabolisé pour délégitimer mes idées. »

    Consécutivement à ce Face à l’info, dans son émission, Pascal Praud est revenu sur le sujet. Chroniqueur régulier de ce talk show, Gilles-William Goldnadel, avocat et ami de Bob, a déclaré qu’il n’était pas un traître mais un « esprit critique très acéré », « personne ne trouve grâce à ses yeux ».

    Goldnadel devait penser s’adresser à des téléspectateurs amnésiques…

    Nul n’aura oublié que de juillet 2021 à maintenant, Ménard n’a cessé de tarir d’éloges quant à Macron, auparavant honni.

    De sa gestion du Covid jusqu’à la crise ukrainienne, selon lui, Foutriquet multiplie les sans-faute, atteignant parfois même la perfection. Ménard était devenu si carpette que d’aucuns pensaient qu’il briguait une récompense. Cependant, aucun strapontin ne lui fut offert… Mais tenace, il persévère. Et nous ne comptons plus ses reniements spectaculaires dont celui sur l’immigration et les migrants…

    Faute de maroquin, Bob vient tout de même d’obtenir un titre de gloire bien mérité, Zemmour l’a sacré Judas de Béziers !

    Je n'ai pas dit mon dernier mot.jpg

  • Lui aussi est à géométrie variable - Mais ce n'est pas la première fois qu'il dit la même chose

    Valls.jpg

    Manuel Valls : « La France ne peut plus accueillir d’immigrés »

    L’ancien Premier ministre a répondu à quelques questions du Point. Extraits.

    Mitterrand disait en matière d’immigration qu’un « seuil de tolérance » avait été franchi. Le pensez-vous également s’agissant de notre époque ?

    Soyons francs : notre échec à intégrer et à assimiler – ce qui ne signifie pas qu’il n’y ait pas de réussites – est évident. Cette réalité nous explose au visage depuis des années. Nous subissons un détournement du droit d’asile, une hausse de l’immigration familiale, une homogénéité des zones d’origine, une concentration géographique des populations immigrées pauvres qui ne peut conduire qu’à renforcer des ghettos gangrenés par la violence et le trafic. Il faut une autre politique de peuplement, avec pas plus de 40 % de logements sociaux dans les villes et pas plus de 30 % d’étrangers dans un quartier. Par ailleurs, nous n’avons pas besoin d’immigration économique…

    Même en considérant les emplois non pourvus et le vieillissement de la population ?

    Alors, il faudra des quotas très ponctuels dans des secteurs qui ont du mal à recruter, avec des règles simples. Il faut également une plus grande fermeté aux frontières de l’Europe pour dire vraiment stop à l’immigration illégale.

    Vous parleriez d’« immigration zéro » ?

    C’est un slogan. Il y aura toujours des flux migratoires que nous devons maîtriser et choisir. Mais nous devons privilégier l’assimilation et la reconstruction des quartiers populaires. Et l’Europe doit investir massivement en Afrique, dont la population aura doublé en 2050.

    Vous avez été ministre de l’Intérieur. Vous n’ignorez pas la complexité de la maîtrise des flux migratoires…

    Évidemment, et personne ne peut rester indifférent aux drames qui se produisent en Méditerranée. Mais il faut sortir du discours général sur « une politique ferme mais humaine ». La France ne peut plus accueillir d’immigrés. Et, si le cadre européen ne le permet pas, il faudra reprendre des éléments de notre souveraineté.

  • La journée des droits de la femme à Béziers ! Vive le hidjab pendant que les Iraniennes meurent pour ne pas le porter

    Les réseaux sociaux n'ont pas manqué de relayer cette photo et de se scandaliser. On le serait à moins. Malheureusement elle est une illustration de ce qu'est devenue la politique biterroise : un mélange très homogène de démagogie et de trahison.

    Merci pour celles qui subissent partout dans le monde, et maintenant en France, la dictature de la charia ! Honteux !

    Comment des Français qui, jusqu'hier critiquaient la politique immigrationiste mise en place et la subversion qui nous envahit, accompagnée d'une religion qui est là pour tuer notre civilisation, peuvent-ils poser avec des femmes représentant cette même religion, vêtues du voile, une de leurs armes de conquête ?

    Comment des pieds noirs, et il y en a plusieurs sur cette photo, victimes et oh! combien de la barbarie musulmane, peuvent-ils s'abaisser à ce point ?

    Le clan Ménard et tous ses affidés s'enfoncent toujours un peu plus dans le déshonneur. 

    Tout cela n'est vraiment pas bien beau !

    Henri Bec

    ********

    2-1.jpgLa France de demain c’est Roubaix, Marseille Nord, Trappes, Mantes-la-Jolie, la Paillade, Château d’eau, Villeneuve Saint-Georges, les Mureaux, Château Rouge, Grigny, Corbeil, Sarcelles, et… Béziers.

    Pas besoin de vivre encore plus longtemps pour la découvrir, on la croise à tous les coins des rues des villes, elle commence à montrer le bout de son nez dans les villages. Elle se fait de plus en plus visible.

    Nous ne serons pas là pour dire il fut un temps où l’on pouvait manger son sandwich jambon- beurre et boire sa cannette de bière dans ses parcs et jardins en toute sécurité et pouvoir manger un morceau pendant le Ramadan dans la journée, car désormais les restos et les bistrots ont porte close comme n’importe quelle ville musulmane dans les pays d’Allah.

    On entendra les appels à la prière 5 fois par jour diffusés par des haut-4.jpgparleurs aux décibels de la puissance d’un avion en décollage. Comme si la France n’avait jamais existé en tant que France, peut-être qu’elle prendra le nom de Francestan. Ses églises et ses cathédrales subiront le même sort que Sainte-Sophie.

    La justice sera rendue au nom de leur satané Allah, ses codes juridiques et sa constitution disparaîtront au profit des lois naturelles prétendument d’essence divine, c’est-à-dire la Charia de malheur.

    Voltaire, La Boétie, Molière, Montesquieu, Rousseau, Diderot, Corneille, etc.. passeront dans les oubliettes et leurs livres seront brûlés comme les livres de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie au VIIe siècle. De son héritage grandiose et mémorable, il ne restera plus grand-chose. On enseignera dans ses écoles une autre histoire que la sienne, celle de ses nouveaux colons. Sa mort culturelle semble inéluctable ainsi qu’en tant qu’entité humaine

    6-1.jpgLa faute à ses dirigeants politiques laxistes, irresponsables, sourds et aveugles, eux qui n’ont jamais voulu entendre les mises en garde de tous les patriotes sincères, voire de Georges Marchais et prendre conscience de la gravité du danger en laissant entrer dans la bergerie le loup qui la convoite depuis Charles Martel.

    Ils ont creusé leur propre tombe en faisant venir des femmes et des hommes avec lesquels ils savaient pourtant, pour les avoir colonisés, que la cohabitation est impossible et que leur mode de vie est antinomique au notre, nonobstant leur dessein cosmogonique de coloniser la terre tout entière et la soumettre à la dure loi de leur religion.

    Salem Benammar

     

    le voile islamique, symbole de la trahison5-1.jpg de la gauche féministe

    Comme le signale l’excellent site Fdesouche, à l’occasion du 8 mars, Journée internationale du droit des femmes, de nombreuses structures françaises, municipalités, préfectures, osent mettre en avant le voile islamique pour célébrer cette date.

    Pourtant, en 1989, à l’occasion de la première offensive du voile dans nos écoles, à Creil, même Arlette Laguillier décrivait le voile islamique comme le symbole de l’oppression des femmes.

    Depuis, de l’eau a passé sous les ponts. Encore plus grave, des militants de gauche, souvent Insoumis, réclament des conseillères municipales voilées, des députés voilées et se battent pour abolir la loi du 15 mars 2004 interdisant le voile à l’école.

    Pendant ce temps-là, en Iran, des femmes meurent pour retrouver leur liberté.

    Ces deux articles sont tirés de

    Riposte laïque 

  • Oui, il faut y revenir. La gauche s'est déchaînée : il doit y avoir du bon !

    Vaincre ou mourrir-Affiche.JPG

    Écoutez la belle chanson de Jean-Pax Méfret en cliquant ICI

     

    La gauche s’est déchaînée contre ce film en en critiquant méthodiquement tous ses aspects : mal pensé, mal joué, mal filmé, mal financé, mensonger, Vaincre ou mourir est-il vraiment un condensé d’infamie ou le révélateur du fanatisme rance des républicains nostalgiques de la Terreur ? 

     

    Par François La Choüe

    Politique magazine

    Vaincre ou Mourir, le premier film produit par le Puy du Fou, donne manifestement des sueurs froides à Libération, le journal de Sartre ayant eu la bonne idée de lui consacrer sa Une fin janvier. Faut-il y voir une énième illustration du fameux effet Streisand ? L’hallali sonné par la bonne presse a visiblement stimulé les spectateurs qui, en nombre, ont passé le pas des salles obscures pour contempler cet OVNI cinématographique. Car, après trois semaines à peine de diffusion dans un nombre réduit de cinémas de France et de Navarre, le film dépasse déjà les 200 000 entrées. Bien sûr, les esprits chafouins objecteront qu’il s’agit là d’un public de niche, taillé sur mesure pour le film, ce dernier trouvant d’abord son public en Vendée, au Cyrano de Versailles ou dans le XVe arrondissement. Soit. Toujours est-il que les très démocratiques notes laissées par le quidam sur le site Allociné sont majoritairement excellentes. Enfin, par contraste avec les quolibets de Libération, notre salle de cinéma, pleine à craquer, a applaudi à tout rompre. Alors, puisque des profs d’histoire au collège de Stalingrad-sur-Oise sont capables de donner leur avis éclairé sur le film, nous nous hasardons, cinéphile du dimanche, à livrer le nôtre.

    Navet cinématographique ?

    Pas vraiment. Certes, on peut juger que le début du film est un peu rapide :Femme-Vendée-2.jpg une mise en abime eut été la bienvenue : pourquoi pas en évoquant les aventures de Charette en Amérique ? Les premières batailles sont techniquement réussies grâce aux prouesses des cascadeurs professionnels du Puy du Fou, mais l’ensemble des scènes de guerre s’avère globalement décevant : les plans sont trop rapprochés, les mêlées indistinctes et trop ressemblantes d’un choc à l’autre. Pour autant, l’histoire prend corps progressivement, avec ses ombres et ses lumières, et le spectateur plonge peu à peu dans l’épopée des gars du Bocage. Ombres et lumières : il y a là comme une signature esthétique du film, où chaque scène est un tableau. De ce point de vue, l’œuvre offre de petites merveilles photographiques. Et, par certains côtés, il y a du Caravage dans les nombreuses scènes en clair-obscur où, par-delà les paysages et les scènes d’actions, les doutes et angoisses de Charette s’expriment à la lueur tremblante d’une bougie. Partant, le film, bien plus complexe que ne l’ont vu les journalistes de Libé, offre une dimension psychologique fort intéressante.

    Vaincre ou Mourir a été tourné presque intégralement au Puy du Fou. Cet enracinement est une qualité (talents d’escrime, profusion de chevaux, figurants en costumes, lieux de tournage coïncidant peu ou prou avec ceux de l’Histoire avec un grand H). Mais c’est aussi un défaut : au bout d’un moment, le spectateur attentif finit par remarquer que les scènes sont tournées peu ou prou au même endroit : les mêmes plaines pour de nombreux chocs (y compris l’échec de Nantes), les mêmes rues dans un village bas-poitevin ou place Viarme. Les scènes nantaises auraient pu être tournées dans de petites villes de l’Anjou ou du Poitou, devant de belles façades de pierre blanche faisant écho à la grande cité ligérienne. De même, lorsque Charette et Pfeiffer discutent, aux alentours de la signature du traité de La Jaunaye, on distingue clairement que la scène est tournée… au Fort de l’An Mil, au Puy du Fou. Les aficionados des Herbiers ne s’y tromperont guère ! Heureusement, il y a de belles bouffées d’oxygène avec les scènes littorales, lors du débarquement manqué du comte d’Artois. On respire, on prend enfin du champ : une nécessité, pour un film consacré à un ancien officier de marine.

    Un mauvais Braveheart du Bocage ?

    Après quelques dizaines de minutes, le film prend une belle consistance. Les personnages ont une vraie épaisseur. Libé nous peint un film univoque exaltant Charette, un film sans nuances quant au héros. Il n’en est rien. LRDLV JOUR 10-105.jpgL’exaltation de Charette passe au contraire par la description de ses faiblesses comme de ses forces, de ses doutes et de son panache, de son ivrognerie comme de sa gentilhommerie. Le personnage de Pfeiffer est peu développé mais celui de Couëtus (Gilles Cohen) a du relief, et l’acteur incarnant Prudent de La Robrie (Rod Paradot) est très convaincant, avec beaucoup de chien. En outre, à l’heure du féminisme spectaculaire, on s’étonne que nul journaliste n’ait vu la belle place faite aux femmes, à travers les Amazones de Charette (Céleste Bulkeley, Adélaïde de la Rochefoucauld). Quant au général Travot, émule de Hoche, vainqueur de la traque, son portrait est éloquent : officier républicain doué d’honneur et de courtoisie, meneur d’hommes intelligent, il semble un adversaire à la hauteur de Charette. Il prend progressivement sa place dans la seconde moitié du film, jusqu’à la fameuse scène de la capture (« Que d’héroïsme perdu ! ») et au paroxysme que constitue l’exécution du général rebelle.

    Là encore, les sycophantes de Libé nous peignaient une œuvre univoque et caricaturale. Oui, il y a un parti pris assumé (quel film n’en a pas ?) en faveur de Charette, mais le parti pris n’est pas l’univocité, et le film a clairement ses nuances.

    La scène de la harangue avant la bataille de Torfou est sans doute piquée à Braveheart, mais le Charette incarné par l’excellent Hugo Becker est peut-être plus complexe à l’écran que le Wallace joué par Mel Gibson (par ailleurs excellent et, au passage, bien moins fidèle à la réalité historique que notre petit film vendéen). En bref, les moyens du film ne sont pas hollywoodiens et les batailles n’ont pas été signées Ridley Scott, mais le résultat est plus qu’honorable. Il y a même parfois un côté Besson, avec les hallucinations fantomatiques de Charette filmées sur fond noir (une sorte de « quatrième dimension », mystérieuse et ésotérique). Vraiment, on est loin du documentaire planplan tendance martyrologe pour bigots miteux.

    Un film bâtard, entre docu-fiction et série B ?

    On échappe au docu-fiction, un genre d’autant plus périlleux que, s’agissant de la Vendée, une excellente œuvre de télévision avait été produite en 1993 pour France 3 par Jacques Dupont. Inutile, donc, de produire une redite, transposée du petit au grand écran. En revanche, le passage du projet initial (docu-fiction) au film abouti (et c’est le cas) se ressent par moments, et pas uniquement par le manque relatif de moyens. Certaines scènes ou dialogues sont clairement empruntés à d’autres films.

    La scène du tirage au sort des conscrits et de l’exemption du fils du maire ? Presque mot pour mot, c’est celle du film Chouans de Philippe de Broca (1988). Idem pour la scène de la plage, quand Charette prophétise l’évanouissement de son armée devant un émissaire des princes : scène complètement copiée sur le docufilm de Jacques Dupont. Et, le film étant produit par le Puy du Fou, on n’échappe pas aux dialogues tirés du Roman de Charette. Ainsi, lorsque le général vendéen refuse d’ôter son ostensible panache blanc, arguant qu’ « un officier de Marine n’abdique pas l’honneur d’être une cible ». Belle répartie, que Villiers attribue à Charette dans son livre, sauf que la phrase est d’Edmond Rostand, que le dramaturge met dans la bouche de Cyrano de Bergerac. On peut regretter que l’esprit de famille aille jusqu’à ces approximations ; mais cela reste un divertissement.

    Enfin, plutôt que de faire débuter le film par des témoignages d’historiens (au passage, il y a parmi eux Anne Rolland-Boulestreau, disciple de Jean-Clément Martin : pour un tract d’extrême-droite, on fait pire), on aurait pu imaginer une scène où Napoléon raconte à Las Cases combien Charette, selon lui, laisse « percer du génie ». Comme dans Le Dernier Panache (nom du spectacle du Puy-du-Fou), et cela aurait probablement bien fonctionné au cinéma.

    Un tissu de mensonges historiques ?

    LRDLV JOUR 8-45.jpgQuant au fond, on cherche en vain le « Puy du Fourbe » (titre racoleur utilisé par Libé) et les mensonges historiques évoqués par les critiques de gauche. Que les dialogues soient inventés, c’est tout à fait normal pour un film (et comment donc font les romanciers ?). Mais le fond de l’affaire, lui, est exact. On n’ose imaginer ce qu’entendent les plumes de la grosse presse lorsqu’elles disent de l’œuvre qu’elle est mensongère. Est-ce à dire que les motivations du soulèvement sont fausses ? Que les faits d’armes n’ont pas existé ? Que les massacres sont pure légende ? Le film n’évoque d’ailleurs jamais la « thèse » du génocide puisque, précisément, c’est un film, une narration, une belle histoire pleine de rebondissements, et non un documentaire. L’ouverture du film donne la parole à Secher, mais son adversaire, l’éminent sorbonnard et robespierriste Jean-Clément Martin, est aussi l’un des conseillers du film. D’après le réalisateur Vincent Mottez, si Martin n’apparaît pas à l’écran, c’est parce que ce dernier comptait apparaître dans le projet initial de docufiction, pas dans un film de cinéma : nul désaccord de fond, donc. À nouveau, l’accusation de « tract révisionniste » est spécieuse : si l’on osait, on se demanderait même si ces critiques n’avaient pas été écrites avant visionnage…

    Il est évident que le film est un hommage au combat des Vendéens : du début à la fin, tout l’indique, jusqu’à l’omniprésente voix off de Charette. Mais il est faux et malhonnête d’y voir une tentative de « réécrire l’histoire », c’est-à-dire de la réécrire faussement.

    Navet ? Non. Mensonges ? Non plus.

    Ce que prouve la diarrhée verbale de Libé, c’est que ces gens ne supportent pas que l’on touche, un tant soit peu, à la Révolution française. Qu’on l’égratigne à la loyale, cela les fait vomir. Qu’on tire des guerres de Vendée un beau spectacle, ils ne le supportent pas. La Révolution est leur totem, Bolloré est leur père Fouettard. Les pauvres ! Ils ont peur d’un panache blanc sur écran noir. Les fanatiques, ce sont eux.  

    Le film a dépassé les 300 000 entrées en cinq semaines. Slava Ukraini, le film de BHL qui a bénéficié d’une promotion insensée, a fait 300 entrées en une semaine.

    Si vous ne l'avez déjà fait, allez voir ce film !

    ****************

    LES TRIBULATIONS DE BERNARD HENRI LEVY

    Deux fims.jpg