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Islam

  • Écosse : nouveau premier ministre musulman…, c'est parti !

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    Écosse. Une église

    transformée en mosquée

     

    En Écosse, l’église d’une petite ville  a finalement été rachetée par une organisation musulmane de Glasgow qui ambitionne désormais de transformer l’édifice en mosquée. Des églises transformées en mosquées, voilà peut-être le marqueur le plus symbolique de la menace de transformation civilisationnelle pesant actuellement sur l’Europe en raison des évolutions démographiques.

    Un marqueur qui peut dorénavant être observé dans les contrées les plus inédites, à l’instar de la petite ville écossaise d’Ardrossan, une commune d’environ 11 000 habitants située sur le littoral sud-ouest à une cinquantaine de kilomètres de Glasgow.

    Sur place, l’ancienne église Barony St John’s,  a été achetée par l’Al-Farooq Education and Community Centre (AFECC). Cette dernière, se présentant comme une organisation caritative basée à Glasgow, serait à la fois une mosquée, un centre communautaire et un lieu dédié à l’éducation religieuse selon le site Glasgow Helps.

    L’information concernant ce rachat de l’édifice religieux a été rapportée le 22 mars dernier par le Ardrossan & Saltcoats Herald, un journal hebdomadaire local qui relate cette nouvelle avec un ton particulièrement complaisant.

    Si l’église Barony St John’s avait été rachetée en 2015 par l’association caritative locale The Scottish Centre for Personal Safety en prévision de transformer le bâtiment en un lieu de musique et d’événements, elle a finalement abandonné le projet et remis l’église en vente faute de moyens financiers.

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    Eglise Barony St John’s à Ardrossan, Écosse. Source : ardrossanherald.com

    Des réfugiés syriens en Écosse ?

    Entre-temps, l’édifice religieux avait été acheté au début de l’année 2021 par un entrepreneur local ayant effectué un « achat impulsif » dans l’optique de préserver le bâtiment. Toutefois, il confiait à la presse locale au mois d’avril de la même année son projet de finalement utiliser l’église pour y construire des bureaux ou une salle de spectacle. Avant de finalement remettre en vente les lieux en avril 2022.

    L’avenir de l’édifice religieux semble désormais tout tracé : le Ardrossan & Saltcoats Herald indique qu’en lieu et place de l’ancienne église paroissiale, un lieu de culte musulman sera inauguré.

    L’hebdomadaire local ajoute que cette future mosquée aurait pour ambition de devenir « un centre de référence, d’accueil et d’inspiration pour l’ensemble de la communauté, tout en éduquant et en encourageant les gens à "s’efforcer d’acquérir la douceur de la foi" par le biais de ses diverses activités et programmes, conformément au Coran et à la Sunnah. » À la lecture de telles lignes, sommes-nous encore en Écosse ?

    De son côté, l’organisation musulmane AFECC, confirmant vouloir « construire une mosquée et un centre communautaire à Ardrossan où les musulmans ne disposent actuellement d’aucune infrastructure », a lancé une collecte de fonds au mois de novembre 2022 pour soutenir ce projet avec pour objectif de réunir 100 000 livres sterling (soit environ 114 000 €) tandis que l’église nécessite des rénovations urgentes.

    Enfin, dans sa présentation de la collecte de fonds, le centre communautaire Al-Farooq précise qu’à Ardrossan, « la majorité de la population musulmane est composée de réfugiés syriens qui ont été déplacés en raison de la guerre civile »… Verra-t-on le nouveau Premier ministre écossais venir inaugurer les lieux ?

    ****

    Voila qui devrait faire réfléchir nos bourgeois inconscients qui jouent les stupides autruches, pensant pouvoir, sans réagir, protéger leur liberté et surtout leurs sous, alors que des périls identiques à ceux que va désormais connaître l'Écosse sont à la veille de se déverser sur la France. Nous les avons déjà vu à l'œuvre au cours de l'histoire : ce sont toujours les mêmes lâches !

  • Sofiane Hambli, un « bon Français bien de chez nous », et parrain de la drogue, condamné à 20 ans de prison au Maroc

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    Un tribunal marocain a condamné un parrain français à 20 ans de prison pour une série d’accusations liées aux stupéfiants.

     

    Sofiane Hambli, 46 ans, est considéré comme l’un des plus gros importateurs de cannabis en France. Il a un casier judiciaire long comme le bras, et a l’habitude d’échapper à la détention. Il s’était soustrait à la justice française en mars dernier alors qu’il était jugé pour une affaire de cannabis, et a été arrêté en octobre dans un hôpital marocain où il était soigné pour une blessure au visage.

    Vendredi, un fonctionnaire du tribunal a confirmé les informations du site d’information Hespress selon lesquelles un tribunal de Rabat avait condamné Hambli, qui est algérienne d’origine, à 20 ans de prison sans possibilité de libération conditionnelle. On s’attends à ce que les organisations de défense des droits de l’homme, en France, hurlent à l’injustice.

    Les chefs d’inculpation incluent « trafic international de drogue », « blanchiment d’argent » et « détention forcée » au Maroc, a déclaré le fonctionnaire à l’AFP.

    Hespress a précisé qu’il était incarcéré dans une prison près de Rabat « sous haute sécurité ».

    Hambli est toujours recherché en France pour d’autres accusations comme l’importation de tonnes de cannabis, mais les autorités marocaines ont refusé de l’extrader, selon les médias marocains : sans doute ont-ils compris qu’en France, la justice est clémente avec certaines minorités.

    L’année dernière, Hambli avait fait l’objet d’une notice rouge Interpol à la demande des autorités françaises, après qu’il ne se soit pas présenté à une audience concernant des accusations d’avoir organisé l’importation de quatre tonnes de cannabis. Le journal Parisien rapportait à l’époque qu’il avait tiré 2,5 millions d’euros de cette transaction, accusations démenties par son avocat Hugues Vigier.

    Hambli est également connu pour avoir été un informateur de la police anti-narcotique française et a été impliqué dans l’importation de sept tonnes de cannabis lors d’une opération en 2015. Une vraie chance pour la France, en somme.

    Dreuz info

     

  • C'est à Téhéran ? Non, à Londres !

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    Sans trop de commentaires.

    Pendant ce temps, nos députés, devenus les clowns d'un cirque grotesque qui ridiculise une fois de plus notre pays aux yeux du monde entier, ne trouvent rien de mieux que de s'étriper stupidement sur le pouvoir d'achat, et pour finir, se rallier à Emmanuel Macron… ! Vous le connaissez, c'est celui qui ne prend aucune disposition contre l'immigration massive, et n'a toujours pas l'intention d'en prendre…

    Il va bien falloir, rapidement, changer de système si nous voulons garantir  notre survie !

     

    Cliquer sur l'image et agrandir



  • La destruction du patrimoine archéologique et religieux s'inscrit dans la campagne de propagande menée par les groupes islamistes.

    En 2001, les talibans - qui ont repris Kaboul dimanche 15 août 2021 - dynamitaient les gigantesques Bouddhas de Bamiyan en Afghanistan. Un procédé qui n'a rien de nouveau. "De tout temps lorsqu’on a fait la guerre, on s’en est pris à la culture de l’autre, pour effacer son identité et substituer un ordre culturel à un autre ordre culturel", explique à Public Sénat Bariza Khiari, vice-présidente de l’Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit (ALIPH). 

    Suite à la multiplication des attaques délibérées contre plusieurs sites mondiaux du patrimoine, le Conseil de sécurité a voté à l'unanimité en mars 2017 une résolution appelant à protéger le patrimoine archéologique et religieux.

     

    Retour en images sur certaines destructions et profanations marquantes de sites archéologiques et religieux.

     

    Les joyaux du patrimoines

    détruits par des groupes islamistes

     

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    Les Bouddhas de Bamiyan détruits en 2001 par les talibans en Afghanistan.

    Photo 1/7© Didier Vanden Berghe / Wikimedia Commons

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    Les mausolées de Tombouctou détruits

    par des jihadistes liés à Al-Qaïda en 2012.

    Photo 2/7© Getty Images

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     Le temple de Bêl dans la cité antique de Palmyre

    tombé entre les mains des djihadistes de l'EI en 2015.

    Photo 3/7© Getty Images

     

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    Les vestiges de Nimroud en Irak un site saccagé par l'EI en 2015.

    Photo 4/7© Getty Images

     

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    Le temple de Baalshamin dans la cité antique de Palmyre,

    tombé entre les mains des djihadistes de l'EI en 2015.

    Photo 5/7© Getty Images

     

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    Le site romain d'Apamée en Syrie pillée à de nombreuses reprises par l'EI.

    Photo 6/7© Getty Images

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    La cité fortifiée d'Hatra en Irak

    Les vidéos du saccage d'Hatra ont été diffusées par l'EI sur YouTube. Il s'agit du premier site d'Irak à être inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco.

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    Vue sur Palmyre, en Syrie, avant la destruction du site par Daesh 

    © Gettyimages

  • Boycott évident

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    L’appel de Valeurs Actuelles

    La mafia d’extrême-gauche nommée Sleeping Giants a encore frappé !
    C’est la marque Decathlon (qui vend des hijabs de running et des burkinis), qui a décidé de retirer ses publicités de la chaîne CNews après avoir été interpellée par les Sleeping Giants. 
    Autrement dit, les téléspectateurs de CNews semblent ne plus intérresser Decathlon. Ceux-ci s’en souviendront puisque quelques heures après cette décision, les réseaux sociaux s’enflammaient, propulsant le #BoycottDecathlon en tête des tendances.
    Cette méthode utilisée par certaines entreprises peu scrupuleuses n’est autre qu’une tentative de restreindre le champ du débat et de faire taire ceux qui « pensent mal » en leur coupant les vivres : CNews, Eric Zemmour, Valeurs actuelles…
    Soutenez les médias qui vous ressemblent et qui portent une autre voix dans le débat public.

  • Sondage IFOP : 57 % des jeunes musulmans préfèrent la charia aux lois de la République

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    Gauthier Nicolas-2.pngÀ propos des rapports de plus en plus conflictuels entre certains Français musulmans et le reste de la communauté nationale, Michel Houellebecq, affirmait, dans Valeurs actuelles, en novembre 2017 : « Au fond, l’intégration des musulmans ne pourrait fonctionner que si le catholicisme redevenait religion d’État. Occuper la deuxième place, en tant que minorité respectée, dans un État catholique, les musulmans l’accepteraient bien plus facilement que la situation actuelle. Ils n’arrivent pas à se faire à l’État laïc, porteur d’une liberté de religion qu’ils ne comprennent pas. » On a déjà lu plus saugrenu.

    Dans un registre moins calotin, le Comité Laïcité République vient de commander un sondage à l’IFOP sur le même sujet. Pour Jean-Pierre Sakoun, président du CLR, les résultats n’ont rien de réjouissant, 57 % des jeunes musulmans estimant que la charia est plus importante que la loi de la République, soit 10 % de plus qu’en 2016. Plus rassurant, 88 % des sondés se « déclarent attachés à la loi de 1905 qui garantit le libre exercice des cultes et impose le principe selon lequel l’État ne reconnaît ni ne subventionne aucun culte ».

    Bref, si tout le monde est pour la laïcité en tant que contenant, personne ne tombe véritablement d’accord sur son contenu. D’ailleurs, soyons honnêtes, ce reproche pourrait également être fait aux catholiques, ce qu’Alain de Benoist rappelait récemment en ces colonnes : « Pour les chrétiens, qui placent la “loi naturelle” au-dessus de la loi civile, l’avortement ne saurait être légitime au seul motif qu’il est devenu légal. »

    On objectera encore que le terme de « charia » est souvent synonyme de lapidation et de mains coupées… Or, il s’agit d’un tout : des règles sociales, cultuelles et relationnelles selon la loi de Dieu.  Elles sont susceptibles de varier d’une société à l’autre, d’une époque à l’autre, d’un contexte historico-politique à l’autre ; la charia, loin d’être gravée dans le marbre, est donc évolutive par essence.

    Cette confusion transparaît d’ailleurs dans les commentaires que Jean-Pierre Sakoun, interrogé par Le Point, tire de ces 88 % de Français attachés à cette même laïcité : « Cela signifie qu’un siècle et demi après le travail entamé en 1880, les catholiques, qui n’étaient franchement pas favorables à la laïcité, ont compris la nécessité de la laïcité comme fondement de la paix sociale. »

    Voilà qui appelle au moins deux remarques.

    La première, c’est que la loi de 1905 était une loi, non point de « paix sociale », mais de guerre contre le catholicisme et que, si elle a fini par entrer dans les mœurs, ce fut plus par coercition que franche adhésion.

    La seconde, c’est que les catholiques alors concernés par cette loi étaient des Français de souche ancestrale et qui, par nombre d’aspects, partageaient la même culture que leurs adversaires laïcs. Ce qui n’est évidemment pas le cas des musulmans, Français de jeune branche et souvent pétris d’une culture extra-européenne.

    Il est vrai que de par sa nature même – il a été fondé en 1991, à l’initiative du Grand Orient de France –, le CLR est susceptible de ne pas être totalement objectif en matière religieuse. Ce qui l’empêche peut-être de faire le lien entre désaffection des jeunes musulmans vis-à-vis des lois de la République et promulgation concomitante des lois de cette même République. Mariage homosexuel, par exemple, ou encore prolongement du délai légal de l’avortement à quatorze semaines – en attendant de le faire passer à neuf mois ? –, toutes avancées sociétales qui ne sont sûrement pas pour rien dans l’aggravation de ce désamour.

    Les grands prêtres de la laïcité auraient sûrement beaucoup à gagner à lire Michel Houellebecq.

    Nicolas Gauthier

  • Sale temps pour les Traoré

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    Assa Traoré le 13 juin 2020 a Paris. (c) Eric Dessons/JDD/SIPA/2006141600

     

    Entre révélations embarrassantes et révolte populaire 2.0 (#onveutdesnoms), on dirait que le vent tourne pour la famille qui voulait mettre la France à genoux.

     

    On ne salit pas les morts. À cette règle, je trouve néanmoins nécessaire d’ajouter qu’on ne doit pas les instrumentaliser. Depuis des années, la famille Traoré réécrit l’histoire, faisant passer l’État pour une machine totalitaire, et peignant le défunt Adama comme le gendre idéal, alors que Le Point nous livre d’étonnantes informations sur les viols dont il est soupçonné.

    En parallèle, la France qu’on voudrait humilier – celle qui s’oppose aux injonctions d’une sempiternelle repentance –, silencieuse, périphérique, coupable car blanche, a contre-attaqué. Sur Twitter, elle a depuis plusieurs jours réussi à noyer la propagande du clan Traoré et autres associations racialistes en diffusant les hashtags #laracailletue, #stopauxtraore ou encore #onveutdesnoms. Lassés de voir la réalité travestie, des milliers de citoyens ont finalement pris à leur propre jeu les obsédés de la race.

    L’affaire Traoré, feuilleton sans fin

    Chaque matin viennent à nos oreilles de nouvelles révélations sur l’affaire Traoré et sa nébuleuse. Nous avons sur Causeur mis en lumière le passé professionnel confondant de la sœur Assa. Autour d’elle s’agite une troupe nombreuse, fruit d’une polygamie, qui, je le rappelle est interdite par la loi française, mais que la justice de notre pays a condamnée pour bien d’autres motifs.

    Adepte des causes épiques, je doute que même notre nouveau garde des Sceaux aurait accepté de représenter un tel dossier. Celui d’une mort malheureuse, mais pour laquelle quatre expertises ont confirmé l’innocence des gendarmes. Celui d’une prétendue victime au casier judiciaire généreux, qui le jour de son décès a tenté d’échapper deux fois aux forces de l’ordre, et dont on apprend cette semaine que le co-détenu qui l’accusait de viol a été indemnisé (à hauteur de 15 000€).

    La « fachosphère » n’exige pas le rétablissement de la peine de mort, mais de la vérité

    C’est dans un contexte de défiance vis-à-vis de la police – et même de toute une population blanche – instauré par le Comité Vérité et Justice pour Adama, que des voix dissonantes se sont élevées. Les faits à l’origine de ce sursaut sont barbares, ils symbolisent l’hyperviolence devenue quotidienne et ont ôté la vie à des innocents : il s’agit du meurtre du chauffeur de bus Philippe Monguillot à Bayonne, de la gendarme Mélanie Lemée fauchée lors d’un contrôle routier, et de la jeune aide-soignante Axelle Dorier dont le corps a été trainée sur 800 mètres le weekend dernier à Lyon. Ces trois victimes ont été gratuitement mises à mort. Devant l’horreur, les internautes ont exigé des noms ; puis les ont rapidement obtenus. Et là, patatras : tous les noms des participants semblaient être à consonance étrangère. Ces crimes, s’ils avaient été commis envers des Noirs ou des maghrébins, auraient évidemment réveillé la meute racialiste, étonnamment inerte face à ces récents assassinats. Dans la logique des Traoré et consorts – qui trient les citoyens selon la couleur de leur peau –, ce constat aurait dû à nouveau mettre le feu aux rues. Tout cela produit l’inverse de l’effet escompté : à vouloir tout traiter par le prisme de la race, ce sont finalement les minorités qui sont exposées au ressentiment.

    Cette bataille autour des noms est également la conséquence d’une exaspération face à la manière dont les grands médias rapportent ce type de dossiers. Des internautes ont exhumé une vidéo surréaliste de l’émission 28 Minutes sur Arte, où les intervenants nous expliquent sans vergogne qu’il est de coutume, pour évoquer les bourreaux, de remplacer les prénoms susceptibles de réveiller le populisme par des prénoms de Français que les indigénistes considèrent comme « privilégiés ».

    C’est la rue qui tue. Pas la police

    En opposition au fantasme de racisme systémique hurlé par celle qui se rêve en Rosa « Traoré » Parks – version toc –, appuyons-nous sur du factuel. En ces temps de cathédrales qui brûlent, il est nécessaire je crois de « remettre l’église au milieu du village ». Il parait que la police tyrannise les minorités ? Bruno Pomart, maire et instructeur du Raid, nous livre une toute autre réalité : chaque année, ce sont 600 policiers qui sont blessés par arme ! À croire que quand on tient à son intégrité physique, il vaut mieux être un voyou de banlieue que porter l’uniforme

    Dans son rapport de 2019, l’IGPN enregistre 19 décès, précisant que plus d’un tiers résultent « du comportement direct du particulier ou de son état physique », et que la mort n’est pas forcément occasionnée par l’intervention des policiers, mais peut être provoquée par une cause exogène. Il est également nécessaire d’indiquer que parmi ces « martyrs » sont comptabilisées des personnes qui se sont suicidées, qui ont perdu la vie en prenant la fuite, ou encore qui venaient de perpétrer un attentat (!). Ces chiffres viennent balayer la théorie selon laquelle notre police pratiquerait l’épuration ethnique, comme l’atteste Camélia Jordana. Mais là où la starlette qui s’improvise procureur pourrait parler avec justesse de « massacre », c’est en évoquant les homicides recensés en France : 970 rien que pour l’année 2019 ! Le « pire bilan qu’on ait vu depuis des années », d’après Alain Bauer. La faute à la police, Madame Jordana ?

    Quant à Madame Traoré, la lutte qu’elle mène doit être éreintante. Enfanter le faux du vrai exige d’immenses ressources, et elle parait très fatiguée dans ses récentes interviews. Ne serait-ce pas le moment idoine pour prendre un nouveau congé ?

    Jean-Pascal Caravano

    Causeur

  • Ramadan 2020, ou l’an I de la charia en France

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    Cela fait des années que nous voyons venir la chose, des années que nous l’annonçons, mettons en garde les populations. Et voilà que les prophéties des oiseaux de malheur et des vilains racistes et islamophobes que nous sommes deviennent réalité. La France est en passe de devenir, sous nos yeux, un califat islamique, le ramadan de cette année si particulière le révèle au grand jour. La preuve ? À Marseille, le préfet vient de concéder officiellement aux musulmans des assouplissements aux règles du confinement pendant le ramadan. Dans le Calvados, des policiers ont révélé une note confidentielle de la préfecture leur intimant de n’intervenir dans les quartiers islamisés qu’en cas d’atteintes graves aux personnes ou aux biens. Et les mêmes policiers de supputer que le Calvados pourrait ne pas être le seul département concerné par ce type de directive. Qu’est-ce que tout cela signifie concrètement ? Si demain des personnes attrapent le Coronavirus à Marseille, la cause pourrait en être les dérogations accordées à l’islam. Merci, Monsieur le préfet, merci Messieurs Macron et Castaner.

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    Dans le Calvados, les braves gens qui supportent déjà le confinement, les amendes pour oubli d’attestation, ou pour des paniers de courses pas assez remplis, devront également endurer les tapages nocturnes des fidèles, l’agitation au bas de leur immeuble, les actes de vandalisme jugés mineurs sur leur véhicule ou leur logement, ou toutes autres nuisances. Si vous êtes dans ce cas, inutile d’appeler le 17, ni le 22 à Asnières, personne ne viendra : on vous dira de mettre des boules Quies, et de prendre votre mal en patience, c’est monsieur le préfet qui l’ordonne. Les forces de l’ordre sont mobilisées pour cerner la mémé qui promène son chien, ou encore les plagistes ou les randonneurs de haute montagne poursuivis par des hélicos : aux grands maux les grands remèdes… Ou mieux encore, les quinze fidèles qui assistaient à une messe en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnay, qui ont suscité l’ire du gouvernement et des médias. Mais pas les musulmans qui fêtent ramadan dans le bruit et ne respectent pas le voisinage.

    Après l’affaire Mila, cette jeune lesbienne menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir blasphémé, puis ensuite vertement tancée par mesdames Belloubet et Royal en personne, abandonnée à son sort par la gauche et les associations LGBT, le ramadan 2020 marque donc l’an I de la soumission officielle de la République à l’islam.

    L’islam a acquis un statut spécial dans notre république soi-disant laïque, neutre, mais qui en réalité se couche devant plus fort qu’elle : les lois de la République, qui exigent de respecter le confinement, la tranquillité du voisinage, l’intégrité des biens et des personnes, doivent s’incliner devant la tradition du ramadan. C’est la première fois que c’est exprimé officiellement par des représentants de l’État. Et avec effusion en plus : Castaner a exprimé ses vœux sincères de bon ramadan à tous nos compatriotes musulmans, après avoir ignoré superbement les fêtes de Pâques. La soumission dans la joie et la bonne humeur, en quelques sorte…

    Olivier Piacentini

    Riposte laïque

  • Attentat de la préfecture de police : souvenons-nous des promesses de l’État islamique

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    Le profil de l’assassin de la préfecture de police de Paris s'est précisé malgré les tentatives classiques de le faire passer pour un déséquilibré : islam radical, accointances avec une organisation terroriste, opération préméditée. L’assassinat est désormais un attentat. Le terroriste une taupe ?

    Souvenons-nous des promesses de l’État islamique. C’était encore l’époque où on l’appelait par son nom : État islamique en Irak et au Levant. Ce n’était pas encore le Califat, et on n’utilisait pas encore l’acronyme arabe de Daech pour rendre moins évident à l’oreille française son caractère religieux et prophétique. À cette époque, l’État islamique inondait Twitter, Facebook et YouTube de ses clips de propagande, de ses visuels imitant les jeux vidéo, de ses citations coraniques et des numéros de sa revue, Dabiq, qui a, depuis, changé de titre et de format.

    Alors qu’il consolidait ses conquêtes en Irak et en Syrie, l’État islamique avait un slogan principal : « Dawlat-al-Islam baqiya ! » ou, plus simplement, « Baqiya ! » (« L’État islamique restera ! »). Il avait un slogan secondaire abondamment relayé sur les réseaux sociaux : « We are coming, o Rome! » Il promettait l’accomplissement de la prophétie sunnite selon laquelle les cavaliers aux étendards noirs prendraient le Levant et soumettraient la capitale de la chrétienté, établissant la domination de l’islam sur le monde.

    Mais pour conquérir Rome, il faut d’abord passer sur le corps de la France, protectrice de la papauté depuis le règne de Pépin le Bref et considérée comme telle par l’État islamique. Le numéro 15 de Dabiq, publié à la suite des attentats de Paris en 2015, illustrait son dossier « Pourquoi nous vous haïssons » par une photographie de la messe traditionnelle ad orientem.

    Attentats des marchés de Noël, attentat de Charlie Hebdo, attentats de Paris, attentat de Nice, attentat des Champs-Élysées… L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait. L’État islamique avait appelé ses fidèles à tuer les Français partout, tout le temps, au couteau, par le poison, sous les roues des voitures… et les égorgements, renommés « coups de couteau à la gorge », partout ont fleuri.

    À cette époque, l’État islamique avait aussi promis de déstabiliser l’Europe en la submergeant sous une vague de millions de réfugiés, parmi lesquels ses fidèles se cacheraient comme des loups au milieu du troupeau. L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait.

    L’État islamique a été fondé par d’anciens cadres des renseignements irakiens qui ont mis leurs compétences au service de cette organisation. Pour faire tomber la Syrie, ils avaient placé ou retourné des hommes dans chaque ville et chaque village. Au moment opportun, ceux-ci avaient su indiquer sur qui s’appuyer, qui arrêter, qui exécuter.

    Le terroriste de la préfecture de police de Paris avait accès, par son accréditation secret défense, à des données sensibles du renseignement antiterroriste. On ne sait pas encore s’il a prêté allégeance à l’État islamique, s’il a été retourné pour devenir une source de renseignement… Étant donné le profil des fondateurs de cette organisation, c’est possible et il pourrait ne pas être le seul.

    Souvenons-nous que l’État islamique tient ses promesses. Sous-estimer un ennemi peut faire du bien au moral, mais cela ne fait pas gagner la guerre.

  • Dhimmitude : l’ambassadeur de France en Tunisie célèbre la naissance de Mahomet

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    L’inébranlable Charles Martel, qui avait ardemment affronté en Europe les hommes du califat musulman de la dynastie des Omeyyades doit se retourner dans sa tombe.

    L’ambassadeur de la République française en Tunisie, Olivier Poivre d’Arvor, a prit part à la fête islamique de la naissance de Mahomet.

    La fête dite d’Al Mawlid est une fête largement répandue dans les pays musulmans et fait l’objet d’un jour férié en Tunisie. Elle a été célébrée dans la ville de Kairouan, en présence de l’ambassadeur de France.

    «Je suis fasciné par cet événement religieux », assure-t-il dans une interview accordée au journal tunisien arabophone Assabah dans son édition du 5 novembre 2019.

    Le diplomate a rappelé que l’Islam est la deuxième religion en France et qu’il y a environ 500.000 Tunisiens résidant dans l’hexagone.

    «Ma fille est musulmane et je connais bien la religion musulmane, la culture islamique et le bases de l’Islam, et nous apprenons encore plus, chaque jour de la Tunisie.», a-t-il fièrement ajouté.

    Radicalisation religieuse

    Ce que l’ambassadeur n’a pas osé dire est que la Tunisie connaît, en ce moment, une vague de radicalisation religieuse, notamment auprès des jeunes qui ont voté massivement pour un candidat conservateur aux élections présidentielles, et cette radicalisation est évidemment accompagnée par les attentats qui vont avec.

    Un touriste français a été tué, le 14 octobre dernier, lors d’une attaque au couteau à 60 km au nord de la capitale Tunis.

    Cet attentat (qui rappelle les attaques palestiniennes quotidiennes contre des juifs israéliens) s’est produit au lendemain du second tour de la présidentielle Tunisienne, à l’issue duquel Kaïs Saied, un candidat pro-islamiste, a été crédité d’une large avance sur son adversaire progressiste et laïque Nabil Karoui.

    Des célébrations nocturnes ont eu lieu dans plusieurs villes du pays par les sympathisants des forces islamiques.

    L’ambassadeur de France dans une mosquée symbole de la conquête arabo-islamique

    La mosquée de Kairouan, qui a accueilli les célébrations islamiques en présence de l’ambassadeur de France, symbolise à elle seule la conquête sanguinaire arabo-islamique qui balaya la région en moins de 20 ans entre 632 et 652 apr. J.-C..

    Cette ville fut le principale tête de pont de l’empire islamique dans la région. C’est depuis elle que le chef de guerre arabe Okba a fait la traversée victorieuse du Maghreb, et aurait atteint la côte atlantique en renversant Byzantins et Berbères coalisés.

    Au nom du djihad, des populations chrétiennes entières vivant au Proche-Orient et en Afrique du Nord passèrent subitement sous domination arabe en tant que harbiyûn, ou habitants du dar al-harb.

    Ces chrétientés issues des empires non-musulmans vaincus et bientôt passés sous contrôle arabo-islamique, furent par conséquent soumises au nouveau pouvoir islamique qui leur accorda un statut spécial dit de protégés (ahl al-dhimma), qui les oblige à se soumettre aux lois des musulmans et d’accepter un statut d’infériorité inhérent à la condition de peuple vaincu.

    Persécution des chrétiens en Tunisie

    Aujourd’hui, les minorités chrétiennes des pays arabes et musulmans subissent encore les effets de la dhimmitude. Malgré la fin du dernier califat islamique ottoman en 1924, la dhimmitude demeure présente dans les pays islamiques où les minorités en général, et chrétiennes en particulier, sont les plus menacées et persécutées au monde (1).

    L’ONG protestante «Portes ouvertes» place la Tunisie à la 30e place de son indice mondial de la persécution des chrétiens.

    A l’occasion des grandes célébrations de la naissance du Mahomet, et particulièrement en présence de l’ambassadeur de France, il est important de rappeler que les chrétiens du Maghreb, et en particulier ceux de Tunisie, vivent leur foi en cachette des autorités.

    • La nouvelle Constitution tunisienne ne reconnaît aucune religion à part l’islam.
    • Changer de religion est un tabou dans ce pays soi-disant démocratique.
    • Les Tunisiens convertis peuvent être arrêtés par la police à tout moment.

    On ignore les chiffres officiels des chrétiens convertis en Tunisie, mais d’après les hommes d’église comme le Père Marc Léon, plusieurs dizaines de Tunisiens épousent chaque année la foi chrétienne en secret.

    Ces nouveaux convertis vivent le christianisme comme une illumination. Ils rejettent l’islam, qu’ils assimilent à la violence et la peur.

    Des églises clandestines en Tunisie voient le jour dans les maisons de particuliers et accueillent dans la discrétion des chrétiens plus nombreux à la recherche d’une nouvelle spiritualité.

    Esprit de conquête de l’islam

    Alors que le nombre des mosquées en France explose, le prêche chrétien est interdit en public en Tunisie. C’est ici un exemple de l’absence totale de réciprocité dans les relations islamo-chrétiennes.

    Il est toujours intéressant de se pencher sur l’attitude des Etats membres de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI), dont fait partie la Tunisie qui depuis 1999, ont présenté différentes résolutions sur la « diffamation des religions » au Conseil des droits de l’homme et ont exigé du Conseil des droits de l’homme de l’ONU une action énergique contre « l’islamophobie » qui puisse avoir un effet contraignant sur les démocraties occidentales supposées « hostiles à l’islam », notamment envers les populations musulmanes issues de l’immigration extra-européenne.

    Et nous constatons que la Tunisie, qui se présente comme la seule démocratie musulmane, fait partie des pays où les minorités n’ont pas de statut légal dans la Constitution, où le chef de l’État doit être musulman, et où l’islam est proclamé comme religion d’État.

    Un autre exemple de cette incroyable non-réciprocité et d’absence d’égalité en matière religieuse réside dans le fait que les lois en Tunisie (comme dans le reste du monde islamique christianophobe et judéophobe) punit légalement tout prosélytisme des autres religions sur son sol alors qu’il accuse « d’islamophobie » et de « racisme religieux » ceux qui s’opposeraient au prosélytisme islamique en terre « infidèle ».

    Ce paradoxe ou « double standard » est en fait très cohérent avec l’esprit conquérant islamique.

    De ce fait, les vrais responsables de la situation d’absence de réciprocité sont en réalité les nouveaux dhimmis européens, à l’image de cet ambassadeur de France.

    Ce genre d’échantillons de responsables occidentaux, qui font des courbettes devant les chefs musulmans, ont favorisé la progression des pôles de l’islamisme conquérant sur le sol européen (au nom d’une tolérance à sens unique) sans jamais rien exiger en échange, dont la liberté religieuse en terre musulmane. Ils ont abandonné à leur triste sort les chrétiens d’Orient et les libres penseurs non « islamiquement corrects » persécutés en terre islamique au nom de la laïcité de la France, et ils célèbrent la naissance de Mahomet au nom de la tolérance religieuse.

    Alors que les islamistes ont la prétention de croire qu’ils sont inatteignables, les opposants laïcs sont fragilisés, épuisés et menacés, même en Europe, à l’instar de Salem Ben Ammar, auteur à Dreuz.info.

    L’envahisseur islamique avance sournoisement en Europe, et gravite tranquillement à travers la sphère politique. Et ceux qui tentent de ralentir l’offensive d’islamisation sont accusés de racisme.

    En Europe, les églises, les basiliques et les cathédrales sont saccagées, profanées, incendiées par centaines chaque année. Tous les pays d’Europe où des communautés musulmanes nombreuses se sont implantées ont vu émerger des zones de non-droit – qui sont en réalité des zones musulmanes autonomes.

    Les Tunisiens exonérés des frais d’inscription dans les universités publiques françaises

    Edouard Philippe a annoncé le 6 novembre un ensemble de mesures pour le « contrôle » de l’immigration.

    • Les étudiants tunisiens désireux de s’inscrire dans une université en France, seront désormais exonérés des frais d’inscription. Ca, c’est du contrôle !
    • Un programme d’appui aux études en France a été, à cet effet en février 2019 pour encourager les Tunisiens à s’installer en France.
    • Les études sont le deuxième motif d’attribution d’un titre de séjour après le regroupement familial. Notons-le, le Maroc est le premier pays d’origine des étudiants étrangers en France suivi par la Chine, l’Algérie, et la Tunisie.
    • Dès leur arrivée dans l’Hexagone, les migrants peuvent prétendre à certains droits liés à la santé, au logement, aux minima sociaux, et aux transports…

    © Ftouh Souhail pour Dreuz.info.

    (1) L’ONG Portes Ouvertes estime que plus de 245 millions de chrétiens (1 chrétien sur 9) sont fortement persécutés dans le monde. Parmi eux, ce sont ceux qui ont quitté leur ancienne religion pour embrasser le christianisme qui sont le plus persécutés.

  • Des véhicules blindés européens pour combattre l’immigration clandestine

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    © Copyright : DR

    Le port de Tanger Med a réceptionné  des engins et des voitures 4x4 offerts par l’UE au Maroc pour lutter contre l’immigration clandestine. Le montant de cette aide qui comprend des véhicules blindés et des bateaux ultra-rapides s’élève à 2,5 millions d’euros.

    Il s'agit de 75 véhicules à 4 roues motrices et d’autres engins logistiques en provenance du port d’Algésiras. Les autorités marocaines vont les réceptionner, officiellement, dans le cadre de l’aide accordée au Maroc par l’UE pour lutter contre l’immigration clandestine. Des sources autorisées ont révélé que ces véhicules ne sont pas des engins militaires. Ils sont conçus pour la poursuite et l’intervention dans les zones difficiles où peuvent se cacher les immigrés.

    Ces véhicules blindés résistent aux attaques et aux jets de pierres. Les mêmes sources affirment que les autorités espagnoles et marocaines ont décidé d’acheminer ces véhicules par le port de Tanger Med au lieu de celui de Sebta. Pour des raisons politiques, le Maroc a refusé de réceptionner ce matériel à travers le poste frontière de la ville occupée. En 2006, une crise similaire s’est produite quand le Maroc avait refusé de réceptionner une autre cargaison en provenance de Sebta. Les autorités espagnoles ont été, alors, acculées à la livrer via le port de Tanger Med.

    Le quotidien Al Ahdath Al Maghribia rapporte que cette cargaison est arrivée au port d’Algésiras. Plusieurs navettes seront nécessaires pour transporter ces véhicules vers le port de Tanger. Selon les médias espagnols, le coût de ces véhicules et de ces engins s’élève 2,5 millions d’euros. Cette même aide sera accordée au Sénégal et à la Mauritanie qui devront recevoir 33 véhicules et divers matériels informatiques. Un rapport justifie l’octroi de ces dons par l’UE par «L’insuffisance des moyens dont disposent ces pays» pour lutter contre l’immigration clandestine. L’Espagne avait, auparavant, joué le rôle de médiateur auprès de l’UE pout défendre le dossier du Maroc afin que la subvention qui lui était accordée soit revalorisée. D’autant que le nombre des immigrés qui transitent par le Maroc n’a pas cessé d’augmenter après la saturation des points de départ à partir de la Libye et de la Tunisie.

    Le Maroc devra bénéficier de plus d’engins logistiques parmi lesquels on trouve des blindés et des bateaux ultra-rapides. Pour renforcer la lutte contre ce flux migratoire, il va recevoir des engins pour affronter les attaques violentes comme ceux qu’utilise la garde civile espagnole dans les villes occupées de Sebta et Melilla.

    Hassan Benadad

    Le 360

  • “Face à la pression de l'islam politique, la France est déjà en situation d'échec”

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    La Grande mosquée de Lyon. Plus qu'une foi, l'islam est une loi qui creuse son trou dans la société française. © KONRAD K./SIPA

     

    Pour Claude Valleix, préfet honoraire, et Pierre Mérand, ancien procureur général d'Aix-en-Provence, les demandes grandissantes de l'islam rappellent la façon dont le christianisme s'était introduit dans le système politique et judiciaire de la fin de l'ère romaine.

    Alors que le débat sur la place qu’occupe la religion musulmane dans notre société s’enflamme, nous devrions nous souvenir du processus par lequel la chrétienté a progressivement dissous la civilisation d’un empire romain en pleine décadence.

    Cela a commencé dès le IVe siècle quand, devenue légale puis obligatoire, la religion chrétienne infiltra sa morale dans les vaisseaux juridiques d’un monde qui s’écroulait, et se sécularisa en pénétrant les institutions politiques et administratives romaines. Ce fut un changement si irréversible que Clovis, par un geste politique sans précédent, se soumit à la loi du peuple qu’il venait de vaincre pour mieux en assurer la domination. La France naquit avec un baptême.

    Quand la morale chrétienne infusait les institutions politiques occidentales

    Rome avait déjà perdu la partie, disloquée par les invasions, en perte de spiritualité, submergée par le doute, sans ressources morales. Elle s’était livrée à une vérité révélée qui avait déterminé de nouveaux comportements sociaux partout où s’appliquaient ses lois. C’est ainsi que les règles canoniques s’imposèrent dans le mariage ou le règlement des successions, dans les litiges impliquant un principe religieux comme les contrats jurés, que le droit d’asile s’établit dans les églises, que la rigueur réservée aux agresseurs fut tempérée par l’innovation de la légitime défense, que le défenseur des droits de la cité fut élu parmi les catholiques, etc. Les dieux romains furent oubliés et pour s’en assurer, des croix se substituèrent aux emplacements des cultes païens pour en effacer les pratiques ; elles sont partout sur nos chemins. On pourrait multiplier les exemples d’une substitution réussie en moins d’un siècle.

    Ce fut une formidable transfusion religieuse qui permit, sans détruire l’architecture administrative romaine, de construire un monde nouveau. Mais ce ne fut pas sans conséquence. La spiritualité chrétienne stérilisa les ressources de la pensée jusqu’à ce que s’établisse, au XIIe siècle, la compatibilité de la Vérité révélée avec le raisonnement. Alors, libre de penser, de chercher et de comprendre, le monde chrétien construisit une société triomphante, riche de ses découvertes et de ses prouesses industrielles qui ouvrirent à sa culture les portes du monde entier.

    Or, depuis une centaine d’années, épuisée par les guerres, en perte elle aussi de spiritualité, éprouvée par des idéologies marxisantes, harcelée par des idées progressistes contestataires, notre société occidentale n’inspire plus. Elle est à l’arrêt, immobilisée sur le chemin de ses conquêtes intellectuelles et, incapable de donner un sens vertueux et transcendantal à sa supériorité technologique, elle doute et devient vulnérable. Ni richesse, ni force militaire ne suffisent à garantir la survie d’une civilisation qui ne se donne pas d’avenir. La difficulté de l’Europe marchande à gravir la marche de l’Europe politique n’est que l’illustration de cette réalité. Sans communauté de destin, le rêve qui nourrit le désir n’existe pas. Nous sommes dans la situation de l’empire romain décadent et à la merci, comme lui, d’une autre vérité révélée.

    Plus qu'une foi, l'islam est une loi

    Ouvrons donc les yeux sur cet islam qui pénètre notre société et alimente nos tristes querelles. Cessons de voir sous le prisme laïque une religion si différente des autres. L’islam est plus qu’une foi, elle est une loi qui rythme la vie de la société musulmane. Une loi conquérante qui a pu s’assouplir à certaines époques mais est toujours prête à se durcir, en revenant à ses sources, comme aujourd’hui en Turquie après un siècle d’ouverture et au Moyen Orient, détruit par la folie djihadiste. L’originalité technocratique française est de croire qu’une adaptation de l’islam à la France résoudra le problème. L’islam ne sera jamais français parce qu’il est universel.

    Vouloir éliminer les influences extérieures sur nos compatriotes musulmans par la mise en place d’une gestion verticale du culte, autoriser un financement par redevance sur les produits halals, contrôler la formation des imams par nature incontrôlables, cela fait frémir. On ne fera que favoriser le développement d’une religion qui fera croire à son respect des valeurs républicaines jusqu’au moment où elle leur opposera ses propres valeurs, immuables. Cela se fera progressivement comme la morale chrétienne a su le faire en son temps. Le port du voile, la prière dans l’entreprise, les revendications halal, les contestations scolaires, etc. sont autant d’assauts que notre laïcité peine à contenir.

    Elle cédera, comme elle le fait déjà pour l’enseignement de l’histoire, le bail emphytéotique cultuel ou la finance islamique. Et ce ne sont pas des lois d’opportunité, pour s’opposer à telle ou telle exigence, qui régleront le problème. Notre République, repliée dans une position défensive, est déjà en situation d’échec. Il faut être clair, la France n’est pas et ne sera pas une terre d’islam ou alors elle ne sera plus celle née du baptême de Clovis. De nombreuses préconisations pour renforcer le bouclier laïc sont d’une réelle pertinence mais la progression démographique et les facilités accordées au regroupement familial et à la naturalisation donneront à la communauté musulmane un poids qui ne permettra pas de contenir ses revendications sans risque de crise grave.

    La nation doit faire front d’une manière claire et massive pour faire échec à une sécularisation rampante de la charia. Le défi est colossal et le droit n’y suffira pas. Il faut manifester une volonté telle que ceux qui ne l’admettront pas devront en assumer les conséquences.

    On peut continuer à nier la réalité d’un conflit civilisationnel, on peut toujours s’imaginer qu’il existe un islam non politique qui pourra se mouler dans un cadre républicain alors que l’histoire et l’actualité en font pour le moins douter. Nous ne serons jamais à l’abri de ces vagues fondamentalistes qui ébranlent la communauté des croyants depuis le VIIIe siècle. Un jour peut-être, la foi musulmane s’accommodera du libre arbitre en s’inspirant d’Augustin, ce Berbère qui distingua la cité de dieu de la cité des hommes, mais alors que la chrétienté administrée a su donner à ses interrogations fondamentales des solutions dogmatiques, l’islam consciemment inorganisé ne s’y résout pas.

    C’est sa faiblesse, qui compromet son adaptation au monde en perpétuelle évolution, mais aussi sa force, car l’impératif de sécularisation de sa loi est sans concession. Dès lors ce n’est pas une solution bricolée à la française qui pourra s’y opposer. La nation doit faire front d’une manière claire et massive pour faire échec à une sécularisation rampante de la charia. Le défi est colossal et le droit n’y suffira pas. Il faut manifester une volonté telle que ceux qui ne l’admettront pas devront en assumer les conséquences.

    Hélas, l’éternelle division de notre société ne s’apaise que dans les moments les plus dramatiques de son histoire. Prenons garde de ne pas en arriver à cette extrémité pour imposer ce que nous avons de plus cher : la liberté de penser dans une société laïque.

    Claude Valleix et Pierre Mérand

    Valeurs actuelles
  • Intolérable... mais toléré !

    Elle aurait pu commencer par apprendre le français !

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    Cette photo doit rester sans commentaire. Elle illustre l'abandon, par nos gouvernements successifs, de la terre de France aux envahisseurs venus d'ailleurs. Il serait peut-être temps de réagir au lieu de passer son temps dans de stériles querelles politiciennes. Le système en est-il capable ?

  • L’immigration, enjeu électoral

    Emmanuel Macron et Giuseppe Conte le nouveau Premier ministre de l’Italie.

     

    Par Hilaire de Crémiers. 

    Macron a décidé de mettre l’immigration au coeur de l’actualité politique. Non sans dessein électoraliste.

    La France est envahie. Ce n’est pas être « lepéniste », ce n’est pas être « fasciste », « populiste », « nationaliste », de droite ringarde, d’extrême droite – que sais-je, tant ces mots du langage officiel semblent recouvrir d’amas d’horreurs ! – que de dire tout simplement que la France est submergée par l’immigration.

    L’immigration quelle qu’elle soit ! Sans qu’il soit nécessaire de la préciser par qualificatifs interposés. Contrôlée, incontrôlée, légale, illégale, politique, économique, qu’importent ces distinctions de politiciens, elles n’ont plus de sens devant la réalité invérifiable et ingérable des flux migratoires. Il entre en France chaque année – d’après les estimations les plus fiables, mais impossibles à établir scientifiquement – et ce, en dépit de toutes les dénégations, l’équivalent d’une très grande agglomération, voire de plusieurs.

    Tout additionné et qui ne l’est jamais dans aucune statistique officielle où la dispersion des chiffres crée l’illusion, il faut compter annuellement par centaines de milliers les étrangers qui s’installent en France de manière définitive ou quasi définitive ou même transitoire, sans qu’on sache vraiment – le prétendu solde migratoire n’étant qu’une notion, elle aussi, illusoire – légalement ou illégalement, malgré les boniments que débitent les discours lénifiants qui s’appuient sur de pseudo-chiffres dont les vrais experts, comme Michèle Tribalat, ont montré l’inanité.

    La question qui importune

    Cette submersion, toute personne qui se promène un tant soit peu dans les grandes villes, dans les banlieues, dans les gares, les ports, les aéroports, qui emprunte les transports en commun, la constate. De visu, de auditu ou pour parler comme jadis Chirac, notre président défunt, du temps où il osa aborder la question pour motif électoral, de odore. Il n’est même pas besoin d’aligner des chiffres ; c’est de l’ordre de l’évidence. En tous les cas, pour tous les braves Français – de souche comme on dit ou même d’origine plus récente mais assimilés ou désireux de s’assimiler – qui vivent dans l’ordinaire du quotidien.

    Bien sûr, cette réalité prégnante est épargnée aux privilégiés qui vivent dans les périmètres d’or de la République bourgeoise, organisée, prébendée. Où les palais, les bâtiments et les trottoirs sont impeccables, où les gardes républicains saluent respectueusement, où les chauffeurs stylés attendent au bas des perrons devant les berlines rutilantes, où les portes sont ouvertes par les huissiers, où les restaurants sont sympathiques et de bonne cuisine nationale, comme, pour parler franchement, les toilettes d’une propreté aussi rigoureuse que confortable, où la poste et tous les services publics fonctionnent sans problème, où tout est disposé pour l’agrément de ceux qui jouissent de tels espaces à l’abri de toute intrusion dérangeante et de tout danger extérieur, où le souci financier n’existe pas, ni celui des retraites qui peuvent se cumuler sans travail effectif correspondant, où le discours, l’agitation, la combinaison politiques tiennent lieu d’activités rétribuées qui n’exigent que l’habileté d’échapper aux hourvaris journalistiques, sauf, bien sûr, ceux qui seraient calculés, où, finalement, les excès ne sont que de quelques gros homards et de quelques bonnes bouteilles qu’une main malveillante a su prendre en photo.

    Pour le reste, vous êtes là et vous disposez de la vie et de la mort des gens, de leur univers moral et mental, de leur éducation dès le sein maternel, de leur famille, de leur filiation – c’est ce qui se joue en ce moment –, de leur naissance, bientôt de leur gestation, mais aussi bien de leur agonie, de leurs gènes, de leur être physique, psychologique, social, politique, économique, de leur patrimoine, de leur retraite… Vous réglez tout ; une petite voix de ministresse tranche avec autorité de ce que la République pense et définit ; sous ses auspices, vous êtes le souverain législateur qui édicte le bien et le mal, la norme éthique et politique qui est érigée en absolu légal et en vérité métaphysique.

    Vous dirigez le pays ; vous fixez son budget avec l’argent anonyme du contribuable ; vous faites semblant d’affecter des sommes sur des postes prévus d’avance ; les contrôles ne s’effectueront qu’a posteriori et ne serviront pratiquement à rien.

    Vous ne sortez de cet univers que pour de prétendues enquêtes ou des travaux de commission dont les effets s’évanouissent dès qu’il s’agit de mettre fin à des scandales. Vous ne connaissez la situation des populations que par des récriminations violentes ou par des incursions rapides, plus ou moins furtives, ultra-protégées, sinon mises en scène pour les caméras, et de toute façon inefficaces quant aux résultats.

    Vous vous exaltez de l’ivresse du pouvoir. Le pays est à vous et ce pays est la France. Pensez donc ! Pas de mandat impératif ; le programme est celui que vous concoctez ; vous êtes la nation souveraine. Et, cependant, vous êtes aux ordres du parti ; vous dépendez d’instances, voire directe ment d’un président, qui ne croient plus en la souveraineté de la France – c’est dit et redit – et qui s’imaginent régler les problèmes en les traitant à des niveaux supranationaux où tout est flou, truqué, contestable et contesté.

    L’immigration, question de pouvoir

    Voilà la pure folie. Le tableau brossé à la hâte mais véridique manifeste l’abîme d’incompréhension qui sépare le petit monde dit dirigeant où toutes les ambitions veulent s’agréger, et le peuple français dans les angoisses de sa vie quotidienne. Tout cela a été dit, archi-dit, mais sans envisager les conclusions politiques de telles analyses. Nous en sommes là et la prochaine crise risque de mettre en évidence la perversité du système. Chacun cherche à s’en emparer sans jamais dénoncer le vice du mécanisme.

    Macron a assez de finesse pour saisir les enjeux que les prochaines échéances électorales réactualiseront, dans l’idée que la présidentielle de 2022 doit être la réédition de celle de 2017. C’est facile à concevoir ! Élimination successive de la gauche et de la droite : reste à rafler la mise au Rassemblement National. Et donc Macron pour qui l’immigration n’était pas un problème, n’hésitant pas à saluer dans tous les allogènes du territoire des Français à part entière comme les autres, mieux que les autres, place soudain, au cours du mois de septembre écoulé, l’immigration comme sujet de préoccupation nationale. L’affaire est lancée comme une opération de toute urgence lors du discours du lundi 16 septembre au ministère des Relations avec le Parlement. Surprise ! Mais les conseils des ministres s’enchaînent comme les réunions parlementaires et ministérielles, en prévision du grand débat à l’assemblée début octobre qui sera suivi d’annonces par le gouvernement. Et Macron de reprendre à son compte l’analyse sociologique ci-dessus résumée et de fustiger le caractère « bourgeois » de ses troupes qui risquent de renâcler. Et c’est déjà le cas pour une bonne vingtaine de députés qui protestent et signent des tribunes. Macron persiste et joue crânement son jeu, déclarant en conseil des ministres : « il y a la coquetterie de ceux qui ne veulent pas parler de l’immigration ». Et d’évoquer la synthèse d’un « humanisme » qui n’aille pas jusqu’au « laxisme » et d’une « réalité de terrain » à laquelle il renvoie les belles âmes aveuglées. Le débat en cours ne sera pas serein et n’aboutira qu’à de vagues et imprécatoires considérations ainsi qu’à des mesures impraticables, mais le terrain politique aura été occupé en vue de la stratégie électorale.

    Les titres de séjour délivrés s’établissaient à 262 000. Ça fait déjà presque 400 000 si on ajoute les dizaines de milliers de mineurs, 40 000 à ce jour, que les départements qui n’en peuvent plus, doivent accueillir, loger, soigner, nourrir et prendre en charge, mineurs isolés non accompagnés (MNA) sans papier fiable et dont certains sont incontestablement des majeurs, mais il est interdit de le vérifier par des tests. Demandez donc aux braves gens qui s’en occupent, ce qu’ils en pensent. C’est sans compter les clandestins que personne ne peut dénombrer et tous ces autres, clandestins ou non, qui profitent de l’espace Schengen et des accords de Dublin ; car la France est devenue la destination de ce qu’on ose appeler « une immigration de rebond », c’est-à-dire de flux migratoires venus d’Allemagne, de Belgique, d’Espagne, d’Italie. Macron a tout à coup réalisé qu’il fallait que « la France soit moins attractive » !

    L’aide médicale d’État (AME) a profité à 330 000 bénéficiaires, tous soins payés, pour motif humanitaire et pour éviter les contagions. D’après le dernier rapport parlementaire plus de 100.000 ménages bénéficient de l’allocation pour demandeurs d’asile (ADA). Macron a été obligé de reconnaître, lors de la conférence des Ambassadeurs, que la France était le premier pays d’Europe pour les demandes d’asile. Elles sont en hausse de 22 % ! Impossible de traiter tous ces dossiers. La législation européenne est débile. Salvini l’a répété, il avait raison. Orban ne veut pas en être prisonnier. Et, maintenant, que faire ? Un migrant ne peut pas être renvoyé sans l’accord de son pays d’origine. Comment obtenir les documents consulaires ? Sur les 100.000 obligations de quitter le territoire décidées en France chaque année, à peine 15 % sont exécutées. Et encore, souvent, avec pécule !

    Lorsque Macron, après le départ de Salvini, est allé à Rome, le 18 septembre, pour renouer avec l’Italie, Giuseppe Conte en a profité logiquement pour lui demander que la France maintenant, accueille aussi les migrants économiques sans distinction de statuts, ce que la France refusait jusqu’à présent, et que les ports français s’ouvrent au débarquement de migrants comme les autres ports méditerranéens pour assurer une rotation ! Pour faire bonne mesure, Macron a décidé d’accueillir 150 migrants de l’Open Arms.

    Donc Macron, donc l’Europe reparleront nécessairement de quotas. Il en est question. Le président français n’a-t-il pas déclaré qu’il s’agissait « de trouver un équilibre entre la responsabilité et la solidarité » ? Les coûts d’une telle politique sont exponentiels et, en réalité, non chiffrés. L’AME, à elle seule, atteint le milliard, l’ADA plus d’un demi-milliard ; l’asile lui-même, un milliard ; l’aide aux mineurs, deux milliards. L’expulsion d’un clandestin : 14 000 €.

    La loi Asile et Immigration de Collomb n’a apporté aucun résultat. Les futures dispositions macroniennes n’en auront pas plus. C’est impossible : il rêve d’une Europe qui assumerait le problème. En accord avec Ursula Von der Leyen et le nouveau commissaire chargé de « la protection du mode de vie européen », le Grec Margaritis Schinas ! [Photo] Rien que l’intitulé fait rugir les opposants.

    Mais peu lui chaut l’impasse, Macron avance sur sa voie. Il a dit aux parlementaires LREM : « Vous n’avez qu’un opposant : le Front national ; il faut confirmer cette opposition ». C’est clair. Et peu importe que la France soit coupée en deux. Et envahie.

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