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Ménard - Page 3

  • La réalité des votes d'E. Ménard : très instructif !

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    La vie politique amène très souvent la presse, ou le public, ou les candidats eux-mêmes à avancer des contre-vérités ou à prendre des positions contradictoires que la vitesse des informations a vite fait d'effacer. Il n'est donc pas inutile de rappeler les faits bruts et indiscutables. Nous donnons ici un florilège de quelques prises de position de la députée actuelle du biterrois, qui ne donne pas un exemple parfait de constance et de conformité à d'autres déclarations totalement incompatibles avec les votes à l'assemblée ! Sur l'immigration par exemple.

    Les renseignements ci-dessous sont directement tirés du site officiel de l'Assemblée nationale. Ce sont évidemment des textes parmi les plus importants dont a eu à connaître le Parlement. On constate des orientations laxistes sur la grande question de l'immigration, liberticides sur d'autres ou dangereuses.

     

    IMMIGRATION

    La loi "asile et immigration", durcissant les conditions d'accueil

    (adoptée le 1er août 2018)

    Emmanuelle Ménard a voté contre en deuxième lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive

    • Raccourcissement des délais pour le dépôt et le traitement des demandes d'asile, durcissement des mesures d'éloignement, allongement de la rétention administrative... Cette loi a permis de faciliter les reconduites à la frontière.

    Déclaration d'E. Ménard le 7 novembre 2019. Elle dénonce le "record absolu des titres de séjour délivrés, (...) des nouvelles demandes d'asile",  "Commençons peut-être à nous occuper de rendre le travail plus attractif, d’aider les chômeurs de longue durée à retrouver du travail plutôt que tout de suite aller dire ’on va faire venir des gens de l’extérieur"

    Un coup à droite, un coup à gauche !

     

    COVID-19

    La loi instaurant l'état d'urgence sanitaire (adoptée le 22 mars 2020)

    Emmanuelle Ménard a voté pour lors de la lecture définitive

     

    ENVIRONNEMENT

    La loi réautorisant les néonicotinoïdes (adoptée le 30 octobre 2020)

    Emmanuelle Ménard a voté pour en première lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive

    • Cette loi a autorisé les producteurs de betteraves à sucre à recourir jusqu'en 2023 aux néonicotinoïdes, des insecticides dits "tueurs d'abeilles" interdits depuis 2018 en France.

     

    ENVIRONNEMENT

    La loi "Climat et résilience" (adoptée le 20 juillet 2021)

    Emmanuelle Ménard s'est abstenue lors de la lecture définitive

    • ce texte devait permettre à la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40% d'ici à 2030 par rapport à 1990.

     

    ISLAMISME

    La loi "Séparatisme" contre l'islamisme radical (adoptée le 23 juillet 2021)

    Emmanuelle Ménard a voté contre lors de la lecture définitive

    • Cette loi a accru les contrôles sur le financement des lieux de culte et des associations les gérant. Elle a aussi élargi la liste de motifs pouvant déclencher leur fermeture.

     

    COVID-19

    La loi instaurant le pass vaccinal (adoptée le 16 janvier 2022)

    Emmanuelle Ménard a voté pour en deuxième lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive*

    • Cette loi autorise le gouvernement à conditionner l'accès à certains lieux (restaurants, cinémas, musées, centres commerciaux, transports...) à la détention d'un pass vaccinal.

          . Les députés de La France insoumise et du Rassemblement national ont dénoncé des                   mesures  contraires aux libertés individuelles et critiqué une obligation vaccinale déguisée

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  • Emmanuelle Ménard, la tête pensante du clan. Le retour à gauche, c'est elle !

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    Photo tirée du journal La Pieuvre, montrant Robert Ménard se rendant à Matignon.

    Il n'y a eu aucune contestation ni le moindre démenti

     

    Depuis que le clan Ménard a compris que le clan Macron n'était pas très favorable à ses offres de service, un re-re-re-retournement de veste est en cours. On nous annonce désormais que, tout bien réfléchi, Macron a des cotés négatifs (pas plus quand même, on ne sait jamais !). La candidate à la députation s'est rendue compte que les conseils de rapprochement donnés à son mari ne recevaient pas un accueil enthousiaste et risquaient de lui faire perdre un nombre conséquent de voix. Elle en vient même à laisser entendre que son mari a développé cette stratégie en dehors d'elle. Or, il est plus que de notoriété publique que c'est elle qui conçoit les différentes manœuvres. Le rapprochement avec Macron, c'est elle ! Et la rupture avec Reconquête et le RN, c'est encore elle !

    Aujourd'hui, réalisant que les tentatives ont échoué, elle voudrait bien récupérer les voix du Rassemblement national qui s'envolent. Trop tard !

    Nous n'inventons rien. La presse nationale s'en est faite l'échos à l'instar de l'extrait ci-dessous :

    ***

    Extraits d'un article du Monde du 22 mai 2022

    Le maire de Béziers, passé de la gauche socialiste aux positions les plus extrêmes, brouille les repères en adressant des signes au chef de l’Etat. Et caresse l’espoir d’« aider » au niveau national.

    "Reconvertie dans le journalisme, l’épouse du maire de Béziers conseille son mari, qui ne fait rien sans son aval.

    Robert Ménard aime son épouse. Beaucoup. Il le dit, le lui dit, et le répète sur tous les tons sans craindre de gêner, ni lui, ni elle, ni son interlocuteur. "Elle est toute ma vie. C’est la rencontre de ma vie", avoue-t-il. On pourrait ignorer ces confessions volontairement indiscrètes si la femme du maire de Béziers (Hérault) n’était pas aussi sa conseillère la plus influente. Emmanuelle Duverger, 47 ans, reconvertie dans le journalisme, occupe une place déterminante auprès de son mari. "Je ne fais rien sans elle, et n’ai jamais publié un texte qu’elle n’ait lu. C’est elle qui, de loin, pèse le plus sur mes décisions politiques, assure-t-il. Quand elle désapprouve une de mes idées, je ne la mets pas en œuvre."

    Il reconnaît ainsi que le rapprochement avec Macron n'aurait pas été mis en œuvre  si la candidate aux élections législatives ne l'avait pas suscité...

  • "Les silences sont parfois le désespoir des soumis" (Michel Bouthot)

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    Cette excellente caricature résume parfaitement la comédie que nous joue le clan Ménard : l'un parle trois fois par jour sur toutes le chaine pour faire des compliments de Macron et l'autre ne dit rien depuis des mois, tout en ayant suscité ces mêmes compliments. Nous venons de voir dans l'article précédent que ces simagrées sont murement réfléchies et n'ont pour but que d'endormir l'électorat, c'est à dire en termes clairs, se moquer de lui !

  • Franck Manogil, suppléant d'Henri Fabre-Luce - Communiqué de presse

    Franck Manogil est conseiller régional d'Occitanie et suppléant d'Henri Fabre-Luce, candidat sur la sixième circonscription de l'Hérault. Il a, pendant six ans occupé les fonctions de Conseiller départemental avec l'efficacité que l'on connaît.

    Ayant donné son parrainage à Marine Le Pen lors de la dernière élection présidentielle, Franck Manogil personnifie l'union des droites que les électeurs attendent. Rien d'étonnant, dans ces conditions que le Rassemblement national n'ait pas présenté un candidat contre lui.

     

    ***

     

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

     

    Manogil.jpgLe service communication de la ville de Béziers, outil de propagande mis à disposition de la candidate Emmanuelle Ménard ?

    Depuis plusieurs semaines, et particulièrement lors des dernières publications sur les réseaux sociaux de la ville de Béziers, la candidate Emmanuelle Ménard est particulièrement mise en avant lors de ses différents déplacements de campagne, profitant des largesses de ses différents statuts : épouse du Président/Maire, député, conseillère municipale et conseillère communautaire.

    Il faut dire que les réseaux sociaux de la Ville de Béziers et de l'Agglomération offrent près de quatre fois plus d’audience et de visibilité que la propre page d'Emmanuelle Ménard ! En pleine période électorale, l'avantage est considérable et semble aller à l'encontre des propres règles édictées par le code électoral, pourtant très clair sur le sujet.

    Les faits sont identiques en ce qui concerne les pages Facebook de l'agglomération et celle du groupe des élus départementaux des cantons de Béziers, administrée, semble-t-il, par une attachée de groupe salariée par le conseil départemental de l'Hérault.

    Il est inacceptable que les pages des différentes collectivités, animées par des agents rémunérés par le contribuable, soient utilisées comme des outils de propagande électorale au service d'une candidate.

    Je demande dès à présent à la candidate Emmanuelle Ménard, ainsi qu'à Robert Ménard, Président de l'agglomération et Maire de Béziers, de mettre fin à ces méthodes du vieux monde.

    Le couple Ménard n'est en aucun cas propriétaire de la mairie et de son agglomération. Les règles doivent être les mêmes pour tous !

    Exemples, non limitatifs bien sûr :

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  • Aux sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National, de Reconquête et autres français soucieux de l'avenir de leur pays

    CE BINOME NE RISQUE PAS DE VOUS DÉCEVOIR !

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       Henri Fabre-Luce , candidat                           Franck Manogil, suppléant

    Tous ceux qui, depuis plusieurs années, reçoivent les publications de ce blog, savent que nous nous sommes toujours attachés à la défense de notre civilisation, de nos libertés, de notre sécurité, en un mot du prestige et de la survie de la France. N’ayant aucun intérêt particulier dans ces élections législatives, c’est uniquement ce même sentiment qui dicte le présent article, pour ne pas dire cet appel pressant.

    Aujourd’hui la situation n’a jamais été aussi critique, aussi chargée de sombres pressentiments. Les derniers événements du stade de France, outre ceux que nous subissons depuis cinq ans, ont montré ce qui nous attend si un sursaut urgent ne se manifeste pas. La situation est trop dramatique pour se laisser aller à des fâcheries de détail qui mobilisent plus les états-majors que les électeurs eux-mêmes.

    Depuis des mois nous assistons à la désertion du clan Ménard. Elle s'est définitivement réalisée par les récentes déclarations au journal Le Monde (voir l’article suivant), qui démontrent le souhait de ces personnes sans foi ni loi de faire passer leur ambition personnelle avant toute idée et a fortiori toute conviction. C'est avant tout la place et ses subsides qui est dans la ligne de mire : rejoindre un gouvernement d’une nocivité telle que la France n’en avait pas connue depuis longtemps. Les critiques virulentes qu’ils ne cessent de lancer à l’encontre du Rassemblement national et de Reconquête les disqualifient définitivement pour pouvoir se recommander d’une quelconque nuance de droite. Et encore moins d'une union des droites qu'ils s'emploient à détruire à longueur de déclaration.

    Henri Fabre-Luce et Franck Manogil sont donc désormais les seuls, sur leur circonscription, pouvant se vanter de représenter la véritable droite française et patriotique. Ils personnifient ce que le pays attend de ses représentants : un engagement professionnel enraciné dans la France réelle, une attitude ferme et énergique, une tenue irréprochable dans la défense de la sécurité et de l’ordre et avant tout une fidélité sans nuance à leurs convictions, dont témoigne toute leur histoire. Ce n’est pas avec eux que nous aurons l’occasion de nous plaindre de la moindre désertion !

    Il est bien évident que passées toutes ces mesquineries petitement politiciennes, les patriotes français se retrouveront parce que la situation va rapidement l’exiger. Leur voix doit être entendue à l'Assemblée.

    Sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National et de Reconquête, et nous autres français soucieux de l'avenir de leur pays, ne succombons pas à des réactions superficielles, mais ayons avant tout dans l’esprit l’avenir de cette France que nous aimons tous, qui se délite chaque jour un peu plus.

    Henri Bec

  • Le clan Ménard dans ses dernières œuvres : "ministre, je ne dis pas non"

     

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    À l'approche des élections législatives, le maire de Béziers Robert Ménard a fait part, dans les colonnes du Monde, le samedi 25 mai 2022, de son désaccord avec ses deux "amis" Marine Le Pen et Éric Zemmour.

    Pourtant longtemps partisan de l'union de la droite, le maire de Béziers Robert Ménard semble aujourd'hui fortement remonté contre ses "amis" Marine Le Pen et Éric Zemmour. C'est en signant une tribune dans Le Figaro, intitulée "Une majorité pour Macron, un moindre mal face à Mélenchon", que les Ménard ont fait savoir leur désaccord croissant avec leurs anciens alliés, qui ont eu l'infortune de lire : "Nous ne voulons pas non plus d’un pays dirigé par ces patriotes de pacotille qui fantasment sur Poutine. Car cette droite confite de nostalgie est un repoussoir qui n’a aucune chance de remporter un jour la majorité des suffrages. Une impasse idéologique. Un désastre politique."

    Et pour cause, des idées qui divergent : Robert Ménard n'a pas toléré l'opposition de Marine Le Pen et Éric Zemmour au passe vaccinal, en faveur duquel son épouse a voté avec la REM (alors que tous les membres des non inscrits ont voté contre) : "Je te les enverrais à Moscou vite fait", s'insurgerait-il, comme révélé par Le Monde ce 25 mai 2022. Désaccords qui concernent également le droit d'asile, le port du voile... Robert Ménard remettrait même en cause ses propres idéaux. Il dit désormais avoir "honte" de certaines de ses idées, notamment sur l'immigration, alors qu'en 2016 il avait placardé sa ville d'affiches montrant des migrants et la mention "Ça y est, ils arrivent...".

    Se rapprocher du pouvoir ?

    Or Robert Ménard est un adepte des positions changeantes : d'abord jeune trotskiste, membre du Parti socialiste jusqu'en 1981, puis du parti centriste, il finit par se tourner vers l'extrême droite. Un nouveau virage à 360 degrés qui laisse entendre la possibilité d'un nouveau rebondissement dans sa carrière politique. À Béziers, la tribune signée dans Le Figaro par le maire de la ville ne passe pas. Depuis le début de l'année, quatre de ses conseillers se sont d'ailleurs retirés, Henri Fabre-Luce, Benoit d'Abbadie (2ème adjoint), Victor Alzingre au lendemain de la publication, et Jean-Louis Respaud (qui a quitté le groupe Ménard au département). Aujourd'hui, le Biterrois se verrait bien ministre... : "Je ne dis pas non, je dis : 'pour quoi faire et avec qui ?'”, répète-t-il au Monde.

    Personne ne peut plus dire avoir confiance dans de telles girouettes !

  • ENFIN ! L'UNION DES DROITES !

    HENRI FABRE-LUCE, titulaire

    FRANCK MANOGIL, suppléant

    La véritable couleur bleu blanc rouge du biterrois

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    Nous aurons l'occasion, au cours des prochains jours  de revenir sur la campagne des élections législatives dans le biterrois. Treize candidats se présentent. Les douze autres se partagent entre un patchwork de gauche provisoirement uni, une pseudo droite chamallow, mondialiste et prête à toutes les compromissions et deux candidates macroniennes, le clan Ménard ayant définitivement rejoint l'Élysée. Faute d'avoir pu trouver un volontaire, le RN est absent. 

    Vous trouverez ci-dessous le texte de l'intervention d'Henri Fabre-Luce lors du grand meeting qui a réuni tous les candidats de l'Hérault à Montpellier, sous la présidence de Nicolas Bay, le 18 mai dernier. Elle donne d'ores et déjà la ligne véritablement française,  de droite, patriotique et enracinée  qui n'est partagée, ni même avancée par aucun autre candidat.  

    * * *

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    J’ai choisi d’être le candidat investi par Reconquête!

    sur la 6ème circonscription de l’Hérault (Béziers)

    pour le retour de la liberté !

    La liberté de penser, sans devenir immédiatement un complotiste, liberté de parler, sans être qualifié de « phobe » ou d’ « anti », liberté de douter, de contredire, d’argumenter, sans être assimilé à un factieux, liberté de recruter, sans être soupçonné de racisme ou de discrimination, liberté de créer, sans être aussitôt emprisonné dans des normes, sans queue ni tête, liberté de manger  selon ses goûts et non  selon une idéologie ou une religion, liberté de circuler, sans craindre pour sa vie ou celle de sa famille … Liberté de vivre, tout simplement, comme on y vivait en France il n’y a pas si longtemps. Bref, j’ai choisi d’être candidat de reconquête! pour que la France reste la France !

    Et puis, parce que je suis un viticulteur non délocalisable, parce que je suis un enraciné, je suis solidaire des jeunes générations. Je veux qu’elles aient un avenir plein de promesse autant que de sérénité. Pour elles, je porterai la vision politique et le projet  de Reconquête  à l’Assemblée Nationale.

    Pour moi, être député, c’est faire des choix clairs et les assumer. Ce n’est pas dire :    

    - Je veux que la droite gagne mais je suis contre l’union des droites !

    Ou bien

    - Je ne suis pas d’accord avec Emmanuel Macron mais il faut absolument lui donner une majorité.

    Et bien Non, il faut absolument lui donner une opposition !

    Il faut s’affranchir des méthodes de député à l’ancienne. Etre député, ce n’est pas serrer des mains et couper des rubans !  c’est être la relation de ceux qui n’en ont pas, c’est rendre possible des choix de niveau national car, pour que la vie des Biterrois et des Héraultais change et s’améliore, c’est la vie de la France qui doit changer et s’améliorer.

    Je suis un Biterrois de naissance et de cœur, je suis un enraciné qui portera à Paris la reconquête de notre identité, de notre souveraineté, de notre économie, de notre sécurité.

    Je veux que nous redevenions des  hommes libres !  J’ai choisi Reconquête !

  • Une belle leçon à tous les incompétents et démagogues, le clan Ménard notamment

    N'oublions pas que la députée E. Ménard, qui ose se représenter, n'a cessé d'appuyer les mesures de confinement et de se déclarer favorable à une OBLIGATION de se faire vacciner. Quand on ne comprend rien à une question, la meilleure solution est de ne rien dire.

    Quand on se prétend défenseur des libertés, la première mesure est d'éviter de les supprimer. On ne l'a pas non plus entendu sur la réintégration du personnel médical, injustement mis à l'écart. Le clan Ménard ne sait plus comment sortir de ses contradictions.

    Nous n'avons plus aucune confiance. Ne repartons pas pour cinq ans d'incohérence

    Le professeur Peyromaure, chef du service urologie à l'hôpital Cochin remet les idées à l'endroit !

     

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  • Sport favori du clan Ménard : le coup de poignard dans le dos

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    Dans la famille Judas, je demande le père

    Sans vraiment y croire, d'aucun pensait que l'impensable s'arrêterait avant l'ignoble. Mais il est vrai qu'avec les Ménard tout est possible, surtout "le dégueulasse" pour reprendre ses fines expressions. Après avoir renié à plusieurs reprises les idées sur lesquelles il avait été élu, trompant sans complexe ses électeurs, avoir laissé lâchement tomber Éric Zemmour qui ne convenait plus à ses ambitions (souvenons-nous "mon pote Zemmour" qui ne disait rien d'autre qu'aujourd'hui), voilà qu'il abandonne Marine Le Pen à dix jours du second tour, pour se rapprocher encore un peu plus de Macron. 

    Cette exécrable manœuvre n'est pas nouvelle, encore moins improvisée. Elle est apparue au grand jour à l'occasion de ces élections, arrivant à petits pas depuis plusieurs mois. Nous l'avions diagnostiquée il y a un an environ. Il suffit de se reporter à ce que nous écrivions le 24 juillet 2021 ICI, le 31 août 2021 ICI ou le 10 septembre 2021 ICI. Nous écrivions également en septembre 2021 ce texte prémonitoire :

    Il est plus que probable, comme nous l'annoncions, que nous allons assister à Béziers, d’ici les prochaines élections présidentielles et législatives, à un glissement progressif mais rapide sur la pente du politiquement le plus correct. Le premier mot d’ordre à respecter sans discussion se résume désormais dans la formule : "pas de vagues" ! Il y avait l’UMPS, nous allons maintenant découvrir la nouvelle configuration ménardo-républicano-socialo-macronienne. Le maire de Béziers ne disait-il pas, avant les élections, à qui voulait l’entendre, que le bilan de Carole Delga était globalement positif ? Et aujourd'hui que l'on pourrait se rallier à... Xavier Bertrand ! Le système a imposé son dictat : appliquer toutes les tromperies et déloyautés, tous les mensonges, renversements et reniements pour un second mot d'ordre fondamental : tout pour être élu, "la place d'abord" !

    Quelques amis estimaient que nous nous égarions et qu'il n'irait pas jusque là. Il est vrai que nous nous sommes trompés : nous étions loin d'imaginer une telle capacité de nuisance !

    À l'origine il s'était attribué le rôle du capitaine, seul capable de réaliser l'union des droites qui devait le porter, parce qu'on a peur de rien, au plus hautes destinées nationales ! Ce fut, en mai 2016 le très médiatique "OZ' TA DROITE', réunissant à Béziers le panel le plus hétéroclite de quelques personnalités de la droite ( on s'est vite aperçu qu'il manquait la plupart des plus importantes). Ce fut un magnifique fiasco dont on n'entendit plus parler au bout de deux jours, Marion Maréchal ayant par ailleurs claqué la porte un quart d'heure après l'ouverture ! Puis ce fut le très éphémère "Appel d'Angers" qui a duré, lui aussi, l'espace d'un matin. Dernière tentative sans lendemain. Et voila donc le clan Ménard privé de toute ouverture vers les lendemains qui chantent.

    Situation d'autant plus critique et inquiétante que la place venait d'être rapidement prise par Éric Zemmour dont personne ne peux contester la culture historique et politique, l'analyse serrée des événements, sa capacité à exposer des notions claires, et la fidélité à ses idées, autant d'atouts qui font, à l'évidence, défaut à la mairie de Béziers. C'est donc l'explication la plus simple qui s'impose : la jalousie sourde et prégnante, le ressentiment amer et rancunier, l'animosité grossissante se sont peu à peu emparés du clan Ménard. 

    Il imagina alors pouvoir exercer une influence dans le jeu des présidentielles. N'écoutant que son courage, et surtout son ambition, il fit connaître, à grand roulements de tambour, son invitation lancée à Marine Le Pen et Éric Zemmour à venir discuter à Béziers. Ils l'ont, l'un et l'autre envoyé promener. 

    Patatrac ! Le clan Ménard constate désormais qu'il n'intéresse plus les candidats, la presse, le public, les journalistes… L'abime de l'anonymat le guette désormais.

    Le réflexe naturel dans ces situations est d'en vouloir à la terre entière. D'où les épisodes récents que nous connaissons : agressivité inutile et malsaine à l'encontre d'Éric Zemmour, soutien à Marine Le Pen à la manière de la corde qui soutien le pendu… jusqu'à ces derniers jours, où le maire de Béziers, avec une formule où l'hypocrisie le dispute à la duplicité et à l'imposture annonce se "mettre en retrait de la campagne de Marine Le Pen" et cesser toute expression dans les médias jusqu'au second tour.

    Si le procédé est d'une déloyauté majeure, il nous permet toutefois, avec un immense soulagement, de ne plus l'entendre.

     

    Dans la famille Perfide, je demande la mère.

    Mais où est-elle donc passée ? Les anciens racontent qu'il y a déjà longtemps (trop longtemps disent beaucoup) elle avait été élue député, avec la mission, qu'elle a du estimer purement théorique, de représenter les français. Elle avait donc un rôle qui, en principe, devait l'amener à prendre des positions politiques, au moins au cours des périodes électorales ; et la présidentielle est à l'évidence l'une d'elles, si ce n'est la plus importante. Eh bien non ! Après avoir été très occupée par les pailles en plastiqueEn partance pour l'Ukraine-5.jpg et les gardes champêtres, s'être gargarisée de ses présences constantes dans l'hémicycle  pour pouvoir plus facilement grenouiller avec les RM, LR, UDI et autres formations aux convictions chamallow, trahir au passage le groupe auquel elle appartient, elle est revenue sur les terres biterroises dont elle ne manque pas l'occasion, elle originaire de Lille, de se déclarer amoureuse (vous entendez les ricanements ?) pour visiter les marchés, inaugurer les chrysanthèmes, assister à des concerts, sourire aux élèves de CM1, et même croire se rendre intéressante en faisant un ridicule aller retour en Pologne avec les véhicules et le personnel de la mairie. Mais des déclarations, aucune. Silence radio total. Incolore, inodore et sans saveur. Pour qui a-t-elle voté ? Pour qui va-t-elle voter ? Quels sont les thèmes de cette campagne qu'elle approuve ou conteste ? Mystère : la politique ne l'intéresse peut-être pas ! Mais personne n'est dupe. C'est en commun que sont élaborées les stratégies de la désertion. Ils partagent, comme ils le répètent à satiété, l'ensemble des écrits et prises de position. C'est dire qu'à son tour, disons plutôt "en même temps", elle fait sienne les retournements de veste, coups bas et autres forfaitures… quand elle ne les suscite pas ! Pendant que l'un s'agite sur les plateaux, véritable amuseur public (autrefois on aurait dit "fou du roi"), excellent faire-valoir des journalistes avides de clowneries, l'autre joue les sensées et pondérées pour ne pas choquer la macronie. C'est fin comme du gros sel.  

    Tout cela n'est pas très beau, c'est le moins qu'on puisse dire. C'est certes pitoyable et répugnant, mais surtout odieux. Ils donnent ainsi l'image la plus piètre et piteuse qui soit, renforçant l'opinion des français sur les acteurs politiques de ce système qui s'effondre, uniquement préoccupés par leur place et prébendes. C'est finalement le faible taux d'abstention qui est étonnant.

    Henri Bec

  • Le clan Ménard : on ne comptabilise plus ses perfidies

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    La plupart de nos lecteurs connaissent bien le site "Le Salon Beige" . Le 3 avril dernier il a publié la mise au point ci-dessous. Ce site n'est pas un habitué des polémiques virulentes, mais on sent bien ici l'exaspération de l'auteur devant ces retournements inadmissibles qui déconsidèrent définitivement le clan Ménard. Cet article avait pour titre :

     

    Robert Ménard, girouette, guignol

    ou agent double d'Emmanuel Macron ?

     

    Marine Le Pen avait accusé Nicolas Bay d’être un agent d’Eric Zemmour, sans apporter la moindre preuve crédible d’ailleurs. Elle ferait mieux de se méfier de Robert Ménard qui ne semble pas avoir compris que le 1er tour est dans trois jours. Il demande notamment “Quel homme politique aurait fait mieux ?”

    “Sur l’Ukraine, (…) je me dis voilà, (Emmanuel Macron) est chef de l’État, j’ai pas honte qu’il soit chef de l’État, il tient face à Poutine“, a lancé Robert Ménard. “Et puis je me dis, est-ce qu’il y en a un de tous ceux qui sont là qui serait mieux que lui à sa place?” a poursuivi celui qui a été élu avec le soutien du Front national, puis du Rassemblement national.

    Relancé sur le fait de savoir si sa candidate, Marine Le Pen, ne ferait pas mieux que l’actuel locataire de l’Élysée, Robert Ménard persiste et signe:

    “Sur ce terrain-là, non, sur l’Ukraine non“. “Mes amis, ils ont tous été pro-russes, c’est pas possible. Et ils le redeviendraient demain si la guerre était terminée, je trouve ça insupportable”, a-t-il taclé.

    Par ailleurs, il commence déjà à torpiller la possibilité d’une alliance de deuxième tour entre Marine le Pen et Eric Zemmour. Comme Marine Le Pen, il utilise les mêmes accusations que la gauche.  La victoire d’Emmanuel Macron passe justement par ce genre de nouveau front “républicain”. Robert Ménard est-il un guignol ou a-t-il négocié avec Macron la réélection de sa femme et un siège de sénateur pour lui ? L’avenir le dira…

    Ce que je ne supporte plus chez Eric Zemmour, c’est la dureté que porte son courant politique. J’ai listé tous mes désaccords avec lui et si demain Marine Le Pen faisait des concessions à Eric Zemmour sur ces désaccords là, je ne la soutiendrais pas, ce serait sans moi (…)
    Eric Zemmour a violé un certain nombre de lignes rouges qui sont à mes yeux inacceptables. Je ne suis pas de ce monde ni de cette dureté là (…) Je ne suis pas pour le port du voile mais jamais je ne refuserais un selfie à une dame […] Jai passé ma vie en Afrique pour Reporters sans frontières et vous croyez que si j’étais Burkinabé je ne rentrerais pas en France de façon illégale ? Je le ferais pour mes enfants sans hésiter

    La séquence est tellement surréaliste que même Sonia Mabrouk est obligé de rappeler à Robert Menard que son temps de parole est décompté sur celui du RN tant il fait l’éloge de Macron et tape sur Marine Le Pen…

     

    Nous espérons tous que l'avenir se fera sans eux. Cette menace de ne plus soutenir ni Éric Zemmour, ni Marine Le Pen ne désole plus personne. Elle sera au contraire un soulagement pour la camp national.

  • Les propos du clan Ménard sont, chaque jour un peu plus, inqualifiables

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    Comme d'habitude, le clan Ménard, qui n'a aucune culture historique (ou pas de culture du tout) tente de falsifier les événements, espérant tirer quelque profit de ses escroqueries intellectuelles. Il y a quelques mois, il s'est permis cette réflexion :

    "Il y a 85 ans, un coup d'État fasciste plongeait nos amis espagnols dans la pire des guerres civiles. Pensées aux centaines de milliers de victimes de la répression franquiste et à ceux qui ont dû refaire leur vie en France, notamment à Béziers."

    Nombreux sont les électeurs du clan Ménard qui ont dû se frotter les yeux en découvrant ce message sur Facebook, célébrant les rouges massacreurs de paysans et violeurs de religieuses.

    L’ancien fondateur de Reporters sans frontières, dont Stéphane Ravier disait mercredi qu'il ne restait plus désormais que le "sans frontières" est né à Oran, où s’étaient réfugiés de nombreux républicains espagnols, d’un père syndicaliste communiste. Lui-même fut trotskiste (Ligue Communiste Révolutionnaire, rien que ça), mais on pensait qu’il avait viré sa cuti. Reconnaissons lui le talent de l'avoir fait croire pendant plusieurs années, tant qu'il avait besoin de cette façade pour glaner des voix, ce qui rehausse d'autant l'imposture et la fourberie. Mais désormais, bas les masques ! Ce revenez-y nous convainc désormais du contraire, de même que ses désormais classiques déclarations macrono-gauchistes. Beaucoup se posent la question : Ne s'agirait-il pas de sombres manigances électorales ? Plus nombreux encore sont ceux qui ne se la posent plus !

    Une telle prise de position est en outre une grossière erreur, plusieurs membres de la communauté espagnole nous ayant fait connaître leur totale désapprobation pour "ces paroles de guerre civile". 

    Et sur l'ensemble de ces fadaises nous n'entendons pas Emmanuelle Ménard… Il est vrai qu'ils clament à qui veut les entendre que pas un mot n'est prononcé, pas un écrit n'est rédigé, pas une opinion n'est formulée sans l'accord de l'autre. Toutes ces postures sont donc une manœuvre collective parfaitement réfléchie, au mépris de l'ensemble de leurs électeurs, ce qui les rend d'autant plus déplaisantes. Il faudra s'en souvenir.

    Depuis, les reniements du clan n'ont fait que croître et embellir à un rythme et à une intensité qui ne suscitent plus l'étonnement ou la consternation mais un profond écœurement et un dégout majeur. 

    Nous vous invitons à lire l'article suivant qui précise utilement un point d'histoire important évoqué dans les commentaires.

    Les réactions à ces provocations n'ont pas manqué. Celles que nous reproduisons ci-dessous, qui ne sont qu'un échantillon, en sont la démonstration :

    Jean-Christophe Visomblain  Entre la dictature franquiste et le totalitarisme communisme, il n’y a pas photos comme on dit. À cette époque, il fallait faire un choix. Et le choix c’est sans conteste l’anti-communisme primaire, secondaire et tertiaire. 

    Marc VandeSande  La chasse aux voix en démocratie dévoyée incite à s'inspirer des caniveaux pour écrire l'histoire à "sa façon".

    André-Yves Beck  Ce qui est pathétique avec ce pauvre Ménard, c'est qu'il pourrait faire le post exactement inverse avec le même allant.

    Philippe Dauphin  Pensées aussi aux massacrés par les "républicains" venus de toute l'Europe pour soutenir le régime communiste auquel le général Franco s'est opposé. S'il y eu soulèvement par l'armée c'est surtout suites aux exactions terribles des communistes espagnols.

    Bastien Btd  Qu’est-ce que c’est que ce post de merde ? Mieux aurait-il fallu le communisme ? Si rien n’est tout noir ou tout blanc, vous vous prêtez désormais à la bien-pensance de gauche en histoire en omettant les contextes. Mieux vaut perdre que gagner dans le déshonneur. Vous ne valez plus mieux que ce que vous combattiez par le passé. Adieu M. Ménard.

    Gérard Dardé  Ménard vous devenez de plus en plus non crédible, ce n'est pas un coup d'État qu'il y a eu en Espagne mais une guerre civile des anarchistes et communistes contre les catholiques et les gens de droite...

    Charles François-Xavier Cazelle Vous oubliez le sang des martyrs chrétiens versé par les brigades rouges ; tout en oubliant que le coup d'état était fomenté par les marxistes.

    Henri Delcros Les violences et les massacres du front populaire de gauche ont amené une collégiale des généraux à prendre le pouvoir voilà l histoire

    Frederic Pichon Pensée aux victimes des exactions républicaines en particulier aux religieuses assassinées.

    Éric Hébrard Ah bon. Parce que la chienlit anarchiste et républicaine assurait la pérennité de l'état espagnol ? On oublie les massacres de religieux et de milliers d'opposants. Le général Franco a sauvé l'Espagne du communisme. Et le gouvernement français dit de Fr… 

    Rod Lec Coup d'état ? Il faut voir dans quel état se retrouvait l'Espagne à cette époque, violence, multiple insurrections, défiance envers l'état. Et dire que c'était seulement fasciste n'est pas vrai puisque l'armée s'appuie sur des monarchistes, des conservateurs… 

    Richard Perrat Une pensée pour les prêtres et religieux torturés et assassinés par les communistes et leurs complices.

    Georges Viudes N'oublions pas de remercier Franco qui sauva des milliers de pieds noirs que les sbires de de gaulle empêchaient d'embarquer pour la métropole.

    Pedro Sombrero Robert Ménard: vous ressortez la vulgate lamentable de la gauche espagnole, qui refait l’histoire à son avantage. La crise de juillet 1936 est aussi la conséquence du refus, par les gauches espagnoles, du verdict des urnes, favorable aux droites. 

    Jean-Jacques Bastin Robert Ménard ferait bien d'étudier l'Histoire d'Espagne avant de dire ou écrire quoi que ce soit ! Il n'y a jamais eu de coup d'état fasciste, mais une réaction saine de l'armée face à l'incurie provoquée par l'incompétence des divers gouvernements de… 

    Georges Viudes  Ces mêmes Pieds-Noirs qui ont voté en masse pour vous.

    Eric Lafalla C’est la réponse à la terreur rouge. L'historien Bartolomé Bennassar « rappelle que, dès mai 1931, une centaine d'églises avaient été détruites ». Des groupes anarchistes s'en prennent à des prêtres et à des monastères dans les premiers mois de la guerre.

    Jacques Dandine Sinon, en France, on a connu également :

    - le 17 juillet 1429, le sacre de Charles VII

    - le 17 juillet 1453, la fin de la guerre de Cent Ans

    - le 17 juillet 1863, la création de La Croix Rouge

    - le 17 juillet 1879, le plan Freycinet

    Ne pas être sélectif dans les commémorations, c’est mieux !

    Jean d'Hautefeuille Monsieur Ménard, sur ce sujet vous manquez visiblement d’informations. Vous oubliez ou ignorez les chrétiens persécutés par les communistes. Franco a sauvé l’Espagne du communisme. Et a d’ailleurs remis le pouvoir à la démocratie après. Ne vous laissez pas imposer la lecture de l’histoire par la gauche s’il vous plaît.

    Vincent Rinié Ils ont échappé au communisme qui a fait le bonheur des 30 millions de morts sans compter ceux qui sont encore en danger actuellement. Alors, difficile après les évènement de porter un jugement. Ceux qui ont trouvé refuge en France sont bienvenus, et certains d’entre eux sont toujours abonnés au socialisme invivable, voir Mme Hidalgo…

    Gaël Courossé Il me semble que, si on veut être historiquement juste, les massacres sont la spécialité des révolutionnaires espagnols. Le reste n’est que le chaos résultant des actions de ces ordures communistes révolutionnaires.

    Laurent Castadère Comment se souvenir de cette tragédie tout en se rangeant du côté des oppresseurs du jour pour un passe vaccinal, relatif à un traitement encore en phase de test, et prouvant déjà en Israel, GB ou Seychelles qu'il fonctionne très peu devant les variants… 

    Robert Ménard informez-vous, apprenez l'histoire, au lieu de répéter bêtement la propagande de gauche communiste svp. Un Mao espagnol vous aurait donc plu ? Réfléchissez et soyez responsable un peu. Le communisme est à la source de la guerre et de ces massacres, merci Franco d'être intervenu et d'avoir rétabli l'ordre.

    Charles Tristan Paris Ne pas oublier que la coalition de Gauche a perdu le pouvoir par les urnes (alliance du centre et de la droite réactionnaire) et que des assassinats politiques et des tentatives de prise de pouvoir locaux avec des attaques d'écoles catholiques ont amené l'arrivée de Franco. Situation bien plus complexe que "les fascistes ont fait un putsch" la table que la Gauche nous impose. Mon grand père, jeune militant communiste français s'était engagé aux côtés des républicains et en tant qu'athée je n'ai aucune sympathie pour la situation quasi féodale qui a eu pour conséquence la radicalisation de la Gauche. Mais il faudrait arrêter de réécrire l'histoire.

    Chris Fletcher Avant de la ramener en suivant les interprétations gauchistes sur cette guerre, je vous conseille la lecture de Luis Togorres « guerre civile espagnole ».... Vous y apprendrez comment les communistes et leur obédience frente popular ont semé le bordel dès 1932 pour conduire à la situation de 1936. Franco a été le plus prudent des officiers supérieurs espagnols pour choisir d’intervenir (contrairement à Yagüe par exemple). Il faut arrêter d’apprendre l’Histoire à travers le prisme du gauchisme primaire.

    Fabien Hétoi A t-on parlé de ces "bons communistes" qui se sont portés volontaires pour être gardiens de goulags en URSS ? !!!!

    Didier Hendrickx Je peux comprendre que la séance de maquillage hebdomadaire sur LCI soit agréable mais de là à reprendre les articles des années 30 de l’Huma…

    Cian Mab Diancecht une pensée au victimes des "républicains"...

    Jean-Pierre Ouvrard Le modèle de RM serait donc l'assassinat par la Guardia Civil du député monarchiste José Calvo Sotelo qui avait dressé devant les Cortes le bilan de la IIe République après 2 mois de Frente Popular: " 160 églises entièrement détruites, 251 édifices religieux assaillis, incendiés ou saccagés, 269 meurtres politiques, 1 300 personnes blessées, 10 sièges de journaux totalement anéantis, 156 bombes lancées sur la voie publique, 155 grèves généralisées". Les regrets de RM vont vers une Espagne bolchévique et un régime stalinien à la frontière Française. En visite officielle à Madrid, De Gaulle  à Franco: " Vous avez été la chance de l'Espagne"

    Guillaume Staub Soutien aux franquistes qui ont mis fin aux massacres commis par l'extrême gauche espagnol.

    Philippe Tournier Ce n'est pas tout à fait comme ça que ça s'est passé, on ne devrait pouvoir interpréter l'histoire

    Marko Xikito Bravo Et bientôt on fera pareil nous français, on partira en Espagne sur la terre de nos arrières grands-parents 

    Xavier Dupire M Menard, mon arrière grand père (1899-1986) vivait en Espagne, il n’était pas plus républicain que monarchiste, il ne tenait pas particulièrement à vivre dans une république comme de nombreux citoyens du monde qui vivent dans des monarchies (Angleterre, Belgique, pays bas) pour lui aucune raison de changer, même les républiques ne son sont pas parfaites. La nuit les milices communistes entraient chez lui pour le prendre et l’exécuter pour ne pas penser comme certains. Ses ouvriers l’informaient de la venu de ces milices et lui pouvait se cacher. Tout n’est pas rose dans le républicanisme espagnol, ils ont chassé les monarchistes, les gens de droite, massacré des ecclésiastiques. Les premiers exilés en France furent ces gens chassés par les républicains. Il se réfugia en France. Quand le vent tourna en faveur des autres, il put rentrer et ce sont les rouges qui durent fuir en France. Mais ça on n’en parle jamais des premiers exilés de droite, jamais.

    Patrice De Saint Sauveur Pensées et prières pour les innombrables martyrs catholiques du Frente Crapular espagnol. M. Médard vous me décevez, auriez-vous préféré vraiment les communistes et anarchistes espagnols ???

    Niala Siavres Attention à la répression macroniste nous commençons à en payer les pots cassés alors prenons les choses en main et réagissons.

    Marie-helene Agam Comme toutes les guerres Monsieur il n’y a a pas les gentils et les méchants. Les guerres civiles non plus n’échappent pas hélas à cette règle. Soyez plus clair j’ai de plus en plus de mal à vous comprendre.

    Daniela Foubert Question de point de vue of course car ces fachos de l'époque partageaient pas mal d'idées avec nos néo-nationalistes... et les républicains espagnols de jadis étaient les précurseurs de nos gauchistes bien contemporains.

    Louis Valier Effectivement. Pensée aussi aux victimes des escadrons de la mort communistes à Madrid où ailleurs.

    Jp Gallii Franco a aussi sauvé des milliers de Pieds Noirs en envoyant des bateaux à Oran récupérer des français abandonnés par votre nouvelle idole De Gaulle. Vous cherchez un poste au gouvernement Macron ???

    Axel Pacoss Vision gauchiste monsieur Ménard !

    Paco Fernandez  Sur la guerre d’Espagne, il vous faut lire davantage.

    Marco Caïazzo Ne pas oublier les morts de la répression des républicains. Et des communistes les anarchistes de Barcelone ont été décimés par les communistes aidés par L'URSS.

    Laurent de Vargas Gauchiste un jour, gauchiste toujours. Et les assassins de Calvo Sotelo et de Paracuellos, c'était des saints peut-être !

    Agus Ruiz Robert Ménard, vous êtes un gauchiste qui parle...Franco a sauvé l'Espagne du communisme , arrêtez de faire le con.

    Beorn Id Encore et toujours de la démago, le vocabulaire adapté pour plaire aux timides et les bonnes pensées pour le reste de la masse. et on s'étonne encore de perdre tout le temps?

    Arthur Valois Vous perdez complètement la tête Robert Ménard avec vos délires gauchisants et gauchistes comme celui-ci de plus en plus fréquents, et tout le monde s'en rend bien compte à en lire les commentaires. 

    Louis Mouchel Rien à ajouter, les commentaires sont exacts. Sans Franco, l'Espagne serait communiste, et il y aurait eu 10 fois plus de victimes... !!!

    Madeleine France Petits rappels :

    Le nombre officiel de la terreur blanche est de 80 000 victimes collatérales et actions postérieures incluses.

    Les exactions républicaines et communistes de la terreur rouge qui sévissait contre les nationalistes et les catholiques font état d’environ 75 000 morts sur une période considérablement plus courte (dont 20 000 prêtes assassinés par les communistes avant que Franco prenne le pouvoir). On peut donc aisément projeter que si les républicains et les communistes étaient arrivés au pouvoir il y aurait eu beaucoup, beaucoup plus de victimes innocentes.

    Et tout cela à mettre en parallèle avec les massacres commis en URSS et en Chine qui eux-mêmes feraient passer les nazis pour des bienveillants.

    Mais comme c’est toujours plus politiquement correct de taper sur Franco que sur les républicains.

    N’oublions jamais que Franco a sauvé l’Espagne de la folie républicaine, tout comme l’inquisition en son temps sauva l’Espagne de la folie protestante et révolutionnaire.

    Malheureusement cela a un coût car tristement il n’y a pas de guerre civile sans morts. Franco était un autocrate certes mais cependant il a sauvé les pieds noirs alors que la France ne peut pas en dire autant.

    Seul un idiot peut sincèrement croire qu’une dictature est de manière inhérente pire qu’une démocratie. Comme le disait Lao Tseu : "seul un idiot peut croire qu’il vaut mieux être dirigé par 20 millions d’imbéciles plutôt que par un seul homme sage."

    Marc Iclous Il va commencer à falloir sérieusement apprendre l’histoire pour éviter de continuer à déblatérer autant d’inepties : le franquisme n’est pas et n’a jamais été un fascisme !

    Clém Entine Qualifier de "fasciste" le régime franquiste est une erreur sémantique de débutant. 

    Jean Caladois Ce qui est bien avec les traîtres comme Ménard, c'est que ça se voit sur leur gueule, ça évite de tomber dans le piège comme ça ! 

    Jean Caladois Vive les brigades internationales hein Robert Ménard ! 

    Karol Krawczyk Une pensée pour toutes les victimes du communisme.

    Louis-m Lcr Décidément, le Ménard et ses satellites ne savent plus que faire et que dire pour s’acheter une virginité !! Vous me donnez envie de gerber.

    Sylvie Toutoune Oui c'est pour ça que je pars en Espagne.

    Marie Lys Menard est totalement à côté de la plaque. Certainement lui ou son épouse attend un poste au gouvernement de Macron. Il est pro Macron pour le passe sanitaire et le vaccin obligatoire qui est même pas un vaccin mais une thérapie génique en phase expérimentale. Je suis déçue de lui. Il est toujours sur les plateaux de télévision à dire du bien de Macron. Les prostituées sont plus honorables.

    Raoul Garah Ménard vous faites du révisionnisme !

    Helene Koehler Ce qui nous arrive aussi depuis que macron est au pouvoir et que des politiques comme vous ne font rien pour les français.

    François Soulard Message inutile. Ressaisissez vous.

    Anthony Chessari Murillo Una ! Grande ! Libré ! Hariba Espana ! Merci Franco.

    Patrick Specht C'est n'importe quoi. Il n'y a jamais eu de fascisme en Espagne.

    Peter Mansfeld Oui quand les églises brûlent que des députés sont assassinés par un commando de police du frente popular, quand des militants de droite et des chrétiens sont assassinés dans les rues, pour vous il ne fallait pas réagir aux assassins et tortionnaires anarcho communistes ??? Se laisser faire ??? À moins que vous les approuviez ! Gloire éternelle aux nationalistes et aux héros de l'Alcazar qui ont sauvé l'Espagne du communisme !!!

    Christian Viguier En lisant votre commentaire sur ce « coup d’état fasciste » de 1936 , les bras m’en sont tombés !!!!! Profitez de votre temps libre pour lire "le livre noir du communisme" de Stephane Courtois et ses 80 à 100 millions de victimes. Franco, malgré toutes les réserves qu’on est en droit d’éprouver, a évité cette tragédie et n’est pas entré en guerre au côté des puissances de l’Axe .

    Grogouer Elvis Rizond Les bons vieux narbonnoïdes antifas venus pourrir le sud de la France de leur présence néfaste Quelle chance.

    Thierry Bastian Ça ratisse large à Béziers.

    Péginous Réboussier Très décevant de votre part ; inquiétant même ! Vous soutenez les communistes qui violaient les religieuses avant de les massacrer ? On a piraté votre compte, ou quoi Monsieur Ménard ?

    Btd J-l Mrl Rch Il semble que vous n’ayez pas eu de formation historique objective sur la réalité du comportement des soi-disant républicains espagnols et de leur alliés anarchistes du POUM. Les simples guérilleros ayant trouvé refuge en France après leur défaite pouvaient à la limite être acceptés car ils ont suivi des fanatiques qui les ont embrigadés comme c’est le cas dans la plupart des conflits menés par les rebellions marxistes mais de là à les célébrer et à honorer leurs mort il y à une « tranchée ».

    Patricia de la Force Le compte a été piraté par Carole Delga.

    Nath ZG Vous jouez à quoi en ce moment ?

    Christelle David-Montaz Robert, pense à t'hydrater. Tu yoyotes, et j'ai un mal fou à te défendre.

    Thierry Louloutte Le tout, complètement hors contexte historique. Vous êtes un peu à côté de vos pompes Mr Ménard. Allez faire un PCR !

    Jack Belin Ça y'est papy gatouille direction EPAD ...

    Gérard Auzou Navrant de constater que vous M. Ménard, tombez dans les ornières des antiennes de l'histoire officielle de la guerre d'Espagne. Pas plus qu'une guerre conventionnelle, une guerre civile n'est propre. Auriez-vous oublié que sans l'intervention de Franco, des milliers de pieds noirs supplémentaires auraient été promis à une mort certaine ? En effet, Franco vint au secours des Oranais livrés à la fureur meurtrière de l'ALN , des ATO et de civils algériens, tout comme à l'inaction coupable de Katz, en faisant affréter 2 ferrys, le "Victoria" et le "Virgen de Africa", afin de les sauver. Il ne faut pas avoir une vision hémiplégique de l'histoire ! Venant de vous, ces paroles sont une honte.

    Jehan Charles de Penfentenyo  C'est un fake ?

    Dieg'z Adt Le clown Menard 

  • Ce que les Pieds-Noirs doivent à Franco, M. Ménard !

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    Le 30 juin 1962 à 10 h du matin, malgré l’opposition de de Gaulle, le général Franco donne l’ordre à ses capitaines d’embarquer les pieds-noirs, faisant fi de la pression imposée par la France.

    Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pieds-noirs abandonnés sur les quais d’Oran et livrés à la barbarie du FLN.

    De Gaulle est également informé que l’aviation et la marine de guerre espagnoles sont en route jusqu’aux eaux internationales, face à Oran.

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    Finalement, face à la détermination du général Franco, la France cède et le samedi 30 à 13h00 ces deux bateaux espagnols peuvent embarquer 2200 pieds-noirs, 85 voitures et un camion.

    Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent s’opposer à la montée sur leurs bâtiments d’une compagnie de CRS qui voulaient lister tous les pieds-noirs embarqués à destination de l’Espagne.

    Les capitaines espagnols avouèrent n’avoir pas compris l’attitude arrogante des autorités françaises dans une situation aussi dramatique.

    Contre vents et marées, finalement à 15h30, les quais d’Oran, noirs de monde, se vidèrent. Les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge.

    De l’arrivée jusqu’au départ des ferrys espagnols, une liesse, joie et larmes, s’était emparée des pieds-noirs aux cris de « Viva España ! » et « Viva Franco ! »

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    En 1965, le ministre de la Marine espagnol, l’amiral Pedro Nieto Antúnez, lors d’une visite à l’Élysée, put se rendre compte des sentiments de De Gaulle : « Transmettez au général Franco ma profonde admiration pour le grand rôle historique qu’il a joué et pour tout ce qu’il fait actuellement pour l’Espagne », lui déclara le Général.

    « Tout bien pensé, son bilan est positif pour son pays, dira-t-il plus tard à son collaborateur Pierre-Louis Blanc.

    En Juin 1970 De Gaulle a tenu obstinément à rencontrer le général Franco malgré les réticences de ses conseillers. En France le concert des pleureuses a fait semblant de s'indigner. La réception à Madrid fut somptueuse et la rencontre chaleureuse, où l'on vit De Gaulle s'emparer des deux mains de Franco, geste inhabituel de sa part. L'histoire n' a rien de manichéen.

    Le clan Ménard n'ignore pas tout cela. Ses commentaires n'en sont que plus minables.

  • Des nouvelles du clan Ménard ? Le témoignage de première main de son ancien directeur de cabinet

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    Aujourd'hui la girouette repart vers la gauche ! Demain ?...ça dépend du vent bien sûr !

     

    À la suite du énième retournement de veste du clan affirmant, dans une émission de télévision, qu'il avait commis une faute quant à ses prises de position sur l'immigration, il est intéressant de prendre connaissance du témoignage de celui qui l'a bien connu pendant plusieurs années, le directeur de cabinet. Sur sa page Facebook, il précise certains traits que nous savons ne pas être limitatifs !

     

    Pauvre, pauvre Ménard Quand je pense avec quel empressement il s'était livré au scénario que je lui avais proposé à l'époque : débarquer chez des squatteurs syriens et les virer. Avec quelle application il avait appris par cœur le texte que je lui avais écrit. Comme il était content que le "coup" passe ensuite sur toutes les chaines.

    Je te connais Robert. Comme te connait la petite équipe de Zemmouriens qui t'entoure actuellement en mairie et qui n'en peut plus de toi. Tu n'en as rien à foutre des autres, des migrants comme des Français. Ne compte que ta gueule, ta femme et votre descendance de végans

    Je t'ai vu hurler sur des subordonnés, je t'ai vu pleurer seul dans ton bureau, je t'ai entendu me dire "André-Yves, je suis un con". Comme tous les autres, j'ai reçu tes célèbres textos angoissés de 3 heures du matin ("Vous dormez ? On peut s'appeler ?"). Tu es un pauvre type, un hystérique capable de gueuler sur son téléphone muet "Sale petite conne sale petite conne" parce que Marion Maréchal ne répondait pas à tes textos

    Et je ne parle pas de tes jugements sur Marine, passant de "Elle est humaine, elle m'a écouté, le courant passe" à "elle n'a rien compris, c'est une conne".

    Tu n'as aucune parole et aucune figure et dans ton entourage tout le monde le sait.

    *****

    On se doute, ce message a immédiatement provoqué nombre de réactions. En voici un faible échantillon :

    - Un témoignage sur cet individu . A diffuser..

    - Je l'ai découvert sous son vrai visage, lorsqu'aux assises de la droite, il a vivement critiqué le concept de remigration...

    - Je dis plus que bravo, la vérité enfin sur cet ectoplasme imbuvable.

    - Voilà qui est clair et bien envoyé.

    - Ce type est un sketch à lui tout seul.

    Le tout est à retrouver sur la page Facebook d'André-Yves Beck.

  • Le clan Ménard, "Naboléon" de la campagne de Russie !

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    Comme le bon élève voulant paraître encore meilleur auprès de son professeur, quitte à devenir mielleux, le clan Ménard poursuit sa politique de carpette macronienne : « la politique de Macron est globalement positive ». Il faut oser le dire !

    Alors, à y être, remettons une couche. Ils n’ont rien trouvé de mieux, sous le feu des projecteurs, que de partir vers la Pologne avec deux ou trois camionnettes de vivres. Un remake de Kouchner déchargeant un sac de riz en Somalie : démagogique et ri-di-cule ! Dans ces temps où la réflexion, la sagesse, la hauteur de vue doivent s’imposer, on ne peut que stigmatiser ceux qui utilisent ainsi ces drames au soutien de vils motifs électoraux.

    Ce n’est donc pas le clan Ménard, avec sa culture historico-politique acquise à la lecture d'un timbre‑poste, qui pourrait nous fournir des pistes d’analyse sur cette actualité ou adopter la position qu’on serait en droit d’attendre de personnes se prétendant responsables. Après la pitoyable réception de Macron à Béziers, ils n’ont rien trouvé de mieux que d’accentuer leur flagornerie en faisant part de leur soutien à l’inefficace politique internationale du président, puis d'insulter, comme d'habitude, ceux qui ne sont pas de son avis ("patriotisme de bazar"). Pendant ce temps leur candidate, Marine Le Pen, tacle sévèrement E. Macron qu'elle accuse de "faire de la communication". Belle unanimité ! Mais la communication n'est-elle pas justement l'unique activité du clan Ménard ? S'abaisser de la sorte demande tout de même une imagination débordante doublée d'un manque de conviction sans limite et d’un arrivisme matrice de tous les reniements.

    Comprendre les événements qui se déroulent actuellement au centre de l’Europe, et plus largement comprendre la diplomatie russe, ne peut se faire sans revenir au choc qu’a été l’implosion de l’URSS de 1991, lorsque intervint, en même temps que la démission de Gorbatchev, la sécession des républiques de l’URSS, et la création de la Communauté des États Indépendants. Plusieurs anciennes républiques soviétiques, comme la Biélorussie, l'Ukraine, la Moldavie, l'Arménie et les cinq d'Asie centrale maintinrent des liens étroits avec la Fédération de Russie et formèrent des organisations multilatérales. Les pays baltes rejoignirent l’OTAN et l’Union européenne.

    Le président Poutine s’est exprimé à de nombreuses reprises sur ce moment qu’il qualifie de « moment terrible » que représentait la perte de territoires, russes depuis plus de deux siècles. En 1991, la frontière russe était l’équivalent de l’empire russe de 1914. Ce traumatisme fut aussi celui du peuple russe, profondément attaché à la Patrie, la terre russe. Le professeur russe D.  Fourman qualifiait les accords de Bielogev de « coup d’État » et précisait qu’au mois de mars 1991 « les citoyens soviétiques s’étaient prononcés en masse pour le maintien de l’URSS ».

    En outre, sur le plan géopolitique, la Russie considère depuis toujours, que la plaine d’Europe du Nord, entre mer du Nord et mer baltique représente un risque majeur de sécurité nationale. Toute la plaine qui s’étend de Paris à Moscou est un terrain favorable aux invasions venues de l’occident mais également, une protection de 500 km. Napoléon et Hitler, qui s’y sont cassés les dents, en savent quelque chose.

    L’Amérique, quant à elle, estime que la puissance russe est dangereuse et doit être limitée. Elle cherche, depuis des années, à élargir l’OTAN vers l’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie (voir les cartes). De même, Washington a, dans le cadre de sa stratégie, installé des missiles antimissiles en Pologne, en République tchèque et en Roumanie, ce qui est perçu par la Russie comme une menace hostile mettant en danger son intégrité. Si l’Ukraine rentrait dans l’OTAN, ses bases seraient à 250 km de Moscou. On peut aussi évoquer l’appui que les américains ont donné à l’opposition au régime du président Chevarnadze, ancien ministre de Gorbatchev.

    Il serait enfin juste de se souvenir de la guerre en Serbie que les États-Unis et l’OTAN ont mené sans aucun complexe ou évocation des « droits de l’homme » à géométrie variable, du massacre de prétendus terroristes aux quatre coins de la planète, déstabilisant les pays concernés, le tout pour de mercantiles intérêts énergétiques (Irak, Lybie…).

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    Comme on le voit sur la carte ci-dessus, la Russie est sur la défensive depuis la chute de l’URSS. En effet, plusieurs anciennes républiques du bloc de l’est ont rejoint l’Otan : Hongrie, Pologne et République Tchèque en 1999, Roumanie et Bulgarie en 2004. En 2004 également ont adhéré les trois pays baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie), anciennes républiques de l’URSS. L’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie, tout au moins leur dirigeant, ont annoncé qu’elles voudraient en faire de même. D'où la situation actuelle.

    La Russie mise également sur le succès de l’Union économique eurasiatique (UEE), sorte de palliatif à la chute de l’URSS. Outre la Russie, l’UEE regroupe le Belarus, le Kazakhstan et l’Arménie. Soit 2,96 millions de km² et un PIB de 2400 milliards de dollars (2100 milliards d’euros).

     

    La France, pétrie d’Euro-béatitude, pour d’évidentes raisons de politique intérieure, s’est mise à la remorque de l’Amérique. On ne peut que s’attrister de constater que ce pauvre Macron, n’intéresse ni les uns ni les autres. Son mandat n'est qu'une suite ininterrompue d'échecs en matière de politique étrangère, le dialogue stérile avec Trump et plus encore avec Poutine, les dossiers iranien et libanais, la gestion des crises en Syrie et en Libye, voire au Sahel où les orages s’accumulent, et évidemment le "coup dans le dos" d’AUKUS. Les coups de fil, les déplacements à Moscou ou à Kiev, avec l'indéfectible couverture des médias français, n’ont pas eu le moindre impact. Ils n'étaient là qu’à usage électoral. Ce ne sont plus de simples contorsions, mais une dérisoire pantomime.

    Sans nier la culpabilité de la Russie dans l’invasion de l’Ukraine, force est de constater qu’aucun des pays occidentaux n’a eu le courage de l’inciter à respecter les accords de Minsk. Ils ont dans la situation d’aujourd’hui une responsabilité évidente.

    D’où la nécessité de reprendre au plus vite la voie diplomatique.

    Avec une industrie liquidée, une éducation nationale en faillite, une culture reléguée au rang de danseurs transgenres sur les marches de l’Élysée, ses échecs extérieurs, quel poids peut avoir le président français dans les discussions internationales ? Poutine n’a certainement pas été impressionné par la visite de notre président qui a eu droit à une réception et à un départ des plus humiliants. Nous sommes loin des temps où la France avait, avec la Russie, des relations privilégiées, où notre culture faisait l’admiration de la Cour, quand en 1717, le tsar Pierre le Grand revenait en Russie avec des ingénieurs, des officiers, des artisans rejoignant les artistes français déjà installés à St. Pétersbourg, comme le sculpteur Nicolas Pineau, le peintre Louis Caravaque ou l’architecte Le Blond qui vont alors s’inspirer de la Manufacture des Gobelins ou de la Manufacture Royale des Glaces. Il faudra bien, un jour, au risque de continuer à s’enfoncer dans une mortelle médiocrité, retrouver les moyens politiques de notre place dans le monde. Ce n’est pas avec un président, par nécessité démagogue, qui n’est là que pour cinq ou dix ans, que nous allons y arriver.

    L’article suivant illustre bien notre décadence.

    PS : Cet article était écrit lorsque nous apprenons que le clan Ménard rejoint la gauche la plus extrême en approuvant l’immigration qui nous submerge. Nous n’aurions jamais imaginé une telle forfaiture. Nous y reviendrons.

     Henri Bec