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Ménard - Page 2

  • Aux sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National, de Reconquête et autres français soucieux de l'avenir de leur pays

    CE BINOME NE RISQUE PAS DE VOUS DÉCEVOIR !

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       Henri Fabre-Luce , candidat                           Franck Manogil, suppléant

    Tous ceux qui, depuis plusieurs années, reçoivent les publications de ce blog, savent que nous nous sommes toujours attachés à la défense de notre civilisation, de nos libertés, de notre sécurité, en un mot du prestige et de la survie de la France. N’ayant aucun intérêt particulier dans ces élections législatives, c’est uniquement ce même sentiment qui dicte le présent article, pour ne pas dire cet appel pressant.

    Aujourd’hui la situation n’a jamais été aussi critique, aussi chargée de sombres pressentiments. Les derniers événements du stade de France, outre ceux que nous subissons depuis cinq ans, ont montré ce qui nous attend si un sursaut urgent ne se manifeste pas. La situation est trop dramatique pour se laisser aller à des fâcheries de détail qui mobilisent plus les états-majors que les électeurs eux-mêmes.

    Depuis des mois nous assistons à la désertion du clan Ménard. Elle s'est définitivement réalisée par les récentes déclarations au journal Le Monde (voir l’article suivant), qui démontrent le souhait de ces personnes sans foi ni loi de faire passer leur ambition personnelle avant toute idée et a fortiori toute conviction. C'est avant tout la place et ses subsides qui est dans la ligne de mire : rejoindre un gouvernement d’une nocivité telle que la France n’en avait pas connue depuis longtemps. Les critiques virulentes qu’ils ne cessent de lancer à l’encontre du Rassemblement national et de Reconquête les disqualifient définitivement pour pouvoir se recommander d’une quelconque nuance de droite. Et encore moins d'une union des droites qu'ils s'emploient à détruire à longueur de déclaration.

    Henri Fabre-Luce et Franck Manogil sont donc désormais les seuls, sur leur circonscription, pouvant se vanter de représenter la véritable droite française et patriotique. Ils personnifient ce que le pays attend de ses représentants : un engagement professionnel enraciné dans la France réelle, une attitude ferme et énergique, une tenue irréprochable dans la défense de la sécurité et de l’ordre et avant tout une fidélité sans nuance à leurs convictions, dont témoigne toute leur histoire. Ce n’est pas avec eux que nous aurons l’occasion de nous plaindre de la moindre désertion !

    Il est bien évident que passées toutes ces mesquineries petitement politiciennes, les patriotes français se retrouveront parce que la situation va rapidement l’exiger. Leur voix doit être entendue à l'Assemblée.

    Sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National et de Reconquête, et nous autres français soucieux de l'avenir de leur pays, ne succombons pas à des réactions superficielles, mais ayons avant tout dans l’esprit l’avenir de cette France que nous aimons tous, qui se délite chaque jour un peu plus.

    Henri Bec

  • Le clan Ménard dans ses dernières œuvres : "ministre, je ne dis pas non"

     

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    À l'approche des élections législatives, le maire de Béziers Robert Ménard a fait part, dans les colonnes du Monde, le samedi 25 mai 2022, de son désaccord avec ses deux "amis" Marine Le Pen et Éric Zemmour.

    Pourtant longtemps partisan de l'union de la droite, le maire de Béziers Robert Ménard semble aujourd'hui fortement remonté contre ses "amis" Marine Le Pen et Éric Zemmour. C'est en signant une tribune dans Le Figaro, intitulée "Une majorité pour Macron, un moindre mal face à Mélenchon", que les Ménard ont fait savoir leur désaccord croissant avec leurs anciens alliés, qui ont eu l'infortune de lire : "Nous ne voulons pas non plus d’un pays dirigé par ces patriotes de pacotille qui fantasment sur Poutine. Car cette droite confite de nostalgie est un repoussoir qui n’a aucune chance de remporter un jour la majorité des suffrages. Une impasse idéologique. Un désastre politique."

    Et pour cause, des idées qui divergent : Robert Ménard n'a pas toléré l'opposition de Marine Le Pen et Éric Zemmour au passe vaccinal, en faveur duquel son épouse a voté avec la REM (alors que tous les membres des non inscrits ont voté contre) : "Je te les enverrais à Moscou vite fait", s'insurgerait-il, comme révélé par Le Monde ce 25 mai 2022. Désaccords qui concernent également le droit d'asile, le port du voile... Robert Ménard remettrait même en cause ses propres idéaux. Il dit désormais avoir "honte" de certaines de ses idées, notamment sur l'immigration, alors qu'en 2016 il avait placardé sa ville d'affiches montrant des migrants et la mention "Ça y est, ils arrivent...".

    Se rapprocher du pouvoir ?

    Or Robert Ménard est un adepte des positions changeantes : d'abord jeune trotskiste, membre du Parti socialiste jusqu'en 1981, puis du parti centriste, il finit par se tourner vers l'extrême droite. Un nouveau virage à 360 degrés qui laisse entendre la possibilité d'un nouveau rebondissement dans sa carrière politique. À Béziers, la tribune signée dans Le Figaro par le maire de la ville ne passe pas. Depuis le début de l'année, quatre de ses conseillers se sont d'ailleurs retirés, Henri Fabre-Luce, Benoit d'Abbadie (2ème adjoint), Victor Alzingre au lendemain de la publication, et Jean-Louis Respaud (qui a quitté le groupe Ménard au département). Aujourd'hui, le Biterrois se verrait bien ministre... : "Je ne dis pas non, je dis : 'pour quoi faire et avec qui ?'”, répète-t-il au Monde.

    Personne ne peut plus dire avoir confiance dans de telles girouettes !

  • ENFIN ! L'UNION DES DROITES !

    HENRI FABRE-LUCE, titulaire

    FRANCK MANOGIL, suppléant

    La véritable couleur bleu blanc rouge du biterrois

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    Nous aurons l'occasion, au cours des prochains jours  de revenir sur la campagne des élections législatives dans le biterrois. Treize candidats se présentent. Les douze autres se partagent entre un patchwork de gauche provisoirement uni, une pseudo droite chamallow, mondialiste et prête à toutes les compromissions et deux candidates macroniennes, le clan Ménard ayant définitivement rejoint l'Élysée. Faute d'avoir pu trouver un volontaire, le RN est absent. 

    Vous trouverez ci-dessous le texte de l'intervention d'Henri Fabre-Luce lors du grand meeting qui a réuni tous les candidats de l'Hérault à Montpellier, sous la présidence de Nicolas Bay, le 18 mai dernier. Elle donne d'ores et déjà la ligne véritablement française,  de droite, patriotique et enracinée  qui n'est partagée, ni même avancée par aucun autre candidat.  

    * * *

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    J’ai choisi d’être le candidat investi par Reconquête!

    sur la 6ème circonscription de l’Hérault (Béziers)

    pour le retour de la liberté !

    La liberté de penser, sans devenir immédiatement un complotiste, liberté de parler, sans être qualifié de « phobe » ou d’ « anti », liberté de douter, de contredire, d’argumenter, sans être assimilé à un factieux, liberté de recruter, sans être soupçonné de racisme ou de discrimination, liberté de créer, sans être aussitôt emprisonné dans des normes, sans queue ni tête, liberté de manger  selon ses goûts et non  selon une idéologie ou une religion, liberté de circuler, sans craindre pour sa vie ou celle de sa famille … Liberté de vivre, tout simplement, comme on y vivait en France il n’y a pas si longtemps. Bref, j’ai choisi d’être candidat de reconquête! pour que la France reste la France !

    Et puis, parce que je suis un viticulteur non délocalisable, parce que je suis un enraciné, je suis solidaire des jeunes générations. Je veux qu’elles aient un avenir plein de promesse autant que de sérénité. Pour elles, je porterai la vision politique et le projet  de Reconquête  à l’Assemblée Nationale.

    Pour moi, être député, c’est faire des choix clairs et les assumer. Ce n’est pas dire :    

    - Je veux que la droite gagne mais je suis contre l’union des droites !

    Ou bien

    - Je ne suis pas d’accord avec Emmanuel Macron mais il faut absolument lui donner une majorité.

    Et bien Non, il faut absolument lui donner une opposition !

    Il faut s’affranchir des méthodes de député à l’ancienne. Etre député, ce n’est pas serrer des mains et couper des rubans !  c’est être la relation de ceux qui n’en ont pas, c’est rendre possible des choix de niveau national car, pour que la vie des Biterrois et des Héraultais change et s’améliore, c’est la vie de la France qui doit changer et s’améliorer.

    Je suis un Biterrois de naissance et de cœur, je suis un enraciné qui portera à Paris la reconquête de notre identité, de notre souveraineté, de notre économie, de notre sécurité.

    Je veux que nous redevenions des  hommes libres !  J’ai choisi Reconquête !

  • Une belle leçon à tous les incompétents et démagogues, le clan Ménard notamment

    N'oublions pas que la députée E. Ménard, qui ose se représenter, n'a cessé d'appuyer les mesures de confinement et de se déclarer favorable à une OBLIGATION de se faire vacciner. Quand on ne comprend rien à une question, la meilleure solution est de ne rien dire.

    Quand on se prétend défenseur des libertés, la première mesure est d'éviter de les supprimer. On ne l'a pas non plus entendu sur la réintégration du personnel médical, injustement mis à l'écart. Le clan Ménard ne sait plus comment sortir de ses contradictions.

    Nous n'avons plus aucune confiance. Ne repartons pas pour cinq ans d'incohérence

    Le professeur Peyromaure, chef du service urologie à l'hôpital Cochin remet les idées à l'endroit !

     

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  • Sport favori du clan Ménard : le coup de poignard dans le dos

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    Dans la famille Judas, je demande le père

    Sans vraiment y croire, d'aucun pensait que l'impensable s'arrêterait avant l'ignoble. Mais il est vrai qu'avec les Ménard tout est possible, surtout "le dégueulasse" pour reprendre ses fines expressions. Après avoir renié à plusieurs reprises les idées sur lesquelles il avait été élu, trompant sans complexe ses électeurs, avoir laissé lâchement tomber Éric Zemmour qui ne convenait plus à ses ambitions (souvenons-nous "mon pote Zemmour" qui ne disait rien d'autre qu'aujourd'hui), voilà qu'il abandonne Marine Le Pen à dix jours du second tour, pour se rapprocher encore un peu plus de Macron. 

    Cette exécrable manœuvre n'est pas nouvelle, encore moins improvisée. Elle est apparue au grand jour à l'occasion de ces élections, arrivant à petits pas depuis plusieurs mois. Nous l'avions diagnostiquée il y a un an environ. Il suffit de se reporter à ce que nous écrivions le 24 juillet 2021 ICI, le 31 août 2021 ICI ou le 10 septembre 2021 ICI. Nous écrivions également en septembre 2021 ce texte prémonitoire :

    Il est plus que probable, comme nous l'annoncions, que nous allons assister à Béziers, d’ici les prochaines élections présidentielles et législatives, à un glissement progressif mais rapide sur la pente du politiquement le plus correct. Le premier mot d’ordre à respecter sans discussion se résume désormais dans la formule : "pas de vagues" ! Il y avait l’UMPS, nous allons maintenant découvrir la nouvelle configuration ménardo-républicano-socialo-macronienne. Le maire de Béziers ne disait-il pas, avant les élections, à qui voulait l’entendre, que le bilan de Carole Delga était globalement positif ? Et aujourd'hui que l'on pourrait se rallier à... Xavier Bertrand ! Le système a imposé son dictat : appliquer toutes les tromperies et déloyautés, tous les mensonges, renversements et reniements pour un second mot d'ordre fondamental : tout pour être élu, "la place d'abord" !

    Quelques amis estimaient que nous nous égarions et qu'il n'irait pas jusque là. Il est vrai que nous nous sommes trompés : nous étions loin d'imaginer une telle capacité de nuisance !

    À l'origine il s'était attribué le rôle du capitaine, seul capable de réaliser l'union des droites qui devait le porter, parce qu'on a peur de rien, au plus hautes destinées nationales ! Ce fut, en mai 2016 le très médiatique "OZ' TA DROITE', réunissant à Béziers le panel le plus hétéroclite de quelques personnalités de la droite ( on s'est vite aperçu qu'il manquait la plupart des plus importantes). Ce fut un magnifique fiasco dont on n'entendit plus parler au bout de deux jours, Marion Maréchal ayant par ailleurs claqué la porte un quart d'heure après l'ouverture ! Puis ce fut le très éphémère "Appel d'Angers" qui a duré, lui aussi, l'espace d'un matin. Dernière tentative sans lendemain. Et voila donc le clan Ménard privé de toute ouverture vers les lendemains qui chantent.

    Situation d'autant plus critique et inquiétante que la place venait d'être rapidement prise par Éric Zemmour dont personne ne peux contester la culture historique et politique, l'analyse serrée des événements, sa capacité à exposer des notions claires, et la fidélité à ses idées, autant d'atouts qui font, à l'évidence, défaut à la mairie de Béziers. C'est donc l'explication la plus simple qui s'impose : la jalousie sourde et prégnante, le ressentiment amer et rancunier, l'animosité grossissante se sont peu à peu emparés du clan Ménard. 

    Il imagina alors pouvoir exercer une influence dans le jeu des présidentielles. N'écoutant que son courage, et surtout son ambition, il fit connaître, à grand roulements de tambour, son invitation lancée à Marine Le Pen et Éric Zemmour à venir discuter à Béziers. Ils l'ont, l'un et l'autre envoyé promener. 

    Patatrac ! Le clan Ménard constate désormais qu'il n'intéresse plus les candidats, la presse, le public, les journalistes… L'abime de l'anonymat le guette désormais.

    Le réflexe naturel dans ces situations est d'en vouloir à la terre entière. D'où les épisodes récents que nous connaissons : agressivité inutile et malsaine à l'encontre d'Éric Zemmour, soutien à Marine Le Pen à la manière de la corde qui soutien le pendu… jusqu'à ces derniers jours, où le maire de Béziers, avec une formule où l'hypocrisie le dispute à la duplicité et à l'imposture annonce se "mettre en retrait de la campagne de Marine Le Pen" et cesser toute expression dans les médias jusqu'au second tour.

    Si le procédé est d'une déloyauté majeure, il nous permet toutefois, avec un immense soulagement, de ne plus l'entendre.

     

    Dans la famille Perfide, je demande la mère.

    Mais où est-elle donc passée ? Les anciens racontent qu'il y a déjà longtemps (trop longtemps disent beaucoup) elle avait été élue député, avec la mission, qu'elle a du estimer purement théorique, de représenter les français. Elle avait donc un rôle qui, en principe, devait l'amener à prendre des positions politiques, au moins au cours des périodes électorales ; et la présidentielle est à l'évidence l'une d'elles, si ce n'est la plus importante. Eh bien non ! Après avoir été très occupée par les pailles en plastiqueEn partance pour l'Ukraine-5.jpg et les gardes champêtres, s'être gargarisée de ses présences constantes dans l'hémicycle  pour pouvoir plus facilement grenouiller avec les RM, LR, UDI et autres formations aux convictions chamallow, trahir au passage le groupe auquel elle appartient, elle est revenue sur les terres biterroises dont elle ne manque pas l'occasion, elle originaire de Lille, de se déclarer amoureuse (vous entendez les ricanements ?) pour visiter les marchés, inaugurer les chrysanthèmes, assister à des concerts, sourire aux élèves de CM1, et même croire se rendre intéressante en faisant un ridicule aller retour en Pologne avec les véhicules et le personnel de la mairie. Mais des déclarations, aucune. Silence radio total. Incolore, inodore et sans saveur. Pour qui a-t-elle voté ? Pour qui va-t-elle voter ? Quels sont les thèmes de cette campagne qu'elle approuve ou conteste ? Mystère : la politique ne l'intéresse peut-être pas ! Mais personne n'est dupe. C'est en commun que sont élaborées les stratégies de la désertion. Ils partagent, comme ils le répètent à satiété, l'ensemble des écrits et prises de position. C'est dire qu'à son tour, disons plutôt "en même temps", elle fait sienne les retournements de veste, coups bas et autres forfaitures… quand elle ne les suscite pas ! Pendant que l'un s'agite sur les plateaux, véritable amuseur public (autrefois on aurait dit "fou du roi"), excellent faire-valoir des journalistes avides de clowneries, l'autre joue les sensées et pondérées pour ne pas choquer la macronie. C'est fin comme du gros sel.  

    Tout cela n'est pas très beau, c'est le moins qu'on puisse dire. C'est certes pitoyable et répugnant, mais surtout odieux. Ils donnent ainsi l'image la plus piètre et piteuse qui soit, renforçant l'opinion des français sur les acteurs politiques de ce système qui s'effondre, uniquement préoccupés par leur place et prébendes. C'est finalement le faible taux d'abstention qui est étonnant.

    Henri Bec

  • Le clan Ménard : on ne comptabilise plus ses perfidies

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    La plupart de nos lecteurs connaissent bien le site "Le Salon Beige" . Le 3 avril dernier il a publié la mise au point ci-dessous. Ce site n'est pas un habitué des polémiques virulentes, mais on sent bien ici l'exaspération de l'auteur devant ces retournements inadmissibles qui déconsidèrent définitivement le clan Ménard. Cet article avait pour titre :

     

    Robert Ménard, girouette, guignol

    ou agent double d'Emmanuel Macron ?

     

    Marine Le Pen avait accusé Nicolas Bay d’être un agent d’Eric Zemmour, sans apporter la moindre preuve crédible d’ailleurs. Elle ferait mieux de se méfier de Robert Ménard qui ne semble pas avoir compris que le 1er tour est dans trois jours. Il demande notamment “Quel homme politique aurait fait mieux ?”

    “Sur l’Ukraine, (…) je me dis voilà, (Emmanuel Macron) est chef de l’État, j’ai pas honte qu’il soit chef de l’État, il tient face à Poutine“, a lancé Robert Ménard. “Et puis je me dis, est-ce qu’il y en a un de tous ceux qui sont là qui serait mieux que lui à sa place?” a poursuivi celui qui a été élu avec le soutien du Front national, puis du Rassemblement national.

    Relancé sur le fait de savoir si sa candidate, Marine Le Pen, ne ferait pas mieux que l’actuel locataire de l’Élysée, Robert Ménard persiste et signe:

    “Sur ce terrain-là, non, sur l’Ukraine non“. “Mes amis, ils ont tous été pro-russes, c’est pas possible. Et ils le redeviendraient demain si la guerre était terminée, je trouve ça insupportable”, a-t-il taclé.

    Par ailleurs, il commence déjà à torpiller la possibilité d’une alliance de deuxième tour entre Marine le Pen et Eric Zemmour. Comme Marine Le Pen, il utilise les mêmes accusations que la gauche.  La victoire d’Emmanuel Macron passe justement par ce genre de nouveau front “républicain”. Robert Ménard est-il un guignol ou a-t-il négocié avec Macron la réélection de sa femme et un siège de sénateur pour lui ? L’avenir le dira…

    Ce que je ne supporte plus chez Eric Zemmour, c’est la dureté que porte son courant politique. J’ai listé tous mes désaccords avec lui et si demain Marine Le Pen faisait des concessions à Eric Zemmour sur ces désaccords là, je ne la soutiendrais pas, ce serait sans moi (…)
    Eric Zemmour a violé un certain nombre de lignes rouges qui sont à mes yeux inacceptables. Je ne suis pas de ce monde ni de cette dureté là (…) Je ne suis pas pour le port du voile mais jamais je ne refuserais un selfie à une dame […] Jai passé ma vie en Afrique pour Reporters sans frontières et vous croyez que si j’étais Burkinabé je ne rentrerais pas en France de façon illégale ? Je le ferais pour mes enfants sans hésiter

    La séquence est tellement surréaliste que même Sonia Mabrouk est obligé de rappeler à Robert Menard que son temps de parole est décompté sur celui du RN tant il fait l’éloge de Macron et tape sur Marine Le Pen…

     

    Nous espérons tous que l'avenir se fera sans eux. Cette menace de ne plus soutenir ni Éric Zemmour, ni Marine Le Pen ne désole plus personne. Elle sera au contraire un soulagement pour la camp national.

  • Les propos du clan Ménard sont, chaque jour un peu plus, inqualifiables

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    Comme d'habitude, le clan Ménard, qui n'a aucune culture historique (ou pas de culture du tout) tente de falsifier les événements, espérant tirer quelque profit de ses escroqueries intellectuelles. Il y a quelques mois, il s'est permis cette réflexion :

    "Il y a 85 ans, un coup d'État fasciste plongeait nos amis espagnols dans la pire des guerres civiles. Pensées aux centaines de milliers de victimes de la répression franquiste et à ceux qui ont dû refaire leur vie en France, notamment à Béziers."

    Nombreux sont les électeurs du clan Ménard qui ont dû se frotter les yeux en découvrant ce message sur Facebook, célébrant les rouges massacreurs de paysans et violeurs de religieuses.

    L’ancien fondateur de Reporters sans frontières, dont Stéphane Ravier disait mercredi qu'il ne restait plus désormais que le "sans frontières" est né à Oran, où s’étaient réfugiés de nombreux républicains espagnols, d’un père syndicaliste communiste. Lui-même fut trotskiste (Ligue Communiste Révolutionnaire, rien que ça), mais on pensait qu’il avait viré sa cuti. Reconnaissons lui le talent de l'avoir fait croire pendant plusieurs années, tant qu'il avait besoin de cette façade pour glaner des voix, ce qui rehausse d'autant l'imposture et la fourberie. Mais désormais, bas les masques ! Ce revenez-y nous convainc désormais du contraire, de même que ses désormais classiques déclarations macrono-gauchistes. Beaucoup se posent la question : Ne s'agirait-il pas de sombres manigances électorales ? Plus nombreux encore sont ceux qui ne se la posent plus !

    Une telle prise de position est en outre une grossière erreur, plusieurs membres de la communauté espagnole nous ayant fait connaître leur totale désapprobation pour "ces paroles de guerre civile". 

    Et sur l'ensemble de ces fadaises nous n'entendons pas Emmanuelle Ménard… Il est vrai qu'ils clament à qui veut les entendre que pas un mot n'est prononcé, pas un écrit n'est rédigé, pas une opinion n'est formulée sans l'accord de l'autre. Toutes ces postures sont donc une manœuvre collective parfaitement réfléchie, au mépris de l'ensemble de leurs électeurs, ce qui les rend d'autant plus déplaisantes. Il faudra s'en souvenir.

    Depuis, les reniements du clan n'ont fait que croître et embellir à un rythme et à une intensité qui ne suscitent plus l'étonnement ou la consternation mais un profond écœurement et un dégout majeur. 

    Nous vous invitons à lire l'article suivant qui précise utilement un point d'histoire important évoqué dans les commentaires.

    Les réactions à ces provocations n'ont pas manqué. Celles que nous reproduisons ci-dessous, qui ne sont qu'un échantillon, en sont la démonstration :

    Jean-Christophe Visomblain  Entre la dictature franquiste et le totalitarisme communisme, il n’y a pas photos comme on dit. À cette époque, il fallait faire un choix. Et le choix c’est sans conteste l’anti-communisme primaire, secondaire et tertiaire. 

    Marc VandeSande  La chasse aux voix en démocratie dévoyée incite à s'inspirer des caniveaux pour écrire l'histoire à "sa façon".

    André-Yves Beck  Ce qui est pathétique avec ce pauvre Ménard, c'est qu'il pourrait faire le post exactement inverse avec le même allant.

    Philippe Dauphin  Pensées aussi aux massacrés par les "républicains" venus de toute l'Europe pour soutenir le régime communiste auquel le général Franco s'est opposé. S'il y eu soulèvement par l'armée c'est surtout suites aux exactions terribles des communistes espagnols.

    Bastien Btd  Qu’est-ce que c’est que ce post de merde ? Mieux aurait-il fallu le communisme ? Si rien n’est tout noir ou tout blanc, vous vous prêtez désormais à la bien-pensance de gauche en histoire en omettant les contextes. Mieux vaut perdre que gagner dans le déshonneur. Vous ne valez plus mieux que ce que vous combattiez par le passé. Adieu M. Ménard.

    Gérard Dardé  Ménard vous devenez de plus en plus non crédible, ce n'est pas un coup d'État qu'il y a eu en Espagne mais une guerre civile des anarchistes et communistes contre les catholiques et les gens de droite...

    Charles François-Xavier Cazelle Vous oubliez le sang des martyrs chrétiens versé par les brigades rouges ; tout en oubliant que le coup d'état était fomenté par les marxistes.

    Henri Delcros Les violences et les massacres du front populaire de gauche ont amené une collégiale des généraux à prendre le pouvoir voilà l histoire

    Frederic Pichon Pensée aux victimes des exactions républicaines en particulier aux religieuses assassinées.

    Éric Hébrard Ah bon. Parce que la chienlit anarchiste et républicaine assurait la pérennité de l'état espagnol ? On oublie les massacres de religieux et de milliers d'opposants. Le général Franco a sauvé l'Espagne du communisme. Et le gouvernement français dit de Fr… 

    Rod Lec Coup d'état ? Il faut voir dans quel état se retrouvait l'Espagne à cette époque, violence, multiple insurrections, défiance envers l'état. Et dire que c'était seulement fasciste n'est pas vrai puisque l'armée s'appuie sur des monarchistes, des conservateurs… 

    Richard Perrat Une pensée pour les prêtres et religieux torturés et assassinés par les communistes et leurs complices.

    Georges Viudes N'oublions pas de remercier Franco qui sauva des milliers de pieds noirs que les sbires de de gaulle empêchaient d'embarquer pour la métropole.

    Pedro Sombrero Robert Ménard: vous ressortez la vulgate lamentable de la gauche espagnole, qui refait l’histoire à son avantage. La crise de juillet 1936 est aussi la conséquence du refus, par les gauches espagnoles, du verdict des urnes, favorable aux droites. 

    Jean-Jacques Bastin Robert Ménard ferait bien d'étudier l'Histoire d'Espagne avant de dire ou écrire quoi que ce soit ! Il n'y a jamais eu de coup d'état fasciste, mais une réaction saine de l'armée face à l'incurie provoquée par l'incompétence des divers gouvernements de… 

    Georges Viudes  Ces mêmes Pieds-Noirs qui ont voté en masse pour vous.

    Eric Lafalla C’est la réponse à la terreur rouge. L'historien Bartolomé Bennassar « rappelle que, dès mai 1931, une centaine d'églises avaient été détruites ». Des groupes anarchistes s'en prennent à des prêtres et à des monastères dans les premiers mois de la guerre.

    Jacques Dandine Sinon, en France, on a connu également :

    - le 17 juillet 1429, le sacre de Charles VII

    - le 17 juillet 1453, la fin de la guerre de Cent Ans

    - le 17 juillet 1863, la création de La Croix Rouge

    - le 17 juillet 1879, le plan Freycinet

    Ne pas être sélectif dans les commémorations, c’est mieux !

    Jean d'Hautefeuille Monsieur Ménard, sur ce sujet vous manquez visiblement d’informations. Vous oubliez ou ignorez les chrétiens persécutés par les communistes. Franco a sauvé l’Espagne du communisme. Et a d’ailleurs remis le pouvoir à la démocratie après. Ne vous laissez pas imposer la lecture de l’histoire par la gauche s’il vous plaît.

    Vincent Rinié Ils ont échappé au communisme qui a fait le bonheur des 30 millions de morts sans compter ceux qui sont encore en danger actuellement. Alors, difficile après les évènement de porter un jugement. Ceux qui ont trouvé refuge en France sont bienvenus, et certains d’entre eux sont toujours abonnés au socialisme invivable, voir Mme Hidalgo…

    Gaël Courossé Il me semble que, si on veut être historiquement juste, les massacres sont la spécialité des révolutionnaires espagnols. Le reste n’est que le chaos résultant des actions de ces ordures communistes révolutionnaires.

    Laurent Castadère Comment se souvenir de cette tragédie tout en se rangeant du côté des oppresseurs du jour pour un passe vaccinal, relatif à un traitement encore en phase de test, et prouvant déjà en Israel, GB ou Seychelles qu'il fonctionne très peu devant les variants… 

    Robert Ménard informez-vous, apprenez l'histoire, au lieu de répéter bêtement la propagande de gauche communiste svp. Un Mao espagnol vous aurait donc plu ? Réfléchissez et soyez responsable un peu. Le communisme est à la source de la guerre et de ces massacres, merci Franco d'être intervenu et d'avoir rétabli l'ordre.

    Charles Tristan Paris Ne pas oublier que la coalition de Gauche a perdu le pouvoir par les urnes (alliance du centre et de la droite réactionnaire) et que des assassinats politiques et des tentatives de prise de pouvoir locaux avec des attaques d'écoles catholiques ont amené l'arrivée de Franco. Situation bien plus complexe que "les fascistes ont fait un putsch" la table que la Gauche nous impose. Mon grand père, jeune militant communiste français s'était engagé aux côtés des républicains et en tant qu'athée je n'ai aucune sympathie pour la situation quasi féodale qui a eu pour conséquence la radicalisation de la Gauche. Mais il faudrait arrêter de réécrire l'histoire.

    Chris Fletcher Avant de la ramener en suivant les interprétations gauchistes sur cette guerre, je vous conseille la lecture de Luis Togorres « guerre civile espagnole ».... Vous y apprendrez comment les communistes et leur obédience frente popular ont semé le bordel dès 1932 pour conduire à la situation de 1936. Franco a été le plus prudent des officiers supérieurs espagnols pour choisir d’intervenir (contrairement à Yagüe par exemple). Il faut arrêter d’apprendre l’Histoire à travers le prisme du gauchisme primaire.

    Fabien Hétoi A t-on parlé de ces "bons communistes" qui se sont portés volontaires pour être gardiens de goulags en URSS ? !!!!

    Didier Hendrickx Je peux comprendre que la séance de maquillage hebdomadaire sur LCI soit agréable mais de là à reprendre les articles des années 30 de l’Huma…

    Cian Mab Diancecht une pensée au victimes des "républicains"...

    Jean-Pierre Ouvrard Le modèle de RM serait donc l'assassinat par la Guardia Civil du député monarchiste José Calvo Sotelo qui avait dressé devant les Cortes le bilan de la IIe République après 2 mois de Frente Popular: " 160 églises entièrement détruites, 251 édifices religieux assaillis, incendiés ou saccagés, 269 meurtres politiques, 1 300 personnes blessées, 10 sièges de journaux totalement anéantis, 156 bombes lancées sur la voie publique, 155 grèves généralisées". Les regrets de RM vont vers une Espagne bolchévique et un régime stalinien à la frontière Française. En visite officielle à Madrid, De Gaulle  à Franco: " Vous avez été la chance de l'Espagne"

    Guillaume Staub Soutien aux franquistes qui ont mis fin aux massacres commis par l'extrême gauche espagnol.

    Philippe Tournier Ce n'est pas tout à fait comme ça que ça s'est passé, on ne devrait pouvoir interpréter l'histoire

    Marko Xikito Bravo Et bientôt on fera pareil nous français, on partira en Espagne sur la terre de nos arrières grands-parents 

    Xavier Dupire M Menard, mon arrière grand père (1899-1986) vivait en Espagne, il n’était pas plus républicain que monarchiste, il ne tenait pas particulièrement à vivre dans une république comme de nombreux citoyens du monde qui vivent dans des monarchies (Angleterre, Belgique, pays bas) pour lui aucune raison de changer, même les républiques ne son sont pas parfaites. La nuit les milices communistes entraient chez lui pour le prendre et l’exécuter pour ne pas penser comme certains. Ses ouvriers l’informaient de la venu de ces milices et lui pouvait se cacher. Tout n’est pas rose dans le républicanisme espagnol, ils ont chassé les monarchistes, les gens de droite, massacré des ecclésiastiques. Les premiers exilés en France furent ces gens chassés par les républicains. Il se réfugia en France. Quand le vent tourna en faveur des autres, il put rentrer et ce sont les rouges qui durent fuir en France. Mais ça on n’en parle jamais des premiers exilés de droite, jamais.

    Patrice De Saint Sauveur Pensées et prières pour les innombrables martyrs catholiques du Frente Crapular espagnol. M. Médard vous me décevez, auriez-vous préféré vraiment les communistes et anarchistes espagnols ???

    Niala Siavres Attention à la répression macroniste nous commençons à en payer les pots cassés alors prenons les choses en main et réagissons.

    Marie-helene Agam Comme toutes les guerres Monsieur il n’y a a pas les gentils et les méchants. Les guerres civiles non plus n’échappent pas hélas à cette règle. Soyez plus clair j’ai de plus en plus de mal à vous comprendre.

    Daniela Foubert Question de point de vue of course car ces fachos de l'époque partageaient pas mal d'idées avec nos néo-nationalistes... et les républicains espagnols de jadis étaient les précurseurs de nos gauchistes bien contemporains.

    Louis Valier Effectivement. Pensée aussi aux victimes des escadrons de la mort communistes à Madrid où ailleurs.

    Jp Gallii Franco a aussi sauvé des milliers de Pieds Noirs en envoyant des bateaux à Oran récupérer des français abandonnés par votre nouvelle idole De Gaulle. Vous cherchez un poste au gouvernement Macron ???

    Axel Pacoss Vision gauchiste monsieur Ménard !

    Paco Fernandez  Sur la guerre d’Espagne, il vous faut lire davantage.

    Marco Caïazzo Ne pas oublier les morts de la répression des républicains. Et des communistes les anarchistes de Barcelone ont été décimés par les communistes aidés par L'URSS.

    Laurent de Vargas Gauchiste un jour, gauchiste toujours. Et les assassins de Calvo Sotelo et de Paracuellos, c'était des saints peut-être !

    Agus Ruiz Robert Ménard, vous êtes un gauchiste qui parle...Franco a sauvé l'Espagne du communisme , arrêtez de faire le con.

    Beorn Id Encore et toujours de la démago, le vocabulaire adapté pour plaire aux timides et les bonnes pensées pour le reste de la masse. et on s'étonne encore de perdre tout le temps?

    Arthur Valois Vous perdez complètement la tête Robert Ménard avec vos délires gauchisants et gauchistes comme celui-ci de plus en plus fréquents, et tout le monde s'en rend bien compte à en lire les commentaires. 

    Louis Mouchel Rien à ajouter, les commentaires sont exacts. Sans Franco, l'Espagne serait communiste, et il y aurait eu 10 fois plus de victimes... !!!

    Madeleine France Petits rappels :

    Le nombre officiel de la terreur blanche est de 80 000 victimes collatérales et actions postérieures incluses.

    Les exactions républicaines et communistes de la terreur rouge qui sévissait contre les nationalistes et les catholiques font état d’environ 75 000 morts sur une période considérablement plus courte (dont 20 000 prêtes assassinés par les communistes avant que Franco prenne le pouvoir). On peut donc aisément projeter que si les républicains et les communistes étaient arrivés au pouvoir il y aurait eu beaucoup, beaucoup plus de victimes innocentes.

    Et tout cela à mettre en parallèle avec les massacres commis en URSS et en Chine qui eux-mêmes feraient passer les nazis pour des bienveillants.

    Mais comme c’est toujours plus politiquement correct de taper sur Franco que sur les républicains.

    N’oublions jamais que Franco a sauvé l’Espagne de la folie républicaine, tout comme l’inquisition en son temps sauva l’Espagne de la folie protestante et révolutionnaire.

    Malheureusement cela a un coût car tristement il n’y a pas de guerre civile sans morts. Franco était un autocrate certes mais cependant il a sauvé les pieds noirs alors que la France ne peut pas en dire autant.

    Seul un idiot peut sincèrement croire qu’une dictature est de manière inhérente pire qu’une démocratie. Comme le disait Lao Tseu : "seul un idiot peut croire qu’il vaut mieux être dirigé par 20 millions d’imbéciles plutôt que par un seul homme sage."

    Marc Iclous Il va commencer à falloir sérieusement apprendre l’histoire pour éviter de continuer à déblatérer autant d’inepties : le franquisme n’est pas et n’a jamais été un fascisme !

    Clém Entine Qualifier de "fasciste" le régime franquiste est une erreur sémantique de débutant. 

    Jean Caladois Ce qui est bien avec les traîtres comme Ménard, c'est que ça se voit sur leur gueule, ça évite de tomber dans le piège comme ça ! 

    Jean Caladois Vive les brigades internationales hein Robert Ménard ! 

    Karol Krawczyk Une pensée pour toutes les victimes du communisme.

    Louis-m Lcr Décidément, le Ménard et ses satellites ne savent plus que faire et que dire pour s’acheter une virginité !! Vous me donnez envie de gerber.

    Sylvie Toutoune Oui c'est pour ça que je pars en Espagne.

    Marie Lys Menard est totalement à côté de la plaque. Certainement lui ou son épouse attend un poste au gouvernement de Macron. Il est pro Macron pour le passe sanitaire et le vaccin obligatoire qui est même pas un vaccin mais une thérapie génique en phase expérimentale. Je suis déçue de lui. Il est toujours sur les plateaux de télévision à dire du bien de Macron. Les prostituées sont plus honorables.

    Raoul Garah Ménard vous faites du révisionnisme !

    Helene Koehler Ce qui nous arrive aussi depuis que macron est au pouvoir et que des politiques comme vous ne font rien pour les français.

    François Soulard Message inutile. Ressaisissez vous.

    Anthony Chessari Murillo Una ! Grande ! Libré ! Hariba Espana ! Merci Franco.

    Patrick Specht C'est n'importe quoi. Il n'y a jamais eu de fascisme en Espagne.

    Peter Mansfeld Oui quand les églises brûlent que des députés sont assassinés par un commando de police du frente popular, quand des militants de droite et des chrétiens sont assassinés dans les rues, pour vous il ne fallait pas réagir aux assassins et tortionnaires anarcho communistes ??? Se laisser faire ??? À moins que vous les approuviez ! Gloire éternelle aux nationalistes et aux héros de l'Alcazar qui ont sauvé l'Espagne du communisme !!!

    Christian Viguier En lisant votre commentaire sur ce « coup d’état fasciste » de 1936 , les bras m’en sont tombés !!!!! Profitez de votre temps libre pour lire "le livre noir du communisme" de Stephane Courtois et ses 80 à 100 millions de victimes. Franco, malgré toutes les réserves qu’on est en droit d’éprouver, a évité cette tragédie et n’est pas entré en guerre au côté des puissances de l’Axe .

    Grogouer Elvis Rizond Les bons vieux narbonnoïdes antifas venus pourrir le sud de la France de leur présence néfaste Quelle chance.

    Thierry Bastian Ça ratisse large à Béziers.

    Péginous Réboussier Très décevant de votre part ; inquiétant même ! Vous soutenez les communistes qui violaient les religieuses avant de les massacrer ? On a piraté votre compte, ou quoi Monsieur Ménard ?

    Btd J-l Mrl Rch Il semble que vous n’ayez pas eu de formation historique objective sur la réalité du comportement des soi-disant républicains espagnols et de leur alliés anarchistes du POUM. Les simples guérilleros ayant trouvé refuge en France après leur défaite pouvaient à la limite être acceptés car ils ont suivi des fanatiques qui les ont embrigadés comme c’est le cas dans la plupart des conflits menés par les rebellions marxistes mais de là à les célébrer et à honorer leurs mort il y à une « tranchée ».

    Patricia de la Force Le compte a été piraté par Carole Delga.

    Nath ZG Vous jouez à quoi en ce moment ?

    Christelle David-Montaz Robert, pense à t'hydrater. Tu yoyotes, et j'ai un mal fou à te défendre.

    Thierry Louloutte Le tout, complètement hors contexte historique. Vous êtes un peu à côté de vos pompes Mr Ménard. Allez faire un PCR !

    Jack Belin Ça y'est papy gatouille direction EPAD ...

    Gérard Auzou Navrant de constater que vous M. Ménard, tombez dans les ornières des antiennes de l'histoire officielle de la guerre d'Espagne. Pas plus qu'une guerre conventionnelle, une guerre civile n'est propre. Auriez-vous oublié que sans l'intervention de Franco, des milliers de pieds noirs supplémentaires auraient été promis à une mort certaine ? En effet, Franco vint au secours des Oranais livrés à la fureur meurtrière de l'ALN , des ATO et de civils algériens, tout comme à l'inaction coupable de Katz, en faisant affréter 2 ferrys, le "Victoria" et le "Virgen de Africa", afin de les sauver. Il ne faut pas avoir une vision hémiplégique de l'histoire ! Venant de vous, ces paroles sont une honte.

    Jehan Charles de Penfentenyo  C'est un fake ?

    Dieg'z Adt Le clown Menard 

  • Ce que les Pieds-Noirs doivent à Franco, M. Ménard !

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    Le 30 juin 1962 à 10 h du matin, malgré l’opposition de de Gaulle, le général Franco donne l’ordre à ses capitaines d’embarquer les pieds-noirs, faisant fi de la pression imposée par la France.

    Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pieds-noirs abandonnés sur les quais d’Oran et livrés à la barbarie du FLN.

    De Gaulle est également informé que l’aviation et la marine de guerre espagnoles sont en route jusqu’aux eaux internationales, face à Oran.

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    Finalement, face à la détermination du général Franco, la France cède et le samedi 30 à 13h00 ces deux bateaux espagnols peuvent embarquer 2200 pieds-noirs, 85 voitures et un camion.

    Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent s’opposer à la montée sur leurs bâtiments d’une compagnie de CRS qui voulaient lister tous les pieds-noirs embarqués à destination de l’Espagne.

    Les capitaines espagnols avouèrent n’avoir pas compris l’attitude arrogante des autorités françaises dans une situation aussi dramatique.

    Contre vents et marées, finalement à 15h30, les quais d’Oran, noirs de monde, se vidèrent. Les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge.

    De l’arrivée jusqu’au départ des ferrys espagnols, une liesse, joie et larmes, s’était emparée des pieds-noirs aux cris de « Viva España ! » et « Viva Franco ! »

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    En 1965, le ministre de la Marine espagnol, l’amiral Pedro Nieto Antúnez, lors d’une visite à l’Élysée, put se rendre compte des sentiments de De Gaulle : « Transmettez au général Franco ma profonde admiration pour le grand rôle historique qu’il a joué et pour tout ce qu’il fait actuellement pour l’Espagne », lui déclara le Général.

    « Tout bien pensé, son bilan est positif pour son pays, dira-t-il plus tard à son collaborateur Pierre-Louis Blanc.

    En Juin 1970 De Gaulle a tenu obstinément à rencontrer le général Franco malgré les réticences de ses conseillers. En France le concert des pleureuses a fait semblant de s'indigner. La réception à Madrid fut somptueuse et la rencontre chaleureuse, où l'on vit De Gaulle s'emparer des deux mains de Franco, geste inhabituel de sa part. L'histoire n' a rien de manichéen.

    Le clan Ménard n'ignore pas tout cela. Ses commentaires n'en sont que plus minables.

  • Des nouvelles du clan Ménard ? Le témoignage de première main de son ancien directeur de cabinet

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    Aujourd'hui la girouette repart vers la gauche ! Demain ?...ça dépend du vent bien sûr !

     

    À la suite du énième retournement de veste du clan affirmant, dans une émission de télévision, qu'il avait commis une faute quant à ses prises de position sur l'immigration, il est intéressant de prendre connaissance du témoignage de celui qui l'a bien connu pendant plusieurs années, le directeur de cabinet. Sur sa page Facebook, il précise certains traits que nous savons ne pas être limitatifs !

     

    Pauvre, pauvre Ménard Quand je pense avec quel empressement il s'était livré au scénario que je lui avais proposé à l'époque : débarquer chez des squatteurs syriens et les virer. Avec quelle application il avait appris par cœur le texte que je lui avais écrit. Comme il était content que le "coup" passe ensuite sur toutes les chaines.

    Je te connais Robert. Comme te connait la petite équipe de Zemmouriens qui t'entoure actuellement en mairie et qui n'en peut plus de toi. Tu n'en as rien à foutre des autres, des migrants comme des Français. Ne compte que ta gueule, ta femme et votre descendance de végans

    Je t'ai vu hurler sur des subordonnés, je t'ai vu pleurer seul dans ton bureau, je t'ai entendu me dire "André-Yves, je suis un con". Comme tous les autres, j'ai reçu tes célèbres textos angoissés de 3 heures du matin ("Vous dormez ? On peut s'appeler ?"). Tu es un pauvre type, un hystérique capable de gueuler sur son téléphone muet "Sale petite conne sale petite conne" parce que Marion Maréchal ne répondait pas à tes textos

    Et je ne parle pas de tes jugements sur Marine, passant de "Elle est humaine, elle m'a écouté, le courant passe" à "elle n'a rien compris, c'est une conne".

    Tu n'as aucune parole et aucune figure et dans ton entourage tout le monde le sait.

    *****

    On se doute, ce message a immédiatement provoqué nombre de réactions. En voici un faible échantillon :

    - Un témoignage sur cet individu . A diffuser..

    - Je l'ai découvert sous son vrai visage, lorsqu'aux assises de la droite, il a vivement critiqué le concept de remigration...

    - Je dis plus que bravo, la vérité enfin sur cet ectoplasme imbuvable.

    - Voilà qui est clair et bien envoyé.

    - Ce type est un sketch à lui tout seul.

    Le tout est à retrouver sur la page Facebook d'André-Yves Beck.

  • Le clan Ménard, "Naboléon" de la campagne de Russie !

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    Comme le bon élève voulant paraître encore meilleur auprès de son professeur, quitte à devenir mielleux, le clan Ménard poursuit sa politique de carpette macronienne : « la politique de Macron est globalement positive ». Il faut oser le dire !

    Alors, à y être, remettons une couche. Ils n’ont rien trouvé de mieux, sous le feu des projecteurs, que de partir vers la Pologne avec deux ou trois camionnettes de vivres. Un remake de Kouchner déchargeant un sac de riz en Somalie : démagogique et ri-di-cule ! Dans ces temps où la réflexion, la sagesse, la hauteur de vue doivent s’imposer, on ne peut que stigmatiser ceux qui utilisent ainsi ces drames au soutien de vils motifs électoraux.

    Ce n’est donc pas le clan Ménard, avec sa culture historico-politique acquise à la lecture d'un timbre‑poste, qui pourrait nous fournir des pistes d’analyse sur cette actualité ou adopter la position qu’on serait en droit d’attendre de personnes se prétendant responsables. Après la pitoyable réception de Macron à Béziers, ils n’ont rien trouvé de mieux que d’accentuer leur flagornerie en faisant part de leur soutien à l’inefficace politique internationale du président, puis d'insulter, comme d'habitude, ceux qui ne sont pas de son avis ("patriotisme de bazar"). Pendant ce temps leur candidate, Marine Le Pen, tacle sévèrement E. Macron qu'elle accuse de "faire de la communication". Belle unanimité ! Mais la communication n'est-elle pas justement l'unique activité du clan Ménard ? S'abaisser de la sorte demande tout de même une imagination débordante doublée d'un manque de conviction sans limite et d’un arrivisme matrice de tous les reniements.

    Comprendre les événements qui se déroulent actuellement au centre de l’Europe, et plus largement comprendre la diplomatie russe, ne peut se faire sans revenir au choc qu’a été l’implosion de l’URSS de 1991, lorsque intervint, en même temps que la démission de Gorbatchev, la sécession des républiques de l’URSS, et la création de la Communauté des États Indépendants. Plusieurs anciennes républiques soviétiques, comme la Biélorussie, l'Ukraine, la Moldavie, l'Arménie et les cinq d'Asie centrale maintinrent des liens étroits avec la Fédération de Russie et formèrent des organisations multilatérales. Les pays baltes rejoignirent l’OTAN et l’Union européenne.

    Le président Poutine s’est exprimé à de nombreuses reprises sur ce moment qu’il qualifie de « moment terrible » que représentait la perte de territoires, russes depuis plus de deux siècles. En 1991, la frontière russe était l’équivalent de l’empire russe de 1914. Ce traumatisme fut aussi celui du peuple russe, profondément attaché à la Patrie, la terre russe. Le professeur russe D.  Fourman qualifiait les accords de Bielogev de « coup d’État » et précisait qu’au mois de mars 1991 « les citoyens soviétiques s’étaient prononcés en masse pour le maintien de l’URSS ».

    En outre, sur le plan géopolitique, la Russie considère depuis toujours, que la plaine d’Europe du Nord, entre mer du Nord et mer baltique représente un risque majeur de sécurité nationale. Toute la plaine qui s’étend de Paris à Moscou est un terrain favorable aux invasions venues de l’occident mais également, une protection de 500 km. Napoléon et Hitler, qui s’y sont cassés les dents, en savent quelque chose.

    L’Amérique, quant à elle, estime que la puissance russe est dangereuse et doit être limitée. Elle cherche, depuis des années, à élargir l’OTAN vers l’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie (voir les cartes). De même, Washington a, dans le cadre de sa stratégie, installé des missiles antimissiles en Pologne, en République tchèque et en Roumanie, ce qui est perçu par la Russie comme une menace hostile mettant en danger son intégrité. Si l’Ukraine rentrait dans l’OTAN, ses bases seraient à 250 km de Moscou. On peut aussi évoquer l’appui que les américains ont donné à l’opposition au régime du président Chevarnadze, ancien ministre de Gorbatchev.

    Il serait enfin juste de se souvenir de la guerre en Serbie que les États-Unis et l’OTAN ont mené sans aucun complexe ou évocation des « droits de l’homme » à géométrie variable, du massacre de prétendus terroristes aux quatre coins de la planète, déstabilisant les pays concernés, le tout pour de mercantiles intérêts énergétiques (Irak, Lybie…).

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    Comme on le voit sur la carte ci-dessus, la Russie est sur la défensive depuis la chute de l’URSS. En effet, plusieurs anciennes républiques du bloc de l’est ont rejoint l’Otan : Hongrie, Pologne et République Tchèque en 1999, Roumanie et Bulgarie en 2004. En 2004 également ont adhéré les trois pays baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie), anciennes républiques de l’URSS. L’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie, tout au moins leur dirigeant, ont annoncé qu’elles voudraient en faire de même. D'où la situation actuelle.

    La Russie mise également sur le succès de l’Union économique eurasiatique (UEE), sorte de palliatif à la chute de l’URSS. Outre la Russie, l’UEE regroupe le Belarus, le Kazakhstan et l’Arménie. Soit 2,96 millions de km² et un PIB de 2400 milliards de dollars (2100 milliards d’euros).

     

    La France, pétrie d’Euro-béatitude, pour d’évidentes raisons de politique intérieure, s’est mise à la remorque de l’Amérique. On ne peut que s’attrister de constater que ce pauvre Macron, n’intéresse ni les uns ni les autres. Son mandat n'est qu'une suite ininterrompue d'échecs en matière de politique étrangère, le dialogue stérile avec Trump et plus encore avec Poutine, les dossiers iranien et libanais, la gestion des crises en Syrie et en Libye, voire au Sahel où les orages s’accumulent, et évidemment le "coup dans le dos" d’AUKUS. Les coups de fil, les déplacements à Moscou ou à Kiev, avec l'indéfectible couverture des médias français, n’ont pas eu le moindre impact. Ils n'étaient là qu’à usage électoral. Ce ne sont plus de simples contorsions, mais une dérisoire pantomime.

    Sans nier la culpabilité de la Russie dans l’invasion de l’Ukraine, force est de constater qu’aucun des pays occidentaux n’a eu le courage de l’inciter à respecter les accords de Minsk. Ils ont dans la situation d’aujourd’hui une responsabilité évidente.

    D’où la nécessité de reprendre au plus vite la voie diplomatique.

    Avec une industrie liquidée, une éducation nationale en faillite, une culture reléguée au rang de danseurs transgenres sur les marches de l’Élysée, ses échecs extérieurs, quel poids peut avoir le président français dans les discussions internationales ? Poutine n’a certainement pas été impressionné par la visite de notre président qui a eu droit à une réception et à un départ des plus humiliants. Nous sommes loin des temps où la France avait, avec la Russie, des relations privilégiées, où notre culture faisait l’admiration de la Cour, quand en 1717, le tsar Pierre le Grand revenait en Russie avec des ingénieurs, des officiers, des artisans rejoignant les artistes français déjà installés à St. Pétersbourg, comme le sculpteur Nicolas Pineau, le peintre Louis Caravaque ou l’architecte Le Blond qui vont alors s’inspirer de la Manufacture des Gobelins ou de la Manufacture Royale des Glaces. Il faudra bien, un jour, au risque de continuer à s’enfoncer dans une mortelle médiocrité, retrouver les moyens politiques de notre place dans le monde. Ce n’est pas avec un président, par nécessité démagogue, qui n’est là que pour cinq ou dix ans, que nous allons y arriver.

    L’article suivant illustre bien notre décadence.

    PS : Cet article était écrit lorsque nous apprenons que le clan Ménard rejoint la gauche la plus extrême en approuvant l’immigration qui nous submerge. Nous n’aurions jamais imaginé une telle forfaiture. Nous y reviendrons.

     Henri Bec

  • Le clan Ménard : une nouvelle et inadmissible dérobade

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    Un prince de l'Église : Mgr de Cabrières

     

    Dimanche dernier 19 décembre à la cathédrale Saint-Nazaire de Béziers, une foule importante est venue célébrer le centième anniversaire de la mort du cardinal de Cabrières (21 décembre 1921), grande figure de l’Église et du Midi languedocien. La confrérie Sant-Andiu de la Galinière, ses agrégés et ses consuls, bannières et tenues de rigueur, avait tenu à participer à cette cérémonie, sachant ce que les viticulteurs du Midi lui devaient, et spécialement ceux de Béziers.

    La messe solennelle était concélébrée par Mgr Carré archevêque de la province de Montpellier et Mgr Brugues archevêque émérite d’Angers et ancien archiviste et bibliothécaire du Vatican. Inutile de préciser que les orgues ont brillamment coloré cette splendide cérémonie.

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     ***

    M. de Vallavielle, membre de l’Académie de Nîmes écrivait : « C’est un vrai chapitre de l’histoire de notre pays que l’on écrira le jour où l’on retracera l’existence du grand prélat dont les actions furent si intensément liés à la vie de sa ville épiscopale, de la région languedocienne, et on peut le dire sans exagération, du pays tout entier. » Mgr Blaquière, archiprêtre de Saint Nazaire, a publié un ouvrage sur le cardinal en 1947. La présente note s'inspire de l'étude complète (plus de 500 pages), parue en 1947, réalisée par M. Gérard Choly, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université de Montpellier).

    Anatole de Cabrières nait à Beaucaire le 30 août 1830 ; son berceau, c’est le Languedoc où sa famille laisse des traces dès le XIVe siècle. Son arrière grand-père François fut officier du régiment d’Auvergne et lieutenant du roi et son grand-père, lieutenant au régiment de Picardie. Son père, né en 1788 fut le témoin des événements douloureux de la révolution qui n’ont pas épargné sa famille. Tous ses membres étaient incarcérés au 9 Thermidor.

    Ordonné prêtre le 25 septembre 1853, il est nommé évêque de Montpellier le 18 décembre 1873 malgré l’opposition de certains. Mgr Le Courtier, alors en fonction, pris dans une importante tempête médiatique, avait écrit qu’il subordonnait sa démission à l’assurance que le gouvernement ne nommerait pas Cabrières pour lui succéder ! Ce à quoi le ministre, bien que connaissant les fortes convictions royalistes de ce dernier, lui écrit : « votre nomination est désirée à Montpellier par tous les esprits sérieux. Il y a nécessité à choisir un homme du Midi à même d’apprécier et de diriger les tempéraments de nos bons méridionaux ».

    Il est élevé à la dignité de cardinal en 1911 par le pape Pie X, ce qui déclenchera un enthousiasme considérable, concrétisé par l’immense foule venue l’accueillir à son retour de Rome, 80 000 personnes sur le passage du cortège à Montpellier.

    Il serait bien long d’énumérer ses actions et interventions : citons la défense de la décentralisation et son appartenance au Félibrige, son implication dans la béatification de Jeanne d’Arc qui lui donnera l’occasion de demander une illumination de la ville de Montpellier largement suivie, la dénonciation des « erreurs d’une secte impure et violente, l’albigéisme (ce qui nous change des histoires et commentaires ridicules qui fleurissent depuis des années, comme dans un son et lumières de Béziers), sa réserve publique sur l’encyclique de Léon XIII « au milieu des sollicitudes », sa très ferme opposition à l'expulsion des congrégations religieuses qui l'amènera à notifier en personne son excommunication au préfet de l'Hérault , ses innombrables œuvres de charité, toujours préoccupé du sort des plus faibles, etc.  

    Il est élevé au grade de chevalier de la légion d’honneur en 1919 et demande au jeune comte de Paris alors âgé de 11 ans, qui le raconte dans ses mémoires, de la lui épingler sur sa poitrine.

    Tombeau.jpgSeule la mort n’a pas permis son élection à l’Académie française. De sombres et malsaines manœuvres étaient tentées pour le faire battre, par les atrabilaires de la démocratie chrétienne, mais ses amis ne manquaient pas. Il était soutenu par Bourget, P. d’Haussonville, A. de Mun, les deux Vogüe, Bazin, Barres, P. de Ségur, Émile Olivier, Lemaître, Loti, etc. Son élection était assurée.

    Venons-en à ce qui constitue son engagement le plus connu, pour lequel le midi de la vigne ne cesse de lui rendre hommage. L'épisode se situe au moment de la crise viticole de 1907, consécutive aux dégâts causés par le phylloxera et par la surproduction. De très nombreux manifestants avaient envahi les villes du  Languedoc (120 000 à Béziers, 250 000 à Carcassonne, 500 000 à Montpellier…). Les conditions d’hébergement faisant défaut, Mgr de Cabrières fit ouvrir églises et cathédrales où des milliers de femmes et enfants purent se réfugier et passer la nuit. Ces édifices appartenaient à l'État. Le cardinal s'exposait à des poursuites mais le gouvernement n'a pas osé.

    Ce n’est donc pas un hasard si, en ce 19 décembre 2021, la cathédrale Saint-Nazaire se souvenait et était à nouveau pleine. Dans le milieu viticole et à Béziers, ce sont des actes que l’on n’oublie pas !

     ***

    Malheureusement certains, si ! 

    Le clan Ménard n’a pas cru devoir s’associer à cet hommage, une absence qui n’a pas manqué d’être relevée par de nombreux participants, outrés de constater que maire, député ne s'étaient pas déplacés pour honorer cette personnalité majeure de la vie biterroise. Et marquer la plus élémentaire des corrections à l'égard de l'archevêque qui s'était spécialement déplacé. Ce qui illustre la leçon de mon ébéniste : "vous ne transformerez jamais du formica en marqueterie".

    Paniqués par les prochaines échéances électorales, piégés par des prises de position brouillonnes et incohérentes, obsédés par le politiquement correct macronien, ils ont préféré promener un sourire figé parmi les flonflons de la fête et faire le tour des foires au gras, appliquant cette vielle recette démagogique, "du pain et des jeux", qui n'est rien d'autre qu'un mépris total de la population, considérée comme incapable de réfléchir. Ils ont du estimer plus "rentable" de se livrer à des tentatives de récupération de voix avec les impôts des biterrois, que de participer à cet hommage exceptionnel. Les soupçonner d'avoir la moindre sympathie pour cette haute personnalité de Blanc du Midi n'est désormais plus compatible avec l'image pécresso-macronienne à la mode à la mairie de Béziers. Ce ne fut pas toujours le cas, mais ça, c'était avant ! Ce qui en dit long sur la solidité des convictions !

    À la sortie de la cathédrale, une dame, entendant les nombreuses protestations, s’est approchée d’un groupe : « Vous savez, dit-elle , c’est aussi bien qu’ils ne soient pas venus, ils auraient fait tache ». Et tous ont réalisé en un instant : c’est elle qui avait raison.

    Les surprises arrivent quand les petits autocrates à géométrie variable s’aperçoivent, mais trop tard, que cette population réfléchit et n’oublie pas. Décidément nous avons de plus en plus de motifs de nous souvenir, et au train où vont les choses, il y faudrait tout un livre…

    Henri Bec

     

    PS. Dernière minute

    Nous ne pensions pas que les propos ci-dessus seraient aussi vite et une fois de plus confirmés. Le 5 janvier dernier, l’Assemblée nationale a adopté le texte liberticide sur la crise sanitaire, modifiant le Code de la santé publique, nouveau coup porté à l’unité nationale. La République en Marche a aligné 134 voix, le Modem 32 et Républicains 28, et, avec quelques apports complémentaires, la loi a recueilli 214 voix sur une assemblée comptant 577 membres. C’est dire que ce ne fut pas un raz de marée.

    Mais Macron peut compter sur ses députés carpettes et sur des collaborateurs obéissants et désormais retournés qui s’efforcent de lancer des œillades complices, au cas où on ne sait jamais

    Sachez en effet et faites savoir que le député E. Menard a voté pour ce texte,Vote assemblée.JPG seule du groupe des non inscrits, les 17 autres ayant voté contre, en parfaite conformité avec leurs convictions et le mandat de leurs électeurs (et le clan reçoit aujourd'hui même, sans aucun complexe, Marine Le Pen à Béziers : le baiser de Judas !). Vous conviendrez que ces trahisons successives deviennent de plus en plus difficiles  à supporter.

    Nous l'avions déjà dénoncé ICI et ICI

  • Quelqu’un m’a demandé : « Vous êtes sûr que cet entretien est fictif ? »

    Le Pen-Zemmour.jpeg

    L'actualité biterroise nous a incité à publier une communication téléphonique entre Marine Le Pen et Éric Zemmour, qui, parait-il, est fictive. Mais après sa lecture, quelqu'un m'a demandé : "Vous êtes bien sûr qu'elle est fictive ?"

    *****

    - Marine Le Pen : Allo, Éric, c’est Marine.

    - Éric Zemmour : Ah Marine, comment vas-tu ? Ravi de t’entendre. Qu'est-ce qui t'amène ?

    - MLP : Je voulais d'abord t'apporter mon soutien à la suite de ton éviction de Cnews. Cette censure du CSA est tout de même scandaleuse. Et te parler aussi de notre caméléon.

    - ÉZ : Merci, ton soutien me réconforte. Pour le second, Je crois deviner , la nouvelle trouvaille du Clan Ménard, je suppose.

    - MLP : Bien sûr Éric. Toi aussi tu as du bien rigoler. Ça fait six ans qu’il me tape dessus et, comme par hasard, quelques mois avant les élections il m’invite pour déjeuner avec toi. Ici, au siège de Nanterre, je ne les arrêtais plus. Ils avaient tous attrapé un fou-rire monumental en apprenant cette fantaisie.

    - ÉZ : Ici c’est pareil. Moi y compris, j’en pleurais de rire. Tu sais, avec moi c’est la démarche inverse. Au début, tout allait bien et à la fin ça s’est gâté.

    Comme je l'ai rappelé dans l'émission On est en direct il m'a envoyé il y a deux ans une longue lettre pour me demander de me présenter d'abord aux européennes puis à la présidentielle, et maintenant c'est le contraire ! Mais c'était à l'époque où il voulait t'éliminer. Et  j'ai ajouté : "Robert varie, fol qui s'y fie". 

    En février 2020, d’accord avec Bompard, le maire d’Orange (il faut toujours qu’il aille chercher quelqu’un pour se mettre en valeur), il t’avait dit que ma candidature était souhaitable. Mais c’était à l’époque où il avait estimé plus opportun de s’éloigner de toi ; et puis moi, je commençais à avoir du succès à la télé. Il a dû penser que me faire des compliments lui permettrait d’y passer plus souvent. Et maintenant il raconte que ce n’est plus du tout opportun. Il faut dire que lorsqu’il est revenu vers le RN, il ne connaissait pas mes intentions, sinon il aurait été plus prudent, wait and see. Maintenant il se sent un peu coincé et il tente de s’en sortir comme il peut.

    Lors de la convention de la droite, il avait piqué sa fausse grosse colère pour, là encore, faire l’intéressant, et maintenant il dit le contraire. Tout cela est vraiment pitoyable.

    - MLP : Oui, bien sûr, on le sait, il adore faire des coups en s’imaginant qu’il va remonter dans l’opinion, mais à part quelques bénis oui-oui, la mayonnaise ne prend plus. Et en plus, il ne pense qu’à se produire à la télévision ou à la radio. On m’a rapporté les propos d’une personne de son conseil « quand il voit un micro ou une caméra, il rentre en transe » ! Mais dans le milieu de la presse il paraît qu’on commence à en avoir assez de ses demandes incessantes, d’autant qu’il raconte toujours les mêmes choses « dans "MA" ville, il y a trop de musulmans, etc. » Au début ils ont bien aimé parce que ces coups de menton ridicules faisaient de l’audience, mais tu le sais comme moi, le public s’aperçoit vite quand c’est creux et l’audience chute d’un coup.

    Tu vas voir qu'après le succès de ton livre, et  ta cote qui  monte, il va peut-être en venir à te soutenir !

    - ÉZ : Ne le dis pas trop fort Marine, pas de malheur, tu vas finir par m’attirer la scoumoune ! Il ne me manquerait plus que ça !

    C’est toujours pareil avec les egos démesurés. Ils ne se rendent que rarement compte de la situation. Ils s’imaginent toujours être le centre du monde. Pour en revenir à notre affaire, refuser ce repas au prétexte que tu ne voulais pas de publicité était très bien vu. Je n’avais plus qu’à dire que je voulais de la publicité pour faire tout capoter. En un tour de main on avait tout réglé.

    - MLP : Tu comprends bien que je n’allais pas me déplacer à Béziers pour ses beaux yeux. Je n’ai pas vocation à servir de faire valoir au Clan Ménard. D’autant qu’à l’Assemblée, elle s’ingénie souvent à ne pas voter comme nous. Et après avoir tapé sur tout le monde, le Clan prêche pour l’union des droites. Au siège j’entends souvent : « tu as des nouvelles du père Ubu ? » C’est vrai que tout cela devient brindezingue.  Comme on dit, un peu ça va, trop c’est trop.

    - ÉZ : Moi non plus, je n’ai aucune envie de me ridiculiser. J’y suis allé pour vendre mes livres, c’est suffisant. Surtout si maintenant il passe son temps à me critiquer, tout en enrobant le tout de grandes déclarations d’amitié… Il a toujours tendance à prendre les autres pour des imbéciles.

    - MLP : D’autant qu’il était capable de nous demander de nous retirer tous les deux de la présidentielle à son profit, parce qu’il ose tout, tu sais.

    - ÉZ (après un grand éclat de rire) : Je n’avais pas pensé à cette option. Je vais la raconter au président de mon comité de soutien, il va s’étrangler de rire lui aussi.

    Et tu as vu la dernière, il sort un nouvel opuscule pour te donner des leçons de stratégie politique. C’est de plus en plus calamiteux. Je me souviens de la maxime de La Rochefoucauld que tu m’avais rappelée quand on évoquait le sujet : « le propre de la médiocrité est de se croire supérieur ».  Elle est, décidemment, chaque jour un peu plus d’actualité.

    - MLP : Éric, je vois sur mon agenda qu’on déjeune ensemble bientôt. On ajustera mieux notre position pour les présidentielles. On ne va pas perdre notre temps avec ces incidents mineurs. J’estime maintenant que ce genre de plaisanterie a assez duré. On a quand même autre chose de plus sérieux à faire. Toi, tu vas pouvoir attirer cette vielle droite réactionnaire et me laisser le champ libre pour cette vielle gauche réactionnaire. Nous aurons tout le temps de faire ami-ami au second tour.

    - ÉZ : C’est parfait. Tu sais, je veux apporter un témoignage. C’est la lecture de Bainville qui m’a décidé à m’engager pour appuyer ce que j’écris ou ce que je dis à la télé.

    - MLP : Oui, je sais. Il faut rester sur la même ligne. C’est comme cela que l’on pourra peut-être parvenir à remplir les urnes, c’est l’essentiel ; et non en organisant de grands baroufs qui se cassent la figure deux jours après.

    - ÉZ : Marine, on reparle de tout cela bientôt. Bonne continuation pour ta campagne.

    - MLP : Merci Éric, toi aussi.

  • Quand Robert Ménard réclamait un chef pour 2022... Lui peut-être ?

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    Le 30 août dernier, le site très suivi, Le Salon Beige,  a repris la déclaration d'Érik Tegner, organisateur de la Convention de la droite, excédé, comme beaucoup, des incohérences du Clan Ménard qui se dit, parait-il, partisan de l'union des droites. S'il souhaite la faire échouer il ne s'y prendrait pas autrement. Mais il est vrai que dans son esprit cette union n'avait de valeur que s'il en était le pilote ! Comme on dit chez nous, "pauvret".

    Ce qui est aussi très intéressant, ce sont les commentaires qui suivent. Ils sont, bien sûr, tous tirés de l'article du Salon Beige.

     

    *****

    Erik Tegnér, co-organisateur de la Convention de la droite en 2019, pousse un coup de gueule contre Robert Ménard, qui avait critiqué, à demi-mots, Marion Maréchal (de ne pas revenir en politique) lors de cette convention et qui semble aujourd’hui reprocher à Éric Zemmour sa possible candidature pour 2022 :

     « J’en ai assez de ceux qui se trouvent des excuses pour ne pas se présenter en 2022 ! Trop vieux, trop intello..je m’en fous! On a besoin d’un chef ! »

    Ça c’est l’engueulade de Robert Ménard à la Convention de la Droite. Maintenant il reproche à #Zemmour... de l’avoir écouté.

    … Je n’arrive plus à le suivre, comme beaucoup. Y compris parmi ceux qui soutiennent Marine Le Pen. Même s’ils se réjouissent évidemment qu’il la soutienne (pour l’instant !).

    On avait organisé une belle convention à la sueur de notre front. Robert Ménard est venu juste pour nous engueuler et doucher l’ambiance. Certains se sont bougés... Et maintenant il les engueule à nouveau. Éric Zemmour et son entourage (toujours facile de critiquer les proches...).

    Quand on a une voix qui porte…, on se doit de suivre une cohérence. Au risque de semer le trouble. On ne peut pas inciter des gens à se jeter dans le grand bain, puis dès que c’est fait, à les lâcher. Ou alors qu’on ne parle pas d’amitié.

    … Mais le coup du “avec Éric, on est potes” sur BFMTV après avoir critiqué Zemmour pour la ixième fois de la semaine, c’était trop… Un peu de décence dans ses critiques de Zemmour serait la bienvenue.

    Et cerise sur le gâteau, Robert Ménard se justifie de son côté au point d’imaginer pouvoir se ranger derrière…Xavier Bertrand pour 2022 :

    « Soyons réalistes. Soyons intelligents. Que les candidats de droite s’engagent à soutenir celui ou celle qui sera en tête au premier tour, que ce soit Le Pen, Zemmour, Bertrand ou le candidat LR  » !

     

    COMMENTAIRES DES LECTEURS

    31 août 2021

    Tout à fait d’accord avec lui, ces critiques vis à vis de Zemmour sont assez ridicules. Hier, Zemmour de retour de vacances était dans une forme olympique à Face à l’info : pas un autre politique n’aurait parlé aussi courageusement et intelligemment que lui sur l’Afghanistan, le pass sanitaire et l’immigration.

    31 août 2021

    Le problème de Robert Ménard c’est qu’il se serait bien vu à la place de Zemmour mais que personne ne l’a mis à cette place. Il y a un peu de jalousie, c’est dommage.

    31 août 2021

    Après ses prises de position sur le vaccin et le passe sanitaire, et aujourd’hui sur l’éventuelle candidature Zemmour, on se demande si Ménard n’a pas été atteint par un virus à conséquences neuronales. À vouloir toujours être à contre-courant de la pensée dominante, le voici maintenant à jouer les mascarets dans son propre camp.
    Hé Robert, tu joues à quoi là ?

     31 août 2021

    Robert Ménard est fondamentalement de gôôche. C’est un nuisible.

    31 août 2021

    Il faut être bien naïf pour ne pas avoir vu que Robert Menard avait viré du côté de la macronie depuis des mois, ses propos de soutien à la politique sanitaire sur les plateaux ne laissaient pas de doutes, c’est qu’on appelle un collabo, tout comme Estrosi ou Falco.

     31 août 2021

    La navrante dérive de RM prend sa source dans sa peur de la “pandémie” – il devrait sans doute se désintoxiquer des médias dominants qui semblent son unique source d’information.

     31 août 2021

    La solution est justement de ne plus le suivre. Les plus clairvoyants avaient subodoré dès le début ce qui se vérifie depuis plusieurs mois : le couple Ménard n’a aucune conviction. Sa seule motivation est la réélection, ce qui justifie tous les renoncements, contradictions, désertions, et autres capitulations. L’habileté dans la communication n’arrive plus à cacher le vide des idées… et finalement le retour vers les premières amours gauchistes. Cela devient insupportable.

     31 août 2021

    Mettre sur le même plan Bertrand, Pécresse et Zemmour non mais ça va pas, les deux sont des lèche-babouches qui seront des incapables, ils continueront sur la lancée de l’ignoble micron et nous enfoncerons encore plus, qu’attendre de FM pourris ? Zemmour c’est quand même autre chose sortir la France du puits où elle est tombée ce n’est pas avec une sauterelle et un crabe qu’on se sortira de ce m…….

     1 septembre 2021

    Mais surtout stupéfiant pour quelqu’un qui se disait défenseur de la liberté d’opinion et d’expression que de refuser à Z sa signature de maire pour la présidentielle

     1 septembre 2021

    ‘Cherchez la femme’ ! Ainsi vous comprendrez mieux les positions du siège, devenues acrobatiques, manifestées oralement par Robert Ménard. Se déroulent actuellement des discussions foudroyantes au sein du foyer de Robert Ménard…

    La voilà un peu marginalisée par un homme de haute valeur virile et chevaleresque, je nomme Eric Zemmour. Et le mari Robert perd alors pieds et se lance dans des discours sulfureux sur le passe sanitaire sans voir l’apartheid et la discrimination en droit qu’il recèle…

    La dérive intellectuelle de Robert est donc liée à une question de couple en politique lors de la venue du cas Zemmour dans leur planning. Robert a fait son outing, il est sorti de la cohérence de ‘Droite’. Emmanuelle va essuyer les pots cassés.

  • L’Assemblée nationale a voté un nouvel abandon de souveraineté. E. Ménard ne s’y est pas opposé !

    Bernanos.jpg

    Le texte a été publié le 25 août. Il s’agit d’une résolution européenne, procédure autorisée par la Constitution, qui permet aux assemblées d’adopter des résolutions portant sur des projets juridiques européens. La présente résolution procède à un transfert pur et simple de souveraineté à l'Europe.

    - Elle salue notamment les propositions de la commission pour développer l'autonomie stratégique européenne dans le domaine pharmaceutique ;

    - Elle soutient la création d'une nouvelle agence sanitaire ;

    - Elle évoque l'opportunité d'une modification des traités.

    Il convient de noter que la Constitution de 1958 avait interdit ce type de déclaration de principe… Mais ça, c'était avant, quand un semblant de souci national demeurait encore présent dans les esprits et les cœurs.

    On voit d'ores et déjà que ce texte n'a pour seule utilité que d'annoncer et demander une nouvelle renonciation à notre indépendance nationale, ici dans le domaine de la santé, comme cela s'est pratiqué dans de nombreux autres disciplines.

    L’histoire récente de la pandémie nous permet d'analyser les expériences vécues, en particulier la décision qui a été prise à l’été 2020 de confier à la Commission européenne l’achat en commun des doses de vaccins qui sont, pour la quasi-totalité, contrôlées par des entreprises pharmaceutiques hors Union Européenne, ce qui a entrainé d’importantes tensions quant aux difficultés d’approvisionnement.

    On a vu alors l’importance qu’il y avait, pour les autorités nationales, de pouvoir contrôler l’essentiel de la gestion d'une crise sanitaire. Constatons, par exemple, que l’Espagne a parfaitement su gérer la vaccination, avec rapidité et efficacité. Nous avons vu également les vives tentions quant à la fermeture des frontières.

    L’Union Européenne n’est cependant pas dépourvue de politique sanitaire. Le traité sur le fonctionnement de l’UE précise qu’elle "oriente les politiques de santé". Il n’en reste pas moins que ces dispositions n’ont pas indiqué, loin de là, qu'elles avaient pour finalité d’orienter les réformes des systèmes de santé propres à chaque pays. Ceux-ci doivent impérativement rester entre les mains des pouvoirs nationaux qui ont, par nature, mission et devoir de décider des politiques qu'ils estiment les plus adaptées à la préservation de la santé de leurs concitoyens et de mettre en place les moyens les plus appropriés pour y parvenir. Les décisions différentes qui ont vu le jour montrent bien la diversité des doctrines de prévention. Elles sont, tout naturellement, adaptées aux systèmes mis en place, souvent hérités d'une longue histoire, et donc bien intégrés par les populations, même si des ajustements permanents sont nécessaires.

    L’expérience démontre, en outre, que plus une organisation est vaste et complexe, et avec l’Union Européenne nous avons un modèle du genre, plus le frein sera mis à des prises de décisions rapides et adaptées à la situation.

    Cette loi, présentée par une députée socialiste et une députée LREM, votée en catimini (la presse nous en a peu ou pas parlé), entre bien dans le souci macronien permanent, c'est le fil rouge du quinquennat, de déposséder notre pays de toute trace de souveraineté au profit de puissances et pouvoirs étrangers, dont le bien commun français n’est certes pas leur premier souci.

    Nous avons écrit dernièrement que nous ne serions pas surpris que les prises de positions futures du Clan Ménard se rapprochent du socle socialo-macronien. Toutefois, nous ne pensions pas que cela serait aussi rapide. E. Ménard a été la seule du groupe des non-inscrits à ne pas voter contre cette loi antinationale. Mais "en même temps", restons macronien jusqu’au bout, après s'être abstenue sur cette loi le 25 juillet, E. Ménard appelle à l'union des droites le 26 août sur BFM. Nous nageons en pleine imposture !

    La conclusion en est vite tirée : le Clan Ménard ne s’oppose plus désormais au délitement progressif du pays, pour donner à d’autres les manettes de la décision. Dans ces conditions nous n’avons pas fini de subir capitulations et renoncements.

    Henri Bec

    PS : Pour prendre connaissance de la liste des députés ayant participé au scrutin, cliquez ICI

  • Le clan et le "syndrome du caméléon"

    Manif anti-vaccin.jpg

    Des milliers d'opposants au pass sanitaire défilent en France « pour la liberté » (Le Point)

    L’allocution prononcée le 12 juillet dernier par Emmanuel Macron a déclenché une vague de protestations que le pays n’avait pas connue depuis longtemps. On a vu les Villiers, Poisson, Zemmour, Le Pen, Philippot, Marion Maréchal… et nombreux autres proclamer avec force leur hostilité aux décisions liberticides annoncées. C’est en effet, une fois de plus la réalisation de ce que Maurras analysait dans un de ses ouvrages prophétiques De Démos à César : la République balance toujours entre un anarchisme ingérable et un césarisme brutal.

    La décision sur l’obligation du pass sanitaire n’a pas arrangé les choses.

    Comment, en effet, peut-on tolérer de la part d’un président de la République un air aussi suffisant, une attitude aussi méprisante et des décisions aussi agressives ? Il n’est pas admissible, ce qui, en outre, est vraisemblablement juridiquement infondé, d’imposer à toute une population, l’injection dans le corps d’une substance qui n’est, faut-il le rappeler, qu’au stade expérimental ; et alors que nombre d’éminents professeurs (professeur Éric Caumes, professeur Perronne…), médecins et autres spécialistes émettent de sérieuses réserves, tant sur la cohérence des méthodes employées depuis un an et demie que sur leur efficacité. Sans parler du personnel médical, le mieux placé en principe, qui, dans une forte proportion refuse cette injection… Le professeur Montagnier, prix Nobel, affirmait récemment : « Une science que l’on apprenait autrefois à l’école primaire : on ne vaccine pas en pleine épidémie, ça crée des variants », aussitôt qualifié de complotiste.

    Mais force est malheureusement de constater que les adversaires de la vaccination obligatoire sont pratiquement interdits de plateau.

    Quant au passe sanitaire, il s’agit d’une atteinte intolérable aux libertés les plus élémentaires. « Nous sommes en dictature » titrait Le Point il y a quelques jours, sous la signature de Franz Olivier Gisbert.

    « Quand on importe les méthodes de l’Arabie Saoudite et du Pakistan, seuls pays au monde à avoir osé rendre la vie impossible aux non vaccinés pour mieux les contraindre, quand on singe la Chine qui prévoit d’interdire l’accès à l’hôpital ou à l’université aux non-vaccinés, oui il y a basculement. » (Marion Maréchal)

    Seul le clan Ménard fait entendre, comme d’habitude, une voix discordante pour tenter d’attirer à nouveau à lui une attention qui s’en détourne chaque jour un peu plus. Il faut bien se faire remarquer d'une manière ou d'une autre, comme plaider pour le vaccin et le pass sanitaire obligatoires. Il est vrai que ses immenses connaissances médicales sont sans commune mesure avec celles de ces spécialistes !

    Devant cette levée de boucliers qu’il n’avait pas prévue, le clan Ménard tente maintenant un rétropédalage qui ne trompera personne. Nécessité fait loi : il ne faudrait pas qu’à quelques mois des législatives, même le carré des derniers et peureux courtisans prenne la poudre d’escampette ! Alors on dépose un amendement à l’Assemblée pour demander que le pass soit limité à la durée de l'épidémie. Ridicule initiative qui consiste à demander la suppression d'une mesure lorsqu’on n’en a plus besoin ! Il n’en reste pas moins qu’E. Ménard n’a pas voté contre cette loi, la seule du groupe des non-inscrits, représentant ce qui reste de droite. Il faudra s’en souvenir…

    Oh ! N’allez pas vous imaginer que toutes ces déclarations et manœuvres soient le résultat de savantes réflexions et de convictions profondes. Après avoir joué au yoyo pendant six ans avec le RN (on pense ce qu’on veut de ce mouvement, la question n’est pas là), faisant assaut d’éloges à l’approche des élections, puis le critiquant, parfois violemment, lorsque le risque disparaissait, puis recommençant la comédie, surtout avant les législatives de 2017 (!), il a démontré son absence totale de sérieux et sa grande maitrise du retournement de veste, ce que les plus perspicaces avaient subodorée depuis le début. Les compliments destinés à Marine Le Pen sont d’une bouffonnerie achevée quand on sait qu’il l’avait menacée de monter une liste concurrente aux élections régionales quelques semaines auparavant. Sans compter les qualificatifs plus que désobligeants dont il la gratifiait.

    Aujourd’hui, le clan ne dissimule plus la finalité de la stratégie mise en place : le succès lors des prochaines législatives, au prix de tous les renoncements (inauguration il y a quelques jours d’un buste du socialiste Giacomo Matteotti ! – Nous y reviendrons) ou des alliances les plus ambiguës (appel à voter UDI aux élections sénatoriales !)… Nous pourrons dans les jours et semaines suivantes, sans risque de nous tromper, commenter les futurs agissements qui ne vont pas tarder de voir le jour et ne manqueront pas de sel. On voit déjà, avec la prise de position sur le vaccin et le pass obligatoires, que mettre ses pas dans ceux de Macron a dû être jugé électoralement rentable. C’est ce que l’on appelle « le syndrome du caméléon ». Médias-Presse-Info titrait récemment : Robert Ménard rejoint la meute au service de la dictature sanitaire.

    Il nous avait berné, la main sur le cœur, avec « l’union des droites ». Elle n’avait en réalité de valeur à ses yeux, que s’il en était le pilote. Lorsque la pantomime de « Oz ta droite » s’est effondrée trois jours après, on n’en a plus entendu parler. C’est désormais à la désunion des droites à laquelle il travaille.

    Sachez que nous ne laisserons pas perdurer cette mascarade sans la commenter et la dénoncer.

    Henri Bec

    PS : si vous souhaitez connaître le nom des députés qui on voté contre le pass sanitaire, cliques ICI

  • Des remerciements malencontreusement omis mais oh! combien mérités

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    Mise au point

     

    Il est difficile d'imaginer que la politique du citron pressé, qui consiste à s’approprier le meilleur de quelqu’un puis à s’en débarrasser après usage, puisse se rencontrer chez ceux qui se revendiquent d’une certaine éthique, pour ne pas dire morale, où la fidélité, l’honneur, le courage, un certain art de vivre, pour tout dire une certaine correction naturelle sont la règle commune.

    C’est sur ces bases que notre groupe des six biterrois élus en 2015 au Conseil départemental de l’Hérault a fonctionné pendant six ans. Notre cohésion a été renforcée, dès l’origine, par les obstacles majeurs mis à l'exercice de notre mandat et par l’ambiance hostile à laquelle nous nous sommes heurtés. Jamais nous n’avons cédé aux injures et provocations, ce qui, peu à peu, nous a valu la sympathie des uns et l’animosité redoublée de certains autres. Nous étions ainsi parvenus à nous imposer, très surveillés par la majorité socialiste qui a compris le sérieux de nos positions et fini par redouter nos interventions. La presse, muselée, ne les a jamais répercutées. Nous n’avons, non plus, pendant six ans, aperçu le moindre écho dans la presse municipale de Béziers…

    Pour d’obscures raisons, sur lesquelles nous reviendrons plus tard, le maire de Béziers a fait obstacle à la poursuite de ce travail.

    Mais il n’était pas interdit, une fois le risque de concurrence écarté, de dire un mot sur cette difficile mission et ceux qui l’avaient accomplie. C’eut été une simple marque, non de reconnaissance, n’en demandons pas trop, mais du plus élémentaire des savoir-vivre. En son absence, il est nécessaire de le faire ici. S'y dérober aurait été une profonde injustice :

     Isabelle.jpg- Isabelle des Garets était membre de la commission permanente et de la commission de l’aménagement rural – agriculture, viticulture, pêche et forêt, secteur important s’il en est dans notre département. Isabelle a toujours assumé ce travail par une parfaite étude et connaissance des dossiers ainsi qu’une une présence constante au département. L’expérience acquise eut été, pour l’avenir, un atout irremplaçable. C’est sur un simple et rapide coup de téléphone qu’elle a appris ne plus faire partie de la liste des candidats. Pas très courageux… pour le moins !

    Corbiere_Jean-Francois-1.jpg - Jean-François Corbière était membre de la commission permanente et de la commission de l’environnement. Il n’avait rien à apprendre sur l’histoire de la politique locale et sa connaissance, acquise depuis des années, des dossiers intéressant le biterrois était précieuse, même irremplaçable. Cela en faisait, lors des assemblées, un intervenant écouté et redouté par un président du département très attentif à ses prises de parole. Il avait décidé de ne pas se représenter.

     Manogil1.jpg- Franck Manogil était membre de la commission permanente et de la commission de l’éducation, de la culture, de la jeunesse, sports et loisirs. Il était la fougue de notre groupe et n’hésitait pas à se heurter, parfois violemment avec le président, sur des sujets majeurs, toujours travaillés avec sérieux, tels les mineurs non accompagnés, les subventions aux associations d’aide aux migrants en situation irrégulière, etc. Il a découvert son absence de la liste des candidats lorsqu’il en a pris connaissance, alors qu'elle avait été déposée en préfecture à son insu. Un coup de poignard dans le dos peu glorieux ! Son indéfectible loyauté a amené le RN à le faire figurer en bonne place sur la liste des régionales. Bravo pour son élection.

    C’est un très sincère remerciement que leur doivent ceux qui les avaient élus. Ils les ont représentés avec conscience, compétence et détermination.

    Pour ma part, j’appartenais à la commission permanente et à la commission de l’aménagement du territoire, du logement, de la politique foncière et à celle des finances et des marchés publics – Administration générale – Relations extérieures. J’ai déjà dit dans le journal local ce que je pensais de ces basses manœuvres. Pour ceux qui ne lisent pas Midi Libre, le communiqué est repris dans l’article suivant.

    Notre seul tort, notre seule faiblesse est d’avoir, avec un grand angélisme, oublié que les vents mauvais font aussi tourner les girouettes.

     Henri Bec

  • Pour ceux qui ne lisent pas Midi Libre

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    Le maire de Béziers a tenu, dans le Midi Libre du 13 mai, des propos totalement déplacés mais très révélateurs. Réponse a été apportée le 18 mai dans le journal local.

    Mais tout le monde ne lit pas Midi Libre. Il nous a donc paru opportun d'en informer les lecteurs de notre bulletin. Le communiqué qui a été envoyé n'est pas repris intégralement dans le journal. Vous le trouverez au-dessous de la reproduction de l'article.

     

    MIDI LIBRE DU 13 MAI 2021

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    TEXTE INTÉGRAL DU COMMUNIQUÉ :

     

    Madame la rédactrice en chef,

    J’ai pris connaissance, avec stupéfaction, des propos tenus par le maire de Béziers, relatifs aux élections cantonales, rapportés dans l’édition du 13 mai : « Il y a besoin de renouvellement. Certains peuvent être usés et d’autres n’ont pas fait leur travail. Ensuite je ne souhaitais pas qu’il y ait de candidats qui appartiennent à quelque parti que ce soit. »

    Nous sommes en effet quatre sur six, des trois cantons biterrois, à ne pas nous représenter aux prochaines élections départementales, ce qui en dit long sur l’intérêt porté par la grande majorité de ce groupe à rester dans le giron de Robert Ménard, quelles que soient les explications maladroites qu’il s’efforce d’avancer.

    Ces propos, proprement scandaleux et désobligeants, illustrent le mépris qu’il peut avoir pour ceux qui le côtoient ou l’ont côtoyé et défendu pendant 6 ans, sans qu’il émette la moindre critique. Mais Robert Ménard n’aime pas ceux qui ont des idées. Ils risquent, trop facilement, de lui faire de l’ombre. C’est le signe classique d’un autoritarisme très préoccupant, antithèse parfaite d’une véritable autorité naturelle.

    Ces propos sont en outre, comme bien souvent, incohérents.

    Chacun a pu constater que les critiques virulentes qu’il proférait à l’égard du Rassemblement national et de sa présidente, et la menace réitérée pendant des semaines, de présenter une liste aux élections régionales, ont brusquement cessé à l’approche d’un nouveau scrutin. Parce qu’il sait, bien sûr, ne pas pouvoir émerger sans leur appui. Et l’on est surpris, pour quelqu’un qui ne veut plus entendre parler de parti politique, de le voir figurer aujourd’hui sur les tracts du RN ! Explication : comme le pratiquent ceux qui n’ont aucun amour-propre et font semblant de se racheter pour conserver une parcelle de pouvoir, il est, lui aussi, allé à Canossa !

    Pour ma part, je n’appartiens pas à un parti politique, et ne me sens ni usé et encore moins responsable d’une absence d’implication dans le travail départemental, bien au contraire. C’est pourquoi, alors que je n’entendais pas continuer à patauger dans le margouillis de la politique politicienne plus que décevante, je ne pouvais laisser passer de telles grossièretés. Et en raison même de ce dérapage inopportun, qui vient troubler une sérénité que je pensais définitive, nous n’avons pas fini d’en reparler !

    Henri Bec

    Conseiller départemental