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Béziers - Page 2

  • Un appel de la fédération des clubs taurins du biterrois - Mobilisation !

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    TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI LIBERTICIDE

    Voici donc la proposition de loi en intégralité du vegan A. Caron. La plupart des paragraphes (sinon tous) montre une méconnaissance totale de la Tauromachie et particulièrement de la Corrida. L'exposé des motifs releve davantage d'un mauvais tract anti-corrida que d'un texte parlementaire... il est vrai que les associations animalistes l'ont largement aidé (elles s'en vantent) à rédiger ; finalement c'est mieux ainsi. Cela montre le niveau intellectuel des rédacteurs. Les députés signataires devraient avoir honte de présenter un tel texte liberticide.

    (PPL signée par LFI : 74 - écolo-Nupes :19 - Liberté, Indépendants, outremer : 1)

    assemble-7-groupes-parlementaires

    ASSEMBLÉE NATIONALE - CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 - SEIZIÈME LÉGISLATURE
    Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 20 septembre 2022.

    PROPOSITION DE LOI
    visant à l’abolition de la corrida

    (Renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.),

    présentée par Mesdames et Messieurs

    Aymeric CARON, Anne STAMBACH‑TERRENOIR, Bastien LACHAUD, Nadège ABOMANGOLI, Laurent ALEXANDRE, Gabriel AMARD, Ségolène AMIOT, Farida AMRANI, Rodrigo ARENAS, Christine ARRIGHI, Clémentine AUTAIN, Julien BAYOU, Lisa BELLUCO, Karim BEN CHEIKH, Ugo BERNALICIS, Christophe BEX, Carlos Martens BILONGO, Manuel BOMPARD, Idir BOUMERTIT, Louis BOYARD, Guy BRICOUT, Sylvain CARRIÈRE, Cyrielle CHATELAIN, Florian CHAUCHE, Sophia CHIKIROU, Hadrien CLOUET, Éric COQUEREL, Alexis CORBIÈRE, Jean‑François COULOMME, Catherine COUTURIER, Hendrik DAVI, Sébastien DELOGU, Alma DUFOUR, Karen ERODI, Martine ETIENNE, Emmanuel FERNANDES, Sylvie FERRER, Caroline FIAT, Charles FOURNIER, Perceval GAILLARD, Marie-Charlotte GARIN, Raquel GARRIDO, Clémence GUETTÉ, David GUIRAUD, Mathilde HIGNET, Hubert JULIEN‑LAFERRIÈRE, Rachel KEKE, Andy KERBRAT, Julie LAERNOES, Maxime LAISNEY, Arnaud LE GALL, Antoine LÉAUMENT, Élise LEBOUCHER, Charlotte LEDUC, Jérôme LEGAVRE, Sarah LEGRAIN, Murielle LEPVRAUD, Benjamin LUCAS, Élisa MARTIN, Pascale MARTIN, William MARTINET, Frédéric MATHIEU, Damien MAUDET, Marianne MAXIMI, Manon MEUNIER, Jean‑Philippe NILOR, Danièle OBONO, Nathalie OZIOL, Mathilde PANOT, Francesca PASQUINI, Sébastien PEYTAVIE, François PIQUEMAL, Marie POCHON, Thomas PORTES, Loïc PRUD’HOMME, Adrien QUATENNENS, Jean‑Hugues RATENON, Jean-Claude RAUX, Sandra REGOL, Sébastien ROME, Sandrine ROUSSEAU, François RUFFIN, Aurélien SAINTOUL, Michel SALA, Eva SAS, Sabrina SEBAIHI, Danielle SIMONNET, Ersilia SOUDAIS, Sophie TAILLÉ‑POLIAN, Bénédicte TAURINE, Andrée TAURINYA, Matthias TAVEL, Nicolas THIERRY, Aurélie TROUVÉ, Paul VANNIER, Léo WALTER,

    députés.

     

    EXPOSÉ DES MOTIFS

    Mesdames, Messieurs,

    « Sentir le sable
    Sous ma tête, c’est fou comme ça peut faire du bien
    J’ai prié pour que tout s’arrête
    Andalousie, je me souviens
    Je les entends rire comme je râle et je les vois
    Danser comme je succombe
    Je pensais pas qu’on puisse autant
    S’amuser autour d’une tombeEst‑ce que ce monde est sérieux ? »

    Francis Cabrel, La corrida, 1994

    Mesdames, Messieurs,

    « La corrida davantage qu’un spectacle est un art » estimaient en 2019 quarante personnalités françaises du monde de la culture, inquiètes de l’interdiction possible des corridas aux moins de 18 ans. L’argument est bien connu : l’arène serait un théâtre mettant en scène une lutte métaphorique, celle de la vie contre la mort.

    La corrida, un art ? Ceux qui l’affirment se fourvoient : il s’agit en réalité d’un acte sanglant, dont la finalité est la mort de taureaux préalablement torturés en public. A contrario, parmi les œuvres d’art, on compte la chanson de Francis Cabrel qui décrit l’incompréhension, la lutte et les souffrances d’un taureau qui vit ses derniers instants dans l’arène. « Je ne pensais pas qu’on puisse autant s’amuser autour d’une tombe », s’étonne‑t‑il avant d’expirer.

    D’après l’article 521‑1 du code pénal, les sévices graves ou les actes de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, s’ils entraînent la mort de l’animal, sont punis de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Qui oserait soutenir que les traitements infligés à un taureau pendant une corrida n’entrent pas dans cette catégorie ?

    *

    Une corrida dure deux heures. Elle comprend six combats de vingt minutes chacun, opposant un taureau à trois matadors. Chacun des combats se déroule en trois phases appelées « tercios »

    Le premier tercio est celui des picadors, qui manient des piques destinées à sectionner ou cisailler les muscles releveurs de la tête du taureau. L’animal souffre, évidemment, mais commence aussi à perdre tous ses repères, ce qui le rend d’autant plus vulnérable.

    Le deuxième tercio est celui des banderillos, qui manient des bâtons terminés par un harpon de 4 cm de long. Plantés dans la masse musculaire proéminente située à la base du cou du taureau, ils déclenchent des hémorragies internes accrues par les déplacements brusques et saccadés du taureau, stimulé par le jeu de cape du torero. Les nerfs sont eux aussi atteints, portant la douleur à son paroxysme.

    Le troisième tercio est celui de la mise à mort qui commence par l’estocade, au cours de laquelle l’épée est plongée au niveau du sommet de l’omoplate droite pour atteindre la cage thoracique.

    Après l’estocade, le coup de grâce est donné par un poignard à lame courte et large, planté entre la base du crâne et le début de la colonne vertébrale pour détruire le cervelet et le début de la moelle épinière. Le temps imparti au torero (ou « matador ») pour tuer le taureau est d’un quart d’heure. S’il ne réussit pas à l’achever dans ce délai, l’animal est conduit au toril où il est abattu. En trophées, le torero recevra les oreilles coupées, voire la queue du taureau massacré.

    Tout cela relève‑t‑il de l’art ou de la torture ?

    *

    L’ordre national des vétérinaires a tranché. En 2016 il affirmait : « Dans les spectacles taurins sanglants, la douleur infligée aux animaux n’est pas contestée. Dans la pratique de la corrida, c’est précisément cette douleur qui augmente les réactions défensives des animaux, leur stress psychologique et physique et donc leur agressivité. Elle conditionne ainsi le succès du spectacle. La courte durée du spectacle (20 minutes) et la sélection d’animaux agressifs et génétiquement prédisposés à combattre paraissent une atténuation peu significative de l’intensité des souffrances physiques forcément ressenties par les animaux.
    Les spectacles taurins sanglants, entraînant, par des plaies profondes sciemment provoquées, des souffrances animales foncièrement évitables et conduisant à la mise à mort d’animaux tenus dans un espace clos et sans possibilité de fuite, dans le seul but d’un divertissement, ne sont aucunement compatibles avec le respect du bien‑être animal ».

    La législation française suit logiquement l’avis de l’ordre des vétérinaires : en vertu de l’article 521‑1 du code pénal, la corrida est interdite dans notre pays.

    *

    Plusieurs départements français bénéficient pourtant encore aujourd’hui d’une exception à la loi, au nom d’une « tradition locale ininterrompue ». Dans le Gard, les Pyrénées Atlantiques ou les Bouches du Rhône est donc admis ce qui est considéré comme une barbarie répréhensible dans la Sarthe ou dans les Vosges. Dans les départements dits « taurins », l’acte de cruauté sur les taureaux n’est pas nié, il n’est simplement pas condamné.

    La justification d’un tel dispositif au nom d’une « tradition locale ininterrompue » est factice. La corrida n’est en rien une tradition française, mais espagnole. Elle n’est arrivée en France qu’en 1853, pour faire plaisir à Eugénie de Montijo, l’épouse andalouse de Napoléon III. Et elle n’a d’ailleurs bénéficié d’une exception aux peines prévues pour les actes de cruauté qu’en 1951. De plus, cette corrida espagnole ne peut se prévaloir d’appartenir au patrimoine culturel immatériel de la France, ce qu’a confirmé le Conseil d’État en 2016, appuyant la décision de la cour administrative de Paris prise un an plus tôt.

    Par ailleurs, ce « spectacle » qui bénéficie de fonds européens, par le biais de la Politique agricole commune (PAC), et de subventions locales, soulève l’opposition et l’indignation d’une majorité de Français et Françaises. D’après un sondage Ifop de février 2022, 87 % des Français et Françaises se déclarent favorables à ce que tout acte de cruauté volontaire ayant entraîné la mort d’un animal soit puni, sans exception pour les corridas. En 2017, un autre sondage Ifop avait montré que 75 % des habitants et habitantes des départements où sont autorisées les corridas sont opposés aux corridas avec pique, banderille et mise à mort.

    Le Chili, l’Argentine, Cuba et l’Uruguay ont fait le choix d’interdire les corridas. En Europe, le Danemark, l’Italie et le Royaume‑Uni ont formellement interdit cette pratique, tout comme la Catalogne. Les Français et Françaises expriment très fortement le souhait que notre pays suive l’exemple. En tant qu’élu.e.s de la Nation, il nous revient d’agir dans l’intérêt général, en tenant compte de l’attente sociétale. Nous avons le devoir de suivre le sens de l’Histoire et d’abolir les corridas. Cette proposition de loi vise donc à interdire les corridas, sans affecter les autres activités taurines.

    En affirmant solennellement que la torture et la mort d’un animal ne peuvent légalement constituer un divertissement digne de l’éthique contemporaine, nous ferons un pas historique en faveur des droits des animaux et par là‑même en faveur de notre humanité.

    L’article unique prévoit l’abolition de la corrida sur tout le territoire français.

    proposition de loi
    Article unique
    Le titre II du livre V du code pénal est ainsi modifié :

    1° Au onzième alinéa de l’article 521‑1, les mots : « aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables » sont supprimés ;
    2° Au second alinéa de l’article 522‑1, les mots : « aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Il n’est pas non plus applicable » sont supprimés.

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  • Béziers : bienvenue aux nouveaux conseillers municipaux !

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    Le 15 mars l'équipe de Choisir Béziers était élu pour la deuxième fois avec un résultat qui n'est rien d'autre qu'un magnifique remerciement des biterrois pour le travail accompli pendant six ans.

    Mais au-delà, il est plus que réjouissant de constater que les diffamations, injures, fausses nouvelles et autres insinuations malveillantes, n'ont plus aucune incidence sur les esprits. Les efforts désespérés déployés par une gauche en fin de règne et une pseudo droite sans idées et donc sans avenir, sont désormais sans effet. Les souverainistes dont parle Éric Zemmour, ou pour être plus précis, ceux qui ont encore conscience des irremplaçables bienfaits d'une nation fière d'elle-même, prennent la relève pour remettre ce pays malmené sur les rails du redressement.

    La nouvelle municipalité comporte un grand nombre de nouveaux venus et de représentants d'une jeune génération décidée et volontaire. C'est à eux d'abord que vont nos vœux de réussite. Nous savons par expérience qu'ils pourront compter sur les plus anciens et plus expérimentés, qui viennent de faire la preuve de leur compétence et de leur détermination.

    Le conseillers départementaux, qui  sont, depuis cinq ans, en totale symbiose avec la municipalité et ont le même désir de libérer le territoire de ses pesanteurs, sont heureux de pouvoir continuer à travailler avec des élus de cette qualité.

    Henri Bec

    _______________________________________

     

    Robert Ménard

    MAIRE 

    Élisabeth Pissarro

    1er adjoint : Adjointe chargée de la culture et du patrimoine

    Benoît d’Abbadie

    2ème adjoint : Adjoint chargé du commerce, des activités agricoles, de de la Féria et des spectacles taurins

    Alberte Frey

    3ème adjoint : Adjointe chargée de la famille, de la jeunesse, de la petite enfance et de l’école

    Michel Moulin

    4ème adjoint : Adjoint chargé de la citoyenneté, des relations avec les associations, des comités de quartier et des anciens combattants

    Bénédicte Firmin

    5ème adjoint : Adjointe chargée de la santé, de l’écologie, du handicap, de la solidarité et des aînés

    Michel Hérail

    6ème adjoint : Adjoint chargé du personnel, des moyens généraux, de l’état civil, des élections et des cimetières

    Laurence Rul

    7ème adjoint : Adjointe chargée des finances, du budget, des affaires juridiques et du mécénat

    Luc Zénon

    8ème adjoint : Adjoint chargé de l’urbanisme, des marchés publics, des achats et des bâtiments communaux

    Perrine Pelaez

    9ème adjoint : Adjointe chargée du logement et de la lutte contre l’habitat indigne

    Yvon Martinez

    10ème adjoint : Adjoint chargé de la voirie, du stationnement, des espaces verts, de la propreté et de la gestion des déchets

    Gérard Angeli

    11ème adjoint : Adjoint chargé du sport, des relations avec les clubs et des équipements sportifs

    Nourredine Abid

    1er conseiller municipal : Conseiller délégué au handicap

    Georgia de Saint-Pierre

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux comités de quartier et aux aînés

    Alexandra Fuchs

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la salubrité publique

    Henri Fabre-Luce

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux activités viticoles

    Emmanuelle Ménard

    Conseillère municipale

    Mélanie Saysset

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la petite enfance et à la jeunesse

    Jean-Louis Aycart

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la voirie et à la signalétique

    Laetitia Lafare

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à l’état civil, aux intégrations républicaines, aux élections et aux cimetières

    Oscar Bonamy

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux espaces verts, à la propreté et la gestion des déchets

    Aina-Marie Pech

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au logement

    Sébastien Saez

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux commerces

    Stéphanie Navarro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au stationnement

    Najah Alami

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux animations

    Marine Jaoul

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux équipements sportifs

    Christophe Spina

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la culture et aux archives

    Fabienne Bertrand

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux maisons de quartier

    Émile Fort

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux anciens combattants

    Marjorie Gomez

    Conseillère municipale

    Marc Andrieu

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à l’écologie

    Monique Agugliaro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux associations

    Marc Valette

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux associations sportives

    Aurélie Jené

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au bien-être animal

    Sarah Rahni

    Conseillère déléguée aux relations avec les citoyens

    Jérémie Vidal

    Conseiller municipal

    Delphine Azais

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux bâtiments communaux et à la pollution visuelle

    Christian Sarkis

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux moyens généraux

    Mathilde Goulliart

    Conseillère municipale

    Veysel Yildirim

    Conseiller municipal

    Meltem Adtakan

    Conseillère municipale

    Victor Alzingre

    Conseiller municipal

    Nadine Besse

    Conseillère municipale

    Jean-Pierre Galtier

    Conseiller municipal

    Pascal Resplandy

    Conseiller municipal d'opposition

    Véronique Vidal-Laur

    Conseillère municipale d'opposition

    Christophe Huc

    Conseiller municipal d'opposition

    Nicolas Cossange

    Conseiller municipal d'opposition

    Thierry Antoine

    Conseiller municipal d'opposition

     

  • "Le procès de Simon de Monfort" - Rétrospective

    Le procès de Simon de Montfort-2.jpgIl y a 10 ans, le 23 juillet 2009, des avocats et magistrats du Tribunal de grande instance de Béziers interprétaient en l'église de la Madeleine, devant une salle comble, une pièce écrite et mise en scène par l'historien biterrois Robert Cavalié, "Le procès de Simon de Monfort", à l'occasion du 800ème anniversaire des événements liés à la Croisade contre les Albigeois.

    Pièce originale qui traitait, non pas du sac de Béziers en 1209, dont on connait un des moments tragiques situé précisément à l'église de la Madeleine, mais des usurpations de terres commises par Simon de Monfort, pour les juristes un procès civil et non pénal.

    Quelques jours auparavant le journal "L'Hérault de l'économie et des affaires" avait demandé à Henri Bec, qui pour l'occasion tenait le rôle du Procureur du Roi, une note sur cette partie de l'histoire de France qui a si profondément marqué notre Midi.

    C'est ce texte que nous reproduisons.

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  • V-Défense et illustration de notre patrimoine

    Pour cette rentrée, revenons à notre patrimoine. Il nous rappelle constamment que nous sommes une nation à l'histoire ancienne et glorieuse, et que nous avons le devoir de le préserver. Tous les jours les signes de sa disparition sont de plus en plus précis.

    Nous poursuivons ainsi l'étude archéologique réalisée par notre ami Jean-Paul Wiegant, ancien responsable du service archéologique de la mairie de Béziers. Il s'agit de la quatrième publication relative aux arènes romaines.

    (Cliquez sur les photos et images afin de les consulter plus facilement.)

     

    Les anciennes arènes romaines - 5

    Réhabilitation du site et archéologie (1987à 2005)

     

    Photo 21 - Fondation de la façade extérieure ouest de l'amphithéâtre

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    Photo 22 - Observation de l'assise de l'arcade ogivale médiévale

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    Images 21 et 22 : Au niveau des sous sols de ce secteur de la terrasse de l’îlot médiéval les vestiges antiques les plus significatifs se résumeront principalement par la mise à jour du soutènement d'une courte section de la fondation, en gros appareil, de l'ancienne façade externe de l'amphithéâtre antique sur laquelle s'appuie une double arcature ogivale médiévale en cours de dégagement pour une compréhension des méthodes employées par les bâtisseurs médiévaux.

    Photo 23 - Observation de l'assise de l'arcade ogivale médiévale

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    Photo 23 : Vue d'ensemble des zones de sondages et de recherches effectuées, en 1999, entre les immeubles médiévaux conservés en élévation et en cours de réhabilitation dans le respect de leurs constructions et allures d'origines sous le contrôle de plusieurs architectes spécialisés.


    De rares indices de constructions antiques, essentiellement enfouis au dessous d'humbles restes d'habitations ou d'enclos médiévaux, parsemant les alentours, seront observés dans cette zone lors des fouilles et des sondages archéologiques.


    **Notes : La rareté des éléments architecturaux antiques observés dans l'ensemble de ce secteur de la colline Saint Jacques témoignent, ici encore, d'une longue durée de pillage des matériaux pouvant être réemployés ou vendus pour bâtir ou entretenir les remparts, bâtiments civils ou religieux, notamment pendant les diverses poussées d'extensions économiques qu'a connu la cité fortifiée du moyen-âge.

    Photo 24 - Fin de la première phase de sondages sur l’Îlot Médiéval

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    Photo 24 : Cliché des premiers sondages et fouilles archéologiques exécutés dans la zone de la terrasse de Îlot médiéval, localisée entre le niveau supérieur de la bordure des gradins surplombant l'arène elle même et deux arcades ogivales, toujours en élévation, derniers témoignages d'un ancien grand immeuble médiéval.
    Ces interventions vont nous apprendre qu'une occupation humaine de la préhistoire n'est que très peu représentée sur cette partie de la colline St Jacques, jusqu'à l'arrivée, aux alentours du Véme siècle avant J.C., d'une population inconnue ou indigène qui occupera ce secteur pendant un temps indéterminé.

    Photo 25 - Observations des traces d'habitats protohistoriques

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    Photo 25 : La fouille méticuleuse entreprise sur l'espace laissé par la démolition des bâtiments parasites et vétustes apporte les premières preuves attestant la présence d'un peuplement protohistorique, à cet endroit précis, par la trouvaille de divers fragments de céramiques attestés du Véme siècle avant J.C. et mêlés de déchets culinaires étalés parmi les nombreuses traces d'habitations et de silos affleurant le centre d'un large fossé elliptique.


    **Notes : Il sera également encore confirmé que les indices d'habitations antiques autres que les ruines de l'amphithéâtre, sont généralement étonnamment absents de ce secteur.

    Photo 26 - Finalisation des relevés archéologiques sur l'Îlot Médiéval

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    Photo 26 :   Relevés et mesures effectués par l'équipe des archéologues après un nettoyage méticuleux afin de mettre plus clairement en évidence et en relation l'ensemble des structures et indices mis à jour.  
    En raison de la complexité des enchevêtrements chronologiques des vestiges et indices existants au milieu des bouleversements successifs du terrain, l'opération sera longue et délicate pour établir une interprétation fiable de l'ensemble des découvertes.

    Photo 27 - État des sondages en cours en septembre 1999

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    Photo 27 : Cliché du 22 septembre 1999 rassemblant, sur un même niveau de l'îlot médiéval, un amalgame d'empreintes et de diverses fondations de murs, d'enclos, de silos, de foyers et fosses de déchets culinaires échelonnés sur plusieurs siècles incluant la protohistoire, l'antiquité, le moyen-âge ainsi que le XIXéme siècle

    Photo 28 - Vue panoramique de l'arène antique et du jardin en 2006

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    Photo 28 :  Cliché de 2006 exposant la partie basse du coté ouest de l'ambulacre elliptique de l'amphithéâtre formant l'assise des immeubles médiévaux qui bordent l'ouest de l'arène et qui, à ce moment, est encore momentanément inaccessible car en attente d'une consolidation avant une réhabilitation interne permettant une future ouverture sécurisée au public en relation avec le musée du Bitterrois et l'Office du Tourisme qui, nous l'espérons, devrait être effective d'ici quelques mois.

     

    Récapitulatif des interventions majeures

    sur les arènes romaines et l'Îlot Médiéval

     

    - 1841, E. Sabatier entreprend les premières fouilles fournissant une base sérieuse pour les  études postérieures des vestiges de l'ambulacre.


    - 1952, J. Gondard fait réaliser des tranchées de sondage sous la partie basse des gradins.


    - 1984, C. Martinez, procède à une enquête minutieuse des sous sols alentours et propose un premier plan de masse ovulaire des structures de l'amphithéâtre


    - 1987, Suivi de travaux Place du Cirque, par J-P Wiegant, responsable de la Mission Archéologique de la ville de Béziers, et découverte de portions ruinées de la galerie principale dont une base de pilastre angulaire monolithe en calcaire finement agencé.


    - 1991, C. Olive, ingénieur archéologue D.R.A.C-S.R.A du Languedoc-Roussillon, réalise un sondage rue du Moulin à l'Huile sur la parcelle LX 320 située à l'est de l'assiette déjà repérée de l'amphithéâtre ou des ruines de démolitions sont atteintes vers 3,50 m de profondeur.


    La D.R.A.C-S.R.A, fait réaliser une série de sondages électromagnétiques laissant apparaître des portions de structures encore non répertoriées, C. Olive et J.-L Massy, direction du S.R.A, effectuent des investigations dans les caves et les rez-de-chaussées des immeubles médiévaux ceinturant le centre de l'arène et situent ou confirment l'existence de structures antiques. A. Levin, élève géomètre et C. Olive (S.R.A), réalisent un relevé topographique des structures visibles.

    - 1992/1993, O. Ginouvez archéologue, (Responsable scientifique d'opération pour l'A.F.A.N) et son équipe réalisent une série de sondages archéologiques pour repérer l'impact et le niveau d'enfouissement des vestiges éventuels. Devenue propriétaire, la Municipalité de Béziers fait démolir les garages modernes présents au sud-ouest de l'arène et au devant de l'ambulacre.


    - 1993/1994, O. Ginouvez (A.F.A.N) et son équipe entreprennent le relevé et la vérification de la stabilité des parties hautes des gradins (Cavea) surmontant la paroi de l'ambulacre.  

     
    - 1997/1998, O. Ginouvez (A.F.A.N) et son équipe dégagent les fondations des gradins (Cavea) situés au dessus de la paroi sud de l'ambulacre restée en élévation en limite de la terrasse en surplomb regroupant plusieurs immeubles du moyen-âge. Intervention suivie d'une série de fouilles et de sondages archéologiques préalables à l'aménagement du jardin destiné au public depuis la partie sud de l'arène centrale, elle même, jusqu'à la base de la paroi du mur intérieur sud-ouest en élévation de l'ambulacre.


    - 1999, Une équipe d'archéologues dirigée par C. Olive, (S.R.A.) réunissant D. Ugolini (C.N.R.S.) spécialiste des céramiques protohistoriques, O. Ginouvez et des agents de l'A.F.A.N., J-Paul Wiegant de la Mission Archéologique de la Ville de Béziers, appuyé  d'emplois jeunes en collaboration amicale avec plusieurs collègues des Services Techniques Municipaux de la Ville de Béziers, entreprend les sondages sur les parcelles LX 274, 283 et 286 libérées suite au curetage des immeubles vétustes par la S.E.B.L.I.


    ________________________________


    Documents réalisés d'après des archives rassemblées par J-Paul Wiegant (2017)

     

     

     

     

  • Edition spéciale : Robert Ménard agressé physiquement. Honteux !

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    Il y a quelques jours, nous rappelions dans ce blog que « certains, toujours les mêmes n’acceptent le suffrage populaire que lorsqu’il leur donne raison. »

    Nous ne pensions pas si bien dire.

    Aujourd’hui nous avons la démonstration que les mêmes ne réclament la liberté d’expression que lorsqu’ils sont les seuls à s’exprimer.

    Robert Ménard était invité samedi 5 mai 2018 à participer à une réunion à Saint-André-de-Cubzac (Gironde). Ç’en était trop pour les censeurs professionnels. Un certain nombre d’élus et militants de LREM, du MODEM, du PS et d'EELV  ont appelé publiquement à la mobilisation pour s’opposer à cette réunion.

    La main d’œuvre classique, composée de voyous de service, s’en sont pris physiquement au maire de Béziers qui a été projeté au sol. Les blessures sont, fort heureusement sans gravité.

    Bien entendu, aucun membre des forces de l’ordre, qui, rappelons-le, sont sous l’autorité du préfet et donc de l’État, n'est intervenu. La manifestation ayant été annoncée, c’est en toute connaissance de cause que l’ordre public, et la protection d’un élu, n’ont pas été assurés, au risque de conséquences plus graves.

    Tout cela est inadmissible et démontre, s’il en était encore besoin que tous ceux que nous appelons couramment dans ce blog les « Démocrates-Républicains-Donneurs de leçons », sentant la fin de leur pitoyable hégémonie, tirent leurs dernières cartouches. L’histoire nous a toujours montré qu’ils ne savaient le faire que dans la violence.

    Les conseillers départementaux ont immédiatement assuré Robert Ménard de toute leur sympathie et la renouvellent ici.

    Toutes les marques d’estime que vous pourriez lui témoigner dans les commentaires de ce blog lui seront, bien sûr, retransmises.

    Henri Bec

    Pour visionner la vidéo, cliquez ICI

  • Réservez votre soirée - Jean-Yves Le Gallou à Béziers le 10 avril

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    Avec l'élection d'Emmanuel Macron nous avons pu constater à quel point la presse joue dans la vie politique un rôle essentiel. Jean-Yves Le Gallou est un spécialiste reconnu de ce phénomène. Il nous fait le plaisir et l'honneur de venir nous entretenir de cette question fondamentale. Une conférence à ne pas rater.

     

    Politique magazine  -  La Nouvelle Revue Universelle

    L’association Louis XVI  -  L’association Pampres et Lys

    Le Cercle Vauban

    ont le plaisir de vous inviter à la conférence que donnera

     

    Jean-Yves Le Gallou

     

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    Ancien député européen

    Président et fondateur de Polemia

    Organisateur des « Bobards d’Or »

     

     

     

     

    Comment faire face à

    la tyrannie médiatique

     

    Le mardi 10 avril 2018

    au restaurant Maria Thérésa à Béziers

    Entrée : 54 avenue du 22 août ou 23 rue Solferino

     

    19 h :         accueil. Un apéritif vous sera servi.

    19 h 30 :   conférence.

    20 h 30 :   à l’issue de la conférence, et pour ceux qui le souhaitent, nous dînerons sur place avec le conférencier qui continuera à répondre à vos questions  (le restaurateur a bien voulu prévoir un menu à 15 € par personne : entrée, plat, dessert, vin en sus).

    Il serait cependant souhaitable de réserver :

    04 67 46 15 32 ou maria_theresa@live.fr

     

    Jean-Yves Le Gallou dédicacera son ouvrage

    LA TYRANNIE MÉDIATIQUE

    (Editions Via Romana)

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  • II-Défense et illustration de notre patrimoine

    Nous reprenons l'étude archéologique réalisée par notre ami Jean-Paul Wiegant, ancien responsable du service archéologique de la maie de Béziers. Il s'agit de la deuxième publication relative aux arènes romaines.

    (Cliquez sur les photos et images afin de les consulter plus facilement.)

     

    Les anciennes arènes romaines - 2

    Réhabilitation du site et archéologie (1987à 2005)

     

    Photo-04 : Recherche du sol d'origine de la galerie antique

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    Archéologue technicien de l'A.F.A.N en cours du dégagement des différentes strates de remblais de terre hétérogènes et superposés couvrant le sol de la galerie antique. Le plus ancien niveau de circulation sera péniblement atteint une quarantaine de centimètres plus bas malgré les infiltrations pluviales.
    Ce sol antique ayant pourtant longuement subit le passage d'une foule d'individus, ne fournira étonnamment que de rares fragments de céramiques, d'éléments ou d'objets antiques identifiables.

     

    Photo-05 : Extension de la fouille et constat du pillage du bâti antique

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    Le dégagement de cette zone met en évidence la démolition et le dépouillement organisé postérieurement, total ou partiel, des structures antiques à l'abandon définitif de l'amphithéâtre romain pour des raisons inconnues.

     

     Photo-06 : Paroi antique ou réaménagement postérieur ?

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    Vestige d'une paroi du monument antique d'origine ou réemploi de matériaux récupérés pour un aménagement postérieur (?)
    Cette base de mur rencontrée dans une cave voûtée s'ouvrant au nord de l'arène, elle même, a été utilisée comme soutènement de l'immeuble de l'Hôtel de La Mercy. Cette solide construction repose sur une fondation de galets informels liés au mortier et partiellement superposée d'une enfilade de gros blocs de calcaire (Opus quadratum), eux mêmes rehaussés de plusieurs rangs de petits moellons de calcaire rectangulaires (opus vittatum) assemblés et jointés à la chaux.

     

    Photo-07

     

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    Photo-07 : Montre l'état général des vestiges de l'amphithéâtre antique dessinés en 1628 par Rulman et Barral, architectes antiquaires mandatés par le roi de France pour inventorier les vestiges antiques ou exceptionnels existants dans les provinces du royaume dont notamment ceux situés en Languedoc.


    La présence de l'amphithéâtre ou des arènes romaines dans le bourg Saint Jacques, (Section LX du cadastre actuel de Béziers), est connue depuis plusieurs siècles ainsi que ses lignes générales classiques qui sont absolument conforment aux règles architecturales romaines de l'antiquité (Dixit C. Olive, D.R.A.C.- S.R.A.)


    Les éléments structurels présentés sur ce superbe croquis sont tous analogues et conformes à ceux observés et vérifiés postérieurement lors des interventions réalisées sur ce grand édifice romain depuis 1991.


    On remarquera plus particulièrement les bases de pilastres dessinées sur ce document du XVIIéme siècle qui correspondent exactement à la seule et unique base de pilastre rescapée, découverte fortuitement en 1990 sous la place du Cirque, enfouie au dessous d'un monceau de ruines et de gravats probablement abandonné sur place lors du démantèlement et de la récupération totale ou partielle des pierres de l'édifice romain représentant une certaine valeur marchande ou économique.

     

     Photo-08

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    Photo-08 : En été 1990 un suivi de travaux de la Lyonnaise des Eaux intervenant sur les réseaux souterrains parcourant le sous sol de la Place du Cirque est gratifié par la mise à jour, aux environs de -160/-200 cm de profondeur, d'un entassement de gravats, de galets, de nodules de chaux et de moellons de calcaire provenant du démontage ancien du monument antique. Celui-ci sera à moitié dégagé mais mettra en évidence, sur moins de 2 m de longueur et une largeur incertaine, la base d'une section de paroi intérieure, coté est, de l'ambulacre elliptique parcourant autrefois tout le rez de chaussée de l'amphithéâtre.


    Cette portion de mur, haute de quelques 60/80 cm, est construite en petit appareil de calcaire (Opus vittatum) aux joints de chaux ferrés et peints en rouge. Elle forme un angle droit avec une seconde section de mur quasi-écroulé indiquant la proximité de l'embrasure d'un ancien couloir de vomitoire transversal ayant permis un accès aux étages supérieurs et aux gradins.


    Localisé vers environ -230 cm sous le niveau de la place actuelle, l'angle de jonction de ces deux murs ruinés se signale par l'assise carrée et massive, en calcaire monolithe, d'une grosse base de pilastre, restée miraculeusement en situation et portant sur trois de ses cotés plusieurs rangs superposés de moulures en cordon. Exacte réplique des bases de pilastres représentées en 1628, elle est posée sur une épaisse dalle de calcaire carrée fixée sur un sol en béton de tuileau portant des traces d'usures laissées par de nombreux passages de piétons.

     

    Photo-09 : Traces d'habitations rudimentaires médiévales

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    Photo-09 : Cliché exposant l'extension de la surface des fouilles accolée à l'est des ruines de vomitoires récemment mis à jour et à l'arrière de la bordure sud de l'arène, effectuée pour une appréciation des risques de possibles autres vestiges antiques éventuellement enfouis dans ce secteur bouleversé et encore inobservé.


    Dans ce secteur, il sera constaté une absence totale de restes de constructions antiques incluant une importante partie du mur podium qui pourrait confirmer un pillage organisé méticuleusement sur le monument romain après son abandon présumé autour de la seconde moitié du IIIéme siècle après J.C.


    Le retrait de 150 à 200 cm de remblais, plus ou moins anciens, révélera des stigmates de murs agencés avec des galets et des fragments ou éclats de calcaire liés avec de l'argile et associés à des armatures de cloisons en torchis indiquant une petite concentration d'humbles habitations, d'enclos, d'ateliers, de fosses ainsi que des petits fours à céramique et de métallurgie effondrés sur place.


    **Notes : Ces indices de bâtis rudimentaires laissent entrevoir plusieurs périodes d'occupations épisodiques du haut moyen-âge, regroupant, peut être, un petit nombre d'artisans et leurs familles, mais ne fourniront que peu d'indice permettant d'obtenir une chronologie fiable et des précisions sur les occupants de cette zone.

    à suivre ...

  • RESERVEZ VOTRE SOIREE

     

    Le samedi 27 janvier 2018 à 18 h 00

    Colonie espagnole

    1, rue vieille citadelle, 34500 BEZIERS

     

    Soirée organisée par l'association AEDE

     

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    Musique traditionnelle d'Espagne et d'Amérique du sud

    Une chanteuse, un guitariste et un accordéoniste

    Un régal pour les amateurs

     

     

    AU PROGRAMME

     

    L’AUTRE BOUT DU MONDE

    DE COLORES 

    BLOWIN’ IN THE WIND

    MARJOLAINE

    JOLIE LOUISE

    MOLLY MALONE

    VALSE POLONAISE

    GRACIAS A LA VIDA

    HEGOAK

    CLAVELITO

    SOKOLY

    DIMANCHE

    BALCON DE SANTIAGO

    L’HERBE TENDRE

    MY HOME IS NOWHERE WITHOUT YOU

    CLANDESTINO

    SUZANNE

    UN DIA A LA VEZ

    LILI MARLEEN

    LOS PECES

    LE LAC BIJOU

    THE CIRCLE

    DIRTY OLD TOWN