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Politique locale

  • FERIA de Béziers 2024 : un partenariat avec "Qui veut gagner des millions" ? (LA REDACTION IMAGINAIRE)

     

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    Dessin de Mathieu

     

    Par Jean-Pierre Pélaez

    Pélaez1.jpgLa Féria 2023 de Béziers a connu un succès planétaire avec, selon la municipalité, un chiffre historique d’un million de participants, toutes catégories confondues, biterrois mais aussi touristes et vacanciers, pilotes de caisses à savon, aficionados fervents, simples badauds, amateurs de bon vin, buveurs d’eau et de limonade, gens d’église, propriétaires de chiens en possession de leur test ADN, pédagogues ivres, automobilistes ayant fait leur alcootest dans les centres prévus à cet effet et autres, tous réunis dans les bodegas, et venus voir la Petite Culotte ou écouter les chansons de Ricoune. 

    Hélas, le succès claironné de cette grande fête populaire s’est trouvé gâché par une vive polémique, le chiffre de la municipalité se trouvant contesté par certains. Comment a-t-il été établi ? A-t-il été arrêté, depuis le balcon de l’hôtel de ville, par un policier municipal, comptant les têtes qui passaient sur l’avenue, ou bien a-t-il été relevé grâce aux nombreux horodateurs installés sur les avenues ou par les enregistreurs automatiques de forfaits post-stationnement à 30 euros les cinq minutes ? On ne sait pas. 

    Les responsables écologistes locaux, encore plus verts qu’à l’ordinaire, ont également tenu à faire la différence entre les spectateurs des corridas, à peine quelques milliers, et les simples chercheurs de convivialité. 

    Enfin le journal Midi-Libre a refusé de publier dans ses pages un encart publicitaire payé par un contribuable ravi de célébrer ce succès, avant de revenir sur sa décision, face à des affiches exprimant l’indignation municipale contre une censure digne d’une médiathèque hiérarchisée, porteuse de différenciation.

     Cependant, en présence du sous-préfet, du chef de la police, du curé de Cucugnan et du capitaine des pompiers, le maire de Béziers s’est déclaré heureux de ce chiffre qualifié d’historique et confiant pour la suite ; et il le peut car déjà plusieurs rumeurs font état pour 2024 d’éléments susceptibles de l’augmenter encore.

    Ainsi, et même si rien n’est confirmé à ce jour, le pape François, confondant la future Féria avec une nouvelle Journée Mondiale de la Jeunesse, aurait prévu en août prochain de venir à Béziers et d’y célébrer dans les arènes la messe de compassion dédiée aux taureaux qui vont périr courageusement, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Même si, dit-on, à l’issue de la cérémonie, et en hommage aux chrétiens morts jadis de la même façon dans les arènes romaines, il appellerait à ce qu’ils soient tous graciés, au nom du vivre-ensemble, et qu‘après avoir fait un tour de piste sous les applaudissements, ils soient reconduits vers leurs prairies originelles où ils pourraient continuer, avec leurs vaches et leurs veaux, à couler des jours heureux.

    Par ailleurs, mais pour l’instant la rumeur n’a pas été confirmé par l’Élysée, le Président Macron en personne, accompagné de Gérald Darmanin et d’un bataillon de CRS, viendrait annoncer pendant la Féria 2024 un nouvel allongement de l’âge de départ à la retraite, qui serait porté à soixante-six ans au lieu de soixante-quatre. Il compte en effet sur l’ambiance festive et joyeuse pour faire passer une mesure qui reste, de l’avis de tous, très impopulaire. Reste que cette annonce devrait attirer, outre un renfort important de policiers, un nombre record de manifestants en colère, munis de casseroles, et qui seraient assimilés à des participants, exprimant leur joie de vivre et leur créativité.

    Mais surtout, côté médiatique, dit-on, un événement de la plus haute importance se prépare. Il est question en effet d’inviter le maire de Béziers, grand habitué des plateaux TV, à l’émission Qui veut gagner des millions ? animée par le célèbre Jean-Pierre Foucault. Il s’agirait là d’une nouvelle formule inventée pour la circonstance : à chaque réponse exacte du candidat maire, il engrangerait un million de participants supplémentaire pour son chiffre record de la Féria. Exemple de questions prévues : Qui est l’actuel(le) président(e) de la région Occitanie ? Réponse A Jean-Pierre Pelaez. Réponse B Carole Delga. Réponse C Louis XIV. Réponse D Jean Michel Du Plaa. Viendraient s’ajouter en prime quelques millions, mais d’euros, pour renflouer la supérette culturelle de la ville, dont les rayonnages sont aujourd’hui quasiment vides, entre quatre boîtes de sardines, une dizaine de paquets de pâtes et trois bocaux de petits-pois.

     On attend donc avec impatience la confirmation de toutes ces rumeurs, et notamment celle d’un futur partenariat entre la municipalité de Béziers et Qui veut gagner des millions ? Il devrait en être question lors du prochain conseil municipal. Mais l’on parie déjà sur un nombre bien supérieur de participants en 2024, au moins plusieurs millions, ce qui placerait Béziers, devant Miami et Las Vegas, en tête des villes de fiestas les plus festoyantes du monde.

  • Association TGV SUD TERRITOIRES-ENVIRONNEMENT - Assemblée générale

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    La très dynamique association TGV SUD TERRITOIRES-ENVIRONNEMENT a tenu son assemblée général de l'année 2023. Nous publions ci-dessous le compte rendu.

     

         *****                    

    Rapport moral et rapport d’activité

     

    RAPPORT MORAL

    Depuis notre AG 2022, nous avons passé une année alternant les chauds et froids en matière de transport :

    - une annonce par la première ministre d’un financement de 100 milliards d’€ sur 10 ans, mais sans programme ni calendrier ;

    - la déclaration d’utilité publique pour la phase 1 (Montpellier-Béziers) de la LNMP ;

    - lancement de la concertation sur la phase 2 Béziers-Perpignan.

    - l’annonce d’une contribution de l’aérien au ferroviaire au titre de l’impact environnemental de l’aérien (montant et modalités non définies à l’heure actuelle),

    - l’annonce d’une contribution du routier au ferroviaire par le biais d’une diminution de la détaxe sur le carburant (?) (montant et dates?) et des sociétés d’autoroute (modalités et montants?).

    Mais dans le même temps :

    - lancement de projets routiers (contournements de Nîmes et Montpellier, autoroute A69 Toulouse-Castres avec artificialisation de plus de 400 ha de terres agricoles, etc..)

    - lancement d’une ligne aérienne Toulouse-Barcelone et regain du transport aérien ;

    - nécessité de se battre contre une dégradation de l’offre ferroviaire qui ne parvient pas à répondre à la demande de plus en plus fréquemment (trains complets en dehors des périodes de forte affluence) ;

    - contrat dit « de performance » État/SNCF Réseau qui ne donne pas les moyens d’une perspective de développement du ferroviaire pour qu’il puisse jouer un rôle significatif par rapport au changement climatique.

    Quant au projet Lyon-Turin, il n’en finit pas de susciter des controverses !

    Et on ne sent pas une réelle volonté de l’État de dynamiser le ferroviaire et de le rendre plus attractif comme on le voit dans nombre de pays voisins . On se méfie donc des effets d’annonce, lorsque ces annonces ne sont pas assorties de programmes ni de calendrier.

    Pour notre association, cela a impliqué une vigilance constante, une participation aux réunions de concertation initiées par la SNCF pour le service TER, les Département et la Région sur les questions de mobilité, car on ne peut défendre valablement le ferroviaire que si on prend en compte l’ensemble des modes de déplacement pour répondre aux besoins de mobilité. Cela est particulièrement vrai pour le projet LNMP quant au positionnement des gares et à la mixité voyageurs/fret ; d’ailleurs, la question de la mixité a bien progressé, c’est une nécessité de plus en plus reconnue et l’action des associations, de TGV SUD en particulier et de la FNAUT Occ-Py-Méd, n’est pas pour rien dans cette évolution.

     

    Donc rien de très spectaculaire au cours de cette année, mais nous avons continué ce travail de fonds et cette veille indispensable, avec, à l’occasion, l’interpellation des décideurs, notamment des élus, comme nous l’avons fait à l’occasion de la publication du Contrat de Performance État/SNCF Réseau.

     

    RAPPORT D’ACTIVITE

    - CA chaque 2ème mardi du mois

    - Participation à la journée des associations sur les Allées à Béziers le 10/09/2022.

    - Participation à la journée des associations à Montpellier sur le stand de FNE pour échanger avec les visiteurs sur les questions touchant aux transports.

    - Participation aux activités de la Fnaut Occ-Py-Méd.

    - Participation à la Commission Locale de l’Eau nappe Astienne pour FNE Occ-Med

    - Participation aux réunions de concertation initiées par la SNCF sur le service TER.

    - Participation aux Comités Départementaux de Mobilité qui traitent tous les modes de transport.

    - Participation à la concertation sur la phase 2 Béziers-Perpignan du projet LNMP.

    - Suivi de la préparation de la Convention TER Région-SNCF.

    - Lettre aux élus suite à la publication du Contrat de Performance État/SNCF pour les inciter à intervenir pour donner davantage de moyens au rail.

     

    ÉLECTION DU CA

    4  membres du CA arrivent  au terme de leur mandat, qui est renouvelable s’ils se déclarent candidat.

    Sylvette ROMANO, Alain LACOMBE et Pierre MICHEL sont prêts à continuer et sont réélus à l’unanimité. Jean BADAROUX souhaite, lui, mettre un terme à sa participation au CA et n’est donc pas candidat et aucun nouveau candidat ne s’est manifesté.

     

    - Compte rendu de la lettre de Carole DELGA.

    La Présidente de Région a répondu de façon détaillée à la lettre que nous avions adressée aux élus et a expliqué la politique de la Région et son engagement pour la défense et le développement des transports en commun et du rail (notamment la défense de la ligne Béziers – Clermont-Ferrand).

    - Point sur la LNMP : nos positions et celles de la Région convergent pour la nécessaire mixité complète de la ligne ; la Région s’interroge aussi sur la nécessité et le positionnement des gares nouvelles.

    - Béziers Clermont-Ferrand ; la situation est tendue en raison d’incertitudes concernant la participation financière de l’État et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Le Comité Pluraliste a engagé des actions dans plusieurs lieux le long de la ligne au cours de l’été et nous soutenons ces actions.

     

    Action FNAUT

     

    RAPPORT D'ACTIVITE 2022 FNAUT OCCITANIE PYRENEES MEDITERRANEE

     Créée en 2017 la FNAUT Occitanie Pyrénées Méditerranée a entamé sa sixième année d'existence.

    En 2022, dans un contexte toujours difficile lié à de multiples mouvements sociaux et à une qualité de service très dégradée en ce qui concerne le ferroviaire la fédération a exprimé auprès de SNCF Mobilités, SNCF TER et la Région Occitanie le mécontentement des usagers et la nécessité de rétablir la situation.

    2 réunions ont eu lieu avec le Vice -Président sur la préparation de la nouvelle convention TER.

    Le CESER où nous sommes représentés travaille également sur ce sujet et a souhaité auditer la FNAUT Occitanie en février 2023.

    1 réunion a eu également lieu avec le directeur régional SNCF TER.

    Point téléphonique au minimum deux fois par mois avec la direction SNCF TER Occitanie.

    La FNAUT a également été invitée aux différentes réunions associations d'usagers/SNCF/ Région.

    La FNAUT a également participé aux comités de pilotage des projets prioritaires nés des EGRIM (états généraux du rail et de l'intermodalité)

    Participation accrue également aux comités départementaux sur la mobilité.

    Participation également sur les comités mobilités des agglos (Sète, Montpellier)

    Une difficulté subsiste toujours : nous ne parvenons pas à couvrir les 13 départements

    TGV Sud Territoire et environnement, l'AUTATE, TARSLY, Train en Tet ont représenté tour à tour la FNAUT,

    Interventions à plusieurs reprises auprès de la Région et de la SNCF pour soutenir des demandes d'indemnisation de voyageurs qui ont presque toutes été couronnées de succès.

    Consultation par SNCF réseau sur des fermetures de Lignes

    Mise en place de réunions téléphoniques trimestrielles avec Directrice SNCF Réseau régionale.

    La FNAUT Régionale participe aussi aux événements comme la « fête du train » et le congrès de la Fédération Européenne de voyageurs et travaille à l'amélioration des relations transfrontalières.

    A partir de ces différentes représentations et avec le travail des associations, différentes avancées ont eu lieu.

    Le président FNAUT Occitanie ainsi que de Jean Pierre Wolff ont été nommé au conseil national de la FNAUT.

    Le travail se poursuit également en lien avec la FNAUT nationale pour faire évoluer et aboutir le dossier épineux de la ligne nouvelle Montpellier-Perpignan ainsi que celui de la transversale Sud.

     

    Échéances à venir, points de vigilance

    et prochain rendez-vous

    Nous participerons aux démarches et actions pour défendre la ligne Béziers-Clermont-ferrand.

    Nous continuerons à suivre le projet de la LNMP, la préparation de l'enquête publique pour la phase 2 'Béziers-Perpignan et à intervenir pour promouvoir la mixité et remettre en question les gares nouvelles.

    Nous resterons vigilants sur toutes les questions relatives aux transports en commun et plus spécialement au rail qui doit être défendu et soutenu par des actions et des financements à hauteur des enjeux.

    Notre prochaine échéance : la journée des Associations sur les Allées Paul Riquet le samedi 9 septembre de 10h à 17h à laquelle nous participerons.

     

    Association TGV SUD Territoires~Environnement  

    Maison de la Vie Associative,

    2 rue Jeanne Jugan, boîte n°37, 34500 BEZIERS

      Blog : http://tgvsud.over-blog.com Courriel: tgvsud34@gmail.com Numéro Siret : 813 742 244 00011

  • La journée des droits de la femme à Béziers ! Vive le hidjab pendant que les Iraniennes meurent pour ne pas le porter

    Les réseaux sociaux n'ont pas manqué de relayer cette photo et de se scandaliser. On le serait à moins. Malheureusement elle est une illustration de ce qu'est devenue la politique biterroise : un mélange très homogène de démagogie et de trahison.

    Merci pour celles qui subissent partout dans le monde, et maintenant en France, la dictature de la charia ! Honteux !

    Comment des Français qui, jusqu'hier critiquaient la politique immigrationiste mise en place et la subversion qui nous envahit, accompagnée d'une religion qui est là pour tuer notre civilisation, peuvent-ils poser avec des femmes représentant cette même religion, vêtues du voile, une de leurs armes de conquête ?

    Comment des pieds noirs, et il y en a plusieurs sur cette photo, victimes et oh! combien de la barbarie musulmane, peuvent-ils s'abaisser à ce point ?

    Le clan Ménard et tous ses affidés s'enfoncent toujours un peu plus dans le déshonneur. 

    Tout cela n'est vraiment pas bien beau !

    Henri Bec

    ********

    2-1.jpgLa France de demain c’est Roubaix, Marseille Nord, Trappes, Mantes-la-Jolie, la Paillade, Château d’eau, Villeneuve Saint-Georges, les Mureaux, Château Rouge, Grigny, Corbeil, Sarcelles, et… Béziers.

    Pas besoin de vivre encore plus longtemps pour la découvrir, on la croise à tous les coins des rues des villes, elle commence à montrer le bout de son nez dans les villages. Elle se fait de plus en plus visible.

    Nous ne serons pas là pour dire il fut un temps où l’on pouvait manger son sandwich jambon- beurre et boire sa cannette de bière dans ses parcs et jardins en toute sécurité et pouvoir manger un morceau pendant le Ramadan dans la journée, car désormais les restos et les bistrots ont porte close comme n’importe quelle ville musulmane dans les pays d’Allah.

    On entendra les appels à la prière 5 fois par jour diffusés par des haut-4.jpgparleurs aux décibels de la puissance d’un avion en décollage. Comme si la France n’avait jamais existé en tant que France, peut-être qu’elle prendra le nom de Francestan. Ses églises et ses cathédrales subiront le même sort que Sainte-Sophie.

    La justice sera rendue au nom de leur satané Allah, ses codes juridiques et sa constitution disparaîtront au profit des lois naturelles prétendument d’essence divine, c’est-à-dire la Charia de malheur.

    Voltaire, La Boétie, Molière, Montesquieu, Rousseau, Diderot, Corneille, etc.. passeront dans les oubliettes et leurs livres seront brûlés comme les livres de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie au VIIe siècle. De son héritage grandiose et mémorable, il ne restera plus grand-chose. On enseignera dans ses écoles une autre histoire que la sienne, celle de ses nouveaux colons. Sa mort culturelle semble inéluctable ainsi qu’en tant qu’entité humaine

    6-1.jpgLa faute à ses dirigeants politiques laxistes, irresponsables, sourds et aveugles, eux qui n’ont jamais voulu entendre les mises en garde de tous les patriotes sincères, voire de Georges Marchais et prendre conscience de la gravité du danger en laissant entrer dans la bergerie le loup qui la convoite depuis Charles Martel.

    Ils ont creusé leur propre tombe en faisant venir des femmes et des hommes avec lesquels ils savaient pourtant, pour les avoir colonisés, que la cohabitation est impossible et que leur mode de vie est antinomique au notre, nonobstant leur dessein cosmogonique de coloniser la terre tout entière et la soumettre à la dure loi de leur religion.

    Salem Benammar

     

    le voile islamique, symbole de la trahison5-1.jpg de la gauche féministe

    Comme le signale l’excellent site Fdesouche, à l’occasion du 8 mars, Journée internationale du droit des femmes, de nombreuses structures françaises, municipalités, préfectures, osent mettre en avant le voile islamique pour célébrer cette date.

    Pourtant, en 1989, à l’occasion de la première offensive du voile dans nos écoles, à Creil, même Arlette Laguillier décrivait le voile islamique comme le symbole de l’oppression des femmes.

    Depuis, de l’eau a passé sous les ponts. Encore plus grave, des militants de gauche, souvent Insoumis, réclament des conseillères municipales voilées, des députés voilées et se battent pour abolir la loi du 15 mars 2004 interdisant le voile à l’école.

    Pendant ce temps-là, en Iran, des femmes meurent pour retrouver leur liberté.

    Ces deux articles sont tirés de

    Riposte laïque 

  • Un appel de la fédération des clubs taurins du biterrois - Mobilisation !

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    TEXTE DE LA PROPOSITION DE LOI LIBERTICIDE

    Voici donc la proposition de loi en intégralité du vegan A. Caron. La plupart des paragraphes (sinon tous) montre une méconnaissance totale de la Tauromachie et particulièrement de la Corrida. L'exposé des motifs releve davantage d'un mauvais tract anti-corrida que d'un texte parlementaire... il est vrai que les associations animalistes l'ont largement aidé (elles s'en vantent) à rédiger ; finalement c'est mieux ainsi. Cela montre le niveau intellectuel des rédacteurs. Les députés signataires devraient avoir honte de présenter un tel texte liberticide.

    (PPL signée par LFI : 74 - écolo-Nupes :19 - Liberté, Indépendants, outremer : 1)

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    ASSEMBLÉE NATIONALE - CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 - SEIZIÈME LÉGISLATURE
    Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 20 septembre 2022.

    PROPOSITION DE LOI
    visant à l’abolition de la corrida

    (Renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.),

    présentée par Mesdames et Messieurs

    Aymeric CARON, Anne STAMBACH‑TERRENOIR, Bastien LACHAUD, Nadège ABOMANGOLI, Laurent ALEXANDRE, Gabriel AMARD, Ségolène AMIOT, Farida AMRANI, Rodrigo ARENAS, Christine ARRIGHI, Clémentine AUTAIN, Julien BAYOU, Lisa BELLUCO, Karim BEN CHEIKH, Ugo BERNALICIS, Christophe BEX, Carlos Martens BILONGO, Manuel BOMPARD, Idir BOUMERTIT, Louis BOYARD, Guy BRICOUT, Sylvain CARRIÈRE, Cyrielle CHATELAIN, Florian CHAUCHE, Sophia CHIKIROU, Hadrien CLOUET, Éric COQUEREL, Alexis CORBIÈRE, Jean‑François COULOMME, Catherine COUTURIER, Hendrik DAVI, Sébastien DELOGU, Alma DUFOUR, Karen ERODI, Martine ETIENNE, Emmanuel FERNANDES, Sylvie FERRER, Caroline FIAT, Charles FOURNIER, Perceval GAILLARD, Marie-Charlotte GARIN, Raquel GARRIDO, Clémence GUETTÉ, David GUIRAUD, Mathilde HIGNET, Hubert JULIEN‑LAFERRIÈRE, Rachel KEKE, Andy KERBRAT, Julie LAERNOES, Maxime LAISNEY, Arnaud LE GALL, Antoine LÉAUMENT, Élise LEBOUCHER, Charlotte LEDUC, Jérôme LEGAVRE, Sarah LEGRAIN, Murielle LEPVRAUD, Benjamin LUCAS, Élisa MARTIN, Pascale MARTIN, William MARTINET, Frédéric MATHIEU, Damien MAUDET, Marianne MAXIMI, Manon MEUNIER, Jean‑Philippe NILOR, Danièle OBONO, Nathalie OZIOL, Mathilde PANOT, Francesca PASQUINI, Sébastien PEYTAVIE, François PIQUEMAL, Marie POCHON, Thomas PORTES, Loïc PRUD’HOMME, Adrien QUATENNENS, Jean‑Hugues RATENON, Jean-Claude RAUX, Sandra REGOL, Sébastien ROME, Sandrine ROUSSEAU, François RUFFIN, Aurélien SAINTOUL, Michel SALA, Eva SAS, Sabrina SEBAIHI, Danielle SIMONNET, Ersilia SOUDAIS, Sophie TAILLÉ‑POLIAN, Bénédicte TAURINE, Andrée TAURINYA, Matthias TAVEL, Nicolas THIERRY, Aurélie TROUVÉ, Paul VANNIER, Léo WALTER,

    députés.

     

    EXPOSÉ DES MOTIFS

    Mesdames, Messieurs,

    « Sentir le sable
    Sous ma tête, c’est fou comme ça peut faire du bien
    J’ai prié pour que tout s’arrête
    Andalousie, je me souviens
    Je les entends rire comme je râle et je les vois
    Danser comme je succombe
    Je pensais pas qu’on puisse autant
    S’amuser autour d’une tombeEst‑ce que ce monde est sérieux ? »

    Francis Cabrel, La corrida, 1994

    Mesdames, Messieurs,

    « La corrida davantage qu’un spectacle est un art » estimaient en 2019 quarante personnalités françaises du monde de la culture, inquiètes de l’interdiction possible des corridas aux moins de 18 ans. L’argument est bien connu : l’arène serait un théâtre mettant en scène une lutte métaphorique, celle de la vie contre la mort.

    La corrida, un art ? Ceux qui l’affirment se fourvoient : il s’agit en réalité d’un acte sanglant, dont la finalité est la mort de taureaux préalablement torturés en public. A contrario, parmi les œuvres d’art, on compte la chanson de Francis Cabrel qui décrit l’incompréhension, la lutte et les souffrances d’un taureau qui vit ses derniers instants dans l’arène. « Je ne pensais pas qu’on puisse autant s’amuser autour d’une tombe », s’étonne‑t‑il avant d’expirer.

    D’après l’article 521‑1 du code pénal, les sévices graves ou les actes de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, s’ils entraînent la mort de l’animal, sont punis de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Qui oserait soutenir que les traitements infligés à un taureau pendant une corrida n’entrent pas dans cette catégorie ?

    *

    Une corrida dure deux heures. Elle comprend six combats de vingt minutes chacun, opposant un taureau à trois matadors. Chacun des combats se déroule en trois phases appelées « tercios »

    Le premier tercio est celui des picadors, qui manient des piques destinées à sectionner ou cisailler les muscles releveurs de la tête du taureau. L’animal souffre, évidemment, mais commence aussi à perdre tous ses repères, ce qui le rend d’autant plus vulnérable.

    Le deuxième tercio est celui des banderillos, qui manient des bâtons terminés par un harpon de 4 cm de long. Plantés dans la masse musculaire proéminente située à la base du cou du taureau, ils déclenchent des hémorragies internes accrues par les déplacements brusques et saccadés du taureau, stimulé par le jeu de cape du torero. Les nerfs sont eux aussi atteints, portant la douleur à son paroxysme.

    Le troisième tercio est celui de la mise à mort qui commence par l’estocade, au cours de laquelle l’épée est plongée au niveau du sommet de l’omoplate droite pour atteindre la cage thoracique.

    Après l’estocade, le coup de grâce est donné par un poignard à lame courte et large, planté entre la base du crâne et le début de la colonne vertébrale pour détruire le cervelet et le début de la moelle épinière. Le temps imparti au torero (ou « matador ») pour tuer le taureau est d’un quart d’heure. S’il ne réussit pas à l’achever dans ce délai, l’animal est conduit au toril où il est abattu. En trophées, le torero recevra les oreilles coupées, voire la queue du taureau massacré.

    Tout cela relève‑t‑il de l’art ou de la torture ?

    *

    L’ordre national des vétérinaires a tranché. En 2016 il affirmait : « Dans les spectacles taurins sanglants, la douleur infligée aux animaux n’est pas contestée. Dans la pratique de la corrida, c’est précisément cette douleur qui augmente les réactions défensives des animaux, leur stress psychologique et physique et donc leur agressivité. Elle conditionne ainsi le succès du spectacle. La courte durée du spectacle (20 minutes) et la sélection d’animaux agressifs et génétiquement prédisposés à combattre paraissent une atténuation peu significative de l’intensité des souffrances physiques forcément ressenties par les animaux.
    Les spectacles taurins sanglants, entraînant, par des plaies profondes sciemment provoquées, des souffrances animales foncièrement évitables et conduisant à la mise à mort d’animaux tenus dans un espace clos et sans possibilité de fuite, dans le seul but d’un divertissement, ne sont aucunement compatibles avec le respect du bien‑être animal ».

    La législation française suit logiquement l’avis de l’ordre des vétérinaires : en vertu de l’article 521‑1 du code pénal, la corrida est interdite dans notre pays.

    *

    Plusieurs départements français bénéficient pourtant encore aujourd’hui d’une exception à la loi, au nom d’une « tradition locale ininterrompue ». Dans le Gard, les Pyrénées Atlantiques ou les Bouches du Rhône est donc admis ce qui est considéré comme une barbarie répréhensible dans la Sarthe ou dans les Vosges. Dans les départements dits « taurins », l’acte de cruauté sur les taureaux n’est pas nié, il n’est simplement pas condamné.

    La justification d’un tel dispositif au nom d’une « tradition locale ininterrompue » est factice. La corrida n’est en rien une tradition française, mais espagnole. Elle n’est arrivée en France qu’en 1853, pour faire plaisir à Eugénie de Montijo, l’épouse andalouse de Napoléon III. Et elle n’a d’ailleurs bénéficié d’une exception aux peines prévues pour les actes de cruauté qu’en 1951. De plus, cette corrida espagnole ne peut se prévaloir d’appartenir au patrimoine culturel immatériel de la France, ce qu’a confirmé le Conseil d’État en 2016, appuyant la décision de la cour administrative de Paris prise un an plus tôt.

    Par ailleurs, ce « spectacle » qui bénéficie de fonds européens, par le biais de la Politique agricole commune (PAC), et de subventions locales, soulève l’opposition et l’indignation d’une majorité de Français et Françaises. D’après un sondage Ifop de février 2022, 87 % des Français et Françaises se déclarent favorables à ce que tout acte de cruauté volontaire ayant entraîné la mort d’un animal soit puni, sans exception pour les corridas. En 2017, un autre sondage Ifop avait montré que 75 % des habitants et habitantes des départements où sont autorisées les corridas sont opposés aux corridas avec pique, banderille et mise à mort.

    Le Chili, l’Argentine, Cuba et l’Uruguay ont fait le choix d’interdire les corridas. En Europe, le Danemark, l’Italie et le Royaume‑Uni ont formellement interdit cette pratique, tout comme la Catalogne. Les Français et Françaises expriment très fortement le souhait que notre pays suive l’exemple. En tant qu’élu.e.s de la Nation, il nous revient d’agir dans l’intérêt général, en tenant compte de l’attente sociétale. Nous avons le devoir de suivre le sens de l’Histoire et d’abolir les corridas. Cette proposition de loi vise donc à interdire les corridas, sans affecter les autres activités taurines.

    En affirmant solennellement que la torture et la mort d’un animal ne peuvent légalement constituer un divertissement digne de l’éthique contemporaine, nous ferons un pas historique en faveur des droits des animaux et par là‑même en faveur de notre humanité.

    L’article unique prévoit l’abolition de la corrida sur tout le territoire français.

    proposition de loi
    Article unique
    Le titre II du livre V du code pénal est ainsi modifié :

    1° Au onzième alinéa de l’article 521‑1, les mots : « aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables » sont supprimés ;
    2° Au second alinéa de l’article 522‑1, les mots : « aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Il n’est pas non plus applicable » sont supprimés.

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  • Compte rendu de l'assemblée générale TGV SUD T.E.

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    Compte rendu de l'assemblée générale TGV SUD T.E

    MVA salle Jean Farret Vendredi 17 juin 2022

     

    Notre Assemblée s'est enfin déroulée à la MVA car à cause des restrictions entraînées par la « Covid », nous n’avions pas pu retrouver la MVA.

          Nous avions longtemps en avance réservé la salle Jean Farret mais le week-end des élections n’était pas encore prévu ; un certain nombre de nos adhérents ou sympathisants mobilisé par cet événement n’a donc pas assisté à notre AG.

    Pourtant l’année écoulée a été riche en événements :

    - Réunions avec les responsables régionaux de la SNCF ; les élus Régionaux ;

    - Conférence de presse au Club de la Presse à Montpellier avec la Fnaut Occitanie, l’ASSECO-CFDT, FNE-LR et la CRI-LNMP.

    - Deux temps forts pour le projet LNMP : la concertation qui s’est déroulée fin 2020 – début 2021, et surtout l’Enquête Publique pour le tronçon Montpellier Béziers.

    Certains sujets ne sont pas prévus dans la phase 1 et ne seront débattus que pour la phase2 (mixité au-delà de Béziers et gares nouvelles) mais il est bon que soit noté notre avis sur : la mixité ; le tunnel dans les Corbières pour préserver la nature et notre opposition à des gares nouvelles mal situées ou ne permettant pas les correspondances avec les TER et Intercités.

    Toutes ces rencontres sont l’occasion pour nos associations et fédérations de défendre l’intérêt général pour le rail alors que la gouvernement mise sur la route et refuse d’accorder au rail les moyens nécessaires à sa modernisation indispensable pour permettre un report de la route vers le rail. Les « petites lignes sont plus que jamais menacées. La FNAUT nationale a dénoncé cette situation dans un communiqué que vous trouverez joint à ce compte rendu.

    Rappelons que le mode de transport routier est celui qui consomme le plus d’espace au détriment de terres agricoles et d’espaces naturels ; il pollue par le rejet de gaz à effet de serre, et par l’usure des pneus qui produit des micros particules qui non seulement polluent l’atmosphère mais aussi les cours d’eau, les mers et les océans.

    L'utilisation de l’hydrogène serait moins polluante mais ne résoud pas les deux autres problèmes et reste moins performant que le rail en consommation d’énergie

    Nous devons rencontrer l’Agglo de Béziers pour discuter du projet de la gare nouvelle TGV près de l’A75, car ce projet n’est pas abandonné dans la tête des élus même si des échos rapportent qu’une gare connectée serait en projet (?)

     Clermont.jpgBéziers-Clermont-Ferrand. Malgré nos messages et l’adhésion au Comité Pluraliste de défense de la ligne Béziers Neussargues, nous n’avons que peu de nouvelles des projets sur cette ligne. La Région soutient à bout de bras son maintien : des travaux importants sont prévus pour cet été, mais avec fermeture de la ligne pendant les deux mois d’été. Dommage pour les usagers et les touristes intéressés par notre région !

     

    Vie de l’association

     La reprise d’activité s’est faite progressivement mais nos amis décédés Alain CHARBONNIER et Eric ARE nous manquent et il serait important d’avoir de nouveaux membres.

    Nos finances sont saines mais témoignent de la baisse d’activités liée à la pandémie.

    Nous avons procédé à l’élection du Conseil d’Administration.

    La journée des Associations sur les Allées à Béziers aura lieu le samedi 10 septembre de 10h00 à 18h00 et nous serons présents.

    Notre présence, notre mobilisation et notre vigilance restent nécessaires pour la suite des événements.

    Nos échanges se sont poursuivis autour du traditionnel (de retour) verre de l’amitié.

  • Le clan Ménard a perdu son âme. Il n'a pas pour autant reçu son plat de lentilles

    Depuis un an (voir les articles que nous avons publiés dès juin 2021), le clan Ménard n’a cessé de jouer les carpettes auprès d’Emmanuel Macron. Il n’y avait plus de critiques à faire, le bilan était « globalement positif ». Oubliés les Gilets jaunes, l’augmentation exponentielle de l’immigration, la délinquance désormais non maitrisée, la dette abyssale et explosive, la justice en faillite, l'inflation galopante, la gestion incohérente de la crise sanitaire, le drame de l’hôpital, la politique extérieure au service des échéances électorales, etc.

    Au fur et à mesure des mois, les louanges et courbettes ont pris un tour quasi quotidien. Souvenons-nous de l’accueil indécent du Président à Béziers.

    Notre députée, prétendument catholique, qui avait cru pouvoir s’illustrer sur les questions bioéthiques, n’a rien trouvé de mieux que de critiquer avec violence l’arrêt rendu par la Cour suprême américaine sur l’avortement, choisissant ainsi la culture de mort contre celle de la vie. Le maire a emboité le pas avec allégresse, le lendemain même du prononcé de l’arrêt. Notons d’ailleurs, mais cela ne nous étonne pas, tellement nous sommes habitués aux analyses confuses et saugrenues, que la Cour suprême n’a pas supprimé l’avortement mais laissé les États libres d’en décider. Il était cependant indispensable, de vite rallier la doxa macrono-gauchiste, les mêmes qui avaient qualifié la colonisation de crime contre l'humanité ! Le Pied Noir Ménard a désormais dépassé les limites de l'indécence et du déshonneur. On est également surpris de l'absence de réaction de tous ceux, ils sont nombreux, qui pratiquant la politique de l'autruche, font semblant de ne pas voir ni entendre, complices objectifs de la grave crise intellectuelle et morale qui ronge le pays. L'amour propre et la dignité s'éloignent à grands pas ! Mais la nature a horreur du vide : d'autres se chargeront de les remplacer et ce ne sera pas pour le meilleur !

    C’est ainsi que la clan Ménard s’attendait à recevoir la monnaie de sa pièce, après avoir, deux précautions valent mieux qu'une, effectué un détour à Matignon aux fins de sollicitations appuyées. Un petit poste au gouvernement semblait la récompense adaptée à ces renoncements. Les dernières semaines de campagne ont vu fleurir les déclarations dans ce sens avec une grotesque indécence. 

    Les discussions et interrogations en famille n’ont pas dû manquer :

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    Les ambitions démesurées sont le propre de ceux qui ne se sentent pas concernés par le principe de Peter. Et rêvent d'un destin qui n’est pas pour eux. Comment imaginer un instant qu’Emmanuel Macron ait pu s’encombrer d’un collaborateur sans personnalité affirmée, dont l’instabilité récurrente ne se traduit que par des improvisations permanentes, transitant de la Ligue communiste révolutionnaire au Front National, désavoué depuis, en passant par le très gauchiste "Reporters sans frontières", le parti socialiste ou l’UDI… Il faut une belle dose de complexe de supériorité et d’égocentrisme pour y croire. On a d’ailleurs compris que le refus avait été notifié dès le 30 juin, les critiques contre Macron ayant repris dès le lendemain !

    Dans ces conditions, la lecture des membres du gouvernement a eu de quoi les surprendre :

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  • La véritable union des droites

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    Comme l’a rappelé Valeurs actuelles le 25 mai dernier, Robert Ménard a, dès fin 2018, poussé Éric Zemmour à tenter sa chance lors de l’élection présidentielle.

    Robert Ménard ne rate désormais jamais une occasion de tacler Marine Le Pen et Éric Zemmour. Après avoir rejoint le Rassemblement national puis s’en être éloigné, le maire de Béziers a soutenu le fondateur du parti Reconquête ! avant même que celui-ci ne décide de se lancer en politiqueEn effet, comme l’a rappelé Valeurs actuelles, dans cette même édition, dès le mois de décembre 2018 il a adressé une lettre à l’ancien chroniqueur de CNews pour lui faire part de son admiration à son sujet et "l’implorer" de viser l’Élysée.

    "Cette union des droites, des Républicains au Rassemblement national en passant par Debout la France, peut se faire, à notre sens, derrière une seule personnalité, derrière un homme qui fait la quasi-unanimité chez les sympathisants et militants de toute la droite : Éric Zemmour", a d’abord écrit Robert Ménard, en vantant les mérites de ce dernier. "Sa rigueur et son courage ne sont plus à démontrer. Il sait dire notre attachement à la France, à sa culture, à son histoire, à son ancrage dans notre civilisation chrétienne", a-t-il ajouté, en assurant que le polémiste "est le visage contemporain de ces intellectuels engagés qui ont fait de notre pays ce qu’il est".

    Difficile de dire mieux ! Mais comme le titrait Présent :Souvent Robert varie.jpg

  • La réalité des votes d'E. Ménard : très instructif !

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    La vie politique amène très souvent la presse, ou le public, ou les candidats eux-mêmes à avancer des contre-vérités ou à prendre des positions contradictoires que la vitesse des informations a vite fait d'effacer. Il n'est donc pas inutile de rappeler les faits bruts et indiscutables. Nous donnons ici un florilège de quelques prises de position de la députée actuelle du biterrois, qui ne donne pas un exemple parfait de constance et de conformité à d'autres déclarations totalement incompatibles avec les votes à l'assemblée ! Sur l'immigration par exemple.

    Les renseignements ci-dessous sont directement tirés du site officiel de l'Assemblée nationale. Ce sont évidemment des textes parmi les plus importants dont a eu à connaître le Parlement. On constate des orientations laxistes sur la grande question de l'immigration, liberticides sur d'autres ou dangereuses.

     

    IMMIGRATION

    La loi "asile et immigration", durcissant les conditions d'accueil

    (adoptée le 1er août 2018)

    Emmanuelle Ménard a voté contre en deuxième lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive

    • Raccourcissement des délais pour le dépôt et le traitement des demandes d'asile, durcissement des mesures d'éloignement, allongement de la rétention administrative... Cette loi a permis de faciliter les reconduites à la frontière.

    Déclaration d'E. Ménard le 7 novembre 2019. Elle dénonce le "record absolu des titres de séjour délivrés, (...) des nouvelles demandes d'asile",  "Commençons peut-être à nous occuper de rendre le travail plus attractif, d’aider les chômeurs de longue durée à retrouver du travail plutôt que tout de suite aller dire ’on va faire venir des gens de l’extérieur"

    Un coup à droite, un coup à gauche !

     

    COVID-19

    La loi instaurant l'état d'urgence sanitaire (adoptée le 22 mars 2020)

    Emmanuelle Ménard a voté pour lors de la lecture définitive

     

    ENVIRONNEMENT

    La loi réautorisant les néonicotinoïdes (adoptée le 30 octobre 2020)

    Emmanuelle Ménard a voté pour en première lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive

    • Cette loi a autorisé les producteurs de betteraves à sucre à recourir jusqu'en 2023 aux néonicotinoïdes, des insecticides dits "tueurs d'abeilles" interdits depuis 2018 en France.

     

    ENVIRONNEMENT

    La loi "Climat et résilience" (adoptée le 20 juillet 2021)

    Emmanuelle Ménard s'est abstenue lors de la lecture définitive

    • ce texte devait permettre à la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40% d'ici à 2030 par rapport à 1990.

     

    ISLAMISME

    La loi "Séparatisme" contre l'islamisme radical (adoptée le 23 juillet 2021)

    Emmanuelle Ménard a voté contre lors de la lecture définitive

    • Cette loi a accru les contrôles sur le financement des lieux de culte et des associations les gérant. Elle a aussi élargi la liste de motifs pouvant déclencher leur fermeture.

     

    COVID-19

    La loi instaurant le pass vaccinal (adoptée le 16 janvier 2022)

    Emmanuelle Ménard a voté pour en deuxième lecture

    Emmanuelle Ménard n’était pas présente lors de la lecture définitive*

    • Cette loi autorise le gouvernement à conditionner l'accès à certains lieux (restaurants, cinémas, musées, centres commerciaux, transports...) à la détention d'un pass vaccinal.

          . Les députés de La France insoumise et du Rassemblement national ont dénoncé des                   mesures  contraires aux libertés individuelles et critiqué une obligation vaccinale déguisée

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  • Franck Manogil, suppléant d'Henri Fabre-Luce - Communiqué de presse

    Franck Manogil est conseiller régional d'Occitanie et suppléant d'Henri Fabre-Luce, candidat sur la sixième circonscription de l'Hérault. Il a, pendant six ans occupé les fonctions de Conseiller départemental avec l'efficacité que l'on connaît.

    Ayant donné son parrainage à Marine Le Pen lors de la dernière élection présidentielle, Franck Manogil personnifie l'union des droites que les électeurs attendent. Rien d'étonnant, dans ces conditions que le Rassemblement national n'ait pas présenté un candidat contre lui.

     

    ***

     

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

     

    Manogil.jpgLe service communication de la ville de Béziers, outil de propagande mis à disposition de la candidate Emmanuelle Ménard ?

    Depuis plusieurs semaines, et particulièrement lors des dernières publications sur les réseaux sociaux de la ville de Béziers, la candidate Emmanuelle Ménard est particulièrement mise en avant lors de ses différents déplacements de campagne, profitant des largesses de ses différents statuts : épouse du Président/Maire, député, conseillère municipale et conseillère communautaire.

    Il faut dire que les réseaux sociaux de la Ville de Béziers et de l'Agglomération offrent près de quatre fois plus d’audience et de visibilité que la propre page d'Emmanuelle Ménard ! En pleine période électorale, l'avantage est considérable et semble aller à l'encontre des propres règles édictées par le code électoral, pourtant très clair sur le sujet.

    Les faits sont identiques en ce qui concerne les pages Facebook de l'agglomération et celle du groupe des élus départementaux des cantons de Béziers, administrée, semble-t-il, par une attachée de groupe salariée par le conseil départemental de l'Hérault.

    Il est inacceptable que les pages des différentes collectivités, animées par des agents rémunérés par le contribuable, soient utilisées comme des outils de propagande électorale au service d'une candidate.

    Je demande dès à présent à la candidate Emmanuelle Ménard, ainsi qu'à Robert Ménard, Président de l'agglomération et Maire de Béziers, de mettre fin à ces méthodes du vieux monde.

    Le couple Ménard n'est en aucun cas propriétaire de la mairie et de son agglomération. Les règles doivent être les mêmes pour tous !

    Exemples, non limitatifs bien sûr :

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  • Aux sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National, de Reconquête et autres français soucieux de l'avenir de leur pays

    CE BINOME NE RISQUE PAS DE VOUS DÉCEVOIR !

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       Henri Fabre-Luce , candidat                           Franck Manogil, suppléant

    Tous ceux qui, depuis plusieurs années, reçoivent les publications de ce blog, savent que nous nous sommes toujours attachés à la défense de notre civilisation, de nos libertés, de notre sécurité, en un mot du prestige et de la survie de la France. N’ayant aucun intérêt particulier dans ces élections législatives, c’est uniquement ce même sentiment qui dicte le présent article, pour ne pas dire cet appel pressant.

    Aujourd’hui la situation n’a jamais été aussi critique, aussi chargée de sombres pressentiments. Les derniers événements du stade de France, outre ceux que nous subissons depuis cinq ans, ont montré ce qui nous attend si un sursaut urgent ne se manifeste pas. La situation est trop dramatique pour se laisser aller à des fâcheries de détail qui mobilisent plus les états-majors que les électeurs eux-mêmes.

    Depuis des mois nous assistons à la désertion du clan Ménard. Elle s'est définitivement réalisée par les récentes déclarations au journal Le Monde (voir l’article suivant), qui démontrent le souhait de ces personnes sans foi ni loi de faire passer leur ambition personnelle avant toute idée et a fortiori toute conviction. C'est avant tout la place et ses subsides qui est dans la ligne de mire : rejoindre un gouvernement d’une nocivité telle que la France n’en avait pas connue depuis longtemps. Les critiques virulentes qu’ils ne cessent de lancer à l’encontre du Rassemblement national et de Reconquête les disqualifient définitivement pour pouvoir se recommander d’une quelconque nuance de droite. Et encore moins d'une union des droites qu'ils s'emploient à détruire à longueur de déclaration.

    Henri Fabre-Luce et Franck Manogil sont donc désormais les seuls, sur leur circonscription, pouvant se vanter de représenter la véritable droite française et patriotique. Ils personnifient ce que le pays attend de ses représentants : un engagement professionnel enraciné dans la France réelle, une attitude ferme et énergique, une tenue irréprochable dans la défense de la sécurité et de l’ordre et avant tout une fidélité sans nuance à leurs convictions, dont témoigne toute leur histoire. Ce n’est pas avec eux que nous aurons l’occasion de nous plaindre de la moindre désertion !

    Il est bien évident que passées toutes ces mesquineries petitement politiciennes, les patriotes français se retrouveront parce que la situation va rapidement l’exiger. Leur voix doit être entendue à l'Assemblée.

    Sympathisants, électeurs, adhérents du Rassemblement National et de Reconquête, et nous autres français soucieux de l'avenir de leur pays, ne succombons pas à des réactions superficielles, mais ayons avant tout dans l’esprit l’avenir de cette France que nous aimons tous, qui se délite chaque jour un peu plus.

    Henri Bec

  • ENFIN ! L'UNION DES DROITES !

    HENRI FABRE-LUCE, titulaire

    FRANCK MANOGIL, suppléant

    La véritable couleur bleu blanc rouge du biterrois

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    Nous aurons l'occasion, au cours des prochains jours  de revenir sur la campagne des élections législatives dans le biterrois. Treize candidats se présentent. Les douze autres se partagent entre un patchwork de gauche provisoirement uni, une pseudo droite chamallow, mondialiste et prête à toutes les compromissions et deux candidates macroniennes, le clan Ménard ayant définitivement rejoint l'Élysée. Faute d'avoir pu trouver un volontaire, le RN est absent. 

    Vous trouverez ci-dessous le texte de l'intervention d'Henri Fabre-Luce lors du grand meeting qui a réuni tous les candidats de l'Hérault à Montpellier, sous la présidence de Nicolas Bay, le 18 mai dernier. Elle donne d'ores et déjà la ligne véritablement française,  de droite, patriotique et enracinée  qui n'est partagée, ni même avancée par aucun autre candidat.  

    * * *

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    J’ai choisi d’être le candidat investi par Reconquête!

    sur la 6ème circonscription de l’Hérault (Béziers)

    pour le retour de la liberté !

    La liberté de penser, sans devenir immédiatement un complotiste, liberté de parler, sans être qualifié de « phobe » ou d’ « anti », liberté de douter, de contredire, d’argumenter, sans être assimilé à un factieux, liberté de recruter, sans être soupçonné de racisme ou de discrimination, liberté de créer, sans être aussitôt emprisonné dans des normes, sans queue ni tête, liberté de manger  selon ses goûts et non  selon une idéologie ou une religion, liberté de circuler, sans craindre pour sa vie ou celle de sa famille … Liberté de vivre, tout simplement, comme on y vivait en France il n’y a pas si longtemps. Bref, j’ai choisi d’être candidat de reconquête! pour que la France reste la France !

    Et puis, parce que je suis un viticulteur non délocalisable, parce que je suis un enraciné, je suis solidaire des jeunes générations. Je veux qu’elles aient un avenir plein de promesse autant que de sérénité. Pour elles, je porterai la vision politique et le projet  de Reconquête  à l’Assemblée Nationale.

    Pour moi, être député, c’est faire des choix clairs et les assumer. Ce n’est pas dire :    

    - Je veux que la droite gagne mais je suis contre l’union des droites !

    Ou bien

    - Je ne suis pas d’accord avec Emmanuel Macron mais il faut absolument lui donner une majorité.

    Et bien Non, il faut absolument lui donner une opposition !

    Il faut s’affranchir des méthodes de député à l’ancienne. Etre député, ce n’est pas serrer des mains et couper des rubans !  c’est être la relation de ceux qui n’en ont pas, c’est rendre possible des choix de niveau national car, pour que la vie des Biterrois et des Héraultais change et s’améliore, c’est la vie de la France qui doit changer et s’améliorer.

    Je suis un Biterrois de naissance et de cœur, je suis un enraciné qui portera à Paris la reconquête de notre identité, de notre souveraineté, de notre économie, de notre sécurité.

    Je veux que nous redevenions des  hommes libres !  J’ai choisi Reconquête !

  • Le clan et le "syndrome du caméléon"

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    Des milliers d'opposants au pass sanitaire défilent en France « pour la liberté » (Le Point)

    L’allocution prononcée le 12 juillet dernier par Emmanuel Macron a déclenché une vague de protestations que le pays n’avait pas connue depuis longtemps. On a vu les Villiers, Poisson, Zemmour, Le Pen, Philippot, Marion Maréchal… et nombreux autres proclamer avec force leur hostilité aux décisions liberticides annoncées. C’est en effet, une fois de plus la réalisation de ce que Maurras analysait dans un de ses ouvrages prophétiques De Démos à César : la République balance toujours entre un anarchisme ingérable et un césarisme brutal.

    La décision sur l’obligation du pass sanitaire n’a pas arrangé les choses.

    Comment, en effet, peut-on tolérer de la part d’un président de la République un air aussi suffisant, une attitude aussi méprisante et des décisions aussi agressives ? Il n’est pas admissible, ce qui, en outre, est vraisemblablement juridiquement infondé, d’imposer à toute une population, l’injection dans le corps d’une substance qui n’est, faut-il le rappeler, qu’au stade expérimental ; et alors que nombre d’éminents professeurs (professeur Éric Caumes, professeur Perronne…), médecins et autres spécialistes émettent de sérieuses réserves, tant sur la cohérence des méthodes employées depuis un an et demie que sur leur efficacité. Sans parler du personnel médical, le mieux placé en principe, qui, dans une forte proportion refuse cette injection… Le professeur Montagnier, prix Nobel, affirmait récemment : « Une science que l’on apprenait autrefois à l’école primaire : on ne vaccine pas en pleine épidémie, ça crée des variants », aussitôt qualifié de complotiste.

    Mais force est malheureusement de constater que les adversaires de la vaccination obligatoire sont pratiquement interdits de plateau.

    Quant au passe sanitaire, il s’agit d’une atteinte intolérable aux libertés les plus élémentaires. « Nous sommes en dictature » titrait Le Point il y a quelques jours, sous la signature de Franz Olivier Gisbert.

    « Quand on importe les méthodes de l’Arabie Saoudite et du Pakistan, seuls pays au monde à avoir osé rendre la vie impossible aux non vaccinés pour mieux les contraindre, quand on singe la Chine qui prévoit d’interdire l’accès à l’hôpital ou à l’université aux non-vaccinés, oui il y a basculement. » (Marion Maréchal)

    Seul le clan Ménard fait entendre, comme d’habitude, une voix discordante pour tenter d’attirer à nouveau à lui une attention qui s’en détourne chaque jour un peu plus. Il faut bien se faire remarquer d'une manière ou d'une autre, comme plaider pour le vaccin et le pass sanitaire obligatoires. Il est vrai que ses immenses connaissances médicales sont sans commune mesure avec celles de ces spécialistes !

    Devant cette levée de boucliers qu’il n’avait pas prévue, le clan Ménard tente maintenant un rétropédalage qui ne trompera personne. Nécessité fait loi : il ne faudrait pas qu’à quelques mois des législatives, même le carré des derniers et peureux courtisans prenne la poudre d’escampette ! Alors on dépose un amendement à l’Assemblée pour demander que le pass soit limité à la durée de l'épidémie. Ridicule initiative qui consiste à demander la suppression d'une mesure lorsqu’on n’en a plus besoin ! Il n’en reste pas moins qu’E. Ménard n’a pas voté contre cette loi, la seule du groupe des non-inscrits, représentant ce qui reste de droite. Il faudra s’en souvenir…

    Oh ! N’allez pas vous imaginer que toutes ces déclarations et manœuvres soient le résultat de savantes réflexions et de convictions profondes. Après avoir joué au yoyo pendant six ans avec le RN (on pense ce qu’on veut de ce mouvement, la question n’est pas là), faisant assaut d’éloges à l’approche des élections, puis le critiquant, parfois violemment, lorsque le risque disparaissait, puis recommençant la comédie, surtout avant les législatives de 2017 (!), il a démontré son absence totale de sérieux et sa grande maitrise du retournement de veste, ce que les plus perspicaces avaient subodorée depuis le début. Les compliments destinés à Marine Le Pen sont d’une bouffonnerie achevée quand on sait qu’il l’avait menacée de monter une liste concurrente aux élections régionales quelques semaines auparavant. Sans compter les qualificatifs plus que désobligeants dont il la gratifiait.

    Aujourd’hui, le clan ne dissimule plus la finalité de la stratégie mise en place : le succès lors des prochaines législatives, au prix de tous les renoncements (inauguration il y a quelques jours d’un buste du socialiste Giacomo Matteotti ! – Nous y reviendrons) ou des alliances les plus ambiguës (appel à voter UDI aux élections sénatoriales !)… Nous pourrons dans les jours et semaines suivantes, sans risque de nous tromper, commenter les futurs agissements qui ne vont pas tarder de voir le jour et ne manqueront pas de sel. On voit déjà, avec la prise de position sur le vaccin et le pass obligatoires, que mettre ses pas dans ceux de Macron a dû être jugé électoralement rentable. C’est ce que l’on appelle « le syndrome du caméléon ». Médias-Presse-Info titrait récemment : Robert Ménard rejoint la meute au service de la dictature sanitaire.

    Il nous avait berné, la main sur le cœur, avec « l’union des droites ». Elle n’avait en réalité de valeur à ses yeux, que s’il en était le pilote. Lorsque la pantomime de « Oz ta droite » s’est effondrée trois jours après, on n’en a plus entendu parler. C’est désormais à la désunion des droites à laquelle il travaille.

    Sachez que nous ne laisserons pas perdurer cette mascarade sans la commenter et la dénoncer.

    Henri Bec

    PS : si vous souhaitez connaître le nom des députés qui on voté contre le pass sanitaire, cliques ICI

  • Des remerciements malencontreusement omis mais oh! combien mérités

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    Mise au point

     

    Il est difficile d'imaginer que la politique du citron pressé, qui consiste à s’approprier le meilleur de quelqu’un puis à s’en débarrasser après usage, puisse se rencontrer chez ceux qui se revendiquent d’une certaine éthique, pour ne pas dire morale, où la fidélité, l’honneur, le courage, un certain art de vivre, pour tout dire une certaine correction naturelle sont la règle commune.

    C’est sur ces bases que notre groupe des six biterrois élus en 2015 au Conseil départemental de l’Hérault a fonctionné pendant six ans. Notre cohésion a été renforcée, dès l’origine, par les obstacles majeurs mis à l'exercice de notre mandat et par l’ambiance hostile à laquelle nous nous sommes heurtés. Jamais nous n’avons cédé aux injures et provocations, ce qui, peu à peu, nous a valu la sympathie des uns et l’animosité redoublée de certains autres. Nous étions ainsi parvenus à nous imposer, très surveillés par la majorité socialiste qui a compris le sérieux de nos positions et fini par redouter nos interventions. La presse, muselée, ne les a jamais répercutées. Nous n’avons, non plus, pendant six ans, aperçu le moindre écho dans la presse municipale de Béziers…

    Pour d’obscures raisons, sur lesquelles nous reviendrons plus tard, le maire de Béziers a fait obstacle à la poursuite de ce travail.

    Mais il n’était pas interdit, une fois le risque de concurrence écarté, de dire un mot sur cette difficile mission et ceux qui l’avaient accomplie. C’eut été une simple marque, non de reconnaissance, n’en demandons pas trop, mais du plus élémentaire des savoir-vivre. En son absence, il est nécessaire de le faire ici. S'y dérober aurait été une profonde injustice :

     Isabelle.jpg- Isabelle des Garets était membre de la commission permanente et de la commission de l’aménagement rural – agriculture, viticulture, pêche et forêt, secteur important s’il en est dans notre département. Isabelle a toujours assumé ce travail par une parfaite étude et connaissance des dossiers ainsi qu’une une présence constante au département. L’expérience acquise eut été, pour l’avenir, un atout irremplaçable. C’est sur un simple et rapide coup de téléphone qu’elle a appris ne plus faire partie de la liste des candidats. Pas très courageux… pour le moins !

    Corbiere_Jean-Francois-1.jpg - Jean-François Corbière était membre de la commission permanente et de la commission de l’environnement. Il n’avait rien à apprendre sur l’histoire de la politique locale et sa connaissance, acquise depuis des années, des dossiers intéressant le biterrois était précieuse, même irremplaçable. Cela en faisait, lors des assemblées, un intervenant écouté et redouté par un président du département très attentif à ses prises de parole. Il avait décidé de ne pas se représenter.

     Manogil1.jpg- Franck Manogil était membre de la commission permanente et de la commission de l’éducation, de la culture, de la jeunesse, sports et loisirs. Il était la fougue de notre groupe et n’hésitait pas à se heurter, parfois violemment avec le président, sur des sujets majeurs, toujours travaillés avec sérieux, tels les mineurs non accompagnés, les subventions aux associations d’aide aux migrants en situation irrégulière, etc. Il a découvert son absence de la liste des candidats lorsqu’il en a pris connaissance, alors qu'elle avait été déposée en préfecture à son insu. Un coup de poignard dans le dos peu glorieux ! Son indéfectible loyauté a amené le RN à le faire figurer en bonne place sur la liste des régionales. Bravo pour son élection.

    C’est un très sincère remerciement que leur doivent ceux qui les avaient élus. Ils les ont représentés avec conscience, compétence et détermination.

    Pour ma part, j’appartenais à la commission permanente et à la commission de l’aménagement du territoire, du logement, de la politique foncière et à celle des finances et des marchés publics – Administration générale – Relations extérieures. J’ai déjà dit dans le journal local ce que je pensais de ces basses manœuvres. Pour ceux qui ne lisent pas Midi Libre, le communiqué est repris dans l’article suivant.

    Notre seul tort, notre seule faiblesse est d’avoir, avec un grand angélisme, oublié que les vents mauvais font aussi tourner les girouettes.

     Henri Bec

  • Assemblée générale de l'association TGV SUD TERRITOIRES-ENVIRONNEMENT

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    Et l'on reparle de la ligne Montpellier-Perpignan. L'association TGV SUD TERRITOIRES-ENVIRONNEMENT travaille, depuis des années à faire valoir ses solutions de bon sens, issues des expériences de terrain et de l'expertise de ses dirigeants. Mais de retards en hésitations en passant par des projets insensés, seules les promesses démagogiques sont d'actualité.

    Ce projet qui va conditionner l'activité économique et touristique de notre région, mérite qu'on s'y intéresse avec soin, et que l'on fasse valoir les solutions de bon sens qui ne semblent pas préoccuper les politiciens de tous bords 

    RAPPORT MORAL

    L’année 2019 n’aura eu de spectaculaire que les arrêtés préfectoraux pris dans les départements de l’Hérault, de l’Aude et des Pyrénées Orientales, validant le Projet d’Intérêt Général et fixant le tracé de la Ligne Nouvelle Montpellier-Perpignan, sur la base d’un dossier qui n’a pas changé depuis 2015!

    Aucune des critiques formulées depuis le dépôt du dossier au niveau ministériel, aucune des remarques émises lors de la consultation par internet avant la prise des arrêtés préfectoraux, n’aura été prise en compte. C’est donc un projet de ligne nouvelle, mixte seulement jusqu’à Béziers, et comportant 2 gares nouvelles injustifiées  et mal placées qui a été confirmé. A quoi ont servi le travail de fourmi réalisé par l’association, les alertes adressées aux décideurs politiques et institutionnels, les démarches effectuées auprès de responsables politiques, les efforts de pédagogie, les écrits…En apparence à peu de choses, mais comment savoir ce qu’il en reste? Nous n’oublierons pas, cependant ceux qui ont fait le maximum pour ne pas nous recevoir, ceux pour qui on a consacré du temps et l’élaboration de documents, mais qui n’ont donné aucune suite.

    Ironie du sort, il y aura bien eu un autre événement bien plus spectaculaire que celui cité précédemment à l’automne 2019 : les intempéries avec la coupure de ligne du littoral à Villeneuve-les-Béziers et l’inondation d’une partie de la commune, dont la propriété de notre ami Pierre Michel, aux premières loges bien malgré lui pour constater des dégâts portant prévisibles. Nous nous serions contentés de faits moins dramatiques pour étayer nos hypothèses, nos suggestions et demandes. En tout cas, cet événement a fait la démonstration de la vulnérabilité de la ligne existante et la nécessité d’un nouvel axe ferroviaire polyvalent pour sécuriser et renforcer ce mode de transport. Il faut noter qu’à cette occasion, l’Etat n’aura pas été d’un grand secours et que le déplacement de Mme Elisabeth Borne à Béziers n’aura été qu’une occasion  de frais dont on aurait pu se dispenser. A noter qu’alors que les transports étaient dans son domaine de responsabilité, elle ne s’est même pas rendue sur les lieux pour constater les dégâts affectant la ligne : cela traduit bien l’importance accordée à cet axe et aux territoires qu’il dessert.

    Cette coupure de la ligne a relancé le débat, sur la mixité notamment et apporté une confirmation à ce que nous préconisons depuis des années. Elle nous a amenés aussi à renforcer le dialogue avec la Région et la SNCF, à relayer les difficultés rencontrées par les utilisateurs et à faire pression pour une amélioration des moyens de substitution. Cela nous a permis aussi d’évaluer tout l’intérêt d’adhérer à des fédérations (FNAUT OcPyMed et FNE-LR) qui portent certains de nos messages et peuvent les faire entendre à cause de leur poids médiatique. Cela montre aussi que le travail de fond que nous avons réalisé jusqu’à présent permet d’être là quand l’occasion se présente et d’être reconnus par certains acteurs institutionnels.

    Les événements de fin 2019, les changements intervenus à la suite des élections municipales et sénatoriales, le changement de premier ministre modifient sensiblement le contexte que nous connaissions ces dernières années et ouvrent quelques perspectives. Ils nous incitent à reprendre les démarches en direction des élus ; cela est particulièrement important alors qu’une concertation préalable à l’enquête d’utilité publique a débuté pour la première phase Montpellier-Béziers de la Ligne Nouvelle. Faire en sorte que ce premier tronçon soit compatible avec la poursuite de la mixité au-delà de Béziers et que le raccordement à la ligne existante soit moins destructeur pour Villeneuve sont nos priorités.

    Nous sommes aussi demandeurs de participation au projet de modernisation de la gare de Béziers (nous ne voulons pas de gare nouvelle A75), mais nous ne sommes toujours pas conviés malgré quelques promesses verbales.

    Par ailleurs, même si des avancées importantes ont eu lieu pour Béziers-Neussargues, il reste encore bien des incertitudes ; la mobilisation reste de mise de même que des interventions auprès des élus concernés pour l’amélioration des points desservis et le nombre de relations par train entre Béziers et Bédarieux.

    La relance du fret ferroviaire reste aussi dans nos préoccupations, sur le plan local (notamment Colombiers-Maureilhan), régional et au-delà ; et nous maintenons des partenariats pour cela, mais il faut reconnaitre qu’il n’y a pas foule chez les politiques et les institutionnels pour soutenir cette cause. La transition énergétique, ça fait bien dans les éditoriaux, mais les déclinaisons concrètes se font souvent attendre. Il y a, heureusement, des acteurs convaincus, mais souvent débordés, avec qui nous pouvons continuer à travailler.

    Rapport d’activités

    Concrètement, nous avons continué à suivre les dossiers, participé à des rencontres avec la Région –élus et techniciens - et la SNCF pour faire connaitre et défendre nos points de vue, obtenir des améliorations de service et être consulté en amont des décisions d’organisation et de service.

    Nous avons interpelé la Présidente de Région lors de la consultation électronique précédant les arrêtés de PIG de la ligne nouvelle.

    Mais aussi le Département, son Président et Hussein BOURGI et les maires des communes concernées par les inondations de fin octobre 2019 pour les inciter à agir.

    Nous sommes allés au congrès de l’association des maires de l’Hérault.

    Nous avons participé aux comités départementaux des mobilités, aux réunions SNCF/Associations d’usagers ; nous sommes intervenus dans un grand forum SNCF consacré à l’amélioration de l’information des clients et usagers et avons participé au Comité Régional SNCF des « Parties Prenantes ».

    Nous avons rencontré le Président de Perpignan-Métropole pour comprendre son opposition à la mixité de la Ligne Nouvelle dans la plaine du Roussillon et ouvrir un dialogue. Toujours dans les Pyrénées Orientales, nous avons soutenu les actions des associations locales pour la réouverture de la ligne Perpignan-Villefranche de Conflent.

    Nous avons soutenu les actions de défense de la ligne Béziers-Neussargues (diffusion d’informations et participation à manifestation et débats.

    Nous avons poursuivi notre travail sur le fret ferroviaire en direction de la Région et en collaboration avec la CCI Régionale.

    Et, bien sûr, nous avons participé aux activités des fédérations Fnaut OcPyMéd et FNE-LR surtout sur les sujets nous concernant (réseau transport de FNE).

    Faire relayer nos interventions nos points de vue par la presse n’a pas été une réussite (Midi Libre en particulier) ; par contre notre stand à la journée des associations sur les Allées en septembre 2019 a vu une belle fréquentation, des échanges nombreux et animés.

    Donc beaucoup de démarches pour rappeler des enjeux, améliorer des services et rappeler les conditions indispensables pour que le projet ligne nouvelle ait tout son sens et toute son utilité.

                                    Le président                              Le secrétaire

  • Nourredine Abid, conseiller municipal, est mort.

     

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    Communiqué de la mairie de Béziers

    Les conseillers départementaux

    de l'agglomération Béziers Méditerranée

    (Nicole Zenon, Marie-Emmanuelle Camous,

    Franck Manogil et Jean-François Corbières)

    et de la communauté de communes La Domitienne

    (Isabelle des Garets et Henri Bec)

    se joignent à cet hommage

     

    Nourredine Abid, conseiller municipal de la majorité depuis 2014, est décédé le samedi 24 octobre, des suites d’une longue maladie. Chargé des Anciens combattants durant le dernier mandat, il était passionné par sa tâche, étant lui-même patriote dans l’âme, le genre d’homme qui frissonne en voyant se déployer nos trois couleurs ou en entonnant la Marseillaise.

    Depuis cette année, il était Premier conseiller municipal délégué au handicap. Fils de Harki, il était porteur depuis toujours d’une profonde blessure née d’une histoire commune faite d’abandons et de violences.

    Tous ceux qui l’ont connu pendant ses dernières années savaient sa disponibilité et son courage politique sans faille. Il était à ses idées d’une fidélité sans borne.

    Nourredine Abid était un homme droit, amateur d’histoire et de livres, dont on pouvait savourer la prodigieuse culture au cours de conversations à bâtons rompus. Son humour hors du commun, son sens de la répartie inimitable, sa passion de la langue vont nous manquer. Nous lui étions profondément attachés.

    Robert Ménard, maire de Béziers, Emmanuelle Ménard, députée, et tous les élus de la majorité adressent, au nom des Biterrois, à sa famille et à ses proches leurs plus sincères et douloureuses condoléances

  • PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER À FRANCK MANOGIL !

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    Ce message s’adresse plus particulièrement à ceux que l’on appelle « les grands électeurs », c’est-à-dire ceux qui votent pour les élections sénatoriales (Sénateurs, députés, maires, certains conseillers municipaux, conseillers départementaux et certaines personnes choisies). Il sera certainement utile aux autres qui pourront le diffuser à leurs élus favoris.

    Dimanche prochain, 27 septembre 2020, auront lieu ces élections qui désigneront les quatre sénateurs de l’Hérault. Ce seront 2556 personnes qui se rendront aux urnes pour choisir entre 14 listes.

    Que vont faire les électeurs proches des socialistes, communistes, républicains ou UDI ? Chacun va apporter son suffrage à son candidat préféré, son copain, son voisin. Un éparpillement des voix« façon puzzle », ce qui ne nous cause pas le moindre chagrin. Il se débrouilleront pour trier dans cette jungle informe et sans consistance.

    À Béziers se présente un seul candidat, Franck Manogil, actuellement conseiller départemental, élu en 2015 comme les autres candidats des cantons de Béziers.

    Depuis des années, républicains et UDI sont purement et simplement rentrés dans le moule socialo-communiste, notamment à l’assemblée départementale que nous connaissons bien. Ils votent l’intégralité des délibérations proposée par l’exécutif, y compris celles qui consistent à soutenir les associations les plus subversives ou les aides récurrentes à l’immigration, au préjudice des intérêts de nos concitoyens.

    Et ce ne sont pas les deux robinets d’eau tiède (républicain et UDI) que nous avons entendus vendredi soir qui vont nous rassurer sur leurs positions futures. Nous avons bien compris que derrière leurs explications alambiquées, c’est la même politique de paillasson qui sera mise en œuvre et que les sujets essentiels qui préoccupent les français ne seront ni abordés ni traités.

    Avec Franck Manogil, et compte tenu de cette configuration, nous avons l’occasion inespérée d’envoyer au Sénat un homme de fidélité, de conviction et de courage. À part quelques personnalités,c’est finalement ce qui manque à la France.

    De conviction parce qu’il n’a jamais modifié le fond de ses interventions, au service de l’intérêt général, n'a jamais dérogé à ce pourquoi les habitants de son canton l'avaient élu.

    De courage parce qu’il s’est toujours trouvé en première ligne pour s’opposer à ces délibérations délétères. Toujours présent depuis cinq ans à toutes les assemblées il n’a rien laissé passer. C’est l’espoir d’avoir au Sénat un élu qui ne mâchera pas ses mots et ne ménagera pas ses efforts. L’article ci-dessous montre qu’il n’a pas hésité à engager une procédure devant le tribunal administratif pour demander l’annulation d’une énième délibération octroyant 20 000 € de subvention à une association complice des passeurs en Méditerranée.

    Mais il lui faudra toutes les voix.

    Il appartient maintenant à ces grands électeurs de prendre la responsabilité qui leur incombe : ou favoriser l’élection de la gauche la plus sectaire et de ses alliés de la pseudo droite, ou se faire les porte-paroles de la majorité des français, en attente d’un redressement qui tarde à venir. Entre ceux qui ne savent que privilégier leur place au prix de multiples et scandaleuses compromissions et celui qui a mis depuis toujours le bien commun en tête de ses préoccupations.

    AUCUNE VOIX NE DOIT MANQUER À FRANCK MANOGIL.

    Il faut avoir à l’esprit, comme une rengaine, cette formule de bon sens : « la politique du pire, c’est la pire des politiques ».

    Henri Bec

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  • Municipales à Perpignan : Louis Aliot et Robert Ménard, ensemble pour le succés

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    © FTV

    C'est avec le soutien de Robert Ménard que Louis Aliot a présenté son programme à la presse  le 11 juin dernier.

    Le 28 juin, c’est à nouveau à un duel Pujol/Aliot que vont participer les Perpignanais. Un scénario identique à 2014, mais l’issue pourrait ne pas être la même.

    C'est avec le soutien de son ami Robert Ménard, que Louis Aliot entame sa campagne pour le second tour des élections municipales. Le 11 juin, ils tenaient une conférence de presse sur le thème "Redonner l’espoir c’est possible. L’exemple de Béziers". Avec un discours orienté sur le localisme, "renouveau de la politique" selon Robert Ménard.

    "On a besoin de montrer qu’il y a une alternative à la droite et à la gauche la plus éculée que l’on connaisse. On l’a montré à Béziers mais je me sens un peu seul dans la région, j’ai envie d’avoir un allié qui montre que oui, on peut bien gérer des villes au profit des gens", a déclaré Robert Ménard.

    Celui-ci a été réélu à Béziers au premier tour des élections avec 68,74% des votes. Il voit dans cette probable victoire de Louis Aliot, un allié de taille. Si son ami l'emporte, le maire de Béziers envisage déjà des alliances pour les prochaines élections cantonales et régionales. Louis Aliot s'appuie de son côté sur l'expérience de Robert Ménard, pour mener cette campagne du second tour.

    C'est évidemment un enjeux important : conquérir cette cité de plus de 120 000 habitants. Une ambition renforcée par un score remarquable réalisé par Louis Aliot au premier tour, 35,66 %, son adversaire Jean-Marc Pujol étant resté loin derrière avec 18,44 %. Pour un maire sortant, ce n'est rien d'autre que pitoyable !

    En face tente de se constituer un folklorique front dit "commun", véritable salade russe des ennemis d'hier qui n'ont pour toute ambition que de conserver leurs places et leurs prébendes. Ne manquait à ce cirque que le soutien de l'inénarrable Carole Delga qui a toujours le chic pour se mêler de ce qui ne la regarde pas.

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    Lors de cette conférence de presse, Louis Aliot l'a qualifiée d'"entremetteuse", Robert Ménartd ajoutant : "C’est à vomir, c’est invraisemblable. C’est ça la politique ? Moi, je ne me bas pas contre quelqu’un mais contre des projets".

    D'autant que ce fameux front commence à avoir du plomb dans l'aile : trois anciens colistiers de Romain Grau, ex candidat LREM qui a retiré sa liste pour faire barrage à Louis Aliot, viennent de se prononcer en faveur de ce dernier ! Alain Cavalière, ancien président du Tribunal de commerce a notamment déclaré : c’est avec détermination et sans état d’âme, que je lui apporte mon soutien pour « voir l’avenir en grand ", ajoutant, “à Perpignan, après avoir dit « pis que pendre » de son bilan, les têtes de liste une à une font allégeance au maire sortant qui grand seigneur « apprécie les retraits républicains ». Quel spectacle affligeant".

    Josiane Cabanas, également ancienne de la liste Grau et de l'équipe municipale se dit convaincue que : "l’opération sauvetage de Perpignan passe par le vote Aliot".

    Nous adressons à  Louis Aliot et à toute son équipe tous nos vœux de réussite.

    Henri Bec

  • Béziers : bienvenue aux nouveaux conseillers municipaux !

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    Le 15 mars l'équipe de Choisir Béziers était élu pour la deuxième fois avec un résultat qui n'est rien d'autre qu'un magnifique remerciement des biterrois pour le travail accompli pendant six ans.

    Mais au-delà, il est plus que réjouissant de constater que les diffamations, injures, fausses nouvelles et autres insinuations malveillantes, n'ont plus aucune incidence sur les esprits. Les efforts désespérés déployés par une gauche en fin de règne et une pseudo droite sans idées et donc sans avenir, sont désormais sans effet. Les souverainistes dont parle Éric Zemmour, ou pour être plus précis, ceux qui ont encore conscience des irremplaçables bienfaits d'une nation fière d'elle-même, prennent la relève pour remettre ce pays malmené sur les rails du redressement.

    La nouvelle municipalité comporte un grand nombre de nouveaux venus et de représentants d'une jeune génération décidée et volontaire. C'est à eux d'abord que vont nos vœux de réussite. Nous savons par expérience qu'ils pourront compter sur les plus anciens et plus expérimentés, qui viennent de faire la preuve de leur compétence et de leur détermination.

    Le conseillers départementaux, qui  sont, depuis cinq ans, en totale symbiose avec la municipalité et ont le même désir de libérer le territoire de ses pesanteurs, sont heureux de pouvoir continuer à travailler avec des élus de cette qualité.

    Henri Bec

    _______________________________________

     

    Robert Ménard

    MAIRE 

    Élisabeth Pissarro

    1er adjoint : Adjointe chargée de la culture et du patrimoine

    Benoît d’Abbadie

    2ème adjoint : Adjoint chargé du commerce, des activités agricoles, de de la Féria et des spectacles taurins

    Alberte Frey

    3ème adjoint : Adjointe chargée de la famille, de la jeunesse, de la petite enfance et de l’école

    Michel Moulin

    4ème adjoint : Adjoint chargé de la citoyenneté, des relations avec les associations, des comités de quartier et des anciens combattants

    Bénédicte Firmin

    5ème adjoint : Adjointe chargée de la santé, de l’écologie, du handicap, de la solidarité et des aînés

    Michel Hérail

    6ème adjoint : Adjoint chargé du personnel, des moyens généraux, de l’état civil, des élections et des cimetières

    Laurence Rul

    7ème adjoint : Adjointe chargée des finances, du budget, des affaires juridiques et du mécénat

    Luc Zénon

    8ème adjoint : Adjoint chargé de l’urbanisme, des marchés publics, des achats et des bâtiments communaux

    Perrine Pelaez

    9ème adjoint : Adjointe chargée du logement et de la lutte contre l’habitat indigne

    Yvon Martinez

    10ème adjoint : Adjoint chargé de la voirie, du stationnement, des espaces verts, de la propreté et de la gestion des déchets

    Gérard Angeli

    11ème adjoint : Adjoint chargé du sport, des relations avec les clubs et des équipements sportifs

    Nourredine Abid

    1er conseiller municipal : Conseiller délégué au handicap

    Georgia de Saint-Pierre

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux comités de quartier et aux aînés

    Alexandra Fuchs

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la salubrité publique

    Henri Fabre-Luce

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux activités viticoles

    Emmanuelle Ménard

    Conseillère municipale

    Mélanie Saysset

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à la petite enfance et à la jeunesse

    Jean-Louis Aycart

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la voirie et à la signalétique

    Laetitia Lafare

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée à l’état civil, aux intégrations républicaines, aux élections et aux cimetières

    Oscar Bonamy

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux espaces verts, à la propreté et la gestion des déchets

    Aina-Marie Pech

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au logement

    Sébastien Saez

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux commerces

    Stéphanie Navarro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au stationnement

    Najah Alami

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux animations

    Marine Jaoul

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux équipements sportifs

    Christophe Spina

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à la culture et aux archives

    Fabienne Bertrand

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux maisons de quartier

    Émile Fort

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux anciens combattants

    Marjorie Gomez

    Conseillère municipale

    Marc Andrieu

    Conseiller municipal : Conseiller délégué à l’écologie

    Monique Agugliaro

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux associations

    Marc Valette

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux associations sportives

    Aurélie Jené

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée au bien-être animal

    Sarah Rahni

    Conseillère déléguée aux relations avec les citoyens

    Jérémie Vidal

    Conseiller municipal

    Delphine Azais

    Conseillère municipale : Conseillère déléguée aux bâtiments communaux et à la pollution visuelle

    Christian Sarkis

    Conseiller municipal : Conseiller délégué aux moyens généraux

    Mathilde Goulliart

    Conseillère municipale

    Veysel Yildirim

    Conseiller municipal

    Meltem Adtakan

    Conseillère municipale

    Victor Alzingre

    Conseiller municipal

    Nadine Besse

    Conseillère municipale

    Jean-Pierre Galtier

    Conseiller municipal

    Pascal Resplandy

    Conseiller municipal d'opposition

    Véronique Vidal-Laur

    Conseillère municipale d'opposition

    Christophe Huc

    Conseiller municipal d'opposition

    Nicolas Cossange

    Conseiller municipal d'opposition

    Thierry Antoine

    Conseiller municipal d'opposition