G-BDQD17ZWM0

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique locale - Page 8

  • Gérard Gautier, maire de Cers : "Avant la dernière ligne droite"

    G.Gautier.jpgLe Front National serait-il ce parti où seuls se retrouveraient les racistes, les xénophobes, les islamophobes, les antisémites et que sais-je encore ?

    À en croire les politiques de gauche comme de droite et une large part des médias c’est une affirmation qui ne peut et ne doit être contestée !....

    Bien sûr, compte tenu de leur bonne foi, il est inutile qu’ils en apportent les preuves, dès lors qu’ils sont convaincus et nous assurent détenir le monopole de toutes les vertus, de toutes les valeurs, de toutes les compétences !....

    Pourquoi vouloir les remplacer eux qui, depuis plus de trente ans, d’alternance en alternance, de rêve en rêve, font si bien !... Ils ont si bien réglé, avec brio, les problèmes du chômage, de la sécurité, de l’éducation, de l’immigration, du mal-logement, du pouvoir d’achat, des retraites, de la pression fiscale etc... ?

    Ainsi, les gens qui n’entrent pas dans leurs rangs, où la collusion droite gauche, ou gauche droite, ne pose plus de problème ou si peu, pour « faire barrage au Front National », sont des égoïstes, des imbéciles qui ne comprennent rien à rien !....

    Tel est leur message. Hormis eux rien n’est possible !...Hormis eux, détenteur de la molle « bien-pensance », et de l’indolent « politiquement correct » il n’y aurait que des fascistes, des réactionnaires, de stupides idiots et forcément, je le redis, racistes, xénophobes, islamophobes, antisémites... Et summum de réalisme, s’ils osent s’affirmer « Français de souche » ne seraient-ils pas des dégénérés fruit de la désespérante consanguinité ?...

    Quand arrêteront-ils de se moquer de nous ? Eux qui à cours d’idée reprennent aujourd’hui celles du FN que farouchement ils condamnaient hier !....

    Pourquoi n’ont-t-ils pas surveillé plus tôt les « fichés S », les imans aux prêches haineuses ? Pourquoi n’ont-ils pas mieux contrôlés nos frontières ? Pourquoi, implicitement ont-ils accepté les « quartiers de non droit » dans les citées dîtes « zone prioritaires » où l’argent public coule à flot pour réaliser des équipements, si vite pillés, alors que la France rurale se dépeuple petit à petit dépourvue des services publics ?....

    Et aujourd’hui, poussés dans leurs retranchements, au lieu de faire profil bas, avec arrogance ils ressortent le drapeau tricolore qu’ils ont laissé insulter et brûler dans les stades !... et ils chantent la Marseillaise (sauf Mme Taubira !) dont ils osaient encore hier condamner les paroles !...

    Qu’ils sachent que nous ne somment pas dupes, leurs drapeaux sentent un peu trop la naphtaline, et leur interprétation de la Marseillaise sonne faux à nos oreilles !...

    Alors que ceux qui pensent, et il est encore temps, que nous devons restaurer une France forte, fière, accueillante aussi, mais uniquement pour ceux qui l’aiment, respectent ses valeurs, son histoire, ses traditions millénaires... Que ceux qui veulent vivre « normalement » comme un certain président l’avait promis et qui a trahi ses engagements... ne se laissent pas, une fois encore, prendre aux chants des sirènes UMPS, et à leurs discours alarmants et mensonger contre le FN et que dimanche ensemble l’on tourne la page !...

    Gérard Gautier.

  • C'est le temps des crèches dans notre France de tradition chrétienne, mais c'est aussi celui de la vigilance

     

    Au mois de janvier dernier, un incendie criminel est signalé dans l’église Saint-Christophe-du-Bois de Cholet, dans le Maine-et-Loire. La crèche est détruite et l’église, endommagée, doit fermer ses portes. Dans la nuit du 18 au 19 février, une statue de la Vierge est profanée à Châtel, en Haute-Savoie. Les vandales l’ont renversée et lui ont arraché les bras. Le 18 février, des ouvriers découvrent des croix brisées et des plaques renversées sur douze tombes du cimetière de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, dans l’Aude. Le lendemain, 19 février, c’est au tour des gendarmes de Wignehies, dans le Nord, de constater que des croix de l’ancien cimetière municipal ont été arrachées de leur socle et jetées à terre avant d’être piétinées.

    Au cours de l'année de tels actes n'ont cessé de se renouveler sur le territoire français. En ce moment même se déroule à Fort de France une parodie blasphématoire de la scène. 

    Consultez le rapport sur les actes christianophobes en cliquant ICI

    L’Observatoire de la christianophobie rapporte des faits similaires presque quotidiennement. Ainsi, pendant que nos médias et nos hommes politiques s’interrogent sur l’identité des profanateurs du cimetière juif de Sarre-Union dans le Bas-Rhin – « des Français de souche » a dit le président de la République au diner du Crif –, les violations de tombes chrétiennes et le saccage du mobilier d’église prennent, d’année en année, la tournure d’une effroyable banalité. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, sur 667 lieux de culte vandalisés en 2012, 543 étaient des sites chrétiens dont 352 édifices religieux et 191 sépultures. A ces profanations s’ajoutent une agressivité devenue courante à l’égard des Chrétiens – pour ne pas dire des Catholiques. En 2013, une dizaine de prêtres ont été agressés.

    Première remarque : en France, comme partout dans le monde, les Chrétiens sont ceux qui subissent le plus d’agressions en raison de leur confession. Il est d’autant plus permis de le dire que les actes manifestement christianophobes ne sont pas toujours qualifiés comme tels par le ministère et que les chiffres fournis par les autorités sont sans doute en dessous de la réalité.

    Deuxième remarque : si les hommes politiques gardent le silence sur ces actes d’hostilité au christianisme, quand ils ne cherchent pas purement et simplement à les escamoter sous couvert d’une « laïcité » à géométrie variable, c’est qu’ils sont partie prenante de ce climat ambiant.

    Alerte une crèche!!!.jpgUn coup d’œil à la loi Macron et à l’amendement socialiste visant à supprimer du calendrier des fêtes chrétiennes au profit de fêtes musulmanes et hindoues, suffirait à s’en convaincre. Le zèle de nos dirigeants à bannir les crèches des lieux publics, leur complaisance à l’égard des Femen, ces activistes anti-chrétiennes, leurs sympathies affichées pour des organisations manifestant une franche hostilité envers l’Église catholique, vont en effet dans le sens de ce que Karim Ouchikh a appelé une « christianophobie d’État ».

    Or, il faut le rappeler sans relâche : dans le monde, et notamment dans les pays musulmans, la christianophobie tue. L’évêque de Blois, Mgr Batut, s’est ainsi indigné du communiqué de l’Élysée condamnant « l’assassinat de 21 ressortissants égyptiens ». Comme si le chef de l’État ne pouvait se résoudre à admettre qu’il y a des pays où les chrétiens sont persécutés, où même assassinés, à cause de leur fidélité au Christ ! Alors, pourquoi quand des Juifs danois ou français sont agressés – ce qui devient une tragique habitude –, le sont-ils d’abord parce qu’ils sont juifs ? Pourquoi, quand il s’agit de Musulmans, l’État se sent-il obligé de lutter contre l’islamophobie au point d’en faire une consigne politique ?

    Chrétien, cette qualité n’existe donc pas ?

    Oui, n’en déplaise à François Hollande, la christianophobie tue. Et si la France était dirigée par des hommes à la hauteur de sa vocation, elle ne permettrait pas que des Chrétiens soient persécutés impunément. Face aux barbares, elle affirmerait la force de sa civilisation chrétienne, comme elle l’a fait au cours des siècles, y compris sous l’anticléricale IIIe République. Ils en sont loin, englués dans des institutions où seuls dominent leurs médiocres soucis électoraux.

    maaloula-drone.jpg

    Hélas, le drame vécu par les chrétiens d’Orient est symptomatique de la « christianophobie d’État » de nos dirigeants, pourtant tous de culture chrétienne. Lourde responsabilité qu’ils auront à assumer devant l’histoire.

    Henri Bec

  • Notre feuilleton "grands démocrates, républicains, donneurs de leçons" : le fonctionnement autocratique du conseil départemental.

     

    VOICI LE DOSSIER !

     

    Nous avions déjà porté à la connaissance de nos lecteurs (rubrique "Bon à savoir") les obstacles mis par le président du conseil départemental à l’exercice de notre mandat, nous  les six conseillers élus à une très forte majorité sur les cantons du biterrois.

    Ces obstacles tenaient au refus de nous affecter un bureau dans les locaux du conseil départemental de Béziers, aux instructions données aux services du département de ne pas répondre directement à nos demandes, au refus de confier à la navette qui effectue deux fois par semaine le trajet Béziers-Montpellier le courrier qui nous est adressé à Montpellier, au refus de toute représentation dans un des 300 organismes extérieurs dans lesquels le département est présent, et où nous sommes remplacés dans plusieurs de ces organismes, en qualité de suppléants, par des membres du personnel...

    Nous avions annoncé qu’un dossier spécial serait consacré au refus, opposé par le président, de signer le contrat d’embauche d’un collaborateur. C’est chose faite aujourd’hui. Il s’agit en effet d’une prise de position particulièrement significative du mépris dans lequel sont tenus plus de 100 000 électeurs du département de l’Hérault et du fonctionnement autocratique de cette assemblée. Chacun pourra ainsi juger de la réalité et de la mise en œuvre des grandes déclarations droitdel’homistes sans cesse proclamées par ceux qui ne savent finalement que faire preuve d’un sectarisme exacerbé.

    Afin qu’aucune ambiguïté ne puisse subsister ou qu’aucune question ne reste sans réponse, ce sont toutes les explications et tous les documents qui vous sont présentés.

    Pour consulter ce dossier cliquez ICI

    Henri Bec

  • Pour célébrer un anniversaire !

     

    Une équipe désormais en ordre de marche

     

    Six mois déjà. Le 29 mars 2015, les électeurs de l'arrondissement de Béziers portaient à l'Hôtel du département les 6 candidats soutenus par Robert Ménard, maire de Béziers, le Mouvement pour la France de Philippe de Villiers, le Front National et le Rassemblement Bleu-marine. :

    Canton Béziers 1 : Isabelle des Garets et Henri Bec (remplaçants Marie-Pascale Rizo et Bernard Dartiguelongue)

    Canton Béziers 2 : Marie-Emmanuelle Camous et Jean-François Corbière (remplaçants Kathy Bresson et Jacques Clapiès)

    Canton Béziers 3 : Nicole Zenon et Franck Manogil (remplaçants Sabine Gely et José Folgado)

    Les continuelles entraves mises à l'exercice de notre mandat ont certes freiné le démarrage de notre action, mais ont paradoxalement eu l'effet bénéfique de consolider notre détermination à remplir les tâches qui nous ont été confiées. Nous passerons sur les agressions verbales ou les contre-vérités entendues de manière presque rituelle lors des assemblées du conseil départemental, qui nous ont replongés dans le souvenir des stériles manifestations politiciennes de la IIIème République. C'est à plus de hauteur de vue que nous nous attendions. Volontairement menées au pas de charge, ces assemblées ne permettent aucun débat de fond. A titre d'exemple, au cours de la dernière du 21 septembre, 101 délibérations ont été votées en moins d'1 h 30 ! Les subventions aux associations sont toutes votées ensemble, en une seule fois sans distinction, ce qui permet d'en intégrer certaines à forte connotation politique... Nous aurons l'occasion d'y revenir.         

    Le message que vous recevez aujourd'hui est la conséquence de ces pratiques. Il nous est en effet apparu indispensable de disposer de notre propre outil de communication et avons voulu marquer l'anniversaire de ces six premiers mois par sa mise en ligne.

    Ce blog va nous permettre de vous informer régulièrement des développements de l'actualité locale ou régionale, de vous donner toute précision utile sur les décisions du conseil départemental, etc. Tous ces renseignements vous seront adressés dès que la nécessité se fera sentir.

    Nous avons également éprouvé la nécessite de porter à votre connaissance des éléments plus pérennes nécessitant une présentation plus élaborée. C'est la raison qui nous a amené à lier à ce blog un site plus complet, qui n'en est certes qu'au début de sa construction, mais qui va s'étoffer régulièrement. Vous y trouverez des renseignements sur le conseil départemental, les premiers obstacles mis sur notre route, la présentation des dossiers les plus importants du biterrois, une chronique littéraire ou plus politique, etc. Vous pouvez y accéder par le bouton "Notre site" situé sur la barre de navigation. Un bouton sur les pages du site vous permettra de revenir à ce blog.

    Il est enfin fondamental de mentionner que ces outils n'ont pas vocation à fonctionner à sens unique. N'hésitez pas à prendre contact pour nous faire part de vos suggestions ou difficultés et nous informer de dossiers qui nécessiteraient d'être portés à la connaissance de tous. Vous trouverez tant sur ce blog que sur le site les liens et n° de téléphone utiles.

    Ces messages vous seront directement envoyés sur votre boîte mail. Autour de vous, nombreux sont certainement ceux qui souhaiteraient les recevoir. Conseillez-leur de s'inscrire à La Lettre dans le formulaire ci-dessus. Cette inscription reste anonyme.  Seule l'adresse est nécessaire.

    Bien à vous.

    Henri Bec