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le pays réel - Page 43

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    SUR LE CANTON

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    DÉSINFORMATION

    Tout ce qui peut donner une image négative de Béziers intéresse le Midi (qui se dit) Libre. La vérification de l'information, règle de base de la déontologie du journaliste, est le dernier de ses soucis. Rares sont encore ceux qui prennent les affirmations de ce journal pour argent comptant, mais mettre en garde contre les désinformations systématiques n'est jamais inutile.

    Un nouvel exemple grotesque :

     

    Le Midi Libre

     

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    ET VOILA LA VÉRITABLE INFORMATION !

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    Et la mise au point du comité de quartier

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    EN RÉGION

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    Vers une nouvelle crise viticole ?

     

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    EN FRANCE

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    DANS LE MONDE

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    Le Midi Libre

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  • L'Acropole : découvrez le projet

    Découvrez le projet d'aménagement de l'Acropole, l'ancienne prison et l'ancien tribunal.

    Cliquez sur l'image ci-dessous :

     

  • Sortie-Ouest flashée par la Gauche et cernée par le PS

       

    demandons un referendum !

     

    Par Jean-Pierre PELAEZ

    Auteur Dramatique Biterrois

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    Lors des dernières élections départementales, appelé à la rescousse par les amis de Gauche, le critique-caviar de Libération Thibaudat s’effrayait de ce que sortieOuest était « flashé par la Droite », puis, comme en écho, sa consoeur du Monde écrivait que sortieOuest était cette fois «cerné par le FN ». Conformément à la célèbre méthode Joffrin, il s’agissait, au lieu de répondre sur le fond à des critiques amplement justifiées, de crier au loup, de dénoncer un complot de Droite ou d’Extrême-Droite, contre un établissement culturel de Gauche. Mais dire que sortieOuest, présenté comme « le phare culturel de la région » -après celui de la Jetée/Est de Valras-Plage-, serait menacé par les fascistes réincarnés des années 30 ne pouvait faire oublier ce qu’est réellement ce lieu.

    Aujourd’hui, loin de l’être par le FN ou par la Droite, sortieOuest se retrouve « flashé » par la Gauche et « cerné » par le PS. C’est que la vérité des critiques formulées ces dernières années sont en train de rattraper cette caricature de lieu culturellement correct, dit de service public : sortieOuest -dont la devise pourrait être « nul n’a de talent hors nous et nos amis »- est à l’idéal du théâtre populaire de Jean Vilar ce que le trou du souffleur est à la scène. C’est un lieu sectaire et politicartistique qui, au nom d’une excellence auto-proclamée, piétine depuis dix ans la liberté d’expression et la diversité de la création théâtrale et du théâtre contemporain, y compris en région. On était en droit d’attendre d’un théâtre financé par l’argent public du département qu’il accueille la diversité de la création dans le département, il n’en fut rien. Confiné dans l’entre-soi, le snobisme provincial, et le moule culturel bien pensant défini par le Ministère, ses DRAC et ses critiques parisiens, microcosme censé détenir la Vérité, rabâchant les Classiques revisités, le Tout Adaptable et les sempiternels « spectacles d’après… », sclérosé par le sectarisme de gauche, il est en définitive une sorte de réminiscence de l’art soviétique sous Brejnev, et un affligeant conformisme d’Etat, à l’instar du circuit des Scènes Nationales, la pire caricature qui soit de l’Art Officiel, et dont le fossé avec le peuple se creuse de jours en jours. Or l’Art en général, le théâtre en particulier doivent être libres et ouvert à tous, s’ils veulent être en prise sur le peuple, porteurs de réflexion et d’intelligence, et non une sinistre propagande bienpensante, un salon de précieuses ridicules ou un étalage de couillonnades subventionnées dites avant-gardistes. Rattrapé par toutes ces évidences, accumulant les déficits, ce théâtre est déclaré aujourd’hui contre-productif à tous égards, et promis au recyclage écologique par ceux-là même qui ont porté le monstre depuis dix ans.

    Mais déjà, et selon le quotidien Midi Libre / Béziers, les adeptes s’organisent, par le biais d’une association intitulée Les amis de sortieOuest. Ils occupent le temple et prient pour sa résurrection. Si bien, qu’au début de son article, la journaliste de Midi-Libre elle-même, pourtant bienveillante, les appelle "adeptes", nom que tous les dictionnaires sans exception donnent aux membres d'une secte ou d’une religion ! L’association dénonce le procès qui est fait à ce théâtre que d’aucuns -en tout cas pas moi !-, qualifieraient d’élitiste. C’est archi-faux : personne ne dit que ce théâtre est élitiste, et il est en général qualifié de pseudo-élitiste ou bien il est dit amicalo-élitaire et d’excellence auto-proclamée. C’est tout à fait différent. 

    Face au flash et à l’encerclement,  Les amis de sortieOuest promettent des actions. Vont-ils, selon la méthode habituelle, aller brailler sous les fenêtres du Prince Départemental/Socialiste, danser et taper dans les mains pour faire tomber le jackpot et la manne financière dont les sachants se nourriront, dans l’intérêt du peuple ignorant ? Vont-ils se rassembler sous les fenêtres du Président Vidal, à la mairie de Cazouls-les-Béziers, où le déesse-dieu Vartralala pourrait apparaitre en lévitation dans le ciel de la place des Cent-Quarante, et lire l’Évangile selon Saint-Vitez à l’assemblée des adeptes et des fidèles mécontents. Ou bien obligeront-ils le Président Mesquida, une serpillère sur la tête, à assister tous les soirs aux pensums de l’art officiel du théâtre, relu par un metteur en scène de l’avant-garde d’État ?

    La seule façon à mon avis de sortir de cette situation, c’est d’organiser à Béziers un grand referendum, qui est la forme la plus démocratique qui soit. Que les innombrables spectateurs de sortieOuest, pédagogues, cultureux, sociologues, femmes libérées, militants en tous genres, leurs parents, leurs amis, leurs nièces, cousins, cousines et neveux, tous les fidèles, les amis, les amoureux, les adeptes, les rendus idiots, les utiles, les adorateurs, les barons socialistes et leurs manants électeurs, mais aussi les plombiers, les zingueurs, les charcutiers, les banquiers, les pharmaciens, les éboueurs, les gendarmes, les marchands de chaussettes, les battants, les camionneurs, enfin tous, que le peuple tout entier, et aussi tous ceux qui, de manière générale, n’ont pas encore réalisé la dimension cosmique et comique de ce lieu, qui n’ont pas été illuminés, qui n’ont pas entrevu son intelligence subliminale ou sondé sa profondeur abyssale, appellent comme moi à l’organisation immédiate d’un referendum, dont la question posée pourrait être : Sortie Ouest doit il rester ce qu’il est, un théâtre amicalo-élitaire de gauche et d’excellence auto proclamé,  ou bien doit-il devenir un théâtre exigeant et populaire, inspiré des  idéaux de Jean Vilar, un véritable lieu de Culture, ouvert à tous parce que délivré de la politicaillerie sectaire ?

  • Deux textes essentiels du cardinal Wojtyla sur la famille

     

    173284753.jpgC’est une initiative particulièrement heureuse et bienvenue que viennent de prendre les éditions Téqui en publiant deux textes essentiels du Cardinal Wojtyla sur la famille en tant que communio personarum.

    Ces deux articles, écrits en 1974, constituent le fondement sur lequel l’auteur, devenu le Pape Jean Paul II, élaborera son magistère sur le mariage et la famille. C’est dire leur importance pour saisir la portée de ce magistère. On y trouve déjà les principes qui seront déployés dans les grands textes magistériels qui, de Redemptor hominis à Evangelium vitae et à Familiaris consortio, sans oublier les grandes catéchèses, feront de la famille l’un des axes majeurs du pontificat. Mais on y trouve surtout le soubassement conceptuel sur lequel se fonde ce magistère.

    Deux points suscitent une attention particulière. Le premier est « l’anthropologie théologique », qui renvoie au Commencement (p. 29) afin d’y retrouver la vérité du mariage et de la famille. C’est là un point capital. La vérité d’une chose se manifeste à son origine et non dans un « présent » qui hypertrophie les apparences au détriment de l’essence.

    Tout le positivisme sociologique contemporain se trouve ainsi radicalement contesté dans sa prétention à adapter la norme à la réalité, car cette réalité lui échappe ; il n’en saisit que des apparences perverties et non la vérité ontologique. L’anthropologie wojtylienne de la famille, métaphysique avant d’être théologique, porte en cela un coup décisif à une certaine « modernité » dont elle fait apparaître l’insigne faiblesse conceptuelle.

    Le second point capital est le réalisme profond dans lequel s’ancre la notion de communio personarum. Comme il le fera pour les droits de l’homme dans sa première encyclique, Wojtyla ramène le personnalisme, toujours menacé de verser dans le subjectivisme, à la réalité première que constitue l’aptitude ontologique de la personne à la communion. Il en résulte une conception profondément réaliste du lien conjugal qui actualise la communio personarum dans le mariage, expressément soulignée à plusieurs reprises (p. 43 et 47 notamment).

    Ces deux contributions majeures du Cardinal Wojtyla sont introduites par une préface de Mgr Livio Melina, éminent théologien moraliste, qui met très bien en perspective les fondements mais aussi les prolongements de la théologie wojtylienne du corps dans une fidélité à la pensée de saint pape polonais qui lui a valu récemment d’être mis à l’écart de la direction de l’Institut Jean Paul II pour les études sur le mariage et la famille de l’Université pontificale du Latran…

    L’ouvrage est complété, enfin, par le texte d’une conférence prononcée par l’un des plus remarquables interprètes du magistère de saint Jean Paul II, le Cardinal Carlo Caffarra, qui vient opportunément remettre de l’ordre et de la substance dans des questions qui, hélas, s’enlisent à nouveau dans une pseudo « pastorale » étriquée, aussi ridicule que désuète.

    Il est à espérer que la publication de ce texte magistral annonce l’édition en français des œuvres majeures de ce grand théologien, témoin admirable du renouveau de la pensée catholique sous les pontificats de saint Jean Paul II et de Benoit XVI.  

    Cardinal Karol Wojtyla, Famille et communion des personnes, préface de Mgr Livio Melina, annexe du Cardinal Carlo Caffarra, Téqui, 2016. 

    Jean-Baptiste DONNIER - Politique magazine

  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    SUR LE CANTON

     

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    Henri Bec,

    également présent

    au Téléthon de Vlaras

     

     

     

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    Le Midi Libre

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    La justice inflige un camouflet

    à Frédéric Lacas

     

    Frédéric Lacas a perdu son procès. Alors qu’il poursuivait Robert Ménard devant la justice, le tribunal correctionnel de Béziers vient de prononcer la nullité de sa citation en diffamation. Au ridicule d’une plainte déposée au nom de sa virilité outragée, le maire de Sérignan a ajouté l’incompétence, incapable qu’il est d’appréhender une loi sur la presse soucieuse de protéger la liberté d’expression même très… irrévérencieuse.


    Dans un article paru en octobre 2015 dans L’Express, le journaliste rapportait des propos attribués au maire de Béziers : « M. Lacas ferait mieux de faire moins de politique et de s’occuper du territoire : c’est un faible, au lieu d’avoir un peu de c***, il est tenu par les gens qui ont fait son élection. »


    Un revers donc pour le Président de l’Agglo qui devra apprendre que le débat est libre – même musclé – et qu’on doit savoir se défendre sans tenter de s’abriter derrière la justice. Mais il faut pour cela du… courage, pour le dire cette fois avec tact.

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    EN FRANCE

     

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    5 décembre 2016

     

     

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    Interview de Marion Maréchal-Le Pen.

     

    Malgré soixante-seize amendements déposés par des députés FN, Ligue du Sud et LR – et en l’absence de François Fillon qui n’était pas dans l’Hémicycle –, le « délit d’entrave » a été voté par l’Assemblée jeudi soir (voir nos éditions de vendredi et samedi). Deux ans de prison et 30 000 euros d’amende, voilà ce qu’il en coûtera d’informer sur l’avortement. Une loi contre laquelle s’est battue Marion Maréchal-Le Pen qui nous en explique les tenants et les aboutissants.

    — Pourquoi, selon vous, les partisans de l’avortement ne veulent-ils pas que les femmes soient informées avant de prendre une décision aussi lourde ?

    — La gauche aujourd’hui n’a plus aucune consistance idéologique, son camp est divisé et son électorat traditionnel a fondu comme neige au soleil, elle a donc besoin de réactiver de vieux combats dépassés qui ont fait les grandes heures de son hégémonie culturelle pour se rassurer et se réunir. Le combat en faveur de l’avortement est certainement l’un des plus symboliques. Il faut donc le faire durer à l’envie en allant toujours plus loin : droit fondamental, remboursement intégral de tous les actes liés à l’IVG (aujourd’hui l’échographie d’une femme qui avorte est mieux remboursée que l’échographie d’une femme qui souhaite garder son enfant), suppression du délai de réflexion et maintenant création d’un délit d’opinion pour tous ceux qui, par tous moyens (pas seulement numériques), chercheraient à proposer une alternative aux femmes qui hésitent. Les gens de gauche se donnent ainsi l’impression de résister face à une menace réactionnaire et conservatrice. Les pauvres, j’ai envie de vous dire, et pauvre de nous face à une telle bêtise.

    — Les sites d’information sur l’IVG sont accusés de « désinformation » par Laurence Rossignol. Que vous inspire cette inversion des réalités ?

    — C’était en effet l’argument avancé pour soi-disant protéger les femmes de la « pression » de ces sites qui les orienteraient dans une mauvaise direction avec de « fausses informations ». Aujourd’hui cette pression n’existe pas, en réalité le gouvernement cherche à tuer toute alternative à sa propagande officielle clairement en faveur d’une banalisation de l’avortement. J’en veux pour preuve la vidéo du médecin sur le site du gouvernement qui explique qu’il n’y a aucune séquelle physique et psychique suite à un avortement alors que le corps médical est divisé sur le sujet. Même Simone Veil s’accordait à dire que les effets psychiques n’étaient pas nuls. Avec le texte, ce sera donc au juge de trancher entre les informations justes ou fausses sur le plan médical. C’est une aberration et une censure totale de la liberté d’expression.

    — Vous pensez que ce « délit d’entrave » est une infantilisation des femmes ; n’est-ce pas aussi et surtout une avancée totalitaire de la culture de mort ?

    — Il s’agit clairement d’une trahison totale de l’esprit du texte de Simone Veil. La légalisation devait être une loi d’exception et non un droit, un acte de dernier recours posé dans un cadre de détresse et dont le gouvernement devait tout faire pour dissuader la femme. Aujourd’hui le simple fait de vouloir dissuader la femme d’avorter est perçu comme une atteinte à ce droit et l’enfant n’est considéré comme existant que dans le cadre d’un projet parental. Cette dérive est terrifiante alors que 200 000 avortements sont pratiqués chaque année et que 10 % des lycéennes d’Ile-de-France ont déjà avorté en dépit d’un accès facilité à la contraception.

    — Comme vous, des députés LR ont lutté contre cette proposition de loi, mais d’autres députés LR ont voté pour. Sur ces questions de la défense de la vie, quelles réponses apportera le programme présidentiel de Marine Le Pen, alors que François Fillon apparaît comme « le candidat de la Manif pour tous » ?

    — Plutôt que de mettre en place des objectifs, des quotas d’IVG dans les établissements de santé, il faudra soutenir financièrement les structures qui proposent d’accompagner les femmes isolées et hésitantes. Il faudra revenir sur le remboursement intégral et illimité de l’avortement car les femmes sont des êtres responsables qui doivent être traités comme tels. Il faudra mettre en place l’adoption prénatale et restaurer le délai de réflexion pour éviter les décisions précipitées dans un moment de panique pour acter que l’avortement n’est et ne sera jamais un acte anodin. Enfin il faut absolument dégager des solutions financières pour une politique familiale digne de ce nom, en particulier pour les mères isolées, alors qu’aujourd’hui 47 % des femmes avortent pour des raisons économiques.

    Propos recueillis par Samuel Martin

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    Valls très critiqué par la presse internationale. La France ridiculisée.

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    Jean-Marc Sylvestre

     

    Sylvestre.jpgAlors qu'Angela Merkel a été désignée ce lundi, sans aucune difficulté, par la CDU pour se représenter aux élections de l’année prochaine, la classe politique allemande et le monde des affaires d’outre Rhin, se délectent du spectacle offert par la France.

    Les derniers évènements de la gauche ont été suivis comme un "reality show" de la télévision américaine.  

    La décision de Manuel Valls a sans aucun doute été l’épisode le plus violemment commenté.

    Sur le fond, le Spiegel et la Fransfurther Allgemeine Zeitung mettent l’accent sur le piège dans lequel est enfermé Manuel Valls.

    "Comment ce réformateur, ce rénovateur va-t-il convaincre la gauche du Parti socialiste qu'il a lui même braquée, de se rassembler autour de lui ? Il en a besoin. La mission est impossible" et d’ajouter, "voilà un responsable politique qui trace les grandes lignes d’un programme qui tourne le dos à ce qu‘il a fait comme Premier ministre".

    Mais, dit encore la presse allemande, ça n’est pas la première fois qu’un candidat fera des promesses, qui sont un peu décalées par rapport à quelques uns des principes de réalité.

    Mais au-delà du fond, du projet qui peut encore changer, c’est la forme empruntée par Manuel Valls qui provoque les critiques les plus acerbes.

    D’abord, les milieux politiques allemands lui reprochent son arrogance et en matière d’arrogance, les Allemands sont pourtant assez maitres. Ceci étant, écrit la FAZ, Manuel Valls a complètement zappé l'étape de la primaire et fait acte de candidature à la présidentielle.

    Angela Merkel, qui vient d’être désignée par son parti pour se représenter à la tête de l'Etat pourrait logiquement dire que les jeux sont faits, mais jamais elle ne le fera. Manuel Valls,lui, parle comme si la primaire n’existait pas, alors qu'il vient de s'engager dans une course qui est loin d’être gagnée d’avance.

    Donc l'arrogance serait désormais dans l'ADN de la gouvernance française. Mais ce n'est que le début de la critique. Les uns présentent l'ex Premier ministre comme un ambitieux et surtout comme un "affamé du pouvoir".

    Le Spiegel rappelle "qu’il a une soif de pouvoir énorme, une affirmation de soi insupportable et qu'il agit déjà comme s’il avait gagné".

    Plus cruelle encore, la FAZ rappelle la carrière de Manuel Valls, un briseur de tabous, l’homme qui voulait rénover la gauche, l'homme qui s’est sourcé au lait provocateur et réfléchi de Michel Rocard.

    Le comble c’est que Valls n’a pas une seule fois fait référence a son cher mentor, Michel Rocard, qui doit se retourner dans sa tombe.

    François Hollande s’en sort mal, lui aussi. Pour la presse allemande, qui rapporte des propos de la classe politique, le président français qui a, de part les institutions, le pouvoir le plus puissant du monde, beaucoup plus puissant que le président américain, termine son mandat dans le ridicule.

  • Les cloches sonneront-elles encore demain ?

     

    La France est meurtrie par le terrorisme. Mais il y a plus grave : elle est en train de perdre son identité. Si l on ne fait rien, selon Philippe de Villiers, la voix du muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs.


    L auteur a eu accès à de nombreuses informations qu il divulgue ici pour que les Français sachent et prennent conscience de l extrême gravité de la situation.


    À travers une mise en perspective vertigineuse, il rappelle comment, depuis les années 1980, notre pays a été lentement mais sûrement « islamisé ». Rien n a été fait pour répondre aux vagues migratoires et au plan secret de l Europe. Pire, ce projet d un « Eurislam », révélé ici au grand jour, a été encouragé par les élites françaises.


    Il faut renouer avec notre pays. Philippe de Villiers propose d'inventer un nouveau roman national qui soit un roman d'amour. Pour que chaque Français puisse partir dans la vie avec un bagage imaginaire qui porte ses rêves.

  • Ne vous privez pas des meilleurs spectacles

     

    Le sextuor de cuivres MADE IN BRASS est un ensemble constitué de six musiciens de l’Opéra et Orchestre National de Montpellier Languedoc Roussillon. Ces six artistes sont tous issus des Conservatoires Nationaux Supérieurs de Musique de Paris ou de Lyon. Ils ont pour ambition de promouvoir la musique pour cuivres en alliant musicalité, technique et le plaisir profond de la musique partagée.


    Les interprètes embrassent large : répertoire classique et baroque, musiques de films et standards de jazz. Wagner va côtoyer Morricone, Elgar rencontrer Bolling, une bergamasque croiser James Bond…

    Pour avoir unr idée de leur talent cliquez ICI

  • Rien à attendre non plus de ce côté là

     

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     LE SENS DU VOTE FILLON

    Le vote Fillon a rallié toute une France que tout le système politico-médiatique voudrait ne plus voir apparaître. Il est le signal d’une dynamique nouvelle. Toute la question est de savoir si elle pourra aboutir.

     

     

     La droite catholique a voté. Tout le monde en convient. C’est le signe le plus clair des primaires de la droite. Suivant la rumeur qui s’amplifia soudain dans le corps électoral, selon aussi les consignes données sur les réseaux sociaux et sous des instigations qui se devinent, elle s’est portée sur François Fillon.

    Il s’agissait de faire barrage à Alain Juppé et à Nicolas Sarkozy : le vote utile, comme on dit toujours. Tout aussi bien ces voix auraient pu se porter sur Jean-Frédéric Poisson, quant aux convictions profondes. Il était le seul « affiché » catholique ; le mécanisme institutionnel est tel qu’il rend impossible un vote franc et massif de conviction. Les électeurs en sont réduits à faire un choix « contre ».

    Mais il est certain que derrière un tel vote, il y a un choix « pour ». « Pour » l’ordre, « pour » une restauration de l’autorité et des libertés, « pour » la vie, « pour » les familles, « pour » un redressement. Et ce vote « pour » a fait peur aux tenants du système, mot simple mais qui n’est équivoque pour personne.

    La pression dès la fin du premier tour a recommencé à s’exercer. Après le second tour il est à prévoir que ce sera pire et plus sournois. François Fillon est sommé à chaque instant, qu’il le veuille ou non, de s’expliquer sur l’avortement, sur les droits de la femme, sur ses liens supposés avec la droite catholique, voire avec l’extrême droite, sur son amitié avec Poutine, sur son libéralisme qualifié de radical.

    On feint de croire Fillon en rupture avec le système. Il a beau dire que ce n’est pas le cas, confirmer qu’il a voté toutes les lois sur l’avortement, celles qui vont le plus loin, ajouter qu’il n’est pas question pour lui de remettre en cause la loi Taubira, préciser qu’il ne touchera pas à l’organisation sociale, il est soupçonné d’intentions perverses par tous les défenseurs patentés des « valeurs républicaines ».

    L’ignoble chantage


    Les chiens aboient et vont aboyer encore plus fort. Il devra de plus en plus attester publiquement de sa soumission aux normes de la classe politique et médiatique. Lui sera refusée même la réserve la plus intime sur ses convictions les plus personnelles, philosophiques comme il dit, ou religieuses. à ce prix il sera le candidat de toute la droite ou prétendue droite et du centre. Es-tu « catho » ou non ? Es-tu « républicain » ou non ?

    Telle est encore aujourd’hui la vraie question. C’est intéressant de le noter. En dépit de tous les ralliements cléricaux à la République. Nos institutions n’en sortent pas et c’est la raison, la seule et vraie raison, pour laquelle Juppé était placé en tête dans les prévisions du premier tour.

    Tout le monde le pensait tant c’était l’homme des appareils et des habitudes du système. Les pronostics ont été déjoués, manifestation une fois de plus éclatante de l’appel profond d’une France humiliée et outragée vers l’homme d’État attendu pour une vraie rupture et qui, lui, ne décevrait pas. Tel est le sens du vote Fillon. Qui ne le sait, mais qui ose le dire ? Lui-même, cerné qu’il va être, que peut-il faire ? Faire était le titre de son opuscule de campagne.

    Soit ! Mais faire quoi au juste ? S’il doit d’abord adhérer à toutes les inepties qui font le contrat social de la politicaillerie au pouvoir et s’abaisser devant les criailleries des médias, s’il ne peut réclamer une vraie politique familiale, réanimer une morale publique, dire « non » à l’Europe de Maastricht et de Lisbonne, renouer avec notre histoire nationale ? N’a-t-il pas déjà trop acquiescé ? Un chef de l’État doit, d’abord, être libre. C’est la première chose qu’il eût fallu déclarer à la primaire. Au lieu de discuter sur l’âge auquel un enfant doit être orienté. De minimis non curat praetor.

    Ce que vit la France est typique. Tout est fait pour que Fillon ne soit un « dur » qu’en apparence. L’idée est de faire en sorte qu’il soit trop lié au système pour se permettre de rompre avec lui. Or, les primaires ont révélé une France en réalité très « à droite » selon les classifications habituelles des analystes politiques, c’est-à-dire de plus en plus soucieuse de son identité historique, attachée à ses familles, alors que tout est entrepris pour les démolir, inquiète pour son patrimoine, pour ses villages, sa ruralité, ses industries, pour la convivialité de ses villes, pour sa défense et sa sécurité, cherchant un avenir dans un ordre retrouvé.

    Fillon a donné l’impression de partager ses manières de voir et de sentir. Il a rallié naturellement toute cette France qui croit encore en la France. Mais c’est cette France que tout le système politico-médiatique ne veut plus voir apparaître ; il la pensait morte et enterrée. Elle ne l’est pas ; elle ne l’est jamais.

    C’est un très bon signe. Fillon devrait normalement en faire partie, ne serait-ce que par ses attaches familiales. Le vote en sa faveur n’est dû qu’à ce sentiment. La contrainte du mécanisme institutionnel risque de tout fausser. Déjà, sur le plan public – et pour avoir la paix –, il a remisé tout ce qui aurait pu le distinguer fondamentalement des autres.

    La croisée des chemins


    Il a si bien compris, senti même l’impasse où le mènent de telles élections, trop partisanes pour lui donner les coudées franches, qu’il se contente d’axer sa volonté de réforme essentiellement sur l’économie. Alors qu’un Trump a réussi à obtenir une liberté d’action, Fillon sait très bien comment et pourquoi il sera contrecarré. Il connaîtra très vite les limites de sa stratégie : tous ses projets seront bloqués, aussi bien à la base qu’au sommet, du côté européen comme du côté prétenduement social français.

    D’autant plus qu’il est maintenant probable qu’il sera le candidat républicain face à Marine Le Pen et qu’après avoir droitisé son discours, il sera obligé de le gauchir. D’où, pour se distinguer et pour tenter de se libérer, sa volonté de procéder par ordonnances sur ses priorités. Imagine-t-on les difficultés qu’il va rencontrer ?

    Un État en faillite, des administrations qui n’obéissent plus, une Europe qui lui mettra des bâtons dans les roues, un esprit public qui se salira et qui ne correspondra plus à l’élan patriotique et pur qui l’a soutenu aux primaires, l’immigration sauvage, le terrorisme islamique et, pire que tout, un monde politicien et médiatique assoiffé de pouvoir et de vengeance.

    « La France est poignarde », disait Maurice Barrès. Ce qui veut tout dire, surtout aujourd’hui. Guillaume Bernard dans son livre La guerre à droite aura bien lieu (Desclée de Brouwer), montre parfaitement ce qu’il appelle « le mouvement dextrogyre », c’est-à-dire ce besoin d’ordre, de sécurité, d’autorité, qui repousse maintenant vers la gauche les idées et les mouvements politiques dont l’inspiration puise encore aux sources des vieilles idéologies du xixe et du xxe siècles.

    Robert Ménard, le maire de Béziers qui, lui, n’a peur de rien, dans son Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir (Pierre-Guilaume de Roux) explicite en termes simples et clairs les mesures sages qui s’imposent de toute évidence aujourd’hui, en réduisant les fausses objections à ce qu’elles sont en réalité : des « mots » qui permettent à des politiciens, à des journalistes, à des fonctionnaires sans responsabilité réelle, de faire semblant d’exister. Fillon ou pas Fillon, le jour viendra du choix crucial : « pour » ou « contre » la France.

    Hilaire de Crémiers - Politique magazine

     

    Et pour vous en convaincre, écoutez ce témoignage de Philippe de Villiers. Il démontre qu'il nous faut éviter un nouveau valet de la finance internationale, destructrice de nos nations.

    Cliquez sur la photo

     

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  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    Henri Bec, conseiller départemental était présent aux cérémonies du 11 novembre à Valras.

    Toutes nos félicitations à Charles Morera et Joël Fontic.

    Le Petit Journal

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  • La Nouvelle Revue de Presse

     

    N'omettez pas de cliquer sur les images

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    M. Jacques Nain, l'éditeur de Boomerang meurtrier 

    (Éditions Auteurs d'Aujourd'hui)

    et M. Henri Bec, conseiller départemental

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    Le Midi Libre

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     Le Midi Libre

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     Le Petit Journal

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    Pierre Bouldoire, vice-président du conseil départemental s'est offert une demi-page du Midi Libre pour évoquer une délibération de son conseil municipal de Frontignan ... ce qui n'intéresse pas grand monde si ce n'est les frontignanais.

    Sentant la fin de leur déplorable gestion, de leur échec dans tous les domaines, ils ne savent plus comment se rendre intéressants, détourner l'attention et essayer de parler d'autre chose.

    Il faut dire également que la succession de K. Mesquida à la tête du département ou à son siège de député va s'ouvrir prochainement, non cumul des mandats oblige. Ceci éclaire très nettement cela. Il faut là aussi faire parler de soi, même au prix du ridicule !

    Gérard Prato remet les choses à leur place.

    Le Petit Journal

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    Le projet de la nouvelle gare de Béziers, excentrée à Villeneuve les Béziers est une aberration économique et environnementale. Curieusement votée à l'unanimité par l'agglo, le report de sa mise en oeuvre permettra, espérons-le de revenir à de plus raisonnables solutions.

    Le Petit Journal

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    Le Midi Libre

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    Le site de Béziers

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    La Nocturne des Halles de Béziers

    Jusqu'au 29 juin 2017 à 17 h 00

    À partir du 3 novembre 2016, Les Halles proposent chaque premier jeudi du mois, des soirées au saveurs de l’été.

    Venez déguster la charcuterie ibérique et les tapas traditionnelles espagnoles et passer un agréable moment dans une ambiance sonore douce.

    Cette nocturne de déroulera les premiers jeudi de chaque mois de 19h00 à 23h00 jusqu’au mois de juin.

     

    Tarifs :

    1 verre de dégustation et 3 dégustations : 5€

  • Un maurrassien à L'Elysée ?

    Patrick Buisson était à Béziers le 16 novembre dernier. L'importance, la qualité et la profondeur de l'analyse qu'il développe au fil d'un ouvrage dense et fondamental nous ont paru justifier un chapitre particulier de notre blog. Nous vous proposons :

    - Une analyse de son livre "La cause du peuple" par Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine

    - Un reportage passionnant de 56 minutes.

     

    La leçon politique de Patrick Buisson

    On a dit qu’il s’agissait d’un règlement de compte. Rien n’est plus faux. C’est le livre d’analyse politique le plus intelligent de l’année. Car Patrick Buisson prend les choses de haut et vise en profondeur.

    Cette minutieuse étude de « cas » – car il étudie à fond un « cas » – n’est pas écrite pour le politicien moyen qui , de toutes façons, n’y comprendrait rien et qui refuserait de voir ce que ce jet de lumière sur toute la série d’évènements du quinquennat Sarkozy montre à l’évidence : l’incapacité du régime à se réformer, l’impossibilité pour les hommes du régime, type Sarkozy ou n’importe quel autre, à se mettre au niveau du problème de la France d’aujourd’hui.

    L’existence même de la France comme nation historique est compromise ; or il y a dans le peuple français des réactions de vitalité ; mais l’homme politique ne les saisit que comme vecteurs pour parvenir au pouvoir. Au mieux, c’est juste un exercice de conquête : capter des voix.

    Il n’est plus aucune transcendance dans la politique. Elle n’est plus qu’un moyen de réalisation et de jouissance personnelles. L’absence de conviction de fond est la caractéristique de tout ce monde qui prétend gouverner et se partager les prébendes du pouvoir.

    Voudrait-on changer les choses, dans l’état actuel des institutions et de la vie politique, les puissances médiatiques, financières, syndicales, les groupes de pression, les réseaux plus ou moins occultes, et une part importante des pouvoirs publics sous influence se mettraient en travers.

    Conseiller en vérité un homme politique dans pareilles conditions devient un métier impossible. L’homme de pouvoir est devenu trop versatile, trop dépendant des modes du moment, trop sensible à toutes les pressions du politiquement correct pour envisager de vraies réformes de fond, pour même concevoir un redressement français. La vaste culture de Patrick Buisson lui permet de mettre en perspective ses cinq années d’expérience.

    Tout est vu avec justesse. Le commentaire s’élève jusqu’à la philosophie politique à laquelle sont malheureusement étrangers tous les protagonistes de ce mauvais drame. C’est une leçon. Au-delà de Bernanos et de Péguy, il y a du Maurras et du Bainville dans ce livre magistral. La France se meurt d’institutions malfaisantes. Nos hommes politiques sont à leur image.

    Hilaire de Crémiers - Politique magazine



    La cause du peuple, l’histoire interdite de la présidence de Sarkozy, de Patrick Buisson, Perrin, 460 pages.

     

     

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    Pour visualiser ce reportage, cliquez ICI (56 minutes passionnantes)

     

  • La France qui ne veut pas mourrir

    Chers amis,

    Les Français qui souffrent sont des millions.

    Ils ne sont pas une France de la périphérie, pour reprendre le titre d'un ouvrage brillant. Ils sont le coeur saignant de la France. Ils sont les victimes immolées dont le sacrifice doit être tu et même enseveli sous les mensonges.

    ILS SONT LA FRANCE.

    Ils vivent en direct sa déchéance et sa disparition.

    J'ai choisi de répondre POINT PAR POINT à toutes les accusations fallacieuses que suscitent nos actions à Béziers. Et pour cela, je publie un Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir.

    ACHETEZ ICI

    Au-delà de la simple riposte, j'y expose un plan de sauvetage de la France. Cette France qui souffre plus que jamais depuis plusieurs décennies de l'incurie et du cynisme coupables de ses gouvernants, qu'ils soient de droite ou de gauche. 

    Immigration galopante, montée de l'islamisme, déclin de l'école publique, défiguration urbaine, langue de bois des médias, trappes à pauvreté générées par la mondialisation toute-puissante, etc.

    Et si Béziers constituait une sorte de modèle à porter à l'échelle nationale ?

    Tout se joue maintenant, à l'ouverture de la campagne présidentielle.

    Je vous invite donc à lire cet Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir.

    CLIQUEZ ICI

    Sauver la France ne tient qu'à nous.

    Cordialement,

    Robert Ménard

     

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