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le pays réel - Page 11

  • Voter Macron ? La réponse du sabre au goupillon

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    C'est peu de dire que la hiérarchie de l'Église est en dessous de tout. À l'image de la haute administration, sa démagogie est sans limite. 

    Ce dimanche, l’archevêque de Strasbourg, Mgr Luc Ravel, a annoncé qu’il voterait pour Emmanuel Macron.

    Ancien commandant de la brigade parachutiste, le général Emmanuel Maurin lui a répondu dans une lettre qu’il accepte de rendre publique sur L’Incorrect. Il est maintenant nécessaire que les meilleurs officiers leur rappellent le cours élémentaire de catéchisme !

     

    Monseigneur,

    J’ai eu la stupeur de lire dans la presse votre déclaration qui annonce que « le citoyen Ravel votera Emmanuel Macron, bien entendu ».

    Bien entendu, vous voterez pour un candidat qui annonce vouloir inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution.

    Bien entendu, vous voterez pour un candidat dont la majorité entend faire de l’euthanasie la grande cause sociétale du prochain quinquennat.

    Bien entendu, vous voterez pour un candidat qui souhaite légiférer pour la PMA sans père en attendant le trafic des GPA.

    Bien entendu, vous voterez pour un candidat qui trouve beau de rencontrer une femme voilée, préférant manifestement le racolage électoral à la dignité de la femme.

    Bien entendu, vous voterez pour un candidat « plus capable de fédérer » après avoir pourtant fractionné à dessein la société en trois blocs et, accessoirement, avoir « emmerdé » les non-vaccinés (je précise que je suis trois fois vacciné).

    Bien entendu, tout cela vous l’avez longtemps mûri, oint de votre onction ecclésiastique d’évêque et de successeur des Apôtres. Bien entendu, vous le dites en conscience.

    Bien entendu, vous acceptez donc de porter votre part de responsabilité dans ces lois à venir.

    Je pensais pourtant, naïvement sans doute, qu’en qualité de successeur des Apôtres, vous aviez à guider vos fidèles vers le Christ qui est le Chemin, la Vérité et la Vie. Souhaiteriez-vous aujourd’hui les guider vers l’impasse, le Mensonge et la Mort ? Impasse d’un projet de société libertaire qui détruit la famille, arrache l’homme de tous ses racinements comme disait Péguy pour une liberté chimérique et prométhéenne. Mensonge d’un projet de société qui nie la nature essentiellement mixte de l’humanité.

    « Homme et femme il les créa », avez-vous entendu comme moi samedi soir lors de la veillée pascale.

    Culture de mort d’une société qui ne reconnaît plus la dignité des plus fragiles et des plus diminués. Culture de mort d’une société sans Dieu qui dès lors, par peur et refus de la mort, ouvre grand la porte à l’eugénisme et au transhumanisme.

    L’évêque de Carthage, Saint Cyprien disait au IIIe siècle : « Dès le début de mon épiscopat, je me suis fait une règle de ne rien décider d’après mon opinion personnelle sans votre conseil, à vous les prêtres et les diacres et sans le suffrage de mon peuple ». Manifestement dix-huit siècles plus tard, le citoyen-évêque Ravel s’est bien émancipé. Votre « bien entendu » sonne comme l’acte manqué d’un pasteur de l’Église qui préférerait la quiétude de l’approbation des puissants à l’affirmation à temps et à contretemps que la sagesse de Dieu est et reste une folie aux yeux des hommes.

    Votre fallacieuse distinction entre l’évêque et le citoyen a pour seul et triste mérite, au pire de mal masquer une hypocrisie pharisienne, au mieux de voiler difficilement comme une sorte de gêne, une sorte de scrupule, comme un petit caillou dans la conscience d’un homme coincé dans le conformisme de l’entre-soi des gens respectables. Votre « bien entendu » sonne comme une recherche de respectabilité, il est comme l’acte manqué d’un pasteur de l’Église qui préférerait la quiétude de l’approbation des puissants à l’affirmation à temps et à contretemps que la sagesse de Dieu est et reste une folie aux yeux des hommes.

    Je ne sais quel était votre but en faisant cette déclaration malheureuse. Je sais en revanche quel en est d’ores et déjà le résultat : une déchirure plus grande encore dans la tunique du Christ.

    Monseigneur, à la personne que vous êtes, j’adresse l’expression de toute ma profonde considération. À l’évêque que vous êtes et au Pasteur que vous devriez être, l’expression de ma totale incompréhension, de mon entier désaccord et de ma profonde colère.

    Général Emmanuel Maurin

  • Appel lancé par un membre des Républicains

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    Le communiqué ci-dessous, émanant d'un membre des Républicains montre bien le réalisme et le courage de certains. L'appel lancé aux électeurs LR est sans ambiguïté.

     

    Bravo aux patriotes pour la forte mobilisation au premier tour de l'élection présidentielle 2022 ! En effet, la somme des résultats obtenus par chacun des candidats du camp patriote, national, conservateur et souverainiste confirme la tendance du basculement idéologique vers la droite dite « forte » ou « dure ». On peut le dire aujourd'hui : plus que jamais, le camp patriote est installé dans le paysage politique en France. D'ailleurs, comment aurions-nous pu en douter, puisque depuis des années, toutes les enquêtes d'opinion ne font que confirmer le phénomène de droitisation de la société.

    L'élection présidentielle a permis de développer des idées que les Français ont, dans l'ensemble, validées. On pourra dénoncer a posteriori l'outrance de certaines positions, mais force est de constater que les débats qui s'ensuivirent n'ont pas vraiment choqué. Le camp patriote n'est plus très loin d'accéder au pouvoir.

    Bravo aux électeurs d'Éric Zemmour pour leur courage, bravo à ceux de Marine Le Pen pour leur fidélité, bravo aux électeurs de Nicolas Dupont-Aignan et, de façon générale, bravo à toutes les personnes qui ont effectué leur acte citoyen en pensant d'abord à la France ! J'ai milité 34 ans chez LR, j'y ai même été élu au sein des instances nationales avant de démissionner car refusant clairement la phagocytose du parti par Emmanuel Macron et ses ouailles. Aujourd'hui, je suis un soutien inconditionnel de Marine Le Pen.

    Héritier des valeurs conservatrices qui ont toujours caractérisé la droite, le parti Les Républicains avait le champ libre pour s'installer durablement dans la sphère idéologique du camp patriote et national, mais à force de reniements, de renoncements et d'accumulation de mensonges, LR s'est éloigné de ses fondamentaux. La faute à des cadres qui, depuis quarante ans, promettent aux électeurs le contraire de ce qu'ils font lorsqu'ils arrivent au pouvoir. En 2017, ce sont les cadres LR qui ont facilité l'élection d'Emmanuel Macron comme président de la République puis, durant tout le quinquennat, ces mêmes cadres ont dénoncé la politique de l'exécutif.
    En 2022, ce parti et ses cadres, toute honte bue, appellent à se fourvoyer avec le Président sortant candidat... Ces gens ne retiendront donc rien !

    Emmanuel Macron réélu, le pays ne se relèvera jamais de dix ans, que dis-je, de quinze années (depuis François Hollande) de destruction de notre modèle culturel, social, de nos valeurs et de tout ce qui fait France. Réélire Macron, c'est installer le concept woke, cette dérive progressiste qui tend à effacer la culture millénaire de la France.
    Réélire Macron, c'est ouvrir la porte à l'immigration clandestine et subir le pacte de Marrakech.
    Réélire Macron, c'est imposer le laxisme partout et sur tous les sujets.
    Réélire Macron, c'est accepter de se faire insulter et humilier.
    Réélire Macron, c'est accepter les mensonges de celui qui avait promis, en 2017, de faire de la politique autrement et qui a fait comme avant, en pire.

    Alors oui, j'assume lancer aux électeurs LR l'appel à battre Macron, le battre en votant, quitte à se pincer le nez pour certains, pour Marine Le Pen. Certes, ils peuvent arguer partager peu de choses politiquement avec la candidate issue du RN, mais l'essentiel n'est-il pas de se rassembler face aux mondialistes ? L'heure est grave, le temps de l'hésitation est passé, il faut du courage, il faut oser car le combat pour la France en vaut la peine.

    Article paru dans Boulevard Voltaire le 12 avril 2022

  • ATTENTION !

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    Les cinq années du mandat d’Emmanuel Macron ont fait l’objet de multiples critiques toutes plus justifiées les unes que les autres. Comment en effet ne pas évoquer l’abaissement de la France dans de nombreux domaines, la désinstrualisation, la culture, l’éducation, les atteintes multiples à des libertés essentielles, l’appauvrissement d’une immense partie de la population au profit d’une minorité qui lui avait donné mandat… N’oublions pas les lois bien mal nommées « bioéthiques », véritable guerre anthropologique qui n’est pas près de s’éteindre. Ce n’est pas pour rien que la gauche la plus radicale va lui apporter son soutien. Elle sait que sur le sujet il sera au rendez-vous, et au besoin le lui rappellera. Et c’est ainsi qu’une droite libérale ou prétendue telle, s’engagera avec ceux qui ont décidé de la ruiner, puis de la supprimer. Ceux qui ont un minimum de culture historique se souviendront de la lutte menée par la monarchie contre les « libertins » (c’est-à-dire nos bourgeois actuels) et la façon dont tout cela s’est terminé.

     Ils ne pourront pas dire qu’ils n’étaient pas avertis et informés !

     Mais le motif principal qui doit nous convaincre de na pas voter Macron est encore plus fondamental, le risque de guerre.

    Nous savons tous ce qui se passe au centre de l’Europe, une guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu. Les Américains en sont en très grande partie responsables, eux qui ne cessent depuis des décennies de rêver à la domination du monde. N’a-t-on pas vu le président des États-Unis venir s’immiscer dans cette guerre par une visite très préoccupante en Pologne, et se livrer à des déclarations de va-t-en-guerre, même si elles étaient, en partie, à usage interne, en direction de son électorat qui s’effrite. Ce qui explique que rien n’a été fait pour exiger de l’Ukraine le respect de ses engagements à l’égard de la Russie. Celle-ci, obsédée par sa sécurité depuis l’entrée dans l’OTAN d’anciens pays de la Russie soviétique, a estimé, à tort ou à raison, la question n’est pas là, qu’il lui était vital d’intervenir.

    Or, la quasi-totalité des pays européens, qui sont à la botte de l’Amérique, ne cessent non seulement de multiplier les déclarations hostiles, ce qui, en soi, n’a qu’une importance très relative, mais surtout de livrer des armes à l’Ukraine, véritable participation active à la guerre. C’est beaucoup plus grave. Il suffira maintenant d’une étincelle pour embraser le continent (exemple un convoi anglais rappé par l’armée russe). Et ce ne sont pas les Américains qui souffriront d’un tel conflit, pas plus qu’ils ne souffrent des sanctions qu’ils suscitent.

    Emmanuel Macron ne s’intéresse pas à la France. Son idée fondamentale, c’est l’utopie européenne, et au-delà mondialiste. Il s’est ainsi institué grand patron de la défense de l’Ukraine, alors que ce conflit ne nous concerne pas au premier chef. Il est tenu, sans en être affecté, par l’OTAN, sous direction américaine, que Sarkozy avait eu l’immense tort de rejoindre, pour des raisons identiques d’europhobie. Il lui apporte aujourd’hui, et sans surprise, son soutien.

    Le rôle de la France, son rôle naturel, était, au contraire, de convaincre les belligérants d’arrêter les hostilités par l’institution d’une neutralité de l’Ukraine (à définir bien sûr, c’est le rôle des diplomates), et non de se livrer à des invectives, des critiques, des menaces éminemment dangereuses. Macron n’en a ni l’envie, ni les moyens.

    Remarquons que les prises de positions des occidentaux ne reposent en aucune manière sur des arguments de réalisme politique, sur une analyse rationnelle des rapports internationaux, mais sur des motifs moraux et romantiques, de « débordement émotionnel ». Ce n’est pas de la bonne politique.

    Enfin, comme l’histoire ne cesse, malheureusement de nous le rappeler, la politique extérieure est toujours au service de la politique intérieure. Ce fut, de manière constante, un véritable obstacle au maintien de la paix.

    La situation d’aujourd’hui ne déroge pas à la règle : nous voyons avec un réel souci le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’insérer dans la campagne présidentielle française en suggérant de voter Macon. Il va bien falloir, s’il est élu, qu’il lui renvoie l’ascenseur ! La France, à la remorque de l’Europe et des Etats-Unis, adopte une position très dangereuse, source de tensions pernicieuses. Cette situation est extrêmement préoccupante. Avec Macron à l’Élysée, nos lendemains ne vont pas chanter.

     Personne ne pourra dire qu’il n’était pas averti et informé !

    Henri Bec

  • Quelquefois, il vaut mieux en rire…

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    Vous allez assister à un miracle.

    Ou comment les médias occidentaux se font blouser rien que pour avoir un scoop.

    Regardez bien la vidéo ! … avec le son.

    Un enfant palestinien " assassiné par les israéliens" est porté publiquement pour être filmé par les médias occidentaux…

    Soudain une sirène annonce un bombardement....c’est la fuite générale et le miracle se produit !!!

    Cliquez sur l'image

  • Sport favori du clan Ménard : le coup de poignard dans le dos

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    Dans la famille Judas, je demande le père

    Sans vraiment y croire, d'aucun pensait que l'impensable s'arrêterait avant l'ignoble. Mais il est vrai qu'avec les Ménard tout est possible, surtout "le dégueulasse" pour reprendre ses fines expressions. Après avoir renié à plusieurs reprises les idées sur lesquelles il avait été élu, trompant sans complexe ses électeurs, avoir laissé lâchement tomber Éric Zemmour qui ne convenait plus à ses ambitions (souvenons-nous "mon pote Zemmour" qui ne disait rien d'autre qu'aujourd'hui), voilà qu'il abandonne Marine Le Pen à dix jours du second tour, pour se rapprocher encore un peu plus de Macron. 

    Cette exécrable manœuvre n'est pas nouvelle, encore moins improvisée. Elle est apparue au grand jour à l'occasion de ces élections, arrivant à petits pas depuis plusieurs mois. Nous l'avions diagnostiquée il y a un an environ. Il suffit de se reporter à ce que nous écrivions le 24 juillet 2021 ICI, le 31 août 2021 ICI ou le 10 septembre 2021 ICI. Nous écrivions également en septembre 2021 ce texte prémonitoire :

    Il est plus que probable, comme nous l'annoncions, que nous allons assister à Béziers, d’ici les prochaines élections présidentielles et législatives, à un glissement progressif mais rapide sur la pente du politiquement le plus correct. Le premier mot d’ordre à respecter sans discussion se résume désormais dans la formule : "pas de vagues" ! Il y avait l’UMPS, nous allons maintenant découvrir la nouvelle configuration ménardo-républicano-socialo-macronienne. Le maire de Béziers ne disait-il pas, avant les élections, à qui voulait l’entendre, que le bilan de Carole Delga était globalement positif ? Et aujourd'hui que l'on pourrait se rallier à... Xavier Bertrand ! Le système a imposé son dictat : appliquer toutes les tromperies et déloyautés, tous les mensonges, renversements et reniements pour un second mot d'ordre fondamental : tout pour être élu, "la place d'abord" !

    Quelques amis estimaient que nous nous égarions et qu'il n'irait pas jusque là. Il est vrai que nous nous sommes trompés : nous étions loin d'imaginer une telle capacité de nuisance !

    À l'origine il s'était attribué le rôle du capitaine, seul capable de réaliser l'union des droites qui devait le porter, parce qu'on a peur de rien, au plus hautes destinées nationales ! Ce fut, en mai 2016 le très médiatique "OZ' TA DROITE', réunissant à Béziers le panel le plus hétéroclite de quelques personnalités de la droite ( on s'est vite aperçu qu'il manquait la plupart des plus importantes). Ce fut un magnifique fiasco dont on n'entendit plus parler au bout de deux jours, Marion Maréchal ayant par ailleurs claqué la porte un quart d'heure après l'ouverture ! Puis ce fut le très éphémère "Appel d'Angers" qui a duré, lui aussi, l'espace d'un matin. Dernière tentative sans lendemain. Et voila donc le clan Ménard privé de toute ouverture vers les lendemains qui chantent.

    Situation d'autant plus critique et inquiétante que la place venait d'être rapidement prise par Éric Zemmour dont personne ne peux contester la culture historique et politique, l'analyse serrée des événements, sa capacité à exposer des notions claires, et la fidélité à ses idées, autant d'atouts qui font, à l'évidence, défaut à la mairie de Béziers. C'est donc l'explication la plus simple qui s'impose : la jalousie sourde et prégnante, le ressentiment amer et rancunier, l'animosité grossissante se sont peu à peu emparés du clan Ménard. 

    Il imagina alors pouvoir exercer une influence dans le jeu des présidentielles. N'écoutant que son courage, et surtout son ambition, il fit connaître, à grand roulements de tambour, son invitation lancée à Marine Le Pen et Éric Zemmour à venir discuter à Béziers. Ils l'ont, l'un et l'autre envoyé promener. 

    Patatrac ! Le clan Ménard constate désormais qu'il n'intéresse plus les candidats, la presse, le public, les journalistes… L'abime de l'anonymat le guette désormais.

    Le réflexe naturel dans ces situations est d'en vouloir à la terre entière. D'où les épisodes récents que nous connaissons : agressivité inutile et malsaine à l'encontre d'Éric Zemmour, soutien à Marine Le Pen à la manière de la corde qui soutien le pendu… jusqu'à ces derniers jours, où le maire de Béziers, avec une formule où l'hypocrisie le dispute à la duplicité et à l'imposture annonce se "mettre en retrait de la campagne de Marine Le Pen" et cesser toute expression dans les médias jusqu'au second tour.

    Si le procédé est d'une déloyauté majeure, il nous permet toutefois, avec un immense soulagement, de ne plus l'entendre.

     

    Dans la famille Perfide, je demande la mère.

    Mais où est-elle donc passée ? Les anciens racontent qu'il y a déjà longtemps (trop longtemps disent beaucoup) elle avait été élue député, avec la mission, qu'elle a du estimer purement théorique, de représenter les français. Elle avait donc un rôle qui, en principe, devait l'amener à prendre des positions politiques, au moins au cours des périodes électorales ; et la présidentielle est à l'évidence l'une d'elles, si ce n'est la plus importante. Eh bien non ! Après avoir été très occupée par les pailles en plastiqueEn partance pour l'Ukraine-5.jpg et les gardes champêtres, s'être gargarisée de ses présences constantes dans l'hémicycle  pour pouvoir plus facilement grenouiller avec les RM, LR, UDI et autres formations aux convictions chamallow, trahir au passage le groupe auquel elle appartient, elle est revenue sur les terres biterroises dont elle ne manque pas l'occasion, elle originaire de Lille, de se déclarer amoureuse (vous entendez les ricanements ?) pour visiter les marchés, inaugurer les chrysanthèmes, assister à des concerts, sourire aux élèves de CM1, et même croire se rendre intéressante en faisant un ridicule aller retour en Pologne avec les véhicules et le personnel de la mairie. Mais des déclarations, aucune. Silence radio total. Incolore, inodore et sans saveur. Pour qui a-t-elle voté ? Pour qui va-t-elle voter ? Quels sont les thèmes de cette campagne qu'elle approuve ou conteste ? Mystère : la politique ne l'intéresse peut-être pas ! Mais personne n'est dupe. C'est en commun que sont élaborées les stratégies de la désertion. Ils partagent, comme ils le répètent à satiété, l'ensemble des écrits et prises de position. C'est dire qu'à son tour, disons plutôt "en même temps", elle fait sienne les retournements de veste, coups bas et autres forfaitures… quand elle ne les suscite pas ! Pendant que l'un s'agite sur les plateaux, véritable amuseur public (autrefois on aurait dit "fou du roi"), excellent faire-valoir des journalistes avides de clowneries, l'autre joue les sensées et pondérées pour ne pas choquer la macronie. C'est fin comme du gros sel.  

    Tout cela n'est pas très beau, c'est le moins qu'on puisse dire. C'est certes pitoyable et répugnant, mais surtout odieux. Ils donnent ainsi l'image la plus piètre et piteuse qui soit, renforçant l'opinion des français sur les acteurs politiques de ce système qui s'effondre, uniquement préoccupés par leur place et prébendes. C'est finalement le faible taux d'abstention qui est étonnant.

    Henri Bec

  • Ça promet !

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    Nous publions de temps en temps des images qui n'ont besoin d'aucun commentaire ou explication. Elles valent tout un discours.

    Eh oui, il promet, il promet comme il l'avait fait en 2017. Et la France continuera de décliner. Toute une frange de l'opinion, qui en réalité ne partage pratiquement aucune de ses positions et réformes, dont les plus abjectes comme les lois dites "sociétales", qui ne sont rien d'autres que de monstrueuses atteintes à la vie et plus généralement à la nature humaine, iront quand même voter pour le maître d'œuvre de l'eugénisme en marche.

    Ce sont bien souvent ceux qui, comme au début du XVIIIe siècle se répandaient dans les salons pour critiquer l'autorité, l'équilibre politique et les structures millénaires qui avaient fait de la France le premier pays. Ils vont aujourd'hui se joindre comme autrefois aux révolutionnaires les plus extrêmes pour participer à ce travail mortifère. 

    Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas ! Ce sera trop tard.

  • Avant l’élection, il est élu

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    L’air fûté de celui qui est sûr de gagner

     

    Par Hilaire de Crémiers.  

    Hilaire.jpgEst-il permis au citoyen ordinaire de s’interroger sur un tel mystère ?

    Tout le monde l’a compris : l’élection présidentielle est une formalité. Et, encore, à peine ! Une procédure, convenue constitutionnellement, qui va encore agiter la France pendant une quinzaine de jours et qui n’est que la ratification par un vote d’apparence libre et populaire d’un choix qui n’est plus un choix, puisqu’il est prédéterminé par le mécanisme électoral lui-même, habilement instrumentalisé.

    Les commentateurs l’ont dit à satiété dès avant l’élection elle-même, du moins ceux qui ont encore un souci d’honnêteté : l’affaire est pliée avant même le scrutin. Ils rediront encore plus demain que tout était joué d’avance, après que le scrutin se sera déroulé effectivement comme prévu le 24 avril prochain ; et avant les prochaines élections législatives qui seront peut-être anticipées pour permettre à l’heureux gagnant de mieux profiter de sa victoire. Là aussi il ne s’agit que de disposer de l’élection à l’avance. La démocratie a ses exigences, n’est-ce pas ?

    Beaucoup de paroles donc, sans que soit tirée la moindre conclusion de cet ensemble pourtant significatif de constatations. Sans que rien ne change au fond de la question fondamentale du mode de désignation du chef de l’État, dans une vieille nation comme la France. C’est ainsi ! Personne n’envisage un seul instant, – même pas les perdants qui croient toujours naïvement pouvoir gagner à cette stupide loterie –, une remise en cause d’un système qui aboutit, pourtant, à l’absurde homologation d’un président de la République qui ne représente ni la France ni les Français – en a-t-il même conscience ou même envie, lui qui se sent si peu Français ? –, qui n’est même pas l’expression d’une opinion majoritaire – à peine le cinquième du corps électoral au premier tour ! Soit quatre fois rien ; et, cependant, ce rien constitue le tout de l’opération si bien menée à son terme. En quelque sorte, la mise de départ pour l’emporter totalement. D’autres ont réussi le même coup avant lui.

    Réussir à tout coup

    Dans la réalité du champ politique français d’aujourd’hui, le gagnant est l’aventurier chanceux qui a su le mieux combiner son affaire ; le joueur sagace qui a raflé toute la mise sans rien laisser aux autres, réduits à leurs seuls gémissements, pauvres LR, PS, RN, nationaux, écologistes et autres insoumis ; le flibustier accapareur qui s’empare de tout le butin de la puissance publique et le distribue à ses complices, jeunes et vieux, ses copains des premières maraudes politiques, et, maintenant, à ses nouveaux affidés dont le ralliement même tardif mérite récompense, car rien ne resserre autant et si bien les liens de solidarité entre professionnels de la politique que l’attrait et la jouissance du pouvoir. Ah, la jouissance du pouvoir, leur unique raison d’être !

    Les quelques jours prochains de trémoussements électoraux que la France s’apprête à connaître, malgré sa morosité due aux circonstances de plus en plus tragiques, n’offrent donc plus aux citoyens qu’une comédie sociale, plus ou moins obligée, d’ailleurs bien ressentie comme telle, surtout chez les abstentionnistes, mais où la médiacratie va donner à plein sa partition pour faire accroire à l’électeur incrédule son rôle décisif. Ce sera juste un rite, devenu pratiquement superfétatoire, comme le prouvera largement le taux de participation, quoique nécessaire dans le cadre de la religion républicaine officielle, pour sacraliser publiquement l’élu du destin démocratique qui s’est imposé bien autrement et bien auparavant pour des raisons tout autres dont les secrètes convenances et connivences échappent au commun des mortels qui vont participer à cette votation. En l’occurrence le champion de la République en marche réussit sans coup férir pour la deuxième fois consécutive ! Alors que la majorité des Français n’en veulent plus. Épatant ! Telle est l’utilité de jeter un bulletin dans une urne. Le sort de la France en est scellé ! Pour cinq ans encore ; ça fera donc dix ! Attention, il n’est pas dit ici qu’il ne faut pas aller voter. Au contraire ! Et le plus nationalement possible pour bien marquer les lignes de rupture. Il n’est question seulement que de n’être pas dupes d’un système constitutivement truqué. Et depuis l’origine pour qui veut bien voir les faits dans leur implacable réalité. Et, il est vrai, en nos jours macroniens plus que jamais.

    Par son déroulement même, cette élection présidentielle et celles qui suivent en conséquence, ne sont pas sans rappeler le temps des clans, ces structures sociales primitives, terriblement efficaces, soit les clans des époques protohistoriques, avant l’histoire des nations, avant même l’invention de la cité, avant que la politique se soit civilisée, soit, plus classiquement, les clans de toujours, d’aujourd’hui comme d’hier. Ainsi fonctionnent les mafias, maintenant comme de tous temps, sur tous les continents, surtout quand elles visent à s’approprier le pouvoir pour le confisquer à leur profit, ce qui est le cas dans beaucoup de pays en notre beau siècle démocratique et pas seulement dans ceux qui sont désignés par les ligues de vertu politique à la vindicte publique.

    En France pareillement. Investissement de l’État par une bande organisée et sous forme légale : formidable avancée démocratique ! Ne nous leurrons pas, c’est le cas depuis bien plus longtemps sans doute qu’il n’est cru généralement ; mais, à ce jour et désormais, un tel processus est devenu patent. Pas un parti comme les autres, soit, pour reprendre la terminologie en usage dans la majorité présidentielle, un superparti si on veut, mais bien une entente en vue d’une rapine des postes publics. La légalité sert de couverture à la friponnerie, le droit à l’immoralité, la constitution à la forfaiture. Bel aboutissement du rousseauisme et du kantisme, constitutifs de la pensée républicaine et de l’idéal démocratique ! Pas même du Machiavel, du sous-Hobbes avec un Léviathan qu’il s’agit de mettre à son service.

    Il y a de quoi forcer l’admiration. Et entrer dans la danse macronienne en ralliant le si parfait parangon de progressisme démocratique qui s’est identifié à la France et qui veut imposer au monde, au nom de la France, sa propre vision de la société idéale.

    Étrange légitimité

    Le plat servi était préparé et cuit avant l’heure. Les gens avisés le savent. Ni Marine Le Pen, ni Valérie Pécresse, ni Jean-Luc Mélenchon n’ont changé la donne. La surprise Zemmour, heureuse en elle-même, malgré de magnifiques manifestations où soufflait le patriotisme protestataire d’une France qui ne demande qu’à vivre en dépit des oukases macroniens, n’a fait qu’activer plus violemment le réflexe de défense du système en place. Ce n’est pas dire que la réaction a été inutile. Au contraire. Zemmour a clamé les vérités qu’il fallait révéler et rassemblé les Français conscients des enjeux. Si la victoire n’est pas au rendez-vous, c’est qu’une fois de plus elle aura été volée par un système républicain qui, de toute façon, se refuse à l’admettre. D’ailleurs, l’addition des voix patriotiques auraient dû constituer normalement le socle largement majoritaire – même s’il était minoritaire, et de peu, par rapport à l’ensemble du corps électoral – suffisant pour légitimer dans le cadre des institutions actuelles non seulement une représentation du pays mais aussi un gouvernement – et un gouvernement d’union nationale dont la France a un urgent besoin. Il n’en sera rien. Même aux législatives. Ce n’est pas la première fois dans l’histoire depuis les débuts de la République – qu’on se souvienne de Fructidor ! – ; c’est même régulier.

    Alors, la présidentielle ? Il n’y a même pas eu lieu d’imposer une désignation. L’homme s’est présenté à l’heure qu’il a voulue, ainsi qu’il l’a lui-même précisé. Il lui a suffi de dire simplement : « c’est moi, me voilà ! ». Tel Bonaparte se couronnant lui-même. Le suffrage chargé de corroborer cette affirmation de l’homme qui est déjà le chef, qui s’annonce à nouveau comme le chef et qui n’a même pas besoin de passer par la case préparatoire du candidat, tant à l’évidence c’est lui le chef, ne sera même pas une onction consécratoire : quelle utilité à un tel symbole ? Il faut bien comprendre l’esprit qui se dégage de tels procédés. Le résultat publié officiellement n’est qu’une confirmation nationale – et internationale –, entérinant un droit antérieur et supérieur à toute autre règle institutionnelle. À bon entendeur, salut. C’est le point capital.

    Ce droit qui désigne la personne et la promeut pour elle-même, est bien – au-delà des mots et des arguties – le ressort profond, simple et fort, qui anime le jeu apparemment compliqué de nos institutions. Tel, jadis, un De Gaulle ou, avant, en modèle de tous les monocrates de la République, un Bonaparte, peut-être même un Mitterrand, un Giscard, un Chirac. En fait, tous ont eu, comme nécessairement, la même tentation et ont usé de ce même ressort, même le pitoyable Sarkozy et le minable Hollande. « C’est moi, me voilà ! ». Et ça marche.

    Ce droit éminemment personnel qui domine le droit public, justifie et conforte une telle légitimité hors norme, au-delà de toute légitimité. La rencontre d’un homme et d’un peuple, dit-on pompeusement. Depuis De Gaulle. Non, pour qui examine les choses de près, la rencontre d’un homme et d’un système qui a autant besoin de lui que lui de s’appuyer sur sa volonté de survie. C’est l’explication de tout depuis l’origine.

    L’élu du destin, tel qu’il se présente, ne peut donc que se prêter volontiers, par complaisance, par convenance, voire avec condescendance, à un cérémonial d’investiture qui est censé magnifier la fonction et le titulaire qui l’incarne en l’inscrivant dans le cours historique des traditions nationales et royales que les mœurs républicaines se sont efforcé de reproduire et de continuer pour légitimer aux yeux du vulgum pecus l’exercice du pouvoir.

    S’il est une certitude qui habite Macron, c’est bien qu’il est le chef. L’est-il vraiment ? Ses comportements d’adolescent immature qui cherche toujours à briller ou se différencier, prouveraient que, s’il en soigne l’image, il lui manque l’étoffe humaine et la stature historique pour assumer le rôle. Mais voilà : il en est persuadé et il en persuade son entourage, suffisamment pour avoir une camarilla à sa dévotion.

    « C’est moi le chef »

    Être le chef devient son idée fixe. Ce qui l’autorise à tout. Même à l’inconvenant. « C’est moi le chef », avait-il intimé au général de Villiers qui s’était contenté de faire valoir quelques remarques de bon sens sur le budget de la Défense. Et le général de Villiers donna sa démission. La règle est toujours la même : Macron est le chef partout et toujours. C’est ainsi qu’il commande. D’où les innombrables structures dont il s’entoure et qui sont autant d’extensions de son pouvoir. Comme tous les faux chefs ou les mauvais chefs, il s’imagine que le propre du chef, c’est de tenir tous les pouvoirs. Tous. Et comme il s’applique, il se met à tout diriger avec des plans technocratiques sur toutes les matières, de l’économie à l’écologie, de la finance à la politique, de l’éducation à l’ordre social, de la petite enfance à la vieillesse et jusqu’à l’euthanasie, avec lois, règlements, commissions, agences, autorités. Son libéralisme théorique devient un socialisme d’État étouffant, cumulant les défauts de tous ces systèmes, comme le montrent amplement les derniers scandales.

    Et, par exemple, à quoi sert un ministère des personnes âgées, puisqu’il s’est révélé incapable de voir ce que le quidam moyen voyait. Pourquoi ces ministres ? Pourquoi ces fonctionnaires ? Le résultat, dans tous les domaines, est un immense échec en dépit de la rhétorique macronienne. Et l’inquiétude s’avive devant l’avenir le plus incertain qui soit où la réalité économique et financière va se retourner soudainement contre la France et les intérêts français, en raison même des choix macroniens. La sécurité intérieure sera menacée. Le fléau de l’immigration se déploiera dans toute sa violence.

    La politique extérieure devient si périlleuse que la France devrait plus que jamais se concentrer sur sa propre stratégie. Il n’en est rien. Macron s’habille ridiculement en Zelensky pour se figurer en résistant. Le discours onusien, otanien et européen ne saurait constituer une ligne d’action pour un pays comme la France. Il risque de lui en coûter très cher. Toutes les chimères de Macron s’évaporent au soleil de la dure réalité. Qu’en restera-t-il dans 5 ans ? Et que restera-t-il de la France ?   

    Article publié dans Politique magazine. Cliquez sur l'image pour accéder au site

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  • Pourquoi les catholiques ne revoteront pas pour Macron

    Catholiques.jpg"Non possumus". Voici le titre de la conclusion de l’ouvrage de Loïc Simonet, en référence aux paroles des premiers chrétiens (« nous ne pouvons pas ») qui refusaient de renier le Christ en marchant vers la croix. L’auteur explique : "Sans exagérer dans la grandiloquence, il me semble que tout devrait faire entrer ce qui reste de chrétien en France en dissidence intellectuelle vis-à-vis du macronisme, qui constitue un système de valeurs que nous ne pouvons raisonnablement cautionner."

    Ce "système de valeurs", Loïc Simonet l’explique avec beaucoup de profondeur tout au long du livre. Tout en étayant son argumentation par des exemples très précis d’événements ou d’actes effectués par des "Marcheurs", il puise dans des registres variés : philosophie, droit, histoire, enseignement de l’Église.

    Il pointe du doigt l’"entourloupe" du discours des Bernardins de 2018 devant la Conférence des évêques de France (CEF) pendant lequel Emmanuel Macron a loué la "beauté de l’action associative et de l’engagement des catholiques", ce qui constitue "une tentative de réduire l’Église à son action horizontale et de supprimer sa dimension verticale, vieux rêve de ses adversaires". Ce discours était une manière de se mettre les catholiques dans la poche, avant de les mépriser à bien des reprises, dont les plus flagrantes furent la non-réouverture des lieux de culte à la fin du premier confinement en mai 2020, montrant à quel point les considérations spirituelles sont parfaitement étrangères à la Macronie (Olivier Véran a indiqué combien il lui semblait superflu de "passer une demi-heure sur les cultes »)…

    L’auteur dénonce également la mise à mal du "bien commun", qu’il définit en reprenant les termes de l’encyclique Gaudium et spes : "Cet ensemble de conditions sociales qui permet, tant aux groupes qu’à chacun de leurs membres, d’atteindre leur perfection d’une façon plus totale et plus aisée." Ce bien commun, tel que saint Thomas l’avait théorisé, se voit inversé, avec Emmanuel Macron : "Le bien de chacun n’est plus ordonné au bien commun, mais le bien commun est désormais asservi aux exigences particulières et antagonistes de chacun."  C’est ainsi que l’on assiste, selon l’auteur, à un délitement de la société où coexistent des groupes d’individus qui partagent de moins en moins de "commun" et qui s’affrontent dans un "ensauvagement" grandissant. Certes, ces problèmes n’ont pas commencé avec Emmanuel Macron, mais il a fait bien peu pour tenter de les pallier.

    La raison la plus importante du non possumus se situe dans la "démolition de l’humanisme" opérée depuis cinq ans : "Au-delà des discours, des postures et des effets d’annonce, c’est donc sur la qualité de son respect de l’homme qu’il va nous falloir jauger […] le bilan du Président sortant." L’auteur rappelle la Note doctrinale concernant certaines questions sur l’engagement et le comportement des catholiques dans la vie politique, publiée le 24 novembre 2002 par le cardinal Joseph Ratzinger, qui forge le concept de "principes non négociables", qui sont ceux qui n’acceptent "ni dérogation, ni exception, ni aucun compromis". Voilà ce que Ratzinger dit précisément : "La conscience chrétienne bien formée ne permet à personne d’encourager par son vote la mise en œuvre d’un programme politique ou d’une loi dans lesquels le contenu fondamental de la foi et de la morale serait évincé par la présentation de propositions différentes de ce contenu ou opposées à lui." Autrement dit, tout ce qui concerne les enjeux bioéthiques (les questions d’avortement, de PMA, de GPA et d’euthanasie) entre dans ces "principes non négociables". Car comme le dit Loïc Simonet : "Il est un domaine dans lequel aucun accommodement ne paraît possible et qui relève d’une loi absolue et sans exception, c’est le respect de la vie de la conception jusqu’à la mort, puisque c’est du droit à la vie que relèvent tous les autres droits, et de sa négation la disparition de tous les autres."

  • Le clan Ménard : on ne comptabilise plus ses perfidies

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    La plupart de nos lecteurs connaissent bien le site "Le Salon Beige" . Le 3 avril dernier il a publié la mise au point ci-dessous. Ce site n'est pas un habitué des polémiques virulentes, mais on sent bien ici l'exaspération de l'auteur devant ces retournements inadmissibles qui déconsidèrent définitivement le clan Ménard. Cet article avait pour titre :

     

    Robert Ménard, girouette, guignol

    ou agent double d'Emmanuel Macron ?

     

    Marine Le Pen avait accusé Nicolas Bay d’être un agent d’Eric Zemmour, sans apporter la moindre preuve crédible d’ailleurs. Elle ferait mieux de se méfier de Robert Ménard qui ne semble pas avoir compris que le 1er tour est dans trois jours. Il demande notamment “Quel homme politique aurait fait mieux ?”

    “Sur l’Ukraine, (…) je me dis voilà, (Emmanuel Macron) est chef de l’État, j’ai pas honte qu’il soit chef de l’État, il tient face à Poutine“, a lancé Robert Ménard. “Et puis je me dis, est-ce qu’il y en a un de tous ceux qui sont là qui serait mieux que lui à sa place?” a poursuivi celui qui a été élu avec le soutien du Front national, puis du Rassemblement national.

    Relancé sur le fait de savoir si sa candidate, Marine Le Pen, ne ferait pas mieux que l’actuel locataire de l’Élysée, Robert Ménard persiste et signe:

    “Sur ce terrain-là, non, sur l’Ukraine non“. “Mes amis, ils ont tous été pro-russes, c’est pas possible. Et ils le redeviendraient demain si la guerre était terminée, je trouve ça insupportable”, a-t-il taclé.

    Par ailleurs, il commence déjà à torpiller la possibilité d’une alliance de deuxième tour entre Marine le Pen et Eric Zemmour. Comme Marine Le Pen, il utilise les mêmes accusations que la gauche.  La victoire d’Emmanuel Macron passe justement par ce genre de nouveau front “républicain”. Robert Ménard est-il un guignol ou a-t-il négocié avec Macron la réélection de sa femme et un siège de sénateur pour lui ? L’avenir le dira…

    Ce que je ne supporte plus chez Eric Zemmour, c’est la dureté que porte son courant politique. J’ai listé tous mes désaccords avec lui et si demain Marine Le Pen faisait des concessions à Eric Zemmour sur ces désaccords là, je ne la soutiendrais pas, ce serait sans moi (…)
    Eric Zemmour a violé un certain nombre de lignes rouges qui sont à mes yeux inacceptables. Je ne suis pas de ce monde ni de cette dureté là (…) Je ne suis pas pour le port du voile mais jamais je ne refuserais un selfie à une dame […] Jai passé ma vie en Afrique pour Reporters sans frontières et vous croyez que si j’étais Burkinabé je ne rentrerais pas en France de façon illégale ? Je le ferais pour mes enfants sans hésiter

    La séquence est tellement surréaliste que même Sonia Mabrouk est obligé de rappeler à Robert Menard que son temps de parole est décompté sur celui du RN tant il fait l’éloge de Macron et tape sur Marine Le Pen…

     

    Nous espérons tous que l'avenir se fera sans eux. Cette menace de ne plus soutenir ni Éric Zemmour, ni Marine Le Pen ne désole plus personne. Elle sera au contraire un soulagement pour la camp national.

  • La nouvelle victoire d’Orban a un sens simple, évident : il existe des peuples qui refusent de mourir

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    Les Français qui font l’essai de l’expatriation dans les pays d’Europe centrale ou de l’est n’en reviennent pas : on peut donc vivre en Europe, pas trop loin de la France, dans des pays paisibles, agréables, où les relations entre l’Église et l’État sont normales, respectueuses, où un homme est un homme et une femme une femme, où l’on ne bourre pas le crâne aux enfants avec des déviances élevées au rang de religion, etc.

    Oui, il est possible de vivre en Europe comme l’on vivait en France jusqu’au 10 mai 1981.

    Il y a plusieurs manières d’approcher la chose. Il est des pays comme la Roumanie qui prétendent jouer le jeu européen, donnent des gages tout d’apparence, mais en réalité ne suivent que très peu les diktats de Bruxelles, pour continuer tranquillement leur vie et leurs pratiques…

    Et puis il y a ceux, comme la Hongrie, qui y vont plus fort, en résistant avec force aux coups de boutoir des post-modernes, menés par l’horrible Soros, lui-même né Hongrois.

    La Hongrie en paie le prix : la presse bien-pensante (et subventionnée) de l’occident lui vomit dessus à longueur d’articles, et les commissaires européens ne rêvent à son encontre que de sanctions, humiliations, etc. Comment, la Hongrie refuse d’accueillir les « réfugiés » hommes seuls et musulmans ? Comment… ? etc.

    On voit même ici et là fleurir des accusations d’élections truquées, alors qu’il n’en est rien.

    Il est très difficile pour les « élites » traitresses bruxelloises de faire face à une réalité qu’elle juge surannée et insupportable : des peuples qui ont une furieuse envie de garder leur mode de vie, de préserver la paix civile, de continuer à se promener sans danger le soir dans leurs villes, et de laisser seuls les clochers – ou les bulbes dorés – dessiner l’horizon du paysage national, à perte de vue.

    C’est insupportable pour Bruxelles. Et rien que pour ça, cette nouvelle victoire de Viktor Orban doit nous faire chaud au cœur.

    Julien Michel

    C'est une leçon dont nous devrions nous souvenir dimanche...

  • Livre. Notre sélection : "Les rats" de Jean-Pierre Pelaez

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    Nouvelle publication d'une de mes pièces, aux Editions Ex-Aequo (Collection Entr'Actes) : LES RATS, comédie -presque musicale- créée en France par le TPO / Théâtre Populaire d'Occitanie - Mise en scène de Jean Durozier (Texte lauréat de l'Aide à la Création / Ministère de la Culture) ; en Suisse, par la Radio Télévision Suisse Romande ; plus récemment, reprise par le Théâtre du Krypton Bleu et sélectionnée au Festival des Arlequins de Cholet.

    Un pièce inspirée de la légende populaire du Joueur de flûte de Hamelin, et qui fait la satire de l'immobilisme, des routines, et de ce que mon ami le grand acteur Claude Piéplu appelait au théâtre "l'apathie sclérosante" !

  • Les propos du clan Ménard sont, chaque jour un peu plus, inqualifiables

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    Comme d'habitude, le clan Ménard, qui n'a aucune culture historique (ou pas de culture du tout) tente de falsifier les événements, espérant tirer quelque profit de ses escroqueries intellectuelles. Il y a quelques mois, il s'est permis cette réflexion :

    "Il y a 85 ans, un coup d'État fasciste plongeait nos amis espagnols dans la pire des guerres civiles. Pensées aux centaines de milliers de victimes de la répression franquiste et à ceux qui ont dû refaire leur vie en France, notamment à Béziers."

    Nombreux sont les électeurs du clan Ménard qui ont dû se frotter les yeux en découvrant ce message sur Facebook, célébrant les rouges massacreurs de paysans et violeurs de religieuses.

    L’ancien fondateur de Reporters sans frontières, dont Stéphane Ravier disait mercredi qu'il ne restait plus désormais que le "sans frontières" est né à Oran, où s’étaient réfugiés de nombreux républicains espagnols, d’un père syndicaliste communiste. Lui-même fut trotskiste (Ligue Communiste Révolutionnaire, rien que ça), mais on pensait qu’il avait viré sa cuti. Reconnaissons lui le talent de l'avoir fait croire pendant plusieurs années, tant qu'il avait besoin de cette façade pour glaner des voix, ce qui rehausse d'autant l'imposture et la fourberie. Mais désormais, bas les masques ! Ce revenez-y nous convainc désormais du contraire, de même que ses désormais classiques déclarations macrono-gauchistes. Beaucoup se posent la question : Ne s'agirait-il pas de sombres manigances électorales ? Plus nombreux encore sont ceux qui ne se la posent plus !

    Une telle prise de position est en outre une grossière erreur, plusieurs membres de la communauté espagnole nous ayant fait connaître leur totale désapprobation pour "ces paroles de guerre civile". 

    Et sur l'ensemble de ces fadaises nous n'entendons pas Emmanuelle Ménard… Il est vrai qu'ils clament à qui veut les entendre que pas un mot n'est prononcé, pas un écrit n'est rédigé, pas une opinion n'est formulée sans l'accord de l'autre. Toutes ces postures sont donc une manœuvre collective parfaitement réfléchie, au mépris de l'ensemble de leurs électeurs, ce qui les rend d'autant plus déplaisantes. Il faudra s'en souvenir.

    Depuis, les reniements du clan n'ont fait que croître et embellir à un rythme et à une intensité qui ne suscitent plus l'étonnement ou la consternation mais un profond écœurement et un dégout majeur. 

    Nous vous invitons à lire l'article suivant qui précise utilement un point d'histoire important évoqué dans les commentaires.

    Les réactions à ces provocations n'ont pas manqué. Celles que nous reproduisons ci-dessous, qui ne sont qu'un échantillon, en sont la démonstration :

    Jean-Christophe Visomblain  Entre la dictature franquiste et le totalitarisme communisme, il n’y a pas photos comme on dit. À cette époque, il fallait faire un choix. Et le choix c’est sans conteste l’anti-communisme primaire, secondaire et tertiaire. 

    Marc VandeSande  La chasse aux voix en démocratie dévoyée incite à s'inspirer des caniveaux pour écrire l'histoire à "sa façon".

    André-Yves Beck  Ce qui est pathétique avec ce pauvre Ménard, c'est qu'il pourrait faire le post exactement inverse avec le même allant.

    Philippe Dauphin  Pensées aussi aux massacrés par les "républicains" venus de toute l'Europe pour soutenir le régime communiste auquel le général Franco s'est opposé. S'il y eu soulèvement par l'armée c'est surtout suites aux exactions terribles des communistes espagnols.

    Bastien Btd  Qu’est-ce que c’est que ce post de merde ? Mieux aurait-il fallu le communisme ? Si rien n’est tout noir ou tout blanc, vous vous prêtez désormais à la bien-pensance de gauche en histoire en omettant les contextes. Mieux vaut perdre que gagner dans le déshonneur. Vous ne valez plus mieux que ce que vous combattiez par le passé. Adieu M. Ménard.

    Gérard Dardé  Ménard vous devenez de plus en plus non crédible, ce n'est pas un coup d'État qu'il y a eu en Espagne mais une guerre civile des anarchistes et communistes contre les catholiques et les gens de droite...

    Charles François-Xavier Cazelle Vous oubliez le sang des martyrs chrétiens versé par les brigades rouges ; tout en oubliant que le coup d'état était fomenté par les marxistes.

    Henri Delcros Les violences et les massacres du front populaire de gauche ont amené une collégiale des généraux à prendre le pouvoir voilà l histoire

    Frederic Pichon Pensée aux victimes des exactions républicaines en particulier aux religieuses assassinées.

    Éric Hébrard Ah bon. Parce que la chienlit anarchiste et républicaine assurait la pérennité de l'état espagnol ? On oublie les massacres de religieux et de milliers d'opposants. Le général Franco a sauvé l'Espagne du communisme. Et le gouvernement français dit de Fr… 

    Rod Lec Coup d'état ? Il faut voir dans quel état se retrouvait l'Espagne à cette époque, violence, multiple insurrections, défiance envers l'état. Et dire que c'était seulement fasciste n'est pas vrai puisque l'armée s'appuie sur des monarchistes, des conservateurs… 

    Richard Perrat Une pensée pour les prêtres et religieux torturés et assassinés par les communistes et leurs complices.

    Georges Viudes N'oublions pas de remercier Franco qui sauva des milliers de pieds noirs que les sbires de de gaulle empêchaient d'embarquer pour la métropole.

    Pedro Sombrero Robert Ménard: vous ressortez la vulgate lamentable de la gauche espagnole, qui refait l’histoire à son avantage. La crise de juillet 1936 est aussi la conséquence du refus, par les gauches espagnoles, du verdict des urnes, favorable aux droites. 

    Jean-Jacques Bastin Robert Ménard ferait bien d'étudier l'Histoire d'Espagne avant de dire ou écrire quoi que ce soit ! Il n'y a jamais eu de coup d'état fasciste, mais une réaction saine de l'armée face à l'incurie provoquée par l'incompétence des divers gouvernements de… 

    Georges Viudes  Ces mêmes Pieds-Noirs qui ont voté en masse pour vous.

    Eric Lafalla C’est la réponse à la terreur rouge. L'historien Bartolomé Bennassar « rappelle que, dès mai 1931, une centaine d'églises avaient été détruites ». Des groupes anarchistes s'en prennent à des prêtres et à des monastères dans les premiers mois de la guerre.

    Jacques Dandine Sinon, en France, on a connu également :

    - le 17 juillet 1429, le sacre de Charles VII

    - le 17 juillet 1453, la fin de la guerre de Cent Ans

    - le 17 juillet 1863, la création de La Croix Rouge

    - le 17 juillet 1879, le plan Freycinet

    Ne pas être sélectif dans les commémorations, c’est mieux !

    Jean d'Hautefeuille Monsieur Ménard, sur ce sujet vous manquez visiblement d’informations. Vous oubliez ou ignorez les chrétiens persécutés par les communistes. Franco a sauvé l’Espagne du communisme. Et a d’ailleurs remis le pouvoir à la démocratie après. Ne vous laissez pas imposer la lecture de l’histoire par la gauche s’il vous plaît.

    Vincent Rinié Ils ont échappé au communisme qui a fait le bonheur des 30 millions de morts sans compter ceux qui sont encore en danger actuellement. Alors, difficile après les évènement de porter un jugement. Ceux qui ont trouvé refuge en France sont bienvenus, et certains d’entre eux sont toujours abonnés au socialisme invivable, voir Mme Hidalgo…

    Gaël Courossé Il me semble que, si on veut être historiquement juste, les massacres sont la spécialité des révolutionnaires espagnols. Le reste n’est que le chaos résultant des actions de ces ordures communistes révolutionnaires.

    Laurent Castadère Comment se souvenir de cette tragédie tout en se rangeant du côté des oppresseurs du jour pour un passe vaccinal, relatif à un traitement encore en phase de test, et prouvant déjà en Israel, GB ou Seychelles qu'il fonctionne très peu devant les variants… 

    Robert Ménard informez-vous, apprenez l'histoire, au lieu de répéter bêtement la propagande de gauche communiste svp. Un Mao espagnol vous aurait donc plu ? Réfléchissez et soyez responsable un peu. Le communisme est à la source de la guerre et de ces massacres, merci Franco d'être intervenu et d'avoir rétabli l'ordre.

    Charles Tristan Paris Ne pas oublier que la coalition de Gauche a perdu le pouvoir par les urnes (alliance du centre et de la droite réactionnaire) et que des assassinats politiques et des tentatives de prise de pouvoir locaux avec des attaques d'écoles catholiques ont amené l'arrivée de Franco. Situation bien plus complexe que "les fascistes ont fait un putsch" la table que la Gauche nous impose. Mon grand père, jeune militant communiste français s'était engagé aux côtés des républicains et en tant qu'athée je n'ai aucune sympathie pour la situation quasi féodale qui a eu pour conséquence la radicalisation de la Gauche. Mais il faudrait arrêter de réécrire l'histoire.

    Chris Fletcher Avant de la ramener en suivant les interprétations gauchistes sur cette guerre, je vous conseille la lecture de Luis Togorres « guerre civile espagnole ».... Vous y apprendrez comment les communistes et leur obédience frente popular ont semé le bordel dès 1932 pour conduire à la situation de 1936. Franco a été le plus prudent des officiers supérieurs espagnols pour choisir d’intervenir (contrairement à Yagüe par exemple). Il faut arrêter d’apprendre l’Histoire à travers le prisme du gauchisme primaire.

    Fabien Hétoi A t-on parlé de ces "bons communistes" qui se sont portés volontaires pour être gardiens de goulags en URSS ? !!!!

    Didier Hendrickx Je peux comprendre que la séance de maquillage hebdomadaire sur LCI soit agréable mais de là à reprendre les articles des années 30 de l’Huma…

    Cian Mab Diancecht une pensée au victimes des "républicains"...

    Jean-Pierre Ouvrard Le modèle de RM serait donc l'assassinat par la Guardia Civil du député monarchiste José Calvo Sotelo qui avait dressé devant les Cortes le bilan de la IIe République après 2 mois de Frente Popular: " 160 églises entièrement détruites, 251 édifices religieux assaillis, incendiés ou saccagés, 269 meurtres politiques, 1 300 personnes blessées, 10 sièges de journaux totalement anéantis, 156 bombes lancées sur la voie publique, 155 grèves généralisées". Les regrets de RM vont vers une Espagne bolchévique et un régime stalinien à la frontière Française. En visite officielle à Madrid, De Gaulle  à Franco: " Vous avez été la chance de l'Espagne"

    Guillaume Staub Soutien aux franquistes qui ont mis fin aux massacres commis par l'extrême gauche espagnol.

    Philippe Tournier Ce n'est pas tout à fait comme ça que ça s'est passé, on ne devrait pouvoir interpréter l'histoire

    Marko Xikito Bravo Et bientôt on fera pareil nous français, on partira en Espagne sur la terre de nos arrières grands-parents 

    Xavier Dupire M Menard, mon arrière grand père (1899-1986) vivait en Espagne, il n’était pas plus républicain que monarchiste, il ne tenait pas particulièrement à vivre dans une république comme de nombreux citoyens du monde qui vivent dans des monarchies (Angleterre, Belgique, pays bas) pour lui aucune raison de changer, même les républiques ne son sont pas parfaites. La nuit les milices communistes entraient chez lui pour le prendre et l’exécuter pour ne pas penser comme certains. Ses ouvriers l’informaient de la venu de ces milices et lui pouvait se cacher. Tout n’est pas rose dans le républicanisme espagnol, ils ont chassé les monarchistes, les gens de droite, massacré des ecclésiastiques. Les premiers exilés en France furent ces gens chassés par les républicains. Il se réfugia en France. Quand le vent tourna en faveur des autres, il put rentrer et ce sont les rouges qui durent fuir en France. Mais ça on n’en parle jamais des premiers exilés de droite, jamais.

    Patrice De Saint Sauveur Pensées et prières pour les innombrables martyrs catholiques du Frente Crapular espagnol. M. Médard vous me décevez, auriez-vous préféré vraiment les communistes et anarchistes espagnols ???

    Niala Siavres Attention à la répression macroniste nous commençons à en payer les pots cassés alors prenons les choses en main et réagissons.

    Marie-helene Agam Comme toutes les guerres Monsieur il n’y a a pas les gentils et les méchants. Les guerres civiles non plus n’échappent pas hélas à cette règle. Soyez plus clair j’ai de plus en plus de mal à vous comprendre.

    Daniela Foubert Question de point de vue of course car ces fachos de l'époque partageaient pas mal d'idées avec nos néo-nationalistes... et les républicains espagnols de jadis étaient les précurseurs de nos gauchistes bien contemporains.

    Louis Valier Effectivement. Pensée aussi aux victimes des escadrons de la mort communistes à Madrid où ailleurs.

    Jp Gallii Franco a aussi sauvé des milliers de Pieds Noirs en envoyant des bateaux à Oran récupérer des français abandonnés par votre nouvelle idole De Gaulle. Vous cherchez un poste au gouvernement Macron ???

    Axel Pacoss Vision gauchiste monsieur Ménard !

    Paco Fernandez  Sur la guerre d’Espagne, il vous faut lire davantage.

    Marco Caïazzo Ne pas oublier les morts de la répression des républicains. Et des communistes les anarchistes de Barcelone ont été décimés par les communistes aidés par L'URSS.

    Laurent de Vargas Gauchiste un jour, gauchiste toujours. Et les assassins de Calvo Sotelo et de Paracuellos, c'était des saints peut-être !

    Agus Ruiz Robert Ménard, vous êtes un gauchiste qui parle...Franco a sauvé l'Espagne du communisme , arrêtez de faire le con.

    Beorn Id Encore et toujours de la démago, le vocabulaire adapté pour plaire aux timides et les bonnes pensées pour le reste de la masse. et on s'étonne encore de perdre tout le temps?

    Arthur Valois Vous perdez complètement la tête Robert Ménard avec vos délires gauchisants et gauchistes comme celui-ci de plus en plus fréquents, et tout le monde s'en rend bien compte à en lire les commentaires. 

    Louis Mouchel Rien à ajouter, les commentaires sont exacts. Sans Franco, l'Espagne serait communiste, et il y aurait eu 10 fois plus de victimes... !!!

    Madeleine France Petits rappels :

    Le nombre officiel de la terreur blanche est de 80 000 victimes collatérales et actions postérieures incluses.

    Les exactions républicaines et communistes de la terreur rouge qui sévissait contre les nationalistes et les catholiques font état d’environ 75 000 morts sur une période considérablement plus courte (dont 20 000 prêtes assassinés par les communistes avant que Franco prenne le pouvoir). On peut donc aisément projeter que si les républicains et les communistes étaient arrivés au pouvoir il y aurait eu beaucoup, beaucoup plus de victimes innocentes.

    Et tout cela à mettre en parallèle avec les massacres commis en URSS et en Chine qui eux-mêmes feraient passer les nazis pour des bienveillants.

    Mais comme c’est toujours plus politiquement correct de taper sur Franco que sur les républicains.

    N’oublions jamais que Franco a sauvé l’Espagne de la folie républicaine, tout comme l’inquisition en son temps sauva l’Espagne de la folie protestante et révolutionnaire.

    Malheureusement cela a un coût car tristement il n’y a pas de guerre civile sans morts. Franco était un autocrate certes mais cependant il a sauvé les pieds noirs alors que la France ne peut pas en dire autant.

    Seul un idiot peut sincèrement croire qu’une dictature est de manière inhérente pire qu’une démocratie. Comme le disait Lao Tseu : "seul un idiot peut croire qu’il vaut mieux être dirigé par 20 millions d’imbéciles plutôt que par un seul homme sage."

    Marc Iclous Il va commencer à falloir sérieusement apprendre l’histoire pour éviter de continuer à déblatérer autant d’inepties : le franquisme n’est pas et n’a jamais été un fascisme !

    Clém Entine Qualifier de "fasciste" le régime franquiste est une erreur sémantique de débutant. 

    Jean Caladois Ce qui est bien avec les traîtres comme Ménard, c'est que ça se voit sur leur gueule, ça évite de tomber dans le piège comme ça ! 

    Jean Caladois Vive les brigades internationales hein Robert Ménard ! 

    Karol Krawczyk Une pensée pour toutes les victimes du communisme.

    Louis-m Lcr Décidément, le Ménard et ses satellites ne savent plus que faire et que dire pour s’acheter une virginité !! Vous me donnez envie de gerber.

    Sylvie Toutoune Oui c'est pour ça que je pars en Espagne.

    Marie Lys Menard est totalement à côté de la plaque. Certainement lui ou son épouse attend un poste au gouvernement de Macron. Il est pro Macron pour le passe sanitaire et le vaccin obligatoire qui est même pas un vaccin mais une thérapie génique en phase expérimentale. Je suis déçue de lui. Il est toujours sur les plateaux de télévision à dire du bien de Macron. Les prostituées sont plus honorables.

    Raoul Garah Ménard vous faites du révisionnisme !

    Helene Koehler Ce qui nous arrive aussi depuis que macron est au pouvoir et que des politiques comme vous ne font rien pour les français.

    François Soulard Message inutile. Ressaisissez vous.

    Anthony Chessari Murillo Una ! Grande ! Libré ! Hariba Espana ! Merci Franco.

    Patrick Specht C'est n'importe quoi. Il n'y a jamais eu de fascisme en Espagne.

    Peter Mansfeld Oui quand les églises brûlent que des députés sont assassinés par un commando de police du frente popular, quand des militants de droite et des chrétiens sont assassinés dans les rues, pour vous il ne fallait pas réagir aux assassins et tortionnaires anarcho communistes ??? Se laisser faire ??? À moins que vous les approuviez ! Gloire éternelle aux nationalistes et aux héros de l'Alcazar qui ont sauvé l'Espagne du communisme !!!

    Christian Viguier En lisant votre commentaire sur ce « coup d’état fasciste » de 1936 , les bras m’en sont tombés !!!!! Profitez de votre temps libre pour lire "le livre noir du communisme" de Stephane Courtois et ses 80 à 100 millions de victimes. Franco, malgré toutes les réserves qu’on est en droit d’éprouver, a évité cette tragédie et n’est pas entré en guerre au côté des puissances de l’Axe .

    Grogouer Elvis Rizond Les bons vieux narbonnoïdes antifas venus pourrir le sud de la France de leur présence néfaste Quelle chance.

    Thierry Bastian Ça ratisse large à Béziers.

    Péginous Réboussier Très décevant de votre part ; inquiétant même ! Vous soutenez les communistes qui violaient les religieuses avant de les massacrer ? On a piraté votre compte, ou quoi Monsieur Ménard ?

    Btd J-l Mrl Rch Il semble que vous n’ayez pas eu de formation historique objective sur la réalité du comportement des soi-disant républicains espagnols et de leur alliés anarchistes du POUM. Les simples guérilleros ayant trouvé refuge en France après leur défaite pouvaient à la limite être acceptés car ils ont suivi des fanatiques qui les ont embrigadés comme c’est le cas dans la plupart des conflits menés par les rebellions marxistes mais de là à les célébrer et à honorer leurs mort il y à une « tranchée ».

    Patricia de la Force Le compte a été piraté par Carole Delga.

    Nath ZG Vous jouez à quoi en ce moment ?

    Christelle David-Montaz Robert, pense à t'hydrater. Tu yoyotes, et j'ai un mal fou à te défendre.

    Thierry Louloutte Le tout, complètement hors contexte historique. Vous êtes un peu à côté de vos pompes Mr Ménard. Allez faire un PCR !

    Jack Belin Ça y'est papy gatouille direction EPAD ...

    Gérard Auzou Navrant de constater que vous M. Ménard, tombez dans les ornières des antiennes de l'histoire officielle de la guerre d'Espagne. Pas plus qu'une guerre conventionnelle, une guerre civile n'est propre. Auriez-vous oublié que sans l'intervention de Franco, des milliers de pieds noirs supplémentaires auraient été promis à une mort certaine ? En effet, Franco vint au secours des Oranais livrés à la fureur meurtrière de l'ALN , des ATO et de civils algériens, tout comme à l'inaction coupable de Katz, en faisant affréter 2 ferrys, le "Victoria" et le "Virgen de Africa", afin de les sauver. Il ne faut pas avoir une vision hémiplégique de l'histoire ! Venant de vous, ces paroles sont une honte.

    Jehan Charles de Penfentenyo  C'est un fake ?

    Dieg'z Adt Le clown Menard 

  • Ce que les Pieds-Noirs doivent à Franco, M. Ménard !

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    Le 30 juin 1962 à 10 h du matin, malgré l’opposition de de Gaulle, le général Franco donne l’ordre à ses capitaines d’embarquer les pieds-noirs, faisant fi de la pression imposée par la France.

    Franco prévint de Gaulle qu’il était prêt à l’affrontement militaire pour sauver ces pieds-noirs abandonnés sur les quais d’Oran et livrés à la barbarie du FLN.

    De Gaulle est également informé que l’aviation et la marine de guerre espagnoles sont en route jusqu’aux eaux internationales, face à Oran.

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    Finalement, face à la détermination du général Franco, la France cède et le samedi 30 à 13h00 ces deux bateaux espagnols peuvent embarquer 2200 pieds-noirs, 85 voitures et un camion.

    Lors de l’embarquement, les courageux capitaines espagnols durent s’opposer à la montée sur leurs bâtiments d’une compagnie de CRS qui voulaient lister tous les pieds-noirs embarqués à destination de l’Espagne.

    Les capitaines espagnols avouèrent n’avoir pas compris l’attitude arrogante des autorités françaises dans une situation aussi dramatique.

    Contre vents et marées, finalement à 15h30, les quais d’Oran, noirs de monde, se vidèrent. Les bateaux espagnols prirent enfin la mer malgré une importante surcharge.

    De l’arrivée jusqu’au départ des ferrys espagnols, une liesse, joie et larmes, s’était emparée des pieds-noirs aux cris de « Viva España ! » et « Viva Franco ! »

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    En 1965, le ministre de la Marine espagnol, l’amiral Pedro Nieto Antúnez, lors d’une visite à l’Élysée, put se rendre compte des sentiments de De Gaulle : « Transmettez au général Franco ma profonde admiration pour le grand rôle historique qu’il a joué et pour tout ce qu’il fait actuellement pour l’Espagne », lui déclara le Général.

    « Tout bien pensé, son bilan est positif pour son pays, dira-t-il plus tard à son collaborateur Pierre-Louis Blanc.

    En Juin 1970 De Gaulle a tenu obstinément à rencontrer le général Franco malgré les réticences de ses conseillers. En France le concert des pleureuses a fait semblant de s'indigner. La réception à Madrid fut somptueuse et la rencontre chaleureuse, où l'on vit De Gaulle s'emparer des deux mains de Franco, geste inhabituel de sa part. L'histoire n' a rien de manichéen.

    Le clan Ménard n'ignore pas tout cela. Ses commentaires n'en sont que plus minables.